[EVENEMENT NOEL] Aodhán / Nawel / Lucius [Terminé]

Groupe de participants : Aodhán / Nawel / Lucius

Ordre de postage :Nawel Eménlï / Aodhan Fernis /Lucius Koutzof

Sujet discussion du rp de votre groupe : Cliquez ici

Fonctionnement : Cet event va fonctionner en deux parties. La première (celle-ci), se déroule durant les festivités du monde sur lequel vous vous trouvez. Durant celle-ci, amusez vous autant que vous le voulez, trouvez les autres membres de votre groupe. Une fois que vous vous serez tous réunion, les choses sérieuses pourront commencer.

Pour la seconde partie, vous verrez bien ^^

Je signale que les admins pourrons poster à tous moments sous forme de MDJ pour vous réorienter, vous aider ou vous compliquer la vie ^^

Contexte : Tenamas, la sombre cité, a organisé un grand bal pour célébrer Noël et les fiers guerriers ayant eu le courage de passer les portes des mondes qu'ils avaient ouvertes. Pour l'occasion, l'immense sous sol de la forteresse c'est paré de draperie écarlate. Dès la nuit tombée, les invités arrivent, tous vêtu de rouge. Parmi les invités, on trouve la grande noblesse D'Umbra dont le prince Sana et sa petite fille Namé...

Ce contexte n'est pas des plus developpé, vous êtes libres d'inventer d'autres petites choses tant que l'idée général n'est pas modifiée.
Cliquez ici

Noël, une période de l'année ou le froid règne pour laisser place à la bonne humeur voir à procurer beaucoup de joie, dans le monde d'Umbra la joie est quelques choses d'étranger voir ennemie pour certaine personne, comme Lucius, il ne voit en Noël que du dégout, rien à ces yeux n'était plus joyeux qu'une bonne guerre bien sanglante pour des motifs inconnus de tous, la violence gratuite est pour lui un cadeau, voir le plus précieux que père Noël puisse lui aporter.
Lucius se promenait dans les rues de Tenamas, ces rues dans les caniveaus sont encore marqués par le rouge du sang lié au meurtre et au agression qui on lieu en permanence avec quelques accalmies.
Lucius était sous forme humaine quand il fut accosté par une bande de voleur, le menaça pour tout et rien, s'il ne faisait pas ça il serait tué, Lucius commença d'abord par les ignorer. Ils insistèrent alors il les étrangla les un après les autres, le dernier demanda même pitié, mais Lucius n'en a que pour les créatures qui le méritent.

Ce remettant de cette bagarre Lucius remarqua un petit bout de papier avec quelques goûtes de sang dessus, il devait l'avoir volé à un habitant de Tenamas, car peu de personnes ont dû l'avoir reçu. Lucius eut du mal à le lire, car il n'a aprit à lire qu'au moment de sa formation militaire, cette formation fut brève et les mots les plus compliqués était inconnue pour Lucius, après un bon quart d'heure il pu saisir le sens du manuscrit, il fallait ce présenté à la forteresse du roi pour la fête annuelle de Noël.
Il était stipulé aussi qu'il fallait venir en rouge, sur ces mots le squelette géant ne savait pas comment faire quand son regard fixa la bouche d'égout maculé de sang et eu une idée, se servir du sang des voleurs pour teindre en partie ces vêtements, il s'exécuta et obtient des habits rouges sang assez bien réussit.
En y repensant de plus en plus à la réception il se dit qu'il devait avoir une enveloppe corporelle neuve et se servit à nouveau des cadavre des voleurs, mais sa part obscure, bestiale fit surface en lui soufflant qu'il devait inspirer crainte plutôt qu'une allure passe partout, c'est ainsi que Lucius prit cette forme :


