We used to be friends....[Terminé]

A long time ago we used to be frieeend lalalalaaaaaa...

La brume, les tombes, tout ça tout ça, ça donnait des envolées lyrique à notre jeune amis fraichement débarqué sur Harmonia. A peine arrivé qu'il avait décidé de trouver l'endroit le plus sinistre qu'il pouvait. Ses pas l'avaient menés dans cet endroit isolé. Il avançait donc entre les sépultures, sautant de dalles en dalles. Il était même passé au travers d'une d'entre elle à un moment et avait conservé de sa mésaventure une magnifique toge rouge mitée. Il évoluait donc enroulé dans cette horreur, fier comme un pape. Soudain, devant ses yeux ébahis, un mort vivant, puis deux, puis dix se dressèrent sur sa route. Il bondit en haut d'une statue et s'installa bien hors de porté pour reflechir:

*Bon... Que faire que faire?Si on descend on va devoir ce battre contre ces ignobles choses gluantes et bavantes...*

*D'un autre cotés, si on redescend pas, on va finir par tomber, mais mort!*

*Oui mais, ils ont l'air si sale et si stupide...*

Raison de plus pour que l'on descende et qu'on en finisse!

Ainsi reflechissait le jeune Naga... Il faut préciser que chaques fois qu'une nouvelle personnalité prenait la parole, le jeune homme changeait radicalement de position, comme s'il changeait de personnage, ce qui était tout à fait le cas en réalité...Sa folie lui faisait croire à de multiples personnalités dans son esprit, avec lesquelles il discutait sans se soucier des autres. Finalement, il eut raison des 3 autres et se laissa tomber au milieu des mort-vivant. Il sortit ses rasoirs de leurs étuis et les fit briller sous la lumière, prenant une pause presque théatrale devant son public de non mort. Ces derniers se jettèrent sur lui d'un seul homme l'attaquant de toutes parts. Le jeune hybride siffla de plaisir et entama sa danse mortelle. Il se baissait, esquivait, frappait, précis comme une vipère, rapide et violent... Son sourire tordu n'avait pas disparut et ses yeux restaient invisibles. Au bout d'un certain temps, il ne resta plus un seul combattant debout à part Maxximilien. Ce dernier essuya ses lames dans l'herbe et les rangea en sifflotant. Il attrapa vivement une souris qui passait par là et la porta à ses lèvres avec un soupir de plaisir:

Trop facile!

Puis, il mordit avec plaisir dans la bestiole qui poussa un cri avant de mourir. Il la dégusta avec autant de plaisir qu'un végétarien prends à déguster une pomme. Du sang goutta sur son menton, et il l'essuya avec un mouchoir qu'il jeta ensuite au loin. il reprit sa chanson, sa route et son manteau. Puis, il arriva devant une immense tombe d'ou lui parvenait des éclats de voix. Deux voix differentes... MAxxie esclada le caveau et s'assit au dessus de la porte, les jambes pendant dans le vide. Il Attendit que les deux hommes sortent de la tombe pour faire apparaitre un grelin qui se jeta sur eux. Les deux pilleurs de tombe le supprimèrent sans difficulté:

Mais quest ce que ça foutait là ça...

Les applaudissements de Maxximilien coupèrent la parole au pilleur. Les deux brigands se retournèrent et levèrent la tête vers l'Umbrien qui se laissa glisser sur le sol en souriant, comme toujours. Il dégaina deux de ses rasoirs et murmura:

Même le bas peuple peut être bien rasé. Et je vais vous offrir le meilleur rasage que vous aurez dans toutes votre vie.

Aprés un instant d'hésitation, les deux hommes se jettèrent sur l'étrange personnage. Ce dernier se pencha au ras du sol et évita les deux rapières qui filaient vers lui.

*Qu'ils sont lent...*

*Et ils sentent si mauvais...*

*Je ne les supporte plus!*

*Oui... Tuons les!*

Il se redressa rapidement et se faufila contre le torse d'un des deux ivrognes, dont l'haleine le fit frémir de dégout. Sa lame trouva sans mal la gorge de l'être frustre et vulgaire et il la trancha en reculant pour ne pas etre éclaboussé. l'épée du deuxieme larrons le frôla, et Maxxie riposta aussitôt, tranchant l'interieur du poignet du dernier homme. Il epousseta la poussiere qui maculait maintenant sa 'cape" et s'éloigna sans prété attention aux pilleur qui titubait. Ce dernier hurla:

Revient là sale merdeux.

