La Chasse à l'Homme [Arcania, Tetsuko, Jolene, Arsène][Terminé]

Invité

Groupe 1.3: Arcania, Tetsuko, Jolene, Arsène

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L'arène était pleine à craquer, les spectateur étaient déjà en place dans les gradins de pierres, attendant avec impatience de pouvoir admirer le spectacle que les combattants allaient leur offrir. En face d'eux, l'immense zone de combat, un ovale aux proportions gargantuesques, avait pris la forme d'une fabuleuse prairie de verdure vallonné ça et la par de petites collines couvertes de fleurs des champs. Un petit ruisseau la parcourait, gazouillant gaiement un rythme de son lit, inconscient du combat à venir. Sur cet espace acceuillant patrouillait divers créatures en quête de nourriture, des tigres, des reptilliens ou encore des gobelins. Au millieu de tous ce beau monde, un homme semblait se promener, et pas n'importe lequel, Palam, le maitre de l'arène. Sur son passage, les reptiliens courbaient l'échine et les tigres venaient se frotter à lui.

Soudain, ce dernier leva un bras et le silence s'installa dans l'arène. Il pris alors la parole, sa vois, bien qu'il ne criait pas, était audible de partout.

"Chers citoyens des trois mondes, aujourd'hui s'ouvre l'arène et son tournois. Rien que pour vous, des hommes et des femmes vont combattre pour prouver leur bravoure et remporter le titre de Champions de l'arène. D'ailleurs, les voici qui arrivent ! "

Au centre de la prairie, une cage apparue comme sorti de terre. A l'interrieur, quarte personnes. Il retentit dans l'arène un tonnaire d'applaudissement pour donner du courage aux combattant valeureux. Sous son capuchons, le visage du maitre d'arène s'ettira en un sourir grotesque et s'avança vers eux, laissant glisser ses doigts le long des barreaux, il leur murmura quelques mots.

"Prenez garde, mes amis ont faim. Si vous voulez survivre, restez groupé, si l'un de vous s'éloigne de groupe, vous pouvez le considérer dors et déjà comme mort... "

D'un pas agile et sans effort, il sauta sur le haut de la cage. De là, il pu voir ses créatures se rapprochaer de la cage, néanmois, ils n'osaient pas s'approchait trop, laissant cinq ou six mètres entre eux et leur nourriture. Palam fit alors un signe aux 4 juges présents sur une estrade, ces derniers hochèrent chacun leur tour la tête.

Soudain, Palam s'éleva dans les aires afin de ne rien manquer du spectacle à venir. Peu à peu, la cage se dématérialisa, elle parti littéralement en fummé...

" Que la Chasse à l'Homme commence ! "

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Le but de cette épreuve est de survivre aux créatures pendant trois tours. Entre chaque tour, j'interviendrais pour vous signalez la position de vos adversaires ainsi que de leur intention et actions. La notation de cette épreuve est basée sur la beauté de vos action, sur le spectacle que vous aillez offrir aux spectateurs. La notation ne prendras pas en compte le nombre de créatures tués, mais la façon dont vous leur avait echappé ou tuer.

Voici la liste des créature présente dans l'arène et qui ne rêve que d'une chose: vous avoir pour déjeuné. Pour plus d'information sur elles, rendez-vous au bestiaire de l'arène.

- 5 tigres
- 5 essances maléfiques guerrières
- 3 scorpions
- 1 lycanthrope
- 5 gobelins
- 2 reptiliens
- 1 armure de combat

Toutes vos armes sont autorisés, tout comme l'usage de vos pouvoirs

Vous commencez dans l'ordre que vous souhaitez, vous devrez suivre cette ordre tout au long de l'épreuve.

Enfermé dans une cage créée par une magie extrêmement puissante, Arcania restait coincé et n'était pas du tout en mesure de pouvoir bouger ni de s'évader. Il se trouvait dans les sous sols de cette nouvelle arène qui semblait venir d'ouvrir. Arcania avait par un total hasard, trouvé une affiche qui proposait de participer au premier tournoi de l'arène, le tournoi d'inauguration comme on l'appelle, et ainsi devenir le premier champion de cette arène. Le jeune Harmonien n'avait pas sur résister à cette magnifique envie de rejoindre d'autres combattants pour mesurer sa force et tenter de décrocher le premier titre de l'arène.

Il se trouvait donc dans cette cage, à attendre bien sagement, debout bien tenu sur ses deux jambes, il patientait en attendant que son moment arrive, le moment où la cage se lèverait enfin vers l'étage supérieur, en emmenant les combattant face à leur premier adversaire. L'endroit était assez sombre, et cette obscurité dérangeait un peu Arcania, il avait seulement sur compter ils étaient, quatre combattant, seulement quatre pour ce tour ci, sans doute ce tournoi comptait il plusieurs équipes, et que ces dernières devraient s'affronter dans des combats sans merci, ou encore de simples combats contre des protecteurs de l'arène, afin de voir quels seraient les gens capable de passer au tour suivant. Dans les trois personnes qui lui tenaient compagnie dans la cage, Arcania n'en connaissait qu'un, c'était Tetsuko, et encore, il ne le connaissait pas particulièrement, leur dernière rencontre, n'avait pas été pour ainsi dire la plus intéressante qui soit.

Mais trêve de bavardages inutiles. A l'étage supérieur, les choses commençaient enfin à bouger. Le maitre de l'arène commençait à parler à la foule qui s'était déplacée spécialement pour voir ce petit spectacle qui allait s'offrir à eux, et ainsi se délecter de ce qui pourrait arriver à ces pauvres combattants. Les paroles du maitre de l'arène finirent par cesser de résonner partout dans l'énorme bâtisse, et enfin, la cage dans laquelle étaient enfermés les combattants commençait à trembler. Le sol au dessus de leur tête commençait à s'ouvrir en deux, laissant pénétrer dans les sous-sols la lueur du soleil. Les quatre guerriers étaient soulevés en même temps que la cage, et enfin ils arrivaient dans l'arène, où se trouvaient pas mal de monstres, prêt tous autant qu'ils étaient à en découdre avec eux pour se tailler un bon repas sur leur carcasses.

Ce fut alors que Palam, gardien de l'arène, se rapprocha de la cage où étaient tenus les combattants, un sourire aux lèvres. Il s'approchait tout simplement pour leur donner un petit conseil si l'on pouvait appeler cela comme ça.

