A la pêche aux moules { PV: Amico/Da'al }[Terminé]

La journée était belle, et le vent ne soufflait pas énormément, le ciel était totalement dégagé et on pouvait voir flotter haut dans cette étendue bleu le soleil, lui qui réchauffait les gens qui peuplaient les trois mondes par sa seule force et sa propre chaleur. Pas un seul nuage n'avait osé se dresser devant lui et tenter de le cacher par sa blancheur ou son ton grisâtre annonciateur de pluie et d'orage. Non, rien ne pouvait semblait il rendre cette journée désagréable. Cette journée était à vrai dire climatiquement parfaite si l'on voulait pouvoir effectuer une jolie petite promenade sur terre ou sur mer, et pourquoi pas par la voie des airs ? Chacun avait après tout sa manière de se déplacer, qu'elle lui soit propre ou qu'elle soit partagée, chaque individu était libre de voyager comme bon lui semblait et surtout la ou il le voulait. C'est d'ailleurs dans cette optique, que le jeune épéiste d'Equilios planait sur le dos de sa charmante monture Buséphal dans les cieux bleus qui se trouvaient au dessus de la jungle des anciens, lieu qu'il n'avait plus foulé de ses petits pieds depuis un fort long moment. Il s'était donné l'envie d'y retourner pour y faire une petite marche en solo, mais bon, la route de son quartier général jusqu'à cette fameuse jungle était terriblement longue, et voulant tout de même pouvoir la faire avant la semaine qui suivait, il avait équipé sa wyverne pour pouvoir arriver assez rapidement au lieu de son choix.

Go vers le bas.

Prononçant ces paroles comme un ordre, sur un ton qui se faisait tout de même amical, le monstre volant s'exécuta et se mit à descendre vers le sol, afin d'y déposer son maitre, qui d'un léger saut, atterrit sur le sol herbeux de la jungle des anciens. D'un claquement de doigt, la bête se mit à battre des ailes, abandonnant dans cette immense étendue verte celui qui était l'unique homme à pouvoir le chevaucher. L'énorme monstre disparu dans le ciel, et ne reviendrait sans doute pas chercher Arcania de lui même, il faudrait qu'on l'appelle, et ça, il savait comme le faire. Tandis que le jeune homme avançait, il se trouva face à un étrange fleuve, celui du nom de Numa, il avait déjà entendu parlé de la légende de la sorcière Numa, mais cette légende ne l'effrayait aucunement, il serait même heureux de pouvoir rencontrer ne serait ce que le fantôme de la femme dont parle cette grande histoire qui fait frissonner tout les enfants d'Equilios. Ce serait une expérience unique et enrichissante, mais il ne fallait pas trop espérer et compter la dessus, ça n'arriverait sans doute pas aujourd'hui, ni même jamais. Ne bougeant pas et observant l'écoulement du fleuve devant lui, tout autour du jeune homme, des bruits se firent entendre, des bruits de pas, mais des pas de qui ? Il allait bientôt le savoir.

Spoiler:

Le temps était magnifique, les oiseaux chantaient, et le bronzage de Liborio s'améliorait, que vouloir de plus, à part des femmes enfin quoi que les femmes sont de vrai chieuse et casserait la beauté des bruit que fait la nature, juste pour raconte leurs vies et se plaindre, Non tout était parfait comme cela, Ca faisait déjà un bon bout de temps que le jeune lucien c’était assoupie dans l’herbe, et profitait du soleil quand une misérable ombre passa au-dessus de ça tête, Liborio se releva directement et suivit cette chose énorme qui survolait le ciel, D’un coup la bête s’abattit, vers le bas Liborio se coucha dans les hauts herbe, un homme descendit et renvoya l’énorme bête, Il n’avait pas encore vue Liborio. Le jeune lucien décida donc de suivre cette homme, pour voir ou il allait, on ne sais jamais peut être une bonne aventure à mètre sous la dent, il faut dire que bronzé c’était bien mais un peu ennuient pour l’homme d’action qu’il était. L’homme s’arrêta devant le fleuve, l’homme était habillé d'une long cape, avec une chemise mauve, on aurait un noble ou quelqu'un de haut placé.

*Un gay ?*

Il avait les cheveux bruns et il était d’une taille moyen, mais assez mince. Liborio décida enfin d’aller lui parler. Il se releva et approcha de l’homme, celui-ci se retourna il l’avait entendu apparemment.

« Enchanté, Liborio Amico de Lucina, Très beau temps n’est ce pas ? Je ne voudrai pas être grossier, mais vous cherché qu’elle que chose de précis ou êtes vous là, pour une bonne pêche au moules ? »

Liborio tendais sa main droite vers l’homme et avait mit sa main gauche dans son dos, histoire de dégainer vite fait son Akuma si l’homme en face de lui pétait une zin et l’attaquait, dans un sens la sécurité avant tous ils ne se connaissaient pas.

