Une journée pour un assassin [Terminé]

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Quel chaleur aujourd'hui ! C'était dans un tel climat que les gens travaillaient en cette journée ?! Et bien, ils avaient du courage. Il faisait une trentaine de degrés si on se baignait, autrement on atteignait en ce jour les quarante. Cependant, cela ne gênait pas la plupart des gens de l'époque. En même temps, il n'y avait pas grand chose à faire: seuls les ouvriers et artisans travaillaient à l'air libre. Pourquoi je dis tout ça ? Et bien parce que j'en ai envie, et qu'il n'y a pas que les ouvriers qui travaillent, oui, il y a les voleurs, les marchands, et même les assassins ! Et oui, même par cette chaleur et en pleine journée, certains avaient le courage de se montrer au grand jour pour faire leur travail. C'était justement le cas d'Ezio en cet après-midi plutôt bruyante et très énergique. Le matin même, fréquentant souvent les rues mal vues ou bien les rues peu fréquentées, avait rendez-vous dans ce lieu un peu désagréable pour la personne qu'était Ezio son employeur pour définir les contrats de l'assassinat. Cela avait durer plusieurs heures pour fixer le prix mais finalement Ezio en était sorti vainqueur encore une fois, ayant une modeste somme pour une proie aussi simple: un secrétaire. Une fois sur la grande place, l'après-midi, il se retrouva sur la grande place très fréquentée, en marchant normalement parmi la foule, et s'approchait de la Grande flèche, car c'était là qu'il devait éliminer sa cible. Prenant son temps, il entra par la porte d'entrée en la poussant avec une main, marchant tel un assassin aguéri. Tout de suite, il se cacha derrière un banc en se mettant accroupi, car il fallait être vu par personne: sa réputation faisait qu'à peine repérer il se ferait éliminer sur place. Le jeune homme commença à marcher légèrement accroupi, dans un silence des plus effrayants. il y avait pas mal de monde aujourd'hui: quel chance ! Passant derrières les colonnes du bâtiments, Ezio parvint à se frayer un chemin vers les escaliers. C'était là que tout allait se compliquer: pas mal de gardes se situaient dans les escaliers, mais à des étages différents. Par chance, ils étaient assez visibles depuis le rez-de-chaussé.