"Prenez garde, mes amis ont faim. Si vous voulez survivre, restez groupé, si l'un de vous s'éloigne de groupe, vous pouvez le considérer dors et déjà comme mort... "

Les prenait il pour des débutants, aucune idée, mais il ne fallait pas qu'il sous estime les guerriers qu'il avait en face de lui, ils ne se laisseraient certainement pas faire face à des bestioles aussi stupides, du moins, Arcania de son coté était assez bien remonté, et prêt à en découdre avec les monstres qui étaient présent dans l'arène. Certes, il n'en connaissait même pas la moitié, car la plupart, il n'en avait jamais vu auparavant, mais ce n'était rien, il aurait le temps d'apprendre à les combattre pendant l'épreuve.

Peu à peu, la cage qui entourait les aspirants au titre de champion, se mit à disparaitre, jusqu'à complètement partir en fumée. La gardien de l'arène, donna à son tour le signal du début de l'épreuve et les monstres commencèrent à s'approcher lentement des quatre personnes, ils avaient surement les crocs les pauvres, mais ce ne serait pas aujourd'hui qu'ils mangeraient Arcania, ni jamais d'ailleurs. Se plaçant latéralement, il dégaina une seule épée, la pointa vers le monstre qui se trouvait droit devant lui. Attendant que les autres combattant soient eux aussi prêt à se battre à mort avec leur adversaires.

Le soleil était à son zénith. On aurait pu croire que toute cette marmaille se regroupaient pour assister à un cirque, un spectacle ou une représentation quelconque du genre " funambule et crache-feu" mais rien, une simple pancarte distribuée dans tous les alentours d'Harmonia.
Ce challenge allait regrouper les meilleurs guerriers des mondes, sans aucuns doute.
Je pris donc la feuille entre mes mains moites, sentant la force et les évènements arriver à grand pas, même beaucoup trop vite. Je fermais les yeux et essayais de me projeter vers cette arène.

J'étais là, dans une sorte de grange cage, accompagné de trois hommes dont aucuns vus auparavant. réellement, je m'impatientait, me remémorais de la semaine dernière, lorsque j'avais pris la feuille et écris mon nom. J'avais agis dans une absurdité parfaite. Moi qui m'étais juré de ne pas faire de bêtises... je les enchaînaient en ce moment!

Je me mis debout et observa les barreaux, une sorte de magie conductrice léchait la cage.
Il faisait lourd et la chaleur s'élevait de plus en plus, des ovations s'entendait de là ou nous étions, me laissant un léger frisson parcourir mon corps.

Evidemment, les trois autres devaient être aussi stressé pour ne pas dire mots... enfin, la cage bougea, les emmenant vers le haut. Je décidais alors de donner me présenter dans le besoin... même si cela pourrait faire hurler de rire mes camarades, je m'en moquais bien.

" Bien, messieurs, avant toute choses, je vous souhaite bien du courage pour cette première épreuve. Je m'appelle Jolene Barnes ."

sans attendre les réactions, Palam se montra, sautant sur la cage. Mon instinct de fauve ne fit qu'un tour et j'eue envie de sauter dessus précipitamment. Jusqu'à ce qu'il dise que l'on risquait sa vie... la, sur le coups, lui faire plein de papouilles et léchouilles fut censuré de mon esprit. Et évidemment, je sortis mon épée bâtarde de mon dos, tout aussi affamé que les tigres devant moi. Il fallait avouer, j'étais à jeun depuis la veille, et alors?

" bon, on a pas tout perdu, on s'organise comment? Il y a bien trop de créatures pour s'occuper seul. vous avez une idée? hormis foncer dans le tas?"

non, évidemment... la cage s'enlevait et je fit vite de simuler une charge sur le premier truc qui se présentait devant moi. Manque de pot, le reptilien émit n gloussement absurde, claqua des dents et s'en alla. Je faisait vraiment aussi peur que ça? JE perdis mon temps à regarder mon reflet, regardant mes crocs blancs aiguisés. Non, j'étais normal... rhooo et pis zut!

désespérément, j'observait mon voisin de gauche... bien silencieux... il avait déjà dégainé son épée et pointé les créatures de sa lame. Une sueur froide me parcourais le dos. Il avait une telle soif de cruauté dans ses yeux émeraude, que mon Cormyr ne fit qu'un tour pour retourner dans son panier. JE compris immédiatement qu'il était là pour gagner et affronter les autres.

" je suis prête"

murmurais-je en retroussant les babines, grondant et dénudant mes crocs. Les deux autres hommes me paraissaient moins expérimentés et sur d'eux. J'envisageait de faire preuve de loyauté et de les aider si l'occasion se présentait... le but était de foncer dans le tas apparemment... et je n'allais pas me gêner, j'allais immédiatement m'occuper de ces crocos en furie!

" Bien, messieurs, avant toute choses, je vous souhaite bien du courage pour cette première épreuve. Je m'appelle Jolene Barnes ."

« Je me nomme Victor Hugo, pour vous servir ma Dame. »

Pourquoi ce nom ? Ne me le demandez pas, je n’en ai pas la moindre idée. Ça m’est venu comme ça. Après tout il fallait bien trouver quelque chose. Ma galanterie naturelle m’empêchait de ne pas répondre à cette charmante demoiselle mais je ne pus me résoudre à révéler mon identité. Question de principe. Là où Arsène Lupin passe, personne ne le voit. J’ajoutai à mes dires un sourire radieux, affirmant ma confiance et mon assurance. Quoique le terme « inconscience » eut été probablement plus adapté à la situation. Flirter alors qu’un combat mortel était sur le point d’éclater n’était en effet pas des plus adéquats. Mais on ne peut là rien me reprocher, c’est dans ma nature d’être ainsi. Alors que d’autres préfèrent adopter un visage fermé sans vie et s’apprête à mourir sans joie –je lançai alors un regard à mon curieux collègue aux yeux aussi verts que les miens- moi je préfère prendre la vie par le bon bout de la ficelle, d’autant plus si cette dernière risquait de brutalement s’écourter. L’important ce n’est pas quand on meurt, mais ce que l’on fait au moment de mourir. Or quoi de plus beau que de discuter avec un superbe représentant du sexe opposé ?

" bon, on a pas tout perdu, on s'organise comment? Il y a bien trop de créatures pour s'occuper seul. vous avez une idée? hormis foncer dans le tas?"