(Déso était pas dort inspi ^^)

Invité

Une sale journée, pour moi. Malgré le beau temps environnant, c’était pour une journée vraiment merdique. A vrai dire, mon sens de l’orientation n’avait rien d’exceptionnelle. Je voulais contourner cette maudite jungle, les bois c’était pas mon fort. Bien sur, j’avais atterri dans la jungle, et en plus je tournais en rond. Pour moi les bois c’était à ni rien comprendre. Des arbres par millier, leurs maudits feuillages qui cachent le ciel, aucun horizon à admirer, observer. Je n’avais jamais compris ceux qui trouvaient une quelconque beauté ou paix de l’âme dans les bois. C’était oppressant bien au contraire. Surtout qu’ici, il faisait humide. Une humidité que j’avais bien du mal à supporter. Et encore ce n’était pas tout. Ici le silence n’existait pas! Toujours un oiseau pour piailler, ou une bestiole inconnu pour faire bruisser un feuillage. En tout cas, je pataugeais avec difficulté dans un espèce de mini marécages. Malgré mon presque deux mètres, mes plus de 100 kilos ne m’aidaient guère. Doublé du poids de ma hallebarde, ça n’arrangeait rien. J’avais l’impression de marcher sur un tapis roulant. A chaque pas, je reculais de deux. Je grognais de mécontentement et avancé malgré tout. Au bout de quelques minutes j’avais atteint la terre ferme. Les fourrés devant moi cachés ma vu. Je les dépassais pour voir…. A nouveau ce maudit fleuve. Sans cesse le même paysage! Ce fleuve, ce maudit fleuve! Je tournais en rond. Je dégainais ma hallebarde et en poussant un hurlement de bête je la jetais dans un arbre. L’acier de l’arme se planta avec puissance dans le tronc. Reprenant mon souffle et mon calme je la récupérais et la tirais d’un geste sec. Je la rengainais et m’agenouillais au bord du fleuve.

*Foutu jungle! Soif!*

Je pris plusieurs flopée d’eau au visage. Mes énormes mains aidant à amener de la quantité. Mais, une ombre passant sur mon corps me fit lever les yeux. Une créature volante, énorme, parcourait le ciel. Je la suivit du regard autant que je le pus, puis elle disparut derrière le feuillage. Je revenais à mon eau. But quelques gorgés mais à nouveau, quelque chose venait m’interrompre. Le silence. Ce silence que je n’avais pas entendu dans cette forêt. Et ici le silence, soudain, était pesant. Je me levais, attendait. Quelque chose ne tournait pas rond. Je sentais une présence, derrière moi! Je me retournais en posant une main sur ma hallebarde dans mon dos. Mais c’était trop tard. Une force invisible, arcanique, m’avait jeté dans le fleuve. Et vous me croirez ou nous, le fleuve était étrangement profond. Je ne savais pas nager. Agitant mes bras dans tout les sens je tentais de rester à la surface. Une femme se tenait ou j’étais il y avait quelques minutes. Elle était belle, de taille moyenne. Une robe blanche, des cheveux long et d’un noir profond comme une nuit sans lune. Ses yeux incolores, l’observait avec cruauté.

« Aiiidez moi!! »

Ma voix était étouffé par l’eau qui s’insinuait dans ma gorge. Et, elle n’avait pas l’air de vouloir m’aider. Alors que mes mains touchaient la rive, la femme levait sa main. Le courant se faisait soudain trop fort, et j’étais emporté. Je criais inlassablement, sans rien voir venir. Le seul son qui parvenait à mes oreilles c’était le flux de l’eau. Pendant quelques secondes j’étais inlassablement emporté. Je ne pouvais plus beaucoup respirer, et je devais lutter pour soulever mon poids. Mais, au loin, sur la rive, des silhouettes apparaissaient. J’hurlais maintenant, tendant un bras vers eux. Ma voix grave, lente et hésitante s’élevait dans la jungle.

« AIDEZ MOOOOI!!!!! VITE!!! »

Les oreilles du jeune homme ne l'avaient certainement pas trompées, il y avait bien derrière lui, un être vivant qui s'approchait lentement de lui, les bruits qu'il émettait à chacun de ses pas permettaient à l'épéiste du monde du juste milieu, de savoir avec précision la position qu'occupait celui qui s'approchait de lui, ami ou ennemi, il se devait de faire attention pour ne pas finir par se faire prendre par surprise par un quelconque être malveillant. Sa main droite commençait déjà à redescendre, pour toucher l'endroit bien caché la où logeait l'une de ses armes, afin d'aller de front directement s'il le fallait. Se retournant avec rapidité, il fixa l'être qui marchait vers lui avec une attention très particulière. Ce dernier se mit à lui adresser la parole, avant de lui tendre sa main, sans doute afin qu'il ne la lui sert, mais sans mentir, Arcania ne serrait que très rarement la main des inconnus, ce n'était pas dans ses habitudes, après tout, il ne l'aimerait peut être même pas ce gugusse qui se tenait debout devant lui. Enfin aimer est un bien grand mot, il vaudrait mieux dire apprécier ... Ca sonnait plus juste vis à vis d'un homme après tout. Il ne tendit même pas ses doigts vers la main inconnue, que déjà dans le fleuve, s'entendait d'étrange hurlement, ceux venant d'une étrange créature, un vulgaire orc, une espèce dégueulasse, qu'il était rarement dans l'idée de sauver. Mais peut être ferait il un effort cette fois ci, après tout, il n'était pas seul ...