Tout beau, tout frai, il se mit en route pour la forteresse, plus il s'en approchait plus les décorations telle que flambeau, banderole étaient de plus en plus nombreuses, tout ceci à la manière du monde des ténèbres.
Lucius redoutait un bal de vampire, car tout le monde se connait et le sang est trop pur, sans la moindre saveur, c'est la plupart du temps le sang d'enfant, Lucius préférait celui d'une personne apeuré et qui c'est battu jusqu'à son dernier souffle, il a une grande quantité d'acide lactique des muscle dans ce breuvage.
Mais revenons à notre marche dans Tenemas, comment savoir s'ils ont une liste pour les noms des invités, mais Umbra il y a très peu de règle et il ne pensait qu'il serait jusque la dans les démarches de protection du Roi, sans doute durant la soirée il serait entouré d'une vingtaine de garde du corps pour éviter toute prise de pouvoir, Lucius arriva enfin au pied de la forteresse, près à regarder la fête et peut-être à participer à un petit bain de sang qui sait.
Il entra, regarda la fête en sur face c'est à dire qu'il regardait juste les premières personnes qu'il voyait dansé et remarqua qu'il y en avait d'autre qu'il allait vers le sous-sol, peut-être une partie de la soirée plus spéciale, Lucius se mit dans un coin du sous-sol et attendit la suite.

Tout n’était que paradoxe, tout n’était qu’hypocrisie. Nous fêtions un jour qui symbolisé joie et bonheur, alors que nous étions dans une cité où la barbarie était le maitre mot de ses concitoyens. Je ne ressemblais pas à ce peuple d’assassins, je ne m’apparentais pas à cette caste ni à celle dit des « gentils ». Je déteste quand on m’assimile à tel ou tel peuple. Je ne suis pas la plus gentille des umbriens mais je ne suis pas non plus la plus méchante des luciniens. Je suis juste ma propre voie, et je ne suis pas la représentation de mon peuple, je suis juste moi : faite de douceur et de dureté, faite de paradoxes, avec de nombreuses facettes qui me qualifie. Ne juger jamais une personne par son apparence, ce dicton pourrait être de même sur ne juger jamais les personnes par d’où ils viennent. Nous naissons dans un pays cela ne veut pas dire qu’on respecte tout ce qu’il représente. Je vais arrêter avec mes élucubrations inutiles, mais que faire quand on est posté dans un coin sombre et lugubre dans une pièce gigantesque ?

J’étais seule comme toujours, mais j’aimais la solitude, elle était la seule à me comprendre, elle me lassait toujours avoir raison, son silence me rassurait, me permettant de ne pas faire de faux semblants : jouer aux sourires, ou aux poings. Elle savait être là quand je la demandais ou la recherchais, je suis peut être froide et distante avec mes compères, mais je ne sais être sociale, et chaleureuse, ce n’est pas dans mes principes, pourtant étrangement je sais être amicale. Je me tourne vers cette salle magnifiquement décorée, je contemple chaque recoins de cet univers qui à mes yeux me semble magique. Le sapin qui trônait au milieu de cette salle était tout bonnement éclatant, les deux couleurs choisies représentaient à merveille noël et notre peuple : rouge et noir. De nombreuses guirlandes, et de nombreuses boules embellissaient cet épicéa, mais ce qui donnait une touche de merveilleux était ces boules lumineuses qui parsemaient l’arbre, donnant un air magique à cette fête.

Je devais m’approchais des autres convives, mais que dire, je n’avais jamais fait de badineries, je ne savais pas quel discourt tenir : du temps, de la fête, de combien de meurtres ils avaient effectué durant cette année … Ce n’était que des discussions inutiles, et sans intérêt, car demain, nous resterons de parfait inconnu, je me répète mais tout ceci est une simple et grandiose mascarade. Cependant je bougeai de mon coin sombre, j’avais envie de me servir un verre, je n’avais pas spécialement soif, mais au moins ça m’occuperait cinq minutes. Je me dirigeai donc vers le buffet des boissons, je pris la première bouteille qui venait à moi, je laissai le nectar rouge coulait dans mon verre, puis je portai mon verre à mes lèvres, sans surprise, c’était de l’alcool, je le sentais aux premières gouttes. Le nectar réchauffa ma langue, mon palais, puis ma gorge, peut être que tout ceci me désinhibera un peu. J’entrepris de repartir me cacher dans mon petit coin. Mais, ce n’était pas ma timidité qui fut envolée par l’alcool, mais plutôt cela à intensifier ma gaucherie. En me retournant, je fis renverser tout mon verre, sur une sublime chemise d’un homme.