« Il va de soit qu’en tant que gentlemen, ces messieurs et moi-même allons vous… »

Visiblement mon charme n’était pas aussi irrésistible que prévu. Ma phrase à peine entamée, voilà que je la vis s’élancer avec détermination parmi quelques unes des ces créatures peu sympathiques. Serais-je tombé sur une guerrière ? Son sourire plus animal qu’humain me conforta dans mon opinion. Quoique mes préférences ne se portent pas de prime abord sur la guerrière, je refusai néanmoins de baisser si vite les bras. Foi d’Arsène Lupin, j’allai apprendre à cette jouvencelle l’art sublime de la séduction ! Malheureusement pour moi quelques créatures osèrent s’interposer entre moi et ma conquête, déterminée plus que jamais à faire leurs dents sur moi. Des félins. Très jolis ma foi quoiqu’un peu trop griffu à mon goût. Non sans une once d’hésitation, je m’approchai de quelques pas de mes adversaires, ma canne dans la main droite. Prenant une profonde inspiration, je réajustai mon chapeau feutré avant de m’élancer.

« C’est pour un numéro messieurs ? Veuillez m’excusez quelques instants le temps pour moi de sortir mon attirail. »

Avec un empressement tout contrôlé, je posai mon sac et sol et l’ouvrit d’un geste sûre alors que mes spectateurs s’approchaient d’un pas tout aussi certain. Alors que quelques mètres à peine nous séparaient de la rencontre, je sortis fièrement un beau foulard rouge de ma manche. Intrigués, les trois tigres s’arrêtèrent sur le coup. Je profitai de l’instant pour sortir de mon dit foulard en quelques gestes précis une superbe colombe blanche. Cette dernière s’envola dans une beauté infinie, chacun de ses mouvements n’étant qu’harmonie et légèreté…avant qu’une patte vilainement griffue ne l’attrape au vol et qu’une bouche dangereusement édenté ne l’aval en entier.

« Ah. Peut-être n’êtes-vous pas sensible à mon art messieurs ? Un tour de cartes vous plairait plus peut-être ? »

Je me penchai à nouveau vers mon sac pour en ressortir prestement mon paquet de cartes. Alors que je me relevai je constatai que mes trois spectateurs c’étaient approcher de quelques mètres. Pour mieux voir peut-être ? Malheureusement leurs grognements d’agacements me confirmèrent dans l’idée qu’il n’était pas l’heure de jouer mais…de manger. Avec un soupir d’agacement je posai tour à tour mes yeux sur mes trois félins avant de projeter avec force mon paquet de cartes sur la tête de celui du milieu. Il fit un bon de côté et son énervement grimpa d’un cran. Avec une assurance mal dissimulé il ouvrit un large bec et…rugit. Inconsciemment je reculai de quelques pas, étonné. Il était rare que mon publique n’apprécie guère mon show. Mais il me restait plus d’un atout dans mes manches. Qui veut la guerre…

Je plongeai pour la troisième fois dans mon sac et sortit à une vitesse vivifiante tout une série d’articles qui s’y trouvaient avant de les lancer avec force sur mon public mécontent. C’est ainsi que les trois tigres récoltèrent par ordre chronologique : trois bics, un canard en plastique qui vibre, un sac à main en peau de serpent, six CD, un pigeon empaillé, un paquet de craie, une tai d’oreiller, une bouteille d’eau, une lampe à huile prétendument magique, une patte de lapin, un lapin vivant, une représentation de vierge en porcelaine, une cuillère à café, un gsm, deux pairs de ciseau, un rétroviseurs, une clinche, un pot de talc, quatre tubes de rouges à lèvres, une bouteille d’eau de toilette, une orchidée, un pistolet à eau –déchargé je vous rassure-, une poupée gonfl*, un bouquet de fleurs, huit livres –de respectivement 45, 458, 785, 586, 125, 321, 75 et 1458 pages chacun-, un nounours en peluche, une rose séchée, un singe en peluche, une pipe en ivoire, des écouteurs, deux savons de Marseille et pour finir ma canne. D’un air déterminé je m’emparai alors de mon arme ultime que je brandis devant mes adversaires quelques peu décontenancé.

« Haha ! On rit moins maintenant hein ? »

Avec toute l’assurance que je me connais, j’appuyai sur la gâchette. Le parapluie s’ouvrit dans l’instant, révélant un superbe arc-en-ciel de couleurs. Arès un juron mal dissimulé j’ajoutai cet objet à ma liste de projectile avant de sortir de ma poche une dernière tentative.

« Messieurs, je vous présente ma toute dernière acquisition. J’avoue ne pas encore savoir exactement à quoi cela sert, c’est pourquoi je vous propose de la tester de ce pas ! »

Tenant fermement avec mes deux l’arme en question pas plus grande qu’un crayon je poussai d’un mouvement théâtral sur le bouton rouge à l’arrière de l’objet. Sortit alors par un trou un rayon étrangement rouge qui vint frapper le front d’un des tigres. On m’avait que cela s’appelait un laser. Avec un nom aussi affreux, son utilité ne pouvait que l’être tout autant. Malheureusement mes espoirs furent vite insatisfaits. Le félin se contenta en effet de loucher, alors que les deux autres s’approchèrent de lui avec curiosité. D’un geste du poignet je déplaçai le point rouge au sol, juste en face d’eux. Les oreilles dressés, ils sautèrent à trois sur ce nouveaux jouets avant se chamailler quelque peu. Je profitai de l’instant pour m’écarter quelques peu, sans réaliser que dernièrement le point rouge me suivait. J’avais eu la négligence de garder mon arme ultime en main. Commença alors une course poursuite effrénée : moi devant, suivis de peu par un étrange point rouge et trois tigres devenu complètement fou, tentant vainement d’attraper cet étrange insecte rougeoyant. Pourquoi n’ais-je pas tout simplement lâché le laser ? Aujourd’hui encore je me pose la question.

[Navré de mon délai inexcusable.]

Invité

Palam, bien assis dans son fauteuil au coté des juges attendait le début des festivités avec impatience. Pour le moment, pas grand chose de bien captivant, enfin, du point de vue de Palam, car le maitre d'Arène aimait bien voir les combattants se jetter dans le tas comme des barbares. Mais visiblement, les combattants d'aujourd'hui était plus genre aristo ou un truc du genre.

Palam aimé bien l'harmonien, il semblait pret à découdre, décénant son épée, il pointé l'un des tigres, qui en réponse, lui fit adminer sa belle dentition. Dans le ragard du jeune homme se lisait la détermination.