D'un vif geste de la main, dans un mouvement extrêmement gracieux, sur la propre demande à son élément de la part du jeune Harmonien, le corps de l'orc s'enfonça sous les profondes eaux du fleuve, s'enfonçant rapidement, jusqu'à ce que son corps disparaisse totalement de la surface et qu'il devienne invisible aux yeux de ceux qui venaient de le voir crier à l'aide, comme si le jeune maitre de l'air tentait de noyer celui qui criait à l'aide, ça aurait été un pure meurtre en public, un amusement certain à vrai dire, c'est de toute façon ce qu'aurait fait le disciple de l'ordre nouveau s'il avait été seul à regarder les problèmes dans lesquels était la bête nauséabonde.. Mais il releva le bras très rapidement après l'avoir abaissé, afin de sortir l'immonde bestiole du fleuve et l'envoyer valser contre un arbre juste derrière lui et le sois disant Amico ... S'approchant de la grosse bêbête parlante, il s'exprima.

Alors on a bu la tasse ?

Le jeune homme se tourna de 90°, se demandant bien comment une telle bête aurait pu tomber seule dans un tel amas d'eau, ils étaient peut être stupides, incapables de faire quoi que ce soit, même totalement maladroit, mais au point de se lancer au suicide, ça l'épéiste n'y croyait rien.

Spoiler:

L’homme ne semblait pas vouloir tendre sa main au jeune homme qui venait de se présenter à lui. Mais sa Liborio ne pourrai jamais en être sur, un crie d’aide venait de se faire entendre dans le fleuve, Un orc, oui vous ne rêvez un orc était entrain de se noyer, il se débattait dans tous les sens il n’allait pas tardé a couler. Liborio ne comptait pas plonger, cette chose était tombée dans l’eau toute seul, elle n’avait cas à en sortir seul, son interlocuteur se retourna vers le fleuve et commença a agité ça main, d’un coup il la baisse et l’orc disparut vers le bas dans le même mouvement, Liborio ne comprenait se qu’il se passait, Puis il releva la main et éjecta l’orc contre l’arbre derrière eux, cette homme semblait maîtrise un pouvoir de télékinésie, il n’y avait pas été de main morte avec la pauvre bête. Ils s’approchèrent tous deux de l’orc. L’homme à la chemise mauve adressa quelque mot à l’orc. Et Liborio enchaîna.

« Et quoi ta voulu voir se que sa faisait de prendre un bain une fois dans ta vie mon gros ? Remercie le messieurs en mauve, c’est grâce a lui que tu est encore parmi nous, personnellement je t’aurai laisse te noyer »

Liborio commença a scruté l’animal, c’était la première fois qu’il en voyais un de si près.

« Je me présente Amico Liborio et lui ben, euh pour tout te dire je ne sais pas trop héhé »

Liborio se gratta la tête.

" Ha ben voila, j’avais donc raison t’es venu pour pécher la moule sacrée prise la quand même."

Liborio regarda cette homme qui avait sauvé l'orc et rigola. Puis se retourna vers le nouvelle invité.

"Bon trêve de plaisanterie, tu t’appelle comment et que faisait tu dans le lac désolé mais je ne croit pas qu’un orc voudrai se laver et vue ta taille tu m’explique comment tu a fait pour te noyer, tu est poursuivit ? Ta tête est mise à pris ? "

Liborio dégaina son katana et le mis sous la gorge de cette force de la nature. Et attendait une réponse juste et claire.

(Sorry mais je manque d'inspi ^^)

Invité

Tout s’était passé avec rapidité. Je me faisais emporter par le courant, je me noyais. Un type aux allures de bourgeois tapette me tendait une main que j’avais su attraper. J’étais sauvé mais, une force étrange me propulsa dans l’eau. Ma tête était cette fois-ci entièrement plongé dans le fleuve. Je n’avais pas pris ma respiration au préalable, et je sentais des litres d’eaux s’infiltrer dans mes poumons. Les quelques secondes que durèrent la noyade me parurent éternel. Je ne voyais rien que cette main qui me tenait et pourtant, je n’arrivais pas à m’en détacher. Je pensais avec desespoir qu’à un moment ou un autre elle allait me tirer hors de la mort. Oui la mort, la peur me paralysait. Je n’avais jamais peur. Jamais! Même dans l’arène, quand je combattais je n’avais pas peur. Mais peut-être était-ce car j’avais l’intime conviction, que personne dans l’arène ne pouvait me vaincre. Ici, sous l’eau, j’étais impuissant. Et la mort se tenait derrière moi, comme une conscience ou un gardien bienveillant. Je n’en pouvais plus, je sentais mon esprit partir à la dérive, et pourtant. Oui, le choc avec l’air extérieur, me frappa au visage comme jamais. Le mélange de la délivrance et de la crainte. C’était exceptionnelle! Mais, ce type, ne m’avait pas tiré en douceur hors de l’eau. Je fut propulsé vers un arbre mais en atterrissant au sol le choc avec l’écorce m’étais épargné. J’avais atterri tout prés et sur les fesses. Je laissais ma tête flâner contre le bois. Je reprenais difficilement la respiration et je crachais des gerbes d’eau. Le paysage trouble réapparaissait lentement. Les deux individus s’approchaient de moi. Celui qui m’avait sauvé me regardait avec un certain dégoût et avec un sarcasme non dissimulé me demandais si j’avais bu la tasse. Bordel, pourquoi est-ce qu’il m’avait sauvé si tant de haine à mon égard s’échappait de lui.