Je regardai ma jolie maladresse, et commença à bouffer de rire, mais mon compère n’était absolument pas au sourire. J’essayai de balbutier quelques phrases, mais mon fou rire s’intensifia.

- je suis désolé, je ne vous avais pas vu… un hoquet de rire puis je recommençai : bon, heureusement que mon breuvage était rouge, vous n’allez pas trop être décontenancé vu le thème de la soirée….

Décidément l’homme n’était vraiment pas en train de rire, il fronça ses sourcils, fit une mine d’ours mal léché, puis il sortit sa dague, et la posa sur mon cou. La lame caressait doucement ma peau, je ne savais pas quoi faire ni quoi dire, mais au moins j’avais arrêté de rire. Et d’un chuchotement j’essayai de me sauver la vie :

- mais, alors c’est noël aujourd’hui, le jour de tous les pardons ?

L’homme eut cette fois un sourire, non pas joyeux, mais plutôt malsain… je n’étais décidément pas vraiment chanceuse.

Tout était prêt, le roi avait bel et bien amené son escorte de plusieurs gardes et ils protégeaient les deux escaliers donnant à la scène où le prince devrait se placer avec ces convives. Alors que la salle en général était couverte d'un beau tapis rouge et d'un simple buffet à son extrémité, la scène était pourvue de trônes et d'une grande table où les personnes importantes pourraient manger. Les spéculations d'Aodhàn l'avaient amené à faire la conclusion que cette table était réservée aux aventuriers et aux amis de la royauté, une position idéale pour le jeune révolutionnaire... Dans quelques heures, le Prince viendrait saluer les gens et le plan prendrait son élan... Un Plan complexe et ingénieux, mais qui avait beaucoup de chances de réussir. Seul défaut : ll était crée à partir d'hypothèses, rien n'était sûr et tout pourrait tomber à l'eau si une des hypothèses s'avéraient fausse. Et la première hypothèse de se dit plan serait bientôt confirmée, les gardes étaient postés devant les accès à la scène, pendant que l'autre moitié surveillait les déplacements du Prince... Ce ne serait pas long. Mais certains se demanderons : Pourquoi être heureux que les gardes surveillent les deux seuls accès logiques à la scène? Et bien parce qu'il avait caché sous ces escaliers des pierres hautement inflammable et que leur mise à feu ferait fuir une partie des gardes qui se retrouveraient face aux hommes d'Aodhàn.

Logiquement la scène prendrait en feu en quelques minutes, mais les pouvoirs du jeune Umbrien lui permettraient de contrôler ces flammes pour qu'ils ne brulent que l'extrémité de la scène, bloquant ainsi les invités sur celle-ci. Étant insensible au feu, il prendrait d'assaut les mercenaires et relâcherait le contrôle du feu qui prendrait rapidement de l'ampleur. Si personne dans la salle ne possédaient de pouvoir semblables à ceux du jeune-homme, il pourrait sauter sur la scène et "sauver" la royauté importante du désastre. Les autres invités seraient malheureusement des dommages collatéraux, mais futiles face aux bienfaits que cette révolution apporterait. Leurs tentatives d'envahir les nouveaux mondes étaient voués à l'échec.... Pourquoi? Parce qu'ils ne savaient rien de ce qui se passe de l'autre côté de ces portes... Ils ne réfléchissent pas avec leur tête, mais avec leurs épées. On ne gagne pas une guerre par une conquête arbitraire et non planifié, ce genre de combats de préparent à l'avance, ils doivent être revus constamment pour prendre en compte toutes les variables. Qu'auraient fait ces idiots de généraux si jamais la porte menait à la jungle d'Harmonia? Les soldats auraient été tués par les monstres de la zone avant même de pouvoir toucher un cheveu de citoyens.