*Il est sûr de lui... Montrons lui qu'il n'es pas le plus fort... *

Mais, alors que Palam s'appreter à demander à demander aux tigres de faire mumuse avec Arcania, une particularité de la femme attira son regard. Quelque chose dans ces mouvements lui rappelait étrangement quelque chose.

* On dirait un félin... Intéréssant... *

Sans attendre, Palam donna donc l'ordre aux fauves d'attaquer, et l'Harmonien, et l'étrange femme, sauf que manque de bol, l'attention des tigres, et de Palam, se reporta sur le troisièmpe combattant. C'était un personne assez étrange, on avait l'impression qu'il ne se rendait pas compte qu'il participer à un combat. Non, au lieu de cela, il s'était mis en tête d'élaborer un spéctacle avec les peluches de Palam.

Ce dernier, après avoir tenter un tour de carte, vida l'impressionnant contenu de son sac. S'en suivit alors une arme redoutable, un pointeur laseur.

A cette instant, Palam eu une impression de déjà vu. En effet une des concurents de la matinée avait aussi essayer de distraire les tigres avec, il faut le dire, une redoutable efficacité. Sauf que la, on avait véritablement droit à un crétin, ce derniers, après avoir exité trois tigre avec la petite lumière, esseya de fuire... en laissant le laser allumé dans sa main, les tigres le suivire donc, il se retrouva finalement à l'écart du groupe.

* Bon, la comedie a assez durée... *

Palam usa une bonne fois pour toute de son pouvoir de contrôle animal, il y allat d'ailleurs un peu fort. En effet, afin d'éviter que ce stupide laser ne serve une seconde fois, il rendit les 5 tigres de l'arène totalement aveugles, a prèsents, ils useraient donc de leurs autres sens.

Mais Palam ne s'arreta pas là, pour continuer dans sa lancer, il ordena au deux tigres restants de s'attaquer chacun soit à L'harmonien, soit à le femme lucinienne. Ensuite, afin que l'urluberlu au haut de forme ne se sente pas trop seul, il commenda aux 5 gobelins de lui rendre une petite visite. Tandis que deux scorpions géants, accompagné des deux reptiliens, s'approchaient dangereusement de notre duo préféré...

Arcania restait debout, sans aucune réaction face à ce qu'il se passait autour de lui. Aucun sons ne parvenaient à ses oreilles, il était bien trop concentré sur les monstres qui lui faisaient face. Il ne percevait que les images, comme dans les films en noir et blanc, pas de sons, juste l'image. Le tigre qu'il pointait de la pointe de son épée, montra les dents en se voyant prit pour cible. L'Harmonien aperçu l'un de ses camarades de combat s'amuser un vider un sac pleins de choses complètements farfelues avant de se mettre à courir comme un détraquer pour éviter de se faire bouffer par le trio de petits félidés qui voulaient le gober lui et son étrange jouet à la lueur rouge. De l'autre coté, la femme, euh femme, c'était vite parler ... Elle ressemblait plus à un monstre qui s'occupait de protéger l'arène aussi, tels les adversaires du petit groupe. Le dernier équipier d'Arcania, euh qui soit dit en passant, n'était plus la ... Il était peut être resté dans la cage et avait disparu après avec elle, sans doute un faiblard qui avait prit peur en voyant le magnifique amuse gueule qu'on leur offrait.

Le jeune homme fixait son très cher et tendre adversaire dans les yeux, ce fameux petit tigre qui semblait tant vouloir s'approcher d'Arcania pour lui arracher la chaire et sentir le gout raffiné de son sang se rependant dans sa bouche remplie de dents acérées comme des lames de rasoirs neuves. Tandis que ses yeux s'enfonçaient au plus profond de ceux du félins, les pupilles de ce dernier disparurent, rendant l'animal totalement aveugle, sans doute un coup très maléfique du gardien de cette arène. Réaction tout à fait compréhensible quand on voyait à quel point les gros chats que devait combattre le groupe se laissaient distraire juste par un jouet sans aucune importance. Arcania dévia rapidement le regard vers Palam, affichant un léger sourire au visage. Un étrange désintérêt s'installa à l'égard de la bête qu'Arcania fixait juste un peu plus tôt. Du moins, durant quelques secondes. Son attention la plus totale se reposa sur le carnivore lorsque ce dernier se mit à avancer dangereusement vers lui. Les bruits de ses pas étaient quasiment inaudible. Comme on pouvait l'attendre du très bons prédateur, ses griffes étaient rentrées dans ses coussinets, et ne seraient sorties qu'au dernier moment pour trancher la proie de luxe que représentait l'épéiste d'Harmonia. Ne gardant qu'une seule épée dégainée, Arcania s'accroupit de profil, passant sa lame étincelante juste au dessus de sa chevelure. Le sourire aux lèvres, il se mit à avancer à pas lent vers sa cible.

*J'en finirais vite*

Sautant dans les airs, Arcania s'éleva de quelques mètres dans le ciel, laissant sur le sol la pauvre bête. Aveugle, elle ne pouvait plus que se fier à ses autres sens, or, trois des quatre qui lui restaient étaient désormais inutiles puisqu'Arcania ne faisait strictement aucun bruit dans les airs. Le gout et le toucher étaient déjà inutiles juste avant, alors ce ne serait pas quand le jeune homme serait dans le vent qu'il pourrait s'en servir. Levant sa lame dans vers les cieux, cette dernière se mit à briller d'un puissant éclat lorsque le soleil vint frapper son métal. Se laissant retomber à grande vitesse, Arcania l'abattit vers le bas pour qu'elle frappe à toute puissance la bestiole qui se trouvait juste en dessous de lui. Le fer de sa lame, entra rapidement dans le peau du cou du tigre, laissant son sang gicler partout sur le sol de l'arène qui entourait Arcania et sa victime animale. L'arme traversant toute la nuque de la bête, laissant tomber la tête de ce dernier sur le sol ensanglanté. Arcania secoua sa lame vers l'arrière, envoyant le sang qu'il pouvait plus loin. Plus loin fut surtout sur le visage d'un second tigre qui marchait droit vers l'Harmonien.