« Et quoi ta voulu voir se que sa faisait de prendre un bain une fois dans ta vie mon gros ? Remercie le messieurs en mauve, c’est grâce a lui que tu est encore parmi nous, personnellement je t’aurai laisse te noyer »

J’aurais mieux fait de mourir que subir une telle humiliation. Ce type faisait moitié ma taille. J’aurais pu en cacher deux comme lui derrière moi. Ma hallebarde énorme faisait pratiquement sa taille d’ailleurs. Avec son bandeau qui montait sur son nez, ont aurait dit un espèce de déjanté qui essaye de garder un certain mystère. Malgré ma maîtrise assez lamentable de la langue humaine je lui répondais entre deux toussotements.

« Abbruuutieuh. On se laveuh commeuh voouus. Ne prreend pas ta hygiène de vie poouur réalité. »

J’essayais de me relever, mes jambes n’arrivaient pas à me porter. Je retombais lourdement. La tête me tournait, j’inspirais et j’expirais profondément. En attendant, Liborio parlait de pêche à la moule avec son humour lamentable. Je détestais déjà ce mec, sans le connaître. Quand à l’autre. Malgré le fait que j’avais l’air de le dégoûter, il m’avait sauvé la vie. Je lui devais un minimum de respect. J’étais agacé en tout cas. Ces deux la prenaient les Orcs pour des pourris et des idiots. Certains étaient comme ça certes. Mais pas mon peuple. Je n’avais pas pris un bain depuis longtemps, mais en voyage ont a pas toujours le temps. Idiot je ne l’étais certainement pas! Ma façons de parler était niaise, c’est vrai, mais je n’y pouvais rien. J’ouvrais les yeux. Ce type au visage presque caché avait posé son katana sous ma gorge. Il était fou? Ou simplement idiot? Par ce geste, certains seraient déjà mort à l’heure qu’il est. Mais je n’avais pas en tête de tuer qui que se soit pour le moment, et je n’étais pas en état d’ailleurs. En tout cas, mes jambes pouvaient me porter maintenant. Lentement je me relevais. Mon ombre recouvrait entièrement le corps de Liborio. Je le regardais sans aucunes émotions dans le regard. Je poussais son katana de sous mon cou.

« Dégageuuh ce cure dents! »

Je décidais de l’ignorer totalement et m’approchais d’Arcania. Son accoutrement bizarre était intriguant, mais il ne fallait jamais se fier aux apparences. J’avais senti une énergie sourdre de son corps.

« Merciii étranger… Je… »

J’étais coupé dans mon élan par un grognement derrière moi. Je me retournais. Autour de nous, trois Rators étaient apparus. Leurs griffes gigantesques, leurs baves dégoulinantes. Elles étaient menaçantes. Je posais ma main sur ma hallebarde. Un Rator pour chacun, c’était parfait. Les explications de mon arrivé viendraient plus tard, il fallait se battre avant!

HRP: Créatures du bestiaire niveau moyens. Autant vous dire qu'il faudra des jolies posts pour les vaincres! Yououh!

Spoiler:

Les trois individus étaient désormais les uns proches des autres, se fixant tous les uns les autres, montrant tous un certains dégout pour l'un ou l'autre qui était à sa droite ou bien à sa gauche. L'atmosphère semblait commencer à devenir quelque peu pesante avec les quelques phrases vraiment mal placées de la part du Lucinien, qui en plus de se montrer très insultant envers il fallait l'avouer la grosse prise à la pêche de l'épéiste, se montrait terriblement imprudent. Il s'était présenté en totalité à son interlocuteur, sans savoir quel aurait pu être sa réaction, c'était une véritable preuve de stupidité aux yeux du combattant d'Equilios, qui ne se montrait pas comme étant l'homme le plus amical qui puisse exister à travers les trois mondes. Tout aussi sadique et dévastateur qu'une bande d'ogre dans Umbra, tout aussi puissant que les gardiens de Lucina, il ne fallait pas le sous estimer face à son physique qui en disait assez peu sur lui, comme semblaient à première vu le faire celui qu'il venait de sauver et celui qui se présentait déjà au premier passant qu'il rencontrait. Il se serait peut être même présenté à la première prostituée qu'il aurait rencontré dans les quartiers chauds de Ténamas. En fait, il avait vraiment la tête du gars qui voulait se la jouer stylé et mystérieux, alors qu'il donnait plus envie à l'épéiste de pouffer de rire avec son petit bandeau de pirate sur l'oeil.

Tu parle pas très bien notre langue toi ... Enfin, t'es pas aussi bête que je l'aurais pensé vu que tu sais quand même utiliser quelques phrases.