Non, ils avaient besoin d'un vrai dirigeant... Un progressiste, quelqu'un avec des idées et qui ne se base pas sur l'idée qu'il est supérieur à tous pour commander... Ils avaient besoin de quelqu'un comme Aodhàn pour diriger. Toutefois, le jeune homme avait besoin d'alliés... De personnes influentes pour prendre le contrôle de la population après son meurtre de la royauté. De la façon qu'il avait prévu de tuer les chefs actuels, la princesse n'y verrait aucune raison blâmer le jeune homme et, s'il était chanceux, prendrait son côté dans les conflits à venir. Ce Plan était parfait et n'avait aucune chance de rater...

Mais revenons à notre fête, le jeune homme planifiait à nouveau son plan dans sa tête, posté près du buffet. Ses beaux habits faisaient détourner du regard les personnes présentes, à croire qu'ils n'avaient jamais vu quelqu'un de bien habillé. Mais rapidement, une femme s'approchât de lui afin de se rendre au bol de punch. Il laissa cette femme assez familière à ces yeux se servir de l'alcool et se mit à se remémorer ses aventures. Où avait-il rencontré cette femme auparavant? Dans un champs? Dans une ville? Dans une auberge? C'était fortement possible qu'une si belle femme reste dans la tête du jeune Umbrien, mais il lui manquait quelques souvenirs en rapport avec le moment de leur rencontre. Un détail lui vint finalement à l'esprit, ils s'étaient vus dans le nouveau monde... Oui c'était logique, que ferait-elle ici dans ce cas? Mais il n'eut pas beaucoup de temps, car la femme échappa son punch sur une belle chemise. Pauvre chemise... Elle qui n'avait rien demandé de tel... Heureusement, ce n'était pas celle d'Aodhàn, mais plutôt la chemise de l'homme très près de lui qui avait tôt fait de sortir sa dague pour menacer la femme qui disaient des idioties. Aodhàn se tourne et fixa de ses yeux bleu, l'homme frustré.

"Un problème ici?"

La soirée était bien démarrée, Lucius avait faim, mais le buffet était composé de nourriture commune pas d'os, rien pour satisfaire l'appétit féroce du squelette géant, il regardait les invités, certains n'avaient pas l'air très à leur aise, ils exprimaient cela par soit une sorte de renfermemant sur soi même ou en étant un peu trop sur ces gardes et sortent leurs armes pour se défendre en cas de problème. Il y avait une personne chétive dans un coin de la salle, Lucius lui trouvait un air très appétissant, il devait élaborer un plan pour pouvoir s'en repaitre. Il commença par refaire une inspection de la salle, quand il remarqua un tonneau, il pourrait s'en servir pour dissimuler le corps après son repas, maintenant il devait se souvenir de ces premiers cours d'anatomie humaine, il devait se souvenir de l'emplacement des cordes vocales de sa victime pour la tuer en silence. Le plan bien en place dans sa tête, il se clona pour avoir deux répliques de lui même, l'un alla cherché le tonneau en essayant de se faire le plus discrètement possible, l'autre devait dans un premier temps aidé Lucius à le tenir en place pour le tuer et par la suite garder un oeil sur la soirée pour être prêt en cas de pépin.

