Harmonia
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 Graine d'Espoir. [Pv Kali']

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Silver Denarth
Umbrien
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Silver Denarth


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MessageSujet: Graine d'Espoir. [Pv Kali']   Graine d'Espoir. [Pv Kali'] EmptyVen 13 Mai - 0:01


Graine d'Espoir. [Pv Kali'] 110513031014183817

Graine d'Espoir.


Son écœurante Trogne reflétait à merveille les effluves nauséabonds de ses multiples éructations. Un nez avisé aurait certainement pus dire ce qu’il avait mangé, mais aurait-il pus aussi nous dire depuis combien de temps tout ceci masserait dans la triple besace verdâtre d’un quintal qui lui servait d’estomac ? Glissant mon pied gauche légèrement en avant, je restais le regard fixé vers cette ignoble créature de facilement deux mètres cinquante de haut. Les poings déjà serré. L’ignoble colosse pustuleux était visiblement un peu trop sur de lui. Mon second appuis venais de glisser légèrement en retrait, ce tournant de sorte a forme un angle bien précis par rapport a mon autre pied. N’offrant qu’une légère zone de frappe au gigantesque adversaire qui me faisait face. Fut un temps où j’aurai écrasé ce vermicelle d’un seul poing, un temps où je n’étais pas enfermé dans ce ridicule corps de microbe. Aujourd’hui je devais penser. Et tout ce que je connaissais du monde des mortels, c’était cet aspect de vie. Il me fallait combattre, non pas par réelle envie, mais par nécessité. J’étais libre, mais déjà leur mode de vie m’infligeait à gagner ce qu’ils appelaient argent. Et ne connaissait que ce moyen pour y parvenir. Grande chance pour moi, cet immondice qu’on appelait ville était gorgée de gens ce battant dans les rues. Parfois par plaisir, visiblement… Et d’autres pour l’argent. Ce Troll venait d’écraser la face de trois adversaires pour le plaisir de quelques parieurs chevronnés. Les deux énormes masses lui servant de poings venaient de s’entrechoquer et je réalisai, seulement, mon erreur… Quelle folie d’affronter un monstre pareil quant on est pas plus qu’un insecte. David contre Goliath, sauf que je n’étais, ni David, Ni Goliath ! Tout juste un bon punching-ball […] Le soleil était à son Zénith lorsque j’avais entamé cette petite partie de plaisir pour gagner mes premiers derniers, maintenant il était déjà en face de décentre plus qu’amorcée. Quasi ’terminée en fait. L’air c’était rafraichi dans les beaux quartiers de la ville, ici, il semblait faire toujours aussi chaud. D’autant que j’étais concentré comme jamais. Je crois que jamais bagarre de rue n’avais duré autant. En un tel point que celui-ci n’intéressait plus grand monde. L’affaire était surtout devenue personnelle. Loin de moi, l’envie d’abandonner face à une créature inférieure. Loin de lui l’envie de perdre face a ce qu’il lui semblait être un parasite. J’esquivai pour la énième fois l’un de ses poings, ça n’en avait pas été ainsi tous du long de ce fastidieux affrontement, mon visage était déjà salement amoché ; Quoi qu’à y regarder de plus prêt, là ou un homme normal aurait eu le crane enfoncer en un seul coup, je n’avais que la peau déchirée, le sang mêlé de sueur envahissant la quasi intégralité de mon visage et coulant dans mes yeux. Pour ne rien arrangé, une petite pluie, quoi que revigorante sur l’instant, commença à tomber. Ne faisant qu’indiquer la présence de nuages et certainement, d’une plus grosse averse. Il fallait en terminé, l’Herculéenne créature semblait commencer à ce fatiguer. Je ne le remarquai que maintenant mais son souffle n’était plus celui d’un troll en plein effort mais devenu aussi fort que le souffle du dragon suffoquant. Remarque, je devais respirer aussi fort que lui. Sinon plus… Mes jambes s’ébranlaient régulièrement de tremblements et de faiblesses les empêchant de me portée une quelques dixième de secondes, mes yeux ce fermez seuls, mes bras peinez a ce lever. Je n’avais pas mal mais, mes os étaient eux certainement brisé. Je me forçai a esquissé un sourire. Provoquer le trouble dans l’esprit de l’adversaire et profitant de la demi-seconde pour traitement projeter une poignée de terre dans ses yeux. Je dégainai ma lame d’un pas vers l’avant me jetant sous ses jambes et maintenant la garde de mon arme de mes deux mains j’assenai un coup sur le cuir épais de son articulation… Derrière les genoux, la ou le cuir est le plus fin avec chaque autres articulations d’ailleurs. La brute hurla. Le sang jaillit, il s’écroula a genoux et soufra d’autant plus. Non habitué à être touché et fatigué ; Son ‘espoir l’abandonna et il s’effondra. Sur moi. Comment pouvais-ont s’effondrer en arrière ?