Tandis qu'il finissait à peine sa phrase et que l'immonde bestiole qu'il venait de sauver de la noyade repoussait avec facilité le katana de celui qui apparemment tentait de lui faire peur, derrière eux se trouvaient d'ignobles bêbêtes, encore plus ignobles que l'orc qui voulaient les manger et les décapiter, pour dévorer leur chaire à pleine gueule et déverser leur sang sur l'herbe fraiche de la jungle. Cette idée traversa l'esprit du jeune homme en voyant arriver les monstres à trois. Mais bon, il ne fallait pas non plus s'inquiéter, il s'agissait simplement de vulgaires petits rators, des monstres qu'il avait déjà tuer par dizaine, et à lui seul il était déjà parvenu à ôter la vie à trois ou quatre individus de cette espèce sans aide. Monstre qui d'ailleurs il ne pardonnera jamais jusqu'à la fin de ses jours, pour l'incroyable acte qu'ils avaient commis, il n'oublierait jamais le jour où des monstres de cette espèce ont osés tuer son compagnon d'aventure, obligeant le jeune homme à continuer sa vie seul sans son meilleur ami ... A chaque fois qu'il en avait l'occasion, il se vengeait sur ces satanés bestiole en se délectant de leur souffrance sous ses diverses tortures qu'il leur infligeait, avec un plaisir et un sadisme hors du commun.

Sans attendre la réaction de l'un ou de l'autre, ni même un quelconque grognement de la part des monstres, l'Harmonien s'avança, sortant son arme favorite, sa petit Fatal, et arborant un sourire qui ne disait rien qui vaille, il se plaça en position offensive, se préparant à foncer tel un bourrin digne de ce nom dans ceux qui osaient se montrer à lui avec une gueule aussi affreuses que la leur. Ne prononçant même pas un seul mot, il poussa sur sa jambe gauche et se propulsa directement en direction de celui qu'il avait prit pour cible, c'était simple, il avait attaqué directement celui qui se trouvait au milieu, et allait se donner un malin plaisir de jouer avec ce dernier, jusqu'à ce que la souffrance lui face cracher son dernier soupir. Se trouvant à moins de deux mètres de ce dernier, il abattit un léger coup de sa lame, offensive portant pour simple but de faire reculer l'adversaire et le faire s'isoler de ses compagnons monstrueux. Tant que ce combat entre lui et le rator ne serait pas finit, Arcania ne se soucierait de rien, ni de la vie de ceux avec qui il se trouvait quelques secondes auparavant, ni même de la quantité de sang qu'il devra lui même verser pour venir à bout de son opposant.

Fixant la bête qui maintenant avait reculer d'une dizaine de mètre droit dans les yeux, il se sentait désormais libre de pouvoir l'affronter comme bon lui semblait, c'était appréciable d'imaginer la mort de cet être abjecte laissant le sang qu'il posséder s'enfuir par son énorme bouche, pour se répandre et se noyer dans l'eau du fleuve bien plus puissante en quantité. Le duel allait bientôt commencer tandis que les moustaches du rator se relevaient lentement et que les doigts de l'épéiste se serraient férocement autour du pommeau de son arme de mort. Tandis que le rator sautait en direction du jeune homme, ce dernier reculait de trois pas pour éviter l'assaut pathétique de son adversaire. D'un geste rapide et beaucoup moins élégant que celui de tantôt, il plaça son pied très agressivement dans le ventre de sa futur petite victime, ce qui fit pour effet sur la bête, qu'elle ne crache un peu de bave, qui vint polluer le zone où elle était atterrit. Leur simple présence, rendait la jungle des anciens impures, et Arcania comptait bien purifier un minimum cet endroit en ôtant de la zone ces trois vulgaires et pitoyable monstre, enfin, il allait déjà commencer par celui qu'il venait de frapper avec son pied. De leur coté, les autres n'auraient qu'à se démerder eux même comme ils le pourraient, l'Harmonien ne viendrait pas les aider, enfin pas tant qu'il n'en aurait pas terminé avec son tout nouveau et tout neuf petit jouet à poil malodorant.

Dégage de la ... T'es trop près ...

Son pied s'enfonçant de plus en plus dans le ventre de la bête, cette dernière commençait à avoir les yeux qui tournaient au blanc. Le jeune humain avait placé dans sa contre attaque une puissance phénoménal, et il ne comptait certainement pas se contentait de lui infliger ce genre de mini douleur, que même un gamin de sept ans pourrait supporter. La force du coup de pied, fit finalement reculer le monstre à un ou deux mètres. Satisfait de ce qu'il venait d'effectuer en ne faisant qu'un simple mouvement de la jambe, le jeune maitre de l'air arbora un sourire sadique et un regard assez froid, le genre de visage qui pourrait faire hurler même la plus habituée des demoiselles. Les choses ne faisaient que commencer, et le rator n'était pas au bout de ses surprises et de ses peines, au non, bien loin de la ...