Je serais vous, je ne m'agiterais pas pour autre chose que pour courir chercher un bandage. Je vous aie tranché les veines...

*Oui..*

*tranchées...*

*Il va mourir!*

Maxxie sauta sur une croix puis sur une tombe et disparut dans la nuit. En réalité il était juste allongé sur le toit du caveau a regarder sa victime agoniser, laissant le plaisir l'envahir.

Invité

Cela faisait bientôt deux jours qu'il avait quitter ses frères, de nouveau disperser aux 4 coins d'Harmonia tel le vent. Ainsi était la destinée des derniers nomades du clan du nuage gris, tel ce dernier, ils se laissent guider par le souffle qui leur montre la route et redoute de passer leur chemin ou de faire choir leur pluie sur les voyageurs qui les croise, bénéfique ou maléfique.
L'humain était encore en relativement bon état de "fonctionnement" malgré sa sanglante rencontre. Reposé, bandage sur le ventre mais également sur le poignet, il n'était cependant pas armé puisqu'il avait tout bêtement paumé son épée et bouclier. Sans un sous, il se demandait comment il ferait pour survivre à part courir.

C'est alors qu'au loin, il aperçu un cimetière. C'était celui dont parlait le vieux sage du clan, le cimetière des ancêtres. C'était un lieu à éviter mais pourtant... quelque chose dans la poitrine de Gab le poussa à y allez. Sans trop se demander pourquoi, il y vit une occasion de rencontré le fossoyeur, si il y en avait un en ce moment, et quémander son aide en échange de services.
En effet, une paire de bras est toujours la bienvenu pour creuser des tombes, déplacer des objets ou même chasser des indésirables en échange de renseignements ou autres mais fallait-il encore tomber sur le type de fossoyeur encore saint ou sain d'esprit. Creuser des tombes et enterrer les mots à de quoi les faire déterrer la folie si ils ne sont pas assez solides mentalement, voir spirituellement.
Et ainsi, malgré la redoute, il se mit en route pour le cimetière et y arriva après plusieurs dizaines de minutes mais une fois sur place, il y découvra...

- Mort vivants ?
En effet, il venait de trouver plusieurs corps décharnés de mort vivants. Ils semblaient être assez faible mais nombreux, leurs adversaires ne leurs ont laisser aucune chance même si ils ne méritent pas d'être vivant. C'est alors qu'il entendit retentir un cri un peu plus loin, quelques rangées de tombes plus loin.
Les lieux étaient fort anciens, les tombes et cryptes rendaient le champ de vision limite et la nuit n'avait de cesse de limitée le champ d'action. Il ne faisait pas encore si sombre et finalement aperçu un homme a genoux entrain de se tenir le poignet, dans une marre de sang.
- Monsieur ! Tenez bon !

S'exclama t-il en se précipitant vers ce dernier. Le bandit sembla fort méfiant, croyant au retour de celui qui l'avait agressé mais c'était un visage amical bien qu'ayant un accoutrement bien spécial. Il souffrait et en avait les larmes aux yeux. Le nomade sorti en vitesse les bandages qui lui étaient réservés et accepta de les partager avec cet étranger. Incisant avec ses dents, il y plaça quelques herbes qui appaiserraient un peu la douleur et donnerait plus de facilité pour cicatriser.
Tandis que les premiers secours avaient été donné, il se releva et scruta du regard pour éventuellement trouvé le responsable mais en vain. Les cris de l'agonie avaient cesser et le calme était revenu dans le cimetière.... enfin presque....
- Fossoyeur ! Fossoyeur ! Moi qui tape trois fois du pied, je t'invoque ! *Tap Tap Tap et marque un temps*.... je savais que le sage s'était foutu de moi... c'était qu'une légende...