Le jeune homme se retourna en une fraction de seconde et put admirer le saut magique du félidé dans sa direction. L'énorme félin tenta de frapper le jeune homme de la patte droite, griffes sorties, grognant d'une manière inimaginable. D'un réflexe incroyablement juste, Arcania déclencha du bout des doigts une petite bourrasque de vent, qui dévia légèrement l'offensive de l'animal, lui permettant d'éviter de justesse ce qui aurait put être l'arme de sa mort. D'un geste rapide et précis, il trancha la patte encore en l'air du tigre, faisant reculer la bête qui se vidait désormais continuellement de son sang. L'animal grognait en alternance avec des petits cris de douleurs. Arcania d'un geste dans le vide, créa un petit vent qui fut capable de propulser l'animal en l'air, le faisant retomber juste au dessus d'Arcania. Juste au dessus de lui, Arcania stoppa la chute de la bête, la faisant léviter dans les airs. De la pointe de sa lame, il écrivit sur tout le ventre du tigre son prénom. Arcania fut écrit tout le long du ventre de l'animal qui hurlait de plus en plus fort à chaque lettre qu'écrivait le jeune homme.

Adieu ...

Dit il avant d'écrire le dernier "A" sur le bas du ventre du félidé. D'un geste très puissant, Arcania barra tout son prénom avec son épée, ouvrant le gros chat en deux, laissant tout l'intérieur de ce dernier se déverser sur le sol, non loin du corps sans vie de son compagnon matou. Arcania 2 - 0 Palam. Le jeune homme, laissa le corps du tigrounet tomber sur le sol dans un gros et épais amas de poussières, avant de faire deux sauts en arrière, afin de récupérer sa place précédente, pour seulement remarquer les scorpions et reptiliens qui se rapprochaient dangereusement de lui.

Même si l'homme à ma gauche avait une position remarquable et, je l'avoue, je l'aurais croqué à la moindres opportunité, il n'en était pas moins agaçant. Je me demandais bien d'ou est-ce qu'il pouvait bien venir, sa methode de combattre ne m'était pas du tout inconnue... Enervée par le vacarme et la prétention de ce dernier à écrire un nom "Arcania" sur un tigre Je serrais mes crocs et lui tournais le dos pour décider de m'occuper d'autre chose. Même si nous étions entourés de bêtes affamées, aucunes d'entre elles n'étaient assez bien bâties pour ne serais-ce me faire lever un poil.

" - elle est bizarre, cette sensation de survie qui règne, comme si chacune de ces bêtes attendaient le moment opportun pour attaquer, elles doutent de leur forces... ma fois, si c'est comme cela qu'elles fonctionnent, pourquoi pas..."

Un lapin blanc me passait devant le nez, blanc et bien gras, avec un cri d'effrois je sautais dans les bras du premier reptilien qui était à coté. Bizarrement, mon ventre me chatouillait comme chaque siècles, non pas que ce lapin m'effrayais, quoique l'on aurait pu en douter. Juste, tout ce tas de viande mouvante, ce sang qui giclait, les bons morceaux de steak qui se déplaçaient, tout bonnement divin!
Avec un souple mouvement de rein je me retournais des bras du lézard pour atteindre son coups et avec me crocs lui couper la jugulaire et aspirer son sang. Agonisant, il bougeait que très légèrement ses bras tentant de reprendre son cimeterre sans doutes. Seulement, ma main lui arracha son bras et d'un coups bien précis, le bras porteur de sa lame fendit son crâne. Je léchais mes babines un court instant... le deuxième était derrière moi... mais il était trop tard pour lui comme pour les autres, la transformation avait déja commencé.

Au commencement, mon ombre s'agrandissait, atteignant vite les sept mètres de longueur, enfin, une lumière fit son apparition tandis que mes pattes, ma queue, mon cou mon corps et mon encolure s'allongeaient pour prendre la forme unique de ma seconde âme.
Sept mètres de magie et de muscles palpitant faisait apparition dans l'arène. Le deuxième reptilien à la vue de ce truc monstrueux fit un demi tour express... et se fit écraser vulgairement par ma patte arrière gauche.
Avec un regard mauvais et les babines retroussés, je décidais quelles bêtes attaquer pour mon petit déjeuner, après tout, il fallait bien sortir de cet endroit avec un minimum de dignité.

Oreilles plaquées contre l'encolure, griffes sorties, crocs dénudés et buste plaqué contre le sol, je comparais les deux scorpions géants, ils étaient un peu trop prêt de moi... cependant
ils faisaient bien deux mètres ou trois de moins que moi, je n'eus aucunes peine à sauter sauvagement sur l'un, m'écroulant sous mon poids et à égorger l'autre, rependant son sang noire sur le sol... la bestiole criait comme un cochon, ce qui ne m'étonnais guère, dalleur, je voulais déjà passer à autre chose. Une brise légère m'apportait une odeur étrange de souffre, je retournait ma tête et constatais que les essences maléfique s'entraînaient dûment.

"- on va voir de quoi ils sont capables, après tout, une petite course poursuite ne sera pas de refus, c'est que j'ai commencé à rouiller moi depuis la dernière fois..."

Avec mépris, je fouettais l'air avec de ma queue et dirigeais mon corps lourd vers un des murs de l'arène, juste au dessus de mes sept mètres se tenaient des personnes, retenant leurs souffle et gémissaient à ma vue. Mon museau venait en frôler quelques uns...

"- non, ça ne ferait pas un bon repas..."

Exaspéré, je soufflais sur eux, en prenant bien soin de montrer mes crocs en prenant un air mauvais et dirigea ma tête vers les estrades un peu plus haut, là ou le soit-disant maître d'Arène , était logé. A sa vue je lui lançais à long et puissant rugissement de défi qui surprit les spectateurs au point d'en faire tomber quelques uns du banc de pierre.

* lui, s'il bouge encore d'un poil, j'attaque les personnes devant moi pour le plat de résistance et me servirait de lui comme cure dent! Nameoh, il ne faut pas non plus se foutre de la gueule du monde!*

cependant, j'étais loin, de m'imaginer que ce Paladin détenait des ressources énergétiques et magiques bien plus puissantes que les miennes, sans doute après mon manège, n'aurais-je pas dû le provoquer, mais le mal était fait et l'instinct du Cormyr ne pouvait pas être contrôlé aussi aisément, il était dans sa phase de destruction, qu'importe le mur qui se dresserait contre ce monstre, il allait l'abattre!