Les trois Lucius étaient enfin près de l'homme, il créa une boule d'ombre en visa la gorge de l'homme, une petite éclaboussure de sang venait d'attendre le Lucius original au visage, "La suite des évènements peu choqués les personnes à la sensibilité trop importante veuillez passé au paragraphe suivant." il commença par stoppé t'en bien que mal l'hémorragie du cou de sa victime, sinon le sang pourrait attirer d'autres personnes à son banquet personnel, n'y arrivant pas il décida de mettre tout de suite dans le tonneau pour qu'il baigne dans son sang, les clones montait désormais la garde pendant que Lucius allait commencé son dîner, il était assez fier de lui son plan venait de se passer à merveille. Il se transforma très partiellement en squelette, c'est à dire qu'il a trois bras de squelette géant, avec l'un des trois arracha la peau au niveau de la zone entre le nez et le menton pour pouvoir avoir sa bouche de libérer, les autres retirèrent la tête du corps de l'homme pour que la bouche puisse sucé la moelle épinière de cette pauvre créature. Une fois repu Lucius récupérat des lambeaux de peau pour retrouver un enveloppe corporelle normale et surtout sans une tache ni déchirure, il finit par mettre le tonneau fermer dans le coin ou se trouvait l'homme.

Il ne lui avait pas donné son nom ni la raison de sa mort, cela perturba un instant et repris le cour de la soirée, il reparti ce deux clones dans le reste de la réception pour trouver d'éventuelles perturbateurs pour les refroidir et de faire cela en toute discrétion. Lucius en tuant par ci par la était comme un petit fou, il ne savait plus ou donner de la tête le père Noël avait été gentil cette année, il était comme un petit enfant dans le plus grand magasin de bonbon du monde avec autorisation de manger tout ce qu'il veut. Les deux clones venaient de repérer un homme qui voulait jouer au même jeu que Lucius, sauf qu'il était humain et qu'il attachait un peu trop d'importance à ces vetements, ce qui risquait de le conduire à un acte de violence sur une femme, ce que Lucius ne tolère que très rarement et là il n'était d'humeur à le pardonner, lui qui a la plaisanterie douteuse. Menacé une femme pour une tache qui ne se voit presque pas c'est intolérable, tous les trois ils avancèrent pour voir la scène de plus près, au bout d'un moment un étrange personnage se joigna à la confrontation, il était assez intrigant par la couleur de ses yeux, le plus clair des bleu que Lucius est pu voir. Cet homme semblait être lui aussi légèrement irrité pas cet homme armé.

Lucius ne voulait d'effusion de sang, trop de sang pourrait déclencher une grande bataille dans cette salle. Lucius ne voulait parler qu'aux personnes qui l'intriguait c'est à dire la femme responsable de la confrontation ainsi que de l'homme au yeux bleu. Il se raprocha de l'homme armé et lui mumura qu'il ne devait pas perturber la soirée trop violament sinon il serait obligé de l'arrêter d'une manière ou d'une autre, Lucius reçu la dague en plaine poitrine et étrangement le corps se mit à se dissiper, avant qu'un autre Lucius arrive pour lui casser la bras afin de récupérer la dague et un autre lui brisa la nuque et l'emporta, le vrai Lucius avait la dague et la tendit manche devant à la femme.

"Elle me semble qu'elle vous revint."

Il tourna la tête ensuite vers l'homme aux yeux bleu, près à lui parler mais ces yeux était si profond qu'il ne put rien faire pendant un moment. Il put néanmoins se présenter à cet homme.

"Ravi de faire votre connaissance, je m'appels Lucius Koutzof et vous ?"

Pourquoi est-ce que les gens ne veulent jamais simplement s'amuser et passer une belle soirée. Le genre de soirées bien arrosée qui se termine généralement par une copieuse relation sexuelle et un dégout face à la personne en question le lendemain matin. Ce genre de fêtes est pourtant très appréciée par les gens... Mais apparemment, cette personne n'en avait que pour ces vêtements et venait de passer à côté d'une bonne satisfaction sexuelle. Tout humain, les autres races aussi d'ailleurs, aurait plutôt charmer la dame avant de poser la dague sous son cou pour une petite tunique très simpliste. Ajoutons à cela le fait que cet idiot osait s'attaquer à une des plus belles femmes de tout Umbra, et le tout dans une réception pour fêter une fête commerciale dont personne ne connaît l'origine. Mais pour l'instant, il fallait contrôler le type en furie qui souhaitait faire la peau à l'ange de la beauté.