Maxxie, en entendant une nouvelle voix roula sur le ventre et se pencha au bord du toit du caveau. Il découvrit un nouvel arrivant aussi laid et rustre que les deux autres, qui semblait vouloir aider la larve qui se vidait de son sang sur le sol.Il poussa un petit cri strident et se redressa. Dos à la lune, son ombre découpée comme au cutter. Il posa ses mains sur ses hanches et redressa la tête. Un mort de plus, peu importait. Surtout que celui ci semblait être encore plus ininteressant que les autres. Au moment ou il allait prendre la décision de le tuer, Gabnon prononça les mots 'invoquation' 'sage' et 'légende'. Maxxie se figea et poussa un petit:

Shaaaaaaaaaaaa~~...

il sortit rapidement un rasoir de son étuis et le lança dans un mouvement souple et vif. La gorge du bandit s'ouvrit largement et il mourut dans un immonde gargouillement. Puis, le jeune Naga glissa au sol, majestueux, sa langue de serpent passant sur ses lèvres par accoups. L'odeur du sang l'exitait au plus haut point. Il sentait des frissons parcourir son dos et dans son esprit la sainte trinité démente s'agitait:

*Tuons le...*

*Oui... Qu'il souffre...*

*Je veux qu'il aie mal.*

Maxxie s'inclina legerement, mais alors vraiment trés légèrement et déclara de sa voix à la fois douce et pourtant si cruelle. Il avait changé de personnalité, c'étais plus que flagrant:

Enchanté! Je ne suis pas le fossoyeur. Je suis barbier. Le meilleur!

Il se mit lentement en marche sans quitter des yeux son interlocuteur, et s'approcha d'un arbre. Dans le tronc de celui ci, était planté son rasoir. Il le sortit d'un geste sec et l'essuya sur l'herbe tendre une nouvelle fois. Puis il le rangea, mesurant chacun de ses mouvements comme s'il ne voulait pas effrayer Gabnon. Un nouveau frisson le aprcourut et il se cambra légèrement en arriere, comme un danseur. Il siffla doucement et se redressa le regard luisant de plaisir:

Tu m'offres un nouveau jeu. Mais je te vois faible et sans armes. Aie-je raison?

Puis, il entrouvrit son immense cape dévoilant les 6 lames affutées qui attendaient de s'abreuver:

Je manques à tout mes devoirs, meme si je doute que mon nom dise quelque chose à une personne de ton espece: Je suis Maxximilien Noname. Et toi, d'où viens tu? Et pourquoi voulais tu sauver cet être basique et inutile?

Invité

Le fossoyeur était un effrayant personnage qui avait tuer, sous les yeux du nomade, un homme qu'il avait tenté d'aider. L'ambiance était très étrange, il semblait changer du tout au tout mais une chose était certaine... ce sentiment ne lui était pas inconnu et le souvenir de Chi lui revenu directement. Il ne lui répondit pas de suite et cherchant du regard ce qui se trouvait sur le sol et finalement vu la lame de l'homme à la gorge tranché.
- Basique et inutile ? Ahahah, mais je le suis tout autant qu'eux... c'est mon coeur qui m'a dit de l'aidé mais c'est trop tard...
Il y avait une pointe de regret dans sa voix. Il ne savait pas si il devait détester pour ce qu'il avait fait. Après tout, les affaires des autres ne le regardait que quand son coeur le lui disais. Coupable ou pas, aider ceux dans le besoin était une nécéssité incompréhensible mais il n'en avait point l'augure.

Cependant, la plaisanterie ne semblait pas au rendez vous dans ce cimetière. Plus conscient qu'il fallait être moins inconscient, il devrait revoir sa manière de faire. Alors qu'il fixait le fossoyeur silencieux, il arriva enfin au pied du cadavre et, d'un coup de sandale, fit sursauter la lame dont il se saisi en vol, trop la classe.
Il la garda dans sa main droite pourvue d'un précipice qui ne fermerait qu'avec de puissantes médecine, capable de soulever des montagnes de chairs et refaire couler des rivières de veines. La tenir dans cette main était douloureux mais demeura confiant sur l'éventuel maniement de la lame qui servira a parader plus qu'a attaquer.

Ne pas tuer... pas sans raison en tout cas, même pour se défendre... les yeux rivés sur chacun des mouvements de l'hybride, la lame pointé vers le sol et le corps bien alerte, rien de bien méchant pouvait lui arriver. Il se décida enfin à reparler alors que la tension était montée d'un cran.
- D'où je viens ?... la source de provenance de l'inutilité et la basicité t'intéresse tant ?... je suis juste venu voir si je pouvais quémander soins, objets ou renseignement en l'échange de mes services...
Dit-il sur un ton fort neutre et dont le regard puait la méfiance. Il se tenait sur ses gardes, tout gestes vifs et suspects étaient décortiqué par une forme empirique d'instinct de survie.