Mon point de côté commença à me faire affreusement souffrir. Certes, j’aurais put courir vers cet étrange épéiste qui semblait s’en sortir honorablement. Néanmoins ma dignité me l’empêchait. Je préférai encore courir bêtement comme un dératé plutôt que de demander de l’aide à quiconque. La situation frisait le ridicule, à n’en point douter. Mais d’une certaine manière, sans savoir exactement pourquoi, j’étais certain qu’il en fallait plus pour ternir durablement l’image de Victor Hugo. Brusquement, les bruits de cavalcade derrière moi déclinèrent rapidement avant de s’arrêter. Étonné, je ne pus m’empêcher de freiner moi-même l’allure et de me retourner. Aveugle. Ils étaient tous les trois devenu aveugle. Perplexe, je profitai de l’instant pour ranger précipitamment mon arme fatale en poche avant de faire un tour sur moi-même.

Mes deux compagnons avaient déjà gagné quelques trophées. Retenant difficilement une mimique de dégout, j’entrepris de fixer avec fascination la nouvelle créature qui venait de faire son apparition. Impossible de le décrire. Un nouvel ennemi ? Il semblait en tout cas peu commode. Mais non de dieu quelle formidable monture il ferait ! Une idée me traversa vivement l’esprit. Si je parvenais à grimper là-haut, je n’aurais plus à défendre ma vie si chèrement, encore moins à devoir me résigner à ôter celle d’un autre.

Ma décision était prise, il fallait que je grimpe sur…sur…sur cette chose. Ne me prenez point pour un lâche : je suis un voleur. Pas un assassin. Tuer me dégoute, quoique la vue du sang m’attire irrésistiblement sans que je ne sache pourquoi. Ses tigres voulaient ma mort. Pas moi.

Alors qu’un plan s’élevait peu à peu dans mon esprit, mes trois compagnons félins parvinrent à me repérer, se fiant à leur odorat. Je m’apprêtai à déguerpir vite fait bien fait mais d’autres créatures voulurent se joindre à la partie : ont eut dit des hommes affreusement mutilés qui, comble de l’horreur, sentaient affreusement mauvais. Avec une répulsion non dissimulée, je choisi rapidement les bras des tigres aux bras de ses monstres. J’évitai de justesse leur pattes griffues et parvint à en escalader un. Sans le moindre ménagement je lui tordis violemment l’oreille. En réponse à cette torture la bête s’élança furieusement, chargeant avec violence les cinq humanoïdes. Deux d’entre eux parvinrent à planter leurs griffes dans les cuisses de ma monture. Cette dernière excellera encore, ne voyant absolument pas où elle allait. C’est ainsi que le défilé se mit à nouveau en route : Un tigre, deux gobelins et moi devant, suivit par deux autres tigres enragés qui suivait mon odeur à la traces et les quatre autres gobelins qui fermaient la marche.

« Je suis navré très chers mais ceci est une voiture une place. Une prochaine fois peut-être ? »

J’abattis avec force ma canne sur le crâne du premier. Sous le choc la créature chancela et lâcha prise, me laissant dès lors en tête à tête avec le deuxième. Ce dernier montra les crocs, menaçant.

« C’était votre frère peut-être ? »

Celui-là reçu ma canne entre les côtes. Quoique cette attaque fût moins élégante, le résultat fut parfaitement identique. Une fois redevenu seul maître de mon navire je m’enquis de sa destination. Retenant un hoquet de surprise, je tordis à nouveau l’oreille droite de l’animal, évitant de peu une collision frontale avec une bébête pour le moins peu commode. Cette dernière hurla de rage, voyant son steak lui échapper si près du but. Un Lycanthrope… Qu’est-ce qu’un lycanthrope faisait ici ? Mettant rapidement de côté cette question factuelle, je me mis en devoir de trouver le mode d’emploi de ma monture. Je réalisai que son mode de fonctionnement était relativement simple…l’oreille de droite pour aller à droite, l’oreille de gauche pour aller à gauche. Au moins une bonne nouvelle. La moins bonne était que le Lycanthrope lui aussi c’était mit à ma poursuite, suivi de peu par un scorpion monstrueusement gros. Décidément oui, j’avais un don naturel pour attirer l’attention de mon public. Un lycanthrope, un scorpion, deux tigres, et cinq gobelins dont deux fameusement à la traine. Pour peu nous aurions été assez nombreux pour parader devant le palais.

Ma monture adorée se mit alors à montrer de dangereux signes de fatigue. Il était néanmoins hors de question qu’elle me lâche si rapidement. La poussant de toutes mes forces, je parvins non sans difficulté à lui faire traverser l’arène pour rejoindre l’épéiste. Je passai à quelques mètres de lui sans lui adresser un regard, filant toujours vers mon objectif. La bête se mit à renâcler, visiblement peu coopérative à mon plan. Lorsqu’elle s’arrêta définitivement, je sautai à terre et filait ventre à terre rejoindre mon objectif.

J’approchai le monstre, mesurant plus de sept mètres, par derrière. Le tout étant de le prendre par surprise, pour qu’il n’ait pas le temps de réagir avant que je n’atteigne ses omoplates. Prenant mon courage à deux mains je sautai dans les aires et attrapai le bout de sa queue. Mes heures d’entrainement à l’acrobatie me servir amplement. Rapidement j’atteignis son croupion pour me faufiler vers l’arrière de sa nuque. Brusquement la proximité de l’estrade fit germer une idée tentante en moi. Trop tentante. Avant que ma nouvelle monture ne réagisse, je m’élançai dans les aires, effectuant un magnifique saut périlleux. Sans savoir pourquoi, je n’avais jamais éprouvé de grandes difficultés à sauter haut et loin. La distance qui séparait la bête de l’estrade –soit environs six mètres, fut aisément franchie. J’atterris alors souplement sur les premières rangées du public. Après un salut élégant, j’entrepris de me trouver une petite place parmi eux. Je parvins même à piquer un paquet de biscuit à un môme. Une fois installé, j’observai l’arène le sourire aux lèvres.

« Savez-vous où est la belle guerrière que nous avons vu en début de combat ? »

Je m’adressai à mon voisin de droite, la voix mielleuse et le regard amusé.

Invité

Le combat était des plus divertissant. Dans un premier temps, Palam eu droit à un joli spéctacle de la part de l'Harmonien. Ce dernier avait profité de la soudaine infirmité des peluches griffues pour leur faire la peau. L'un d'eux eu d'ailleurs droit à une jolie dédicasse, le nom du combattant gravé en lettres pourpres sur son petit ventre.

* Il me plait bien celui-là... *

Mais de nouveau ennemis approchaient. Cette fois, ce fut à l'étrange femme de rentrer en scène, elle fit également forte impression sur le maître de lieux. En effet, après avoir sauvagement assassiné un reptiliens, elle se transforman en un gigantesque fauve qui réduissit à l'etat de crêpe le second reptile humanoïde.