Spoiler:

L'orc repoussa l'arme de liborio avec sa main en lui demandant de retirer se cure-dent. Le jeune lucien laissa passer l'orc, il était trop occupéà regarder son arme, du pomeau à la lame en se grattant la tête;

"Un cure-dent ? J'ose même pas imaginer ta brosse à dent ou un contontige fait pour toi"

La bête était quand même assez grande, elle alla vers son sauveur, surement pour le remercier, mais il fût interrompue par 3 gros rators qui venaient de sortir du bois et ils avaient l'air d'avoir faim. L'homme à la chemise fonça vers celui du milieu sans explications, ni cri, ni égard. Il avait l'air de savoir se battre vue la rapidité avec laquel il avait foncén il devait être confiant. Effectivement il enchainait le monstre avec rapidité, force et précission. Il faut avouer il se la petait un peu,il s'amusait avec la bête et aurait pue la tué quand il voulait. Liborio se tourna vers l'orc avec un sourire.

"Bon je prend le plus petit, celui de droit"

Il remonta son col sur son nez, pris son masque de loup sur sa jambe et le mit. Puis il fonca sur sa cible, katana dans le dos, il avait décidé de ne pas les sortir de suite. Il arriva devant la bête, celle-ci tenta de le touché avec un bête coup de patte, il esquiva sur le coté droit, mais directement elle enchaina avec un coup de patte gauche horizontal, qui arrivait dans le dos du jeune lucien, il effectua un salto arrière, la patte passa en-dessous de sa tête. Il perdit quelques méches au passage, celle qui dépassait du masque , retombant au sol, il passa sa main sur ses cheveux et resortie des petits cheveux.

"OUF!! tu sais te battre toi hein? Pas passé loin"

Mais cela n"empécha pas le jeune lucien de repartir à l'attaque, il commenca à esquiver toutes les attaques du rators, il était plus concentré sur le sauveur d'orc, qui semblait bien s'amusé avec sa cible, ce combat était beaucoup trop facile pour l"homme à la chemise. BAMM!! Liborio vola contre le sol et glissa sur quelque mètre. Il était tellement concentré sur l"autre qu"il avait oublié son monstre, qui lui n'avait pas perdue de temps et lui avait porté un coup en pleine face. Il se releva, secoua lâ tête et retira son masque un peu de sang coula le long de sa joue , heureusement son masque était là! Il venait de lui sauver la vie encore une fois.En effet sous ses air de bête masque de carnaval, ce masque était fait à partir d"écaille de dragon, puis de l'acier trempé y avait était coullé dessus. Cette forme ridicule qui lui avait été donné était faites exprès, les gens ne se basse souvent que sur la première impression et se fie trop à leur yeux. Le col lui ne servait cas bouché un peu le nez de Liborio, faut dire que sa fouette la dessous. Tel était la stratégie de Liborio se faire passer pour un crétin et un gentille en se présentant toujours histoire d"endormir la méfiance envers lui. Il venait d'avoir une idée, il se débrouilla pour amené son adversaire vers l"homme à la chemise. Une fois près de lui il esquiva l'attaque du monstre en fesant une roulade.

"Attention dans ton dos mon gros"

Puis partie en courant vers les bois,il se mit dérrière un arbre et commenca à regarder comment allait s'ensortir l'homme. Mais il n'était pas seul apparament il entendit un bruit, il se retourna 3 rators plus impossant que les 3 autres étaient la, Liborio vola hors du bois et alla s'eclater sur le sol, non loin des autres. Il se releva.

"Je croit que j'ai trouvé le reste de la famille les gars et ils n'ont pas l'air content"

Les 3 nouveau rators sortirent du bois en criant.

Invité

Mes deux compagnons se dirigeaient vers leur Rator. Moi je m’occupais donc du mien. Gros, puant. Sa bave dégoulinait à flots sur le sol herbeux, et je me demandais combien il pouvait en contenir de litres dans sa gueule sale et béante. Il me regardait avec appétit, et j’espérais vite lui couper. J’avais un avantage par rapport à mes deux compagnons, je maniais une arme d’hast. Je pouvais donc maintenir une certaine distance entre moi et cette horrible créature. Le soucis? Je n’avais pas calculer que cette bestiole était extrêmement rapide! Elle bondit sur moi si soudainement que je n’eus pas le temps de dégainer, je pus juste à temps me déplacer sur la droite pour éviter ses griffes qui découpèrent l’air alentour. Je dégainais mon énorme hallebarde et put la mettre entre lui et mon visage. Sa gueule se refermait sur ma garde. Sa puissance physique était impressionnante. Je n’étais pas vraiment préparé et le Rator me fit reculer de quelques bons mètres. Mais je repris vite mes appuis et mes forces. A moi de forcer. Tout mes muscles contractaient je poussais en avant. La bête, surprise, se remit sur ses quatre vilaines pattes et lâcha ma hallebarde pour reculer à son tour. Je l’observais. Ses crocs étaient effrayants, ses griffes incroyables et sa vitesse conséquente. Un bon ennemi, qu’il sera difficile de défaire. Je tournais autour du Rator et lui faisait de même. Son regard calculateur bouillonnait de rage. Au moment où il plongea en avant j’étais prêt! Je l’accueillais avec un coup pointe en avant, il l’esquiva de peu. Se rattrapa et essaya de me donner un violent coup de queue. Il atteignit mon flanc droit et je lâchais une gerbe de salive. Je me reprenais rapidement et effectuais un arc de cercle avec ma hallebarde. Il se déplaça vers la gauche mais pas assez rapidement. Je lui faisait une méchante entaille à la base de la queue. Il poussa un petit crie étouffait, se retournait et m’attaquait la gueule grande ouverte. Mais, il reçut mon genoux en pleine mâchoire.