Maxxie se redressa et écarta les mains.Il renversa sa tête en arrière et éclata de rire. Il sauta ensuite sur une tombe et tournoya sur lui même. Dans sa tête les milliers de papillons de ses pensées s'entrechoquaient comme des grains de riz dans une maracas. Il étudiait cet étrange personnage qui semblait remplis de pieuses intentions et qui essayait de lui faire une espece de morale. Mais le jeune garçon se moquait pas mal de la morale. En réalité il se moquait de tout ce qui n'était pas lui. Il se redressa encore et sourit. Ses multiples personnalités contemplait la scene, atterées devant cette stupidité. Le jeune Naga se décida enfin à répondre à son interlocuteur. Il se pencha en avant, s'accroupit sur la dalle de marbre et murmura:

Tu as raison, tu n'es d'aucun interet. Tu n'es qu'un bouseux de plus dont le sang va maculer mes lames. Enfin, seulement si tu le contrarie trop en fait. Je n'aie pas envie de me salir aujourd'hui.

Il se redressa et epousseta ses épaules.

*Tuons le immédiatement... En le faisant souffrir... owouuuuiiii*

*shaaaaaaaaaaaa~~...*

*Faisons lui expier sa médiocrité*

"shhhhhhhhhhhhhhhhhhhh....."

Maxxie se cambra encore en arriere en proie au plaisir de cette rencontre. Il sentait l'ère d'un jeu nouveau arriver. Sa langue apparaissait et disparaissait spasmodiquement entre ses lèvres et ses mains se crispaient. Gabnon se trouvait face à la vrai folie. Celle qui fait peur quand on comprends enfin qu'elle n'a pas de limite. Que quoi que l'ont fasse, rien ne pourra l'arréter. Ce genre de folie qui fait froid dans le dos par sa démesure et sa violence. Parfois froide et manipulatrice... La plupart du temps empreinte de violence et de cruauté. Maxxie était de ses gens dont il était impossible de prévoir les réactions. Son esprit irrationnel l'empechait de vivre normalement tout en le protégeant des autres. Enfermé dans son monde à l'abris des souffrances humaines. Il sauta et atterrit lestement sur le sol humide:

Tu comptes fais quoi avec ça? Me tuer? Te défendre? Venger cette bouse pathétique?

Maxxie s'approcha du cadavre encore tiede et en attrapa l'épaisse tignasse. Il souleva feu le bandit jusqu'à ce que son visage soit au niveau du sien. Sa langue de serpent effleura les lèvres du mort et il soupira de plaisir en contemplant le visage blanc.

L'odeur incomparable de la mort...Exquis...

Il tendit le corps sans vie vers Gabnon:

Regarde, tu ne l'as pas sauvé. Tu n'as pas réussis. Tu as échoué lamentablement. Es tu seulement capable de sauver quelqu'un dans ce monde? J'en doute.

D'un geste vif, il dégaina une de ses lames et finit de trancher la tete de l'homme. Le reste du corps d'écroula dans un bruit mou et Maxxie garda la tête dans sa main. Il la fit tournoyer en chantonnant un air de cabaret jusqu'à ce que les cheveux cèdent et qu'elle s'envole dans les buissons. Maxxie prit soudain un air serieux pour déclarer:

Tu sais ce que c'est la différence entre toi et moi?

Aussi vif qu'un serpent, il s'entailla le bras. Un sang d'un bleu électrique coula sur l'herbe. En plus d'être bleu... Il était fluo...

La différence c'est la couleur de notre sang.

Et il éclata de rire comme un dément qu'il était, s'écroulant sur le sol.

Invité

Il était devant lui, calme, impassible. Son regard, tel un être sans vie, était vitreux, froid, vide de toute envie. Alors qu'il lui parlait et écoutait attentivement ce qu'il disait, Gabnon ne réagit pas. Seul son regard dur et froid répondait à sa place... il était, sans le savoir, redevenu ce que les siens appel : un nuage.
Ces 2 années en mer lui avaient fait perdre une partie de lui même, celle qui faisait qu'il était un nomade. Alors qu'il s'entaillait le bras et laissa échapper son étrange sang, le nomade regarda sa main et se demandais ce qu'il lui arrivait.