C'était la première phase du plan d'Ezio. Il plaqua sa main gauche sur la rambarde de l'escalier, la main pointé vers le second étage, plus précisément sur le premier garde. D'un geste des doigts, la lame poing se mit à sortir dans un silence de mort. D'un seul coup, l'assassin tira, sans faire un seul bruit, qui propulsa la lame poing fine mais aiguisée qui se planta dans la gorge même du premier garde. Ezio tira sur la ficelle attachée à cette lame pour la faire revenir à lui, et l'attrapa à la limite qu'elle touche le sol pour trahir le silence qu'il y avait depuis un petit moment déjà. Il était plus que concentré, mais il ne transpirait pas encore. Ezio remit tranquillement et délicatement la lame poing dans l'ustensile fait pour la tirer ou la fixer, et s'aperçut que le premier garde avait disparu derrière la rambarde du première étage sans un bruit: il avait réussi son coup. Il tira une nouvelle fois sur le deuxième garde,et le transperça de nouveau à la gorge. Aujourd'hui était un jour de chance se disait le jeune homme, car d'ordinaire, il se ratait souvent. Il fit ramener en tirant sur la ficelle la fine et petite lame à lui et la rattraper facilement, toujours sans faire de bruit. Le dernier obstacle, c'était le troisième garde, qui était beaucoup plus loin dans les étages que les deux autres. Malgré tout, Ezio tenta le coup en fixant la lame poing sur l'ustensile, et tira une troisième fois: cette fois-ci, il s'était raté, car la ficelle avait lâché pendant le tir, et que le projectile avait été dévié. A ce moment là, il fallait aller le plus vite possible, et le plus silencieusement possible. d'après la théorie d'Ezio, l'alarme devait se trouver au milieu du bâtiment, si il faisait vite, il pouvait éliminer le garde avant. Il prit une lame poing de sa ceinture et l'attacha sur l'ustensile pour remplacer l'ancienne, et commença à grimper les marches en courant, mais d'une manière... Silencieuse. On entendait presque rien, sauf les ferrailles et autres qui claquaient légèrement lorsqu'ils se touchaient entre eux, comme tout soldat équipé normalement. Arrivant à son objectif, il vit le garde courir à tout allure vers l'alarme. Ezio bondit sur la rambarde et refit un autre saut puissant qui le propulsa vers l'avant. Faisant sortir la lame poing de sa main gauche, il retomba net sur l'adversaire, le plaquant au sol, à quelques centimètres d'appuyer sur l'alarme, et planta la lame fine dans la gorge de l'adversaire, avant de la retirer, arborant un visage neutre, et renfermant la lame sous le bracelet. Quel coïncidence ! C'était là que se trouvait Ezio justement, et c'est là que se trouvait sa proie, dans une salle de réunion. Flute ! Cela allait compliquer la tâche, mais le jeune homme resta si calme qu'on ne pouvait même pas deviner ses pensées. Ezio se dirigea vers la porte, lorsque soudain, des gardes hurlaient derrière lui "il est par là !". En effet, l'assassin blanc n'avait pas prévu que les hommes qui passeraient par les escaliers verraient les cadavres aussi vite. Improvisant, Ezio se mit à courir et lança une orbe de fumigène devant la porte qu'il ouvrit aussitôt, et qui effraya toute l'assemblée. La fumée permettait à Ezio d'éliminer rapidement sa proie et de s'enfuir, mais les circonstances ont fait que sa cible n'était pas présente en ce jour.

Ne perdant pas de temps, Ezio sauta en brisant le verre de la fenêtre, du dixième étage de la tour au moins. Il flottait dans les airs, mais descendant à grande vitesse, mais prenant une posture tel un aigle planant au-dessus de tout. Ce jour-là, il avait vraiment eu de la chance, car, alors qu'il allait mourir, écraser sur le sol, une charrette de foin conduite par des chevaux. Ezio atterrit dans le foin qui était présent à foison, Il en sortit directement, de nouveau sur la grande place, aucune paille sur lui. L'homme lui avait sauver la vie cette fois, mais il n'avait pas veiller à le récompenser, car, comme vous le savez tous, le jeune homme n'a pas de coeur. Marchant à travers la foule, dont les gardes commençaient à chercher le cadavre de l'assassin, et partit en direction d'une rue un peu moins fréquentée mais assez quand même: mission ratée pour cette fois, mais il s'en fichait: il était en vie, c'était l'important. Arborant un très léger sourire sur ses lèvres, et s'arrêta devant une auberge. C'est alors qu'il y entra, et s'approcha de l'aubergiste pour préparer sa chambre: il dormait là ce soir, après avoir accompli sa mission cette nuit... Seulement, quelque chose l'intriguait, une présence sans doute qui l'observait...

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Luminescente était épuisée par les longues heures de marche qu'elle avait effectuée. Déambulant dans une cité, dont elle savait même pas le nom, elle avait compris depuis longtemps qu'elle était malheuresement perdue.
Ca commence bien, je suis pommée... Bon, je vais essayer de trouver une auberge dans la mesure de mes faibles moyens, parce que je peux pas vraiment faire quelque chose d'autre. Pff...*
De très mauvaise humeur, elle marcha encore quelques minutes, avant de s'arrêter en face de la devanture d'un magasin d'armes.
J'aurais bien besoin d'une nouvelle arme, moi.*
Elle admira longuement, les arcs, les épées,et les couteaux, puis soupira, avant de reprendre sa route.
*J'aurais vraiment aimé acheter un de ses joli couteaux bien tranchants... Mais j'ai preque plus une thune, et faut que j'garde de l'argent pour payer l'auberge... Bah, j'reviendrais!*
Reprenant sa marche, elle tomba miraculeusement sur une auberge, et sourit, en voyant le nom de l'établissement: " Au pinson écrasé".
*Sympa l'endroit!*
Elle n'hésita pas une seconde, et rentra dans le bâtiment, dont la porte était entrebaillée.
Luminescente regarda autour d'elle.
*Trop bien, y'a que des clodauds et des alcooliques... -_-*
La pièce où elle se trouvait était mal éclairée, les murs étaient sales comme si ils n'avaient pas vus une éponge depuis au moins vingt ans, le carelage souillé d'immondices, les tables et les chaises en bois vermoulu, avec souvent, un pied en moins sur de nombreux spécimens, bref, la TOTALE.