« Tiieens, saloooperieuh!! »

Sans attendre qu’il retombe au sol je lui donnais un coup de poing violent. Il valdingua vers la gauche et ma hallebarde levait, je tentais de l’empaler au sol. Mais, il fit une roulade. Sauf que soucis il s’était trop approché du fleuve. J’avais une petite idée simple à imaginer mais plus compliqué à mettre en place. Je l’empêchais d’approcher avec des petits coups rapide et bien placés qu’il ne pouvait éviter qu’en bougeant sur les côtés et en reculant. Chaque fois qu’il essayait de se sortir le fleuve du dos je l’en empêchais. Ma tactique fut concluante. Plus qu’un coup et c’était bon. Je lui donnais, pointe en avant. Il esquivait en reculant, l’une de ses patte arrière trébucha sur le bord et son corps entier suivit. Soucis, je n’avais pas pensé à son allonge. Avec sa gueule il réussit à m’attraper la jambe droite. Surpris je me retournais vers le sol et arrêtais ma chute en plantant la lame de ma hallebarde dans le sol.

« Bordel! Chiiien de merdeuh!

Il me lacérait la jambe à s’accrocher. Lui, la moitié de son corps traînait dans le courant fort, il était accroché désespérément. Mon sang noir commençait à doucement colorer l’eau. J’étais désespérément maintenant à la terre par ma hallebarde accroché au sol. Elle commençait d’ailleurs à glisser vers moi. Si je bougeais la jambe, ses crocs s’enfonçaient. Je n’avais plus qu’une solution, me tirer avec la seul force des bras. Je commençais donc. Quand je tirais, la hallebarde sortait silencieusement du sol. Mais je pouvais le faire. Le haut de mon corps se dégageait de l’eau. Le Rator se dégageait aussi, mais si il pouvait sortir avant moi, à coup sûr il m’attaquerait. C’était un risque à prendre. Quand mon bassin put en contact avec le sol, je retournais soudain mon corps. Le Rator suivit, et, malgré la douleur que ses crocs provoquèrent en s’enfonçant, je lui éclatais le crâne contre la berge. Il me lâ.cha et son corps inerte suivit le courant. Je descellais mon arme du sol et je m’asseyais au bord du fleuve. Ma jambe saignait, pas abondamment, mais assez pour être gênante. Je ne m’occupais pas du combat de mes compagnons, et je déchirais un morceaux de tissu de mon haut en toile. J’enserrais mon mollet droit avec, et je me relevais doucement. La douleur était supportable, mais bien la. Quand j’entendis Amico crier, je me retournais brusquement. Trois Rator apparaissait à la lissière du bois.

« Y en a combiiien de ces merdeuh!? »

L’une de ces gentilles bestioles se précipitait déjà vers moi. La hallebarde en avant, j’étais prêt à l’accueillir. Mais, ma jambe blessait ne m’aiderait pas, c’était sur et certain.

La bête roula sur elle même durant une dizaine de mètre sous le choc du coup que venait de lui porter l'Harmonien avec son pied. C'était un coup violent donné avec l'intime envie de détruire l'immonde rator puant. Cet exercice était des plus simples pour l'épéiste, et il savait que même s'il ne faisait que jouer en utilisant sa puissance au minimum possible, il arriverait encore à venir à bout de la bête qu'il avait prit comme cible. Le monstre se releva en grognant, fixant de ses yeux globuleux celui qui serait son futur bourreau. La bave coulait de la bouche de l'immonde création des esprits, et le sang se mêlait à ce liquide transparent qu'était sa salive. L'état de la bête après seulement deux ou trois coups, était vraiment pitoyable, elle faisait bel et bien pitié à voir. Sa lame en main, le jeune homme avança à vitesse de marche normale, sans se presser ni même se mettre à trottiner, non, il marchait de manière totalement relâchée. Cette manière de se déplacer était d'ailleurs un peu trop relâchée pour un combat à mort comme celui qui était en train de se dérouler. Simple insouciance, ou alors Arcania était il tellement sur de gagner, qu'il ne prêtait même plus attention à ce genre de détails ? La deuxième hypothèse était la plus plausible à bien y réfléchir après tout. La puissance du jeune maitre de l'air était assez élevée, et ce n'était pas des monstres d'une bassesse égale à celle de ces rats de gouttières qui allaient donner une quelconque difficulté même infime à un combattant aussi expérimenté que lui. A peine deux mètres séparaient désormais le meurtrier d'Equilios et sa victime presque innocente.

Adieu.