Comme si il allait trouver les réponses dans sa paume gauche, il regarda les lignes de sa main, ramenant les souvenirs du vieux sage qui lui faisait la lecture des lignes des vents, disant si on serait quelqu'un de vaillant ou de méchant, un vieillard ou un fêtard. Sans s'en remarquer alors que Maxx s'écroulait au sol, il lâcha sa lame et toucha le creux de sa main du diable en faisant un sourire innocent. Son enfance lui revenait, les enseignements du passé et se souvint de choses qu'il n'aurait pas du oublier.
Son regard repris vie, son habituelle chaleur revint et ramassa l'arme qu'il avait trouvé, la gardant au poing avant de s'adresser au "barbier".
- Je suis à la fois égoïste et généreux... je ne veux juste pas de conflit inutile...

Mais au lieu d'ajouter des paroles à ceci, il en resta là. Il en avait juste marre de trop parler et de s'expliquer. Si il tenait à comprendre, il méditerait là dessus. Un nomade pense à lui avant les autres, si il n'a pas su faire quelque chose pour aider il ne va pas s'en blâmer sauf si c'était l'être aimé. Les enseignement et la philosophie sont des richesses du passé qui ne mérite pas d'être souvent exposée. On les sent derrière ceux qui les portent sur leurs épaules, qui qu'ils soient, quoi qu'ils soient. C'est pourquoi, parfois, Gabnon paraît froid et trop sérieux. Car les nomades de son clan ne parlent pas beaucoup, ne prennent pas parti de nombreux conflits et laisse les autres dirent ce que bon leurs semble tant que le vent y est accommodé.
Son manque de réaction et les nombreuses interprétations que l'humain pouvait laisser un arrière gout désagréable dans la bouche mais il n'en avait que faire.

De plus, il attendait de voir les incertaines réactions du fossoyeur. Toujours la lame dans sa main droit mais cette fois levée vers le haut, il attendait sagement la suite malgré les scènes jouées.

Maxxie se redressa lentement, l'air serieux brutalement. Il serpenta pour se mettre sur ses pieds... Dans sa tête les voix s'étaient éteintes... Il posa une main sur la partie droite de son visage, en masquant la moitié et pencha la tête. Il tendit son autre main formant un pistolet comme les enfants le font et visant le crâne de Gabnon, il murmura:

Bang Bang!

Puis, il se redressa de toute sa hauteur pour murmurer:

Non, la vrai différence entre toi et moi, c'est la noblesse. Tu n'es qu'un chien pouilleux qui est tombé par malheur sur ma route... Je suis un roi ou un prince... Comme tu préfère mais je suis ta majesté !

Il sortit d'une petite besace agitée une souris vivante et la tint un instant par la queue tandis que la bestiole s'agitait de façon incohérente. Il la souleva ensuite et la laissa là, suspendue au dessus de sa bouche. Alors, il ouvrit ses lèvres et laissa sortir sa langue de serpent. La bestiole se trouvait tout de même à 10 centimètre au dessus du visage mais l'organe du Naga s'enroula lentement autour de son corps malgrés ces cris de detresse. Le reste ce passa trop rapidement pour etre detectable pour l'oeil humain. LA souris disparut dans la gorge de Maxxie avec un bruit de glotte. Il secoua la tête:

Shaaaaaa~~...

Puis il sortit deux de ses rasoirs et les fit se refléter dans la lumière, avant de les remettre dans leurs étuis:

Commençons nous?

Sans attendre la réponse de son adversaire, le jeune homme s'élança en avant, mort de rire. Il courut, ses yeux fixés sur Gabnon et son épée pathétique. Il ne fit nul geste pour attaquer cependant. Avec une rapidité impressionnante, il bondit et vint s'empaler l'épaule sur la lame. Un cri de joie lui échappa et il se remis a rire comme un possédé:

Allez, commençons pour de bon mon mignon...

Sa longue langue apparut de nouveau pour frôler la joue de Gabnon et lécher une goutte de son propre sang qui avait jaillit sur la joue du nomade. Puis il posa sa main sur la garde de la dague pour l'enfoncer un peu plus dans ses chairs en gémissant mais ce n'était pas un gémissement de douleur loin de là. Il recula d'un bon entrainant la dague avec lui. Son rire s'élevait, entêtant, envoutant, terrifiant. Il retira la dague et la planta dans un arbre. Son sang bleu fluorescent dégoulinait sur le sol colorant la scene d'éclat lumineux. Il soupira de plaisir et sortit cette fois ses rasoirs pour en porter un a sa bouche, l'entourant de sa langue:

Allez le chien attaque...