Luminescente soupira. Elle avait comme un pressentiment, qui lui disait que ce n'était que le début des emmerdes.
A son entrée, tout le joyeux petit monde assit dans la salle s'était tu, et en la voyant, avait commencé à la reluquer. Les ignorant, Luminescente se dirigea vers ce qu'elle pensait être le bureau de réservation pour les chambres. A son grand soulagement, c'était une veille femme qui se tenait devant elle.
Luminescente la salua froidement, et lui demanda une chambre. La dame lui en donna une sans problème, et la gratifia d'un sourire édenté, quand elle vit que la jeune fille payait sur le champs.
Pendant ce temps, Luminescente regardait autour d'elle, jaugeait l'endroit, et les gens qui s'y trouvaient.
Rien ne lui parût bizarre, mais elle eu soudain un drôle de sentiment, comme si quelqu'un l'observait...
Elle dégaina lentement et silencieusmeent son épée.

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Ezio était perdu dans le fil de ses pensées. Il revoyait dans sa tête ce qui lui était arriver il y a quelques semaines, maintenant qu'il était plus ou moins au calme, enfin, en lui-même. Il attendait sur le comptoir, attendant les clés de sa chambre pour la nuit, mais il n'y dormirais pas vraiment: cela créerait une diversion pour les gardes pour l'attraper de nuit pendant que l'assassin irait assassiner sa cible qu'il avait manquer aujourd'hui. Mais il se rattraperait: il en était certains. Pour l'instant, il repensait donc à un étrange évènement qui lui était arriver il y a de cela une semaine... Il était en train d'achever sa cible et empocher la récompense, maintenant son adversaire par le col avec son poing gauche, et la lame poing droite levée vers le ciel, sous le poignet, tandis que d'un seul coup, un flash aveuglant apparut, pour laisser place à une pièce blanche et vide. Une femme aux yeux verts lui parlait, et lui avait parler d'un trésor. Pleins de choses qu'Ezio ne comprenait pas vraiment. Pourquoi lui avait-on parler à lui d'abords ? Cela avait troubler l'assassin de l'aube, qui se demandait encore aujourd'hui qui cette femme pouvait être. Non pas qu'il s'intéressait à elle, mais savoir pourquoi elle lui avait parler à lui et pas un autre l'intéressait. Et puis... Un trésor... C'était aussi très intéressant, en somme ! Qu'est-ce qu'on pouvait demander de mieux pour une personne dont la richesse était un des premiers principes. Bien sûr, depuis tout jeune, Ezio tuait pour survivre, et non pour s'enrichir. Il n'avait que de quoi subsister, mais aujourd'hui, il s'en sortait comme un chef.