Ce furent les seules paroles qui sortirent de la bouche de ce jeune homme alors qu'il montrait la paume de sa main désarmée à la bête qu'il combattait depuis à peine trois minutes. La seconde qui suivit, le jeune homme avait disparu de sa position, il s'était propulsé directement sur la position de son adversaire, avec pour seule conviction de lui ôter la vie avec un seul coup fatal. Ce n'était pas pour rien d'ailleurs que son arme favorite portait ce même adjectif pour nom "Fatal". C'était une lame meurtrière, qui avait déjà volé la vie de bien des hommes à travers les trois mondes. C'est avec cette même arme qu'il donna un violent coup vertical qui se logea dans le crâne du monstre inactif. La vitesse de l'enchainement fut telle, que le rator n'avait eut aucune chance de pouvoir réagir et tenter d'esquiver cette offensive décidée et décisive. La lame s'extra très vite de l'endroit où elle avait prit place, pour laisser couler ce liquide vital qu'est le sang le long du visage de la bête poilue désormais sans vie qui s'écroulait immédiatement sur un sol déjà taché par son précieux liquide rougeâtre. Un sourire satisfait s'afficha sur le visage sans expression de celui qui venait d'ajouter un mort à sa liste à rallonge de victimes. D'un geste vif du bras, il secoua férocement sa lame, laissant le sang qui s'y était attaché partir voler plus loin pour laisser le fer le plus propre possible. Même si elle était un engin de mort, Fatal avait tout de même le droit d'avoir une certaine hygiène, même si elle n'était qu'une arme sans âme et sans possibilité de ressentir quoi que ce soit. Après tout, Arcania la traitait comme un être vivant, cette épée à laquelle il tenait tant.

Libéré de ce poids qu'il venait de détruire par la force brute, le jeune homme se dirigea lentement, très lentement vers la position des deux autres personnes qui combattaient les mêmes bestioles que lui. Restait à espérer pour eux, qu'ils soient dans les mêmes parages de puissance que l'Harmonien afin de pouvoir mener des combats faciles. Et apparemment, c'était loin d'être le cas en voyant comme agissait l'un d'eux deux ... Un agissement qui mériterait une belle punition telle que la mort pour ne pas oublier et ne plus recommencer ... L'homme au masque, était partit se cacher dans les arbres de la forêt un peu plus loin, une vraie preuve de sa lâcheté. Chose que l'épéiste détestait par dessus tout. De plus, non seulement il fuyait, mais en plus il revenait avec encore plus de ces immondes bestioles qui lui couraient au cul. Décidément, cet homme au masque, ne servait vraiment à rien de chez rien ... C'en était presque pathétique à vrai dire. Les sourcils du jeune Harmonien se froncèrent lorsqu'il vit les trois rators bien plus gros et volumineux que les précédents qui apparaissaient au beau milieu de la scène. Il était désormais trois de plus pour cette bataille fortement amusante durant laquelle Arcania prenait un malin plaisir. De son coté, l'orc était assez mal en point, il semblait blesser à l'une de ses jambes, ce n'était pas le genre de choses qui aidaient dans un combat où on était désavantagé comme celui ci. De sa main gauche, avec rapidité, l'épéiste se saisit de sa deuxième lame, et fonça droit sur le rator qui courait en direction du gros monstre à la hallebarde. Il n'allait pas laisser cette chose tuer une personne qu'il venait tout juste de sauver, si non il l'aurait laisser mourir lui même avant.

La lame qu'il tenait en sa main gauche se logea dans la nuque du monstre et celle en sa main droite, transperça de part en part de manière horizontale la mâchoire du monstre, qui venait de rendre son tout dernier souffle. Replaçant un peu ses cheveux, les mains encore armées, il regarda l'homme au masque. D'un air méprisant, avec un ton digne des meurtriers pointant leur arme en direction de leur futur victime, il s'adressa à lui.

La prochaine fois que tu nous fais un truc ainsi je te bute ... T'as de la chance que j'ai mieux à faire.

S'exclama-t-il en voyant le reste des rators survivants s'approcher dangereusement de lui et des deux autres ...

Liborio venait de se relever, il retira la poussière qu'il avait sur lui, quand un des rators se dirigea vers l'orc, celui-ci était blessé, Liborio était beaucoup trop loin pour intervenir. Mais l'homme à la chemise s'en occupa. Liborio se trouvait donc face à 2 rators. Cette fois-ci il était belle et bien décida à se battre enfin, même s'il l'était pas il n'avait pas trop le choix. L'orc était blessé à sa jambe, Liborio ne pouvait le laisser se vider de son sang. Il esquiva un ou deux coups de pattes portées par ses adversaires. Puis partit en courant vers l'orc, en course il retira une bandelette de son bras. Il lui lança le bandage.

« Tien l'orc, ça pourrait te servir. Par contre, elle s'appelle retour hein ? Nettoyé, astiqué, essoré. Haha non je déconne, j'en es plein chez moi garde là. »

Puis il lui fit un petit clin d'oeil. Le jeune lucien voulut repartir, quand soudain L'homme à la chemise pointa son épée en le menacent. Liborio lui fit un grand un sourire.

*Qu'est ce qu'il me veut lui ?*

Puis passa devant lui il s'arrêta à sa hauteur. Tourna un peu la tête pour voir l'homme, il avait les sourcils baissés, un sourire en coin et il lâcha un petit rir étouffé.

« Tu sais ? Tu te prend trop au sérieux. Tu te fis trop aux apparences mon ami, tu es trop sur de toi. Un jour cela te perdra croit moi bien. »