Et pendant ce temps, le pitoyable lucinien courait encore et toujours, mais avait visiblement changé de tactique. A présent, il tentait d'echapper à ces poursuivants à dos de tigres malmenait. Parfois, un des gobelins que Palam avait lancé à ces trousses parvenaient jusqu'à lui, le jeune homme le receptionnait alors à coup de cannes. Il zigzagua ainsi un peu partout dans l'arène, mais le tigre ne tiendrai pas indéfiniment...

Palam reporta son attention à la femme fauve. Cette dernière n'avait pas chaumé et s'était occupé des deux scorpions, le premier en l'écransant de tout son poid, le second en l'égorgeant, enplissant l'arène d'abominable cris aigu poussaient par les deux bêtes mourrantes.

Mais revenons au Lucinien perturbé, la monture de ce dernier était à plat, sauf qu'il en trouva une autre, le bougre et sauta sur le félin géant, échappant ainsi à ses poursuivants. Mais ça ne s'arrête pas là, le voici à présent qui saute dans le publique ! A seulement quelques mètres de l'estrade où était situé Palam. Mais avant qu'il ne puisse intervenir pour lui donner une petite correction, le fauve intervint en rugissant, fixant Palam des ces yeux.

* Qu'est-ce que tu me veux gros matou ? *

Les yeux du maître se posèrent alors sur le paquet de gateau que le lucinien venait tout juste de chiper à un gosse qui commençait déjà à brailler.

* Tu as fin mon gros ? *

D'un mouvement de main, la totalité des buiscuits s'écrasèrent sur la jolie tête poilu. Usant de ce même pouvoir, il s'eleva dans les aires et attérie à côté du déserteur. Elevant la main, il étrangla le jeune homme tout en le soulevant dans les aires. Une fois qu'il fut à une dixaine de mètre du sol, Palam le balança dans l'arène.

" Retourne d'où tu viens toi ! "

Le jeune vint s'écraser à quelques pas d'Arcania. D'un claquement de doigt, Palam dirigea tous les monstres de l'érène en direction de l'épeiste et de l'incapable, puis fit face au fauve géant.

" Je te conseil d'aller leur porter assistance, te battre contre moi ne servira à rien... A moins que tu ne souhaite voir à quoi ressemble des intestints... Et inutile de t'en prendre au publique, je dévirais chacune de tes attaques en usant de ma télékinaisie... "

Palam s'éleva une seconde fois dans les aires afin d'arriver à la hauteur de l'immense tête du fauve. Là, il ébourrifa quelques touffes de poils...

" Finalement, il n'es pas si méchant que ça le gros minet... "

... pour finalement reprendre palce sur son trone et admirer la dernière tentative de survie des combattants prisonnier de son machabre jeu.

Les choses commençaient à tourner de plus en plus mal, lui qui de son coté s'en sortait bien, ne s'occupait de strictement rien du coté de ses équipiers. Il restait fixé sur ses adversaires à lui, et ce de manière très attentive. Son regard suivait avec attention les moindres mouvements de l'armure de combat qui lui faisait face, et qui comme lui, semblait tourner en rond au centre de l'arène, tels deux duellistes qui attendaient que l'autre face la première attaque. Du moins, tout ça aurait tourner en un contre un entre le jeune épéiste et l'énorme bestiole qui lui faisait face, mais les choses tournèrent autrement, tout cela grâce à cet imbécile de gars ... Arcania ignorait son nom, il s'en contre fichait mais alors la, totalement et ce royalement. Tout ce qu'il savait sur le moment, c'était qu'il venait de le foutre dans une merde des plus totales ... Ayant quelque peu énervé Palam, le dirigeant de l'arène, il envoya valser l'autre jeune homme presque aux pieds de l'Harmonien. Ce dernier prit le temps de regarder la pitoyable position de son "équipier" avant de sourire assez jaune en voyant tout les monstres restant encore debout dans l'arène se rapprocher de lui avec apparemment une ferme envie de le tuer ... Bon bah, encore une fois, merci aux alliés de foutre la merde ...

Evitant de justesse le premier coup de hache de l'essence maléfique qui venait de se jeter sur lui, Arcania n'eut guère d'autres choix que de se cogner le dos contre la face avant de l'armure avec qui il jouait à chat en rond quelques secondes auparavant. Un véritable encerclement qui s'offrait au disciple de l'ordre. N'ayant aucun autre moyen de s'en sortir, il s'appuya sur le genoux de l'armure et sauta jusqu'à sur ses épaules. De la, il trônait un peu le groupe de monstre qui semblait vraiment lui en vouloir ... Les 5 essences maléfiques étaient clouées après lui, et l'armure de combat semblait ne pas trop porter le jeune homme dans son coeur elle non plus ... Qu'avait il fait pour être si malaimé ? Il avait juste tapé du tigrounet plus tôt, des amis peut être ? Quoi qu'il en soit, quelque soit la réponse à cette question intérieur, le résultat resterait le même, qui cherche trouve, et qui cherchait Arcania le trouvait, mais cette fois ci, les monstres le trouveraient avant de rendre leur dernier soupir. Suivit de très près par deux essences qui escaladaient comme des singes l'armure un peu déconcertée, l'épéiste lança une boule d'arcane dans la face de la première, qui s'écroula un peu ... Défigurée, tandis que la deuxième elle, continuait son ascension pour pourchasser le jeune homme. Ce dernier amusé, attendit jusqu'au dernier moment, au moment où la hache de la seconde essence maléfique vint tenter de taper dans ses chevilles, ce qui, par un magnifique saut vers l'arrière d'Arcania, se solda par un coup en plein dans le casque de l'armure, qui fâchée, broya le crâne de la pauvre bestiole entre ses mains.