Brulures… Mon adversaire à frapper fort aujourd’hui. Pourquoi ais-je mal ? Sang… Sa me pique, sa me lance, sur tout le visage, sur tout le corps ; est-ce ainsi d’être un homme mortel ? Suis-je mortel ? Ais-je tout perdu de ma splendeur passée ? Non… Je ne veux pas, je ne pourrais pas le supporter. Je marche, il est tard. Les rues sont toujours aussi bondées. Les bas-fonds, comme certains les appels. Jamais ne s’endorment. Il y a encore beaucoup d’étales, beaucoup de vendeurs et revendeurs. Plus aucun garde a cette heure, déjà qu’ils étaient peu nombreux de jour. Le marché noir, la revente d’esclave et d’objets volés à libre court. Les gens bien, si l’on peut dire ainsi car dans de tels endroits, personne n’est réellement bien, ne sortent plus à cette heure. Ce n’est pas une habitude pour cette grand e cité, il y a, de coutume, des heures de calme, des heures sans bruits. Là ou presque tous dorment. Mais pas en cette saison, ni en période de guerre, ou il y à toujours pillage de champ de bataille et autres à revendre. Des stocks énormes de contrebandes à épuisé, etcétéra… Je passe d’une ruelle infréquentée et vide a ce grand axe passant que je viens de vous décrire. Impressionné par tant d’activité. Le dynamisme d’une fourmilière… J’ai ce souvenir qui me revient, l’admiration des fourmis, et des thermites. J’aime les créatures de la terre et ses espèces m’ont toujours intéressé. Une sorte de, sourire… Étreint, défigure mon visage encore en sang que j’ai juste prit la peine de débarbouiller avec un linge pendant à une fenêtre grande ouverte. Certains semblent craintifs, d’autres arrogants, l’activité échangée est affaire de domination constante, par le regard, par la stature. Multitude de races dans ses rues, tous aussi insignifiants qu’ils m’intéressent de ce regard neuf. Au coin d’une rue, assis sur une chaise devant la porte de sa maison…

Inutile combat, débilité profonde ! Comment avais-je pus ainsi perdre mes premiers temps de liberté aussi stupidement ? Sans un sou en poche, j’avais l’estomac qui criait famine, la gorge sèche, bien que mes lèvres profitent du léger pleuvieutement de ce début de soirée. Je m’étais porté vers ce vieux bonhomme là-bas. Ce n’étais pas le plus fort de la communauté, ni même le plus actif. Devant la porte ouverte de sa maison il était assis sur une chaise en bois, l’air absent, le regard perdu. Il m’intriguait et… A vrai dire, je n’étais pas un voleur. Je n’avais donc rien de mieux à faire, d’une certaine manière. M’adossant au mur, il ne me porta aucune attention. Je redressais un pied pour le poser contre le murs, croisant mes bras. Regardant un instant le sol ; Là ou j’avais vécu mes premiers temps de créature inférieure, l’on parlait assez rarement. Même lorsque cela arrivait, il était rare de parler assez gentiment. Pas d’attache. Il était donc encore plus rare de rester proche, physiquement, des autres. Peut-être fut-ce pour ceci que je ne m’approcha pas de lui, ni encore moins des autres. Peut-être alors aurais-je vus ce qu’un abruti même aurait-vu, avant de parler ;
« -Moche à voir, tout ce monde… »