Invité

Il n'avait presque rien vu venir, les gestes et la brusquerie du fossoyeur étaient tout simplements inhumain. Faisant preuve d'un sadisme sans limite, le fait qu'il s'auto-mutile fit frémir de dégout Gabnon. Ami ou ennemi ? Sa garde n'en demeurait pas moins puissante et surprenante pour un humain malgré qu'il fut désarmé. Cependant, il improvisa et trouva par chance une épée rouillé qu'un des mort vivants devait trainer derrière lui.
En dépit des apparences, avoir vécu chez les nomades aiguise les réflexes plus que l'on ne crois. Le moindre bruit de plante qui frémit est synonyme de mort, les gestes des félins qui les traquent doivent être décortiqués et analysés très suspicieusement, la trajectoire des projectiles de balistes des mort vivants entourant le fort abandonné doivent être étudiés et analysés pour être évités et j'en passe.

Toutes ces choses, expérimentées durant des années, lui on permis d'aiguiser ses réflexes à un point qu'il en requiert plus du domaine de magie passive que des qualités évolutives.
- Ne jamais sous estimer un adversaire...
Tant bien pour lui que pour l'autre, il courut vers ce dernier en préparant sa lame, la levant au dessus de sa tête tel la lune dominante. Mais une fois à sa hauteur, il adopta brusquement une position tout autre, celle du soleil levant. Lame vers le bas, il donna un coup puissant ascendant mais visa l'une des lames rasoirs et délivra une puissance surprenante et trop vive pour être contenu, il désarma son adversaire d'une lame qui alla voler plus loin avant de reculer d'un bond prodigieux et de se remettre en garde.

Il n'avait pas tenter de le blesser mais le désarmer, espérant pouvoir lui faire éviter de se mutiler lui même. Le dur et crasseux sol du cimetière, le vent qui se fragmentait entre les tombes tel un ruisseau encombrer de débris de roches, la lune qui pointait toujours sur eux comme les coupables d'un fracas nocturne et le silence rompu étaient tout ce qui les entouraient.
le souffle lent, profond.... autant que les gorges des vents d'une falaise, était presque palpable pour Gabnon qui conservais autant de calme quand soudain ! Tel la bourrasque furtive, qui viens vous donner le petit coup de vent pour vous faire tomber de la falaise sur laquelle vous admiriez le paysage, il dit :
- Mais mais il m'a lécher la joue le sal'haud !

S'exclama t-il, réalisant enfin ce qu'il avait subit, avant de "baisser" sa garde en essuyant l'éventuelle bave sur sa joue, jambes arqués et torse penché en avant avant la lame un peu en arrière. Mais sous de telles apparences, méfiance est de mise. Si il attaquait, il donnerait un coup de lame pour le désarmé d'une seconde lame en espérant ne pas le blesser au bras ou pire : au visage du "Royal" qu'il se prétendait être.

Maxxie regarda Gabnon. Il regarda ensuite les allentours... Puis de nouveau gabnon... Puis le rochers qui fleurissaient aux allentours... Puis Gabnon. IL s'assit et regarda autour de lui. Puis il éternua... Il se gratta le nez... Puis il se gratta le sourcil, perplexe. Il ne récupéra pas son rasoir... Il ne recracha pas la souris... Il regarda gabnon...Puis il se leva... Il se ravisa et se rassit. Puis il sifflota quelques notes avant d'éternuer de nouveau à cause de la poussiere... Il finit par ce décider à compter les grains de poussières sur le sol... Arrivé à 200 il ne se souvint plus des autres nombres et arreta. Puis il se dit qu'il s'ennuyait et qu'il aurait bien voulut être en face d'une autre personne que ce pathétique combattant super-man qui réalisait tant de prouesse avec si peu de force... Il s'allongea et fit quelques abdos, pour se tenir en forme. Puis il sauta sur ses pieds et éternua. Maxxie regarda Gabnon. Il regarda ensuite les allentours... Puis de nouveau gabnon... Puis le rochers qui fleurissaient aux allentours... Puis Gabnon.Il se moucha, trés important car sa morvelle était bleue aussi! Il avait saigné du nez. C'est trés rare, c'est comme les Culicidae:

Les Culicidae regroupent les insectes communément appelés moustiques (ou maringouins^[1] au Québec). Classée dans l'ordre des Diptères et du sous-ordre des Nématocères, cette famille est caractérisée par des individus aux antennes longues et fines à multiples articles et par des femelles possédant de longues pièces buccales en forme de trompe rigide de type piqueur-suceur.
Les moustiques ont un rôle extrêmement important en santé humaine (ou animale) car ils constituent, de par les piqûres douloureuses qu’ils infligent, et au-delà de ce statut d’insectes nuisants, le plus important groupe de vecteurs d’agents pathogènes transmissibles à l’homme. Les moustiques sont responsables, entre autres, du paludisme, une des toutes premières causes de mortalité humaine, de nombreuses maladies à virus (arboviroses) telles que la dengue, la fièvre jaune, la fièvre de la vallée du Rift, la fièvre du Nil occidental (West Nile Virus), le chikungunya, d’encéphalites virales diverses ainsi que de filarioses et constituent à ce titre l’un des sujets majeurs d’études en entomologie médicale.
A ce jour (Harbach,2009) 3 524 espèces de moustiques sont décrites, réparties en trois sous-familles (Toxorhynchitinae (91 espèces), Anophelinae (473 espèces) et Culicinae (2958 espèces) et plus de 44 genres. Pour être complet, il faut rajouter à cette liste 157 sous espèces. (Merci wikipédia.).

Bref il avait finit.

Invité

Il ne comprenait rien à ce qui se passais. La vieille lame entre ses mains, couverte par une armée oxydé brune telle mites venant ronger l'écorce d'un arbre, se rabaissa et observa celui qui semblait encore avoir changer du tout au tout. Il parla soudainement des moustiques et encore une fois ce fut le chaos total.
Le culicadae... Comment pouvait t-il avoir appris un tel terme de là d'où il vient ?
L'ordre des Diptères... c'est un ordre de chevalier ou ce terme vient d'une autre dimension ?
Paludisme, fièvre jaune et on en passe... des maladies qui sont en Harmonia ?
Rift, Nil occidental... c'est de quelle contrée ça ?
3524 espèces... comment a t-il fait pour les comptés alors que les sages se disputent souvent et recherche plus le trésor des grands esprits ?

Tant d'interrogations sur ce qu'il avait dit. C'était comme la fois où il avait lever son doigt et fait Bang Bang... il croyait avoir une arbalète portative ou bien une arme venant d'un futur lointain ? Il n'en savait rien, il avait juste l'impression qu'il deviendrait fou si il restait plus longtemps avec lui. Il fouilla dans son sac et sorti des herbes avant de les disposer et de sortir sa pyrite et son silex. Il créa des étincelles et directement le tout pris feu, créant soudainement un épais nuage de fumée à l'odeur fort désagréable, pire qu'un pet de hyène enragée.
Et alors que le vent chassa l'épais nuage, petit à petit, plus personne. Peut-être Gabnon s'était caché derrière une tombe pour tendre une embuscade et attaquer le "barbier".

Mais il n'en fut rien, il était déjà bien loin. Sa vitesse de marche et de course, contrairement à ses qualités d'épéistes, est bien au dessus de la moyenne. Quand on ne sais pas se battre ou faire de la diplomatie, sa chance de survie dépend de sa faculté de fuir. Malgré qu'il se souvient avoir perdu face à l'ours de la vampire, regret Oh combien éternel, il était déjà loin du cimetière et repris sa route en direction d'une zone nouvelle.
Ce fut sans regret dans le fond, jouer avec des souris avant de les faire disparaître on ne sais où n'était pas vraiment au gout du nomade qui décida, lame rouillé à la ceinture, de continuer son périple. Il n'y avait rien à attendre de ce fossoyeur... sauf une leçon abracadabrantesque et fantasque sur les suceurs de sang miniatures.

We used to be friends....[Terminé] Notati10

Gabnon : 5 xp
Maxximilien : 7 xp

Erf effectivement, ce rp n'a ni queue ni tête XD il faut prendre en compte ce que l'autre dit et s'y adapter les chtits loups, et surtout, le faire en hors-rp, un sujet est là exprès pour vous expliquer et non continuer à rp sans rien y comprendre XD

Les xps ont été attribués