Alors qu'Aodhàn allait tenter une action diplomatique, un homme arriva et se fit embrocher rapidement par l'homme à la dague. Qu'elle faible démonstration de force de la part de ce type à la peau blanche. Toutefois, une autre version de cet être arriva rapidement et désarma l'homme avant que son clone lui casse la nuque. Ce type venait tout juste de retirer le titre de preux chevalier à notre jeune homme, c'était asses humiliant... Alors qu'il allait tenter de contrôler l'homme sans avoir à salir la tapisserie, l'autre con venait lui voler la vedette et tenter de faire la cour à la Dame... Quel comportement inacceptable... Mais bon, il tentait de faire la conversation malgré sa démonstration et il faudrait discuter un peu avant l'arrivée des gardes... Le garçon croisa donc les bras et regardât Lucius qui semblait seulement s'intéresser à ses yeux, s'intéresser au point d'en être subjugué pendant un moment...

"Moi c'est Aodhàn"Dit-il en faisant signe à Lucius d'essuyer un peu de la bave qui coule de sa bouche"Merci d'avoir contenu cet idiot, malgré que j'avais en quelque sorte l'affaire ne main... Enfin bon, je ne sais pas pour vous, mais l'ambiance commence à être mourante ici."

Le jeune garçon se retourna, dos au bar, en observant attentivement la scène, une nouvelle analyse complète de son plan était en route dans sa tête, mais pour vous épargner ce supplice, nous passerons cette partie. Certains l'auraient traité de fanatique, de fou ou même d'extrémiste, mais il croyait en ce qu'il faisait et il le faisait pour le bien de tous. Ce monde avait besoin de changement, de renouveau et surtout de vision. Le chef de ce monde devait être un homme sûr de lui et qui sait ce qu'implique le futur d'Umbra. Aodhàn avait beau être jeune et sans expérience, il était le seul Umbrien à être assez conscient des gens autour de lui pour démarrer ce nouvel ère, il savait que des sacrifices seraient nécessaires. Toutefois, contrairement à ses prédécesseurs, il savait que ces sacrifices ne devaient pas être faits au hasard, car rien ne peut être laissé au hasard. La vie doit être pleine de prédiction, il faut être prêt à toute éventualité et surtout savoir faire face aux conséquences de ses actes. Notre jeune héro avait gagné ces qualités durant ses voyages dans les autres mondes, il avait vu la mort... Le mode de vie des habitants de Lucinia et d'Harmonia, mais surtout... Leurs faiblesses. Umbra vivra bientôt une époque de renouveau, de renaissance et surtout... De grandeur!

Non... Non... NON! C'est impossible, les choses ne peuvent pas tourner aussi mal que ça en quelques secondes! Le plan était pourtant parfait, les faux aventuriers étaient en place et le prince s'apprêtait à inviter Aodhàn à sa table afin d'avoir un bon repas. Mais voilà qu'une lettre venait tout chambouler son plan... Un kidnappeur dans la ville? Qui avait capturé la pauvre princesse? Logiquement, le jeune Umbrien aurait été heureux de la tournure des choses qui lui permettaient de gagner la confiance du prince sans même avoir à mettre en marche son plan. Toutefois, à des fins de sécurité, il n'avait pas désigné se signes autres que l'arrivée du prince sur la scène. Ainsi, les brigands qu'il avait engagé risquaient d'attaquer à n'importe quel moment et la fête risquait de tourner en bain de sang. Le plus important était surtout de ne pas retarder les recherches de la princesse, car elle risquait d'être perdue à jamais.