Il n’y eu aucune réponse, tout juste le grincement agaçant de la chaise. Le pire, c’est quelle ne devais même pas être confortable. Toujours aussi perdu, je repérai un détail, une canne posée à ses pieds. Décelant alors l’anomalie dans sa torpeur de vieil homme. Porté d’une intrigue nouvelle ; Je reposai mon pied au sol et décollai mon dos du mur. M’approchant a petits pas de ma ‘cible.. Constatant avec effroi la blancheur des ses yeux et l’indifférence de son visage. Sa tignasse blanche tendait a légèrement cacher cette vus. Sous cou était marqué de profondes marques rouges, un trou dans celui-ci faisait tourner le regard avec dégout. Je grimaça, personnellement, entamant de le plaindre en pensées. Comment les autres pouvaient-ils être si peu regardant, si peu compatissants. D’un geste vif et délicat, je portais mes mains sur l’une des siennes, il porta d’un réflexe inutile ses yeux vers moi. Visiblement profondément troublé, et l’invitant à ce redresser. Regardant alentours, je choisi un premier bâtiment, que je décrivis assez vivement. Une improvisation totale. Quelque-chose de nouveau que je décidai d’exploiter. Il n’était plus question de ne penser qu’à moi dans ma nouvelle vie. Ou au moins, plus question de ne penser qu’à la puissance. Non, ça n’étais pas ce dont j’avais envie. De cette première invitation, entamant de marcher à bon rythme, pour un vieillard. Donc, normalement au final… Le maintenant bien évidemment et décrivant tout ce qui pouvait l’être. Tout ce qui aurait pus lui raviver quelques souvenirs pour un instant l’espérais-je, de bonheur. Au combien serait-il ambigu, et incertain.

Complètement prit par mon élan, m’amusant à créer cette chimère aux yeux sans vie du vieil homme. Rattrapant tout ce que je n’avais opus dire depuis ma ‘naissance’, d’une magnifique farandole de mots. Ou les avais-je appris ? je n’en avais plus souvenir… Tout ce qu’il me restait, c’était les souvenirs sombres et malheureux. Dans mon exercice de parole, je ne vis pas ses quelques larmes mouillé les plissures de ses yeux. Une heure passa puis cinq, et six. La nuit finissait et je ramenai le vieil homme. L’aidant a rentrer chez lui il me remercia, et je ne remarquai que maintenant qu’il versait des larmes en me remerciant cette fois-ci .
Sa porte restât ouverte, me laissant à mon plus grand trouble. Mon cœur battait, étais-ce ainsi que d’être bon ? Toujours aussi vivantes les rues aux odeurs répugnante ce voyait emplie d’effluves de Levain chaud, de pain en fin de cuisson. Les Boulangers au travail depuis des heures me sortirent de mon, apathie. Me retournant aussi soudainement que je reprenais vigueur, mon pied ne trouvas aucune prise. Un sol liquide ou volatil, allez savoir ! Ma jambe partit en arrière, puis l’autre et mon corps bascula vers l’avant, je m’écrasai violemment aux pieds de quelqu’un et fermait les yeux comme espérant éviter de ce coup qu’on ne me marche dessus !

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Kaliendra De Menfest
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MessageSujet: Re: Graine d'Espoir. [Pv Kali']   Graine d'Espoir. [Pv Kali'] EmptyDim 22 Mai - 21:33

    Tenamas une ville aux milles surprises, une ville vraiment mystérieuse comme toutes choses elle a ses parts d'ombre et de lumière, ici, se serait plus la noirceur qu'autre chose. Du moins pour ce qu'elle en avait vu. Néanmoins, les habitants d'Umbra, pour ceux qu'elle côtoyait n'était pas vraiment des personnes désagréables au contraire. Certes, un peu spécial tout de même. Ils l'avaient tous accueillit comme elle était, c'est à dire Harmonienne. Ce n'est malheureusement pas le cas partout, ni pour tout le monde. D'ailleurs il courrait beaucoup de rumeur sur le fait que les Umbriens étaient les ennemis de tous, de la lumière avec les Luciniens et de l'harmonie avec les Harmoniens. Que de balivernes, de faits sans aucun fondement, des rumeurs colporté à travers les mondes... Qui avait la preuve de tout ceci ? Certainement pas elle, ses dernières rencontres étant principalement Umbrienne étaient un réel plaisir et une satisfaction à part entière. Comment était-elle arrivée là ? Qu'est ce qu'une Harmonienne de bonne famille faisait dans les quartiers pauvre de Tenamas ?