Plus que trois pauvres créatures cherchaient des noises au jeune homme. Ce dernier, une seule épée à la main, courait autour du trio d'essence, afin de les étourdir sans doute, ou simplement pour jouer avec leur nerfs et les obliger à faire comme leur amie, frapper leur propre alliée bien plus puissante. L'énorme armure, de son coté, tapait dans le vide sur le sol, tentant sans jamais réussir, à frapper l'Harmonien, qui courait bien trop vite pour les lentes attaques du monstre. Appuyant sur le sol de son pied droit, le jeune homme s'expulsa à grande vitesse en direction des trois essences, et trancha de son épée l'une des trois au niveau du cou. Sa tête tomba sur le sol dans un joli petit bruit de fracas. La poussière se souleva quelque peu du sol au moment où le corps, décapité et ensanglanté, s'écroula sans vie sur le sol poussiéreux. D'un geste rapide, et ce sans se retourner, le jeune Harmonien, fit pénétrer sa lame dans l'estomac d'une des deux essences guerrières survivantes, l'ôtant à la même vitesse, la laissant tomber en souffrance sur le sol de l'arène. Elle mourrait dans son sang, sans que l'épéiste ne l'achève. La dernière bête voulu s'élancer vers l'aventurier, mais fut directement écrasée par l'énorme armure qui se dirigeait à toute vitesse sur le jeune épéiste afin de l'écraser lui aussi, sans doute en avait elle assez de se faire trainer pour rien dans ses attaques par le combattant. D'un saut assez impressionnant sur le coté, il esquiva l'assaut du monstre sans âme, et plaça sa main droite sur le dos de cette dernière après être passé par derrière. Utilisant son pouvoir de l'air, il éjecta l'armure en direction du gros matou qui lui servait d'allié, afin qu'elle s'en débarrasse elle même, lui en avait marre d'affronter les faibles jouets de Palam.

S'asseyant comme pour la méditation au centre de l'arène, il se souleva en lévitation au beau milieu de l'arène, l'utilisation de ses pouvoirs ayant étés relativement faibles, il en avait encore une belle belle réserve. Il regarda Palam avec un sourire moqueur avant de s'adresser à lui.

Tu vois, moi aussi j'sais faire comme toi ...

Il était pourtant bons ses biscuits…Pourquoi les avait-il ôté de mes mains ? Je ne sais pas si je le lui pardonnerai un jour. En tout cas lui, ne semblait pas vouloir excuser ma désertion. M’étranglant à moitié, il me projeta en centre de l’arène avant même que nous ne commencions les négociations. Moi qui était sûr que mon lapin rose lui aurait plut…Dommage, il venait de louper une affaire, je ne marchande pas avec les gens violents. En parlant de gens violents…J’atterris non sans souplesse au pied de l’épéiste à la lame mortelle. Il ne semblait pas plus ravi que moi que l’on se retrouve, au moins avions-nous un point en commun. À peine voulu-je entamer la discussion avec ce dernier, que l’abruti qui m’avait volé mes biscuits lancé ses chéris sur nous. Décidément oui, je crois qu’il tient vraiment à ce que l’on se batte. Dommage pour lui à nouveau, moi je n’y tiens pas. Soyons sérieux, depuis quand Arsène Lupin se battait-il contre de pauvres bêtes affamés et maltraités ?

Mon compagnon, lui, ne ce le fit pas demander deux fois. Il partit à la chasse aux essences maléfiques à dos d’armure, me laissant seul avec mes amis du jour. Trois tigres, un scorpion, un lycanthrope et cinq gobelins. Pourquoi ais-je une impression de déjà vu ? Je vous le demande. Contrairement à moi, eux semblaient ravi de me revoir. L’un des tigres, plus mal en point que les autres, se mit même à saliver. Décidément, les montures de nos jours ne sont plus ce qu’elles étaient. Un jour elles sont dociles et serviables, l’autre elles veulent vous dévorer tout cru ! N’écoutant que mon courage, je pris mes jambes à mon coup et me mit à chercher ho désespoir, une sortie. Non, je ne me battrais pas. Je ne suis pas un assassin avide de sang comme cet épéiste à moitié fout ! J’ai le respect de la nature et de la vie. Malheureusement très peu ici semblaient appliquer ce même principe. Le Maître de l’arène en personne avait un petit regard sadique et pervers qui ne présageait rien de bon.

Il me fallait improviser. Tout en courant, je vis une épée plus grande que moi frôler de peu ma tête et se planter deux mètres plus loin. Surpris, je me retournai et constatai avec fascination que le lycanthrope faisait des siennes. Il n’appréciait visiblement que tièdement la ballade et tenait à l’écourter. Bon joueur, je me pliais à ses exigences et m’arrêtai en faisant face à mes poursuivants. Pas un n’avait une meilleur mine qu’un autre, c’était déprimant. Improviser, il me fallait improviser…

« OOOOOOOOH !!! »

D’un air très convaincant, je pointai du doigt derrière mes adversaires que se retournèrent dans un même mouvement. Profitant de cette diversion, je tentai sortir de terre l’arme de l’homme-loup. Sans succès. Il me fallait chercher une échappatoire ailleurs. Ni une ni deux je brandis ma canne fièrement, espérant en impressionner au moins un. Le seul résultat fut que mon lycanthrope ria à gorge déployée. Ou peut-être rugissa-t-il, difficile à déterminer. Nous en avions au moins un qui avait de l’humour. Tout n’était pas perdu. J’envisageai rapidement lequel était le plus rapide de tous. C’était probablement mon chéri. Sans lui demander son avis, je sautai dessus par derrière et m’installai sur ses épaules. Comme prévu, il n’apprécia guère cette intrusion. Alors qu’il tentait vainement de m’attraper, j’enfonçai mes doigts dans ses yeux avant de tirer violemment sur ses oreilles. Comme ma précédente monture, la bête s’élança, chargeant tel un buffle. Je crus un instant pouvoir ainsi échapper à mes poursuivant, se fut sans compter la bêtise de ma monture. Tête de mule jusqu’au bout, elle refusa de m’obéir et fonça dans le mur de l’arène avec un gros « bong ». Le lycanthrope s’effondra comme une masse. Paniqué, je m’enquis de sa santé en lui tâtant le front et fut rassurée de constater qu’il s’en sortirait avec une grosse bosse sur le crâne. Disons que c’était la vengeance du juste.

Je refis mes calculs…trois tigres, un scorpion et cinq gobelins. Facile, tellement facile. Il me suffisait d’attraper le scorpion par la queue, de le balancer sur les gobelins tout en effrayant les tigres avec mes grandes dents. Simpliste. En théorie. Dans la pratique, je me contentai de me mettre à courir dans la direction opposée, pour ne pas changer.

« Le gros minet est une des dernières représentations de sa race mon amour. Et vous ne serez pas déçu de votre requête, je vous le promet! »

« - voilà chose faite, n'hésite pas à m'appeler si une autre bête créature ose lever sa main... »

amis

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