Mais il était trop tard... beaucoup trop tard, les brigands dégainaient déjà leurs armes et l'un d'eux venait tout juste d'assassiner un riche aristocrate. Tout se passait au ralentit dans la tête du jeune révolutionnaire, les brigands ramassaient les brasiers qui servaient à éclairer la salle et allaient mettre le feu aux draperies, les corps de l'aristocrate frappa lourdement le sol pendant que le meurtrier le frappa à nouveau du puissant coup de dague. Le quatrième "aventurier" avait dégainé une lourde Hache et se dirigeait vers la scène où le prince se trouvait. Celui-ci était sûrement trop occupé à tuer le clone de sa soeur pour remarquer les évènements. Tout allait si vite... Les brigands avaient tué un homme et mis le feu au buffet à quelques secondes, certains invités fêtaient encore, inconscient des ce qui se passait. L'Umbrien courait au travers de la foule qui tournait lentement la tête vers le gros corps sanglant qui gisait près des brigands. Un des gardes empoignât son fourreau et se mit à crier, au ralentit pour l'esprit plein d'adrénaline d'Aodhàn, quelque chose du genre "protégez le prince!". Malheureusement, le criminel se dirigeant vers la scène fit un léger détour pour trancher le devant du cou du garde qui s'effondra sur le sol, se vidant littéralement de son sang.

Tout allait si rapidement, et pourtant si lentement à la fois. Comme dans ces films de guerres où les soldats reçoit une grenade prêt de lui et tout est lent... Avec un espèce de sifflement stressant. Toutefois, les choses revinrent rapidement à leur vitesse normale et le garçon se décidât à agir. Il bouscula une grosse dame qui criait de toutes ses forces en voyant le meurtrier de l'aristocrate faire une nouvelle victime devant ses yeux. Il passa ensuite au travers d'un groupe d'aventuriers qui fonçaient sur les criminels, rapidement attaqués par les gardes du Prince. Personne ne savait qui était de quel côté, c'était la folie totale. Les gardes attaquaient autant les gentils que les méchants. Toute personne avec une arme qui n'était pas un garde était immédiatement attaquée par des aventuriers ou soldat royaux. La fumée des feux allumés par les brigands faisaient suffoqués plusieurs personnes qui couraient vers la sortie. Et les stupide êtres qu'Aodhàn avait engagé étaient en train de mettre la forteresse à feu et à sang. Tout le monde avait-il oublié que la princesse avait été capturé? Que le prince avait demandé qu'on la retrouve? Que les tartes au citron préparés par le traiteur sont immangeables?

Les évènements s'enchaînaient si rapidement que le garçon perdu le fil, il lança simplement une boule d'ombre au brigand se dirigeant vers la scène. Malheureusement, la tête du combattant avait caché la torche que cet homme transportait et qui tomba directement sur les draperies qui entouraient la scène. Celle-ci fut littéralement coupée du reste des gardes en quelques secondes et le boit dont elle était faite risquait de bruler tout aussi rapidement. Le jeune homme perdit la trace de sa cible au travers des flammes qui empêchaient toute utilisation de sa vision thermique. Il sauta donc sur la scène afin d'aller aider le prince, qui contrairement à lui, n'était pas insensible au feu. Autrefois gris et tranquille, la scène était maintenant rouge et brulante, le Prince était encore là où il était depuis le début. Aodhàn s'approchât de l'homme et observât un de ses gardes dont la tunique avait pris feu et qui était maintenant pris dans sa propre armure brulante. Il empoignât le bars de l'homme et lui criât quelques mots le plus fort possible.

"Ne vous inquiétez pas! Je suis un des aventuriers que vous avez invité! Mon contrôle du feu devrait nous permettre de sortir d'ici rapidement!"

(Le mieux que je peux faire dams mon étât)