    Tout à commencé un soir où elle se reposait paisiblement après quelques semaines de quêtes et d'aventures en tout genre. Dans la chambre d'une petite auberge de la ville d'Equillios, qu'elle habitait depuis quelques jours, l'on racontait que la prison de la ville dites imprenable avait subit des dégâts immenses et que des prisonniers s'en serait échappé. L'on ne comptait plus le nombre de mort parmi les prisonniers disparut sous les décombres et les gardes mort au combat pour tenter d'appréhender les hommes voulant délivrer leurs camarades. Elle écoutait tranquillement en souriant, sourire qu'elle dissimulait sous la capuche de sa cape. Personne ne devais savoir qui elle était, personne ne devait la relier à cette affaire sinon il en serait finit de son nom et de sa tête. Après s'être rassasiée, elle rejoignit sa chambre pour s'offrir une bonne nuit de sommeil, ce qui ne serait pas du luxe. Car entre la prison, l'entrainement et son retour mouvementé par la vallée des mégalithes, il y avait de quoi être épuisée et réclamer une bonne et longue nuit de sommeil. Et bien elle pouvait toujours rêver...

    Elle avait froid. Elle grelottait comme jamais, ses membres s'engourdissant. Elle cherchait à tâtons sa couverture qui avait dû glisser du lit, ou qu'elle avait probablement repoussé. Elle désirait plus que tout rester dans ce sommeil si agréable. Elle grognait. Elle ne voulait pas ouvrir ses yeux pour trouver cette fichue couverture. Elle tentait alors de replacer son oreiller en vain, car il n'était plus là non plus. Le matelas était dur, trop dur. Il était trempé. Que se passait-t-il ? Quelle était cette sensation étrange ? Elle ouvrit ses yeux, plus qu'agacée, ceux-ci étant encore collés par les larmes lacrymales séchées, elle eut un peu de mal. Mais à peine les avait-elle entre-ouvert qu'elle découvrit avec horreur la nature de son environnement. Elle poussait alors un cri de terreur. Elle était seule. Elle se frottait les yeux avec vigueur, ce n'était pas un rêve, sa chambre, son lit douillé, son petit confort... tout avait disparut. Où était-elle ? Ce n'était pas la chambre douillette où elle c'était endormie.
    Elle se retrouvait donc assise sur du pavé glacé, sale et mal odorant. Il y avait tout un tas de déchet à ses côtés, la pluie ayant concoctée un jus de macération très repoussant, celui-ci s'écoulant tranquillement entre les rainures du pavé. Elle en était couverte. Elle ne savait pas depuis combien de temps elle était ici, dans cette infâme ruelle. Les murs usés des bâtisses menaçaient de s'effondrer à vu d’œil. L'insalubrité des lieux la poussa à se lever. Elle était noire, couverte de ce liquide repoussant, l'odeur embaumant la rue dès qu'elle se mit à avancer. Elle n'avait sur elle qu'une robe légère pour dormir, bientôt devenue transparente et noire. Elle avait des hauts le cœur tellement le parfum nauséabond des poubelles la recouvrait. Elle tremblait, frictionnant ses bras pour tenter de se réchauffer. Elle errait ainsi, en pleine nuit dans des rues sombres et repoussantes d'une ville qui lui était inconnue. Nu pied, elle marchait. Elle se coupa la voute plantaire sur un morceau de verre quelques minutes plus tard. Elle râla. Elle pestiféra. Peut-être un peu trop fort, car un homme sortit d'une des vieilles maisons en lui hurlant de se taire. Il se tue. Il avait remarqué sa tenue...

    L'homme en question était énervé contre cette jeune fille qui animait la rue si tard dans la nuit, mais quant-il eut remarqué sa tenue, il comprit. Elle avait du se retrouver au milieu des ruelles par les soins d'un portail un peu mesquin. Car envoyer une jeune femme presque nue, en pleine nuit, dans les quartiers pauvres de Tenamas, c'était presque du suicide. Il l'accueillit chez lui, lui fournit de quoi se laver, se changer et dormir pour la nuit. Un homme bon. Le lendemain après un copieux petit déjeuné elle se remit en route dans les rues bondés de monde par les brigands, les receleurs, les malfrats, les acheteurs... Il y avait toute sorte de chose et toute sorte de gens. Un étrange et bien singulier mélange. Il était encore tôt. Elle slalomait entre les passants, assez rapidement. Quant un homme glissa devant elle. Par un réflexe simple elle l'enjamba, par chance et surtout de justesse. Elle s'agenouilla auprès de cette homme qui venait de chuter à ses pieds, il avait les yeux clos, elle s'inquiéta de son état.


    -Monsieur ? Monsieur ? Répondez moi !

    Elle le secouait doucement lui mettant quelques tapettes sur la joue, espérant qu'il reprenne connaissance. Il ne saignait pas à vu d’œil. Elle était penche au dessus de lui, son visage à quelques centimètre du sien.
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