C'est à ce moment là que le silence de la salle bruyante il y a quelques secondes par tout les gens se racontant des histoires ou se bagarrant quelques fois entre eux. Ezio regarda les alentours de la salle et s'aperçut que toute la gente masculine avait les yeux fixés vers une jeune femme qui venait d'entrer dans l'auberge. Ezio eut un léger et fin sourire, tournant dos à tout le monde, de nouveau contre le comptoir, debout, avec une posture plutôt personnel. Il reprit le fil de ses pensées lorsqu'il vit la jeune femme en question arriver non loin de lui, à un mètre ou deux, et le jeune homme détourna son regard quelques secondes, sous l'ombre de sa capuche qui faisait qu'on ne voyait que son nez jusqu'à son menton, et observa la jeune femme en tournant presque invisiblement la tête vers la nouvelle arrivante. Elle n'avait pas l'air ravie pour l'instant, et le sourire d'Ezio qui n'ouvrait pas les lèvres s'intensifia un petit peu. Certains pourraient avoir la chair de poule de ce sourire: un sourire d'assassin, mais qui n'avait rien de craignant en général. Ezio venait donc de perdre le fil de ses pensées en observant de haut en bas la jeune femme. Il se disait qu'une jeune demoiselle aussi attrayante devait être nouvelle arrivante dans cette ville, car beaucoup d'hommes en ces lieux lui feraient beaucoup d'offres, et il se pourrait qu'en refusant, l'un d'eux qui serait fort riche, donnerait un prix assez modeste pour éliminer la jeune femme, en guise de vengeance pour le demandeur. Le jeune homme le ferait, même si il trouvait ça plutôt bête d'éliminer une femme plutôt séduisante. Ezio avait toujours comme vision de ne jamais assassiner d'enfants, ça, c'était une évidence. Il aimait plutôt bien les enfants, et s'amuser un petit peu avec les enfants des rues, ou bien aider ceux dans le besoin était un plaisir pour lui. En gros, les enfants: pas touche. Parfois, il agissait même que si un assassin s'approchait d'un enfant, Ezio interviendrait en la faveur de l'enfant et prendrait la récompense pré-payée que lui avait donner l'employeur de son ennemi. Ensuite, l'assassin de l'aube n'avait pas pour objectif d'éliminer les jeunes femmes, surtout les plus jolies, non pas pour son intérêt à lui, car, fallait-il l'avouer, Ezio était plutôt du genre gentleman, mais plutôt par principe. A part ces deux catégories, il pouvait éliminer qui il voulait, du moment qu'on lui en donnait le contrat.

Revenons donc à la situation. Ezio observait la jeune femme qui avait l'air très méfiante et ce qui étonna l'assassin c'était que cette jeune femme dégaina son arme en pleins milieux, tandis qu'Ezio l'observait. Apparemment, elle devait se sentir observer, et elle n'avait pas tord: toute la salle la regardait quasiment, et avec ça, elle attirerait surement la rue voisine. C'était plutôt idiot de sa part de sortir une arme en lieu publique, mais il est vrai que la prudence était une chose qu'il fallait respecter. Ezio s'approcha de la jeune femme en attrapant les clés qu'avait déposé la vieille femme sur le comptoir menant à sa chambre pour la nuit et les mit dans une des nombreuses poches de sa tenue vestimentaire. Il était à présent un peu plus près de la jeune femme, si bien que chuchoter était perceptible, mais un peu difficile tout de même. Il lui dit, d'une voix tout à fait charmante, mais qui était habituelle chez Ezio, même pour les gens avec qui il parlait normalement. Oui, Ezio aurait du faire poète ou barde en effet, mais ces deux métiers n'étaient pas vraiment fais pour lui. Je disais donc, que l'assassin de l'aube se mit à parler avec la jeune femme, en lui disant ces quelques mots:

"Il y a un problème jeune demoiselle ? Vous vous sentez observée ? En même temps, vous avez attirer toute l'attention de cet établissement avec votre silhouette plutôt charmante et votre lame bien aiguisée. C'était peut-être une erreur, car il y a quelques minutes vous n'étiez observée que par certains, à présent c'est toute la salle qui vous observe. Si je pouvais vous donner un conseil, je vous dirais de filer dans votre chambre avant que quelqu'un veuille vous faire une proposition déplaisante: l'alcool est souvent dévastateur chez l'homme... Bonne fin de journée jeune fille !"

Avec un sourire d'assassin, sans pour autant manifester de la peur, se fit apercevoir sur le jeune homme, qui commençait à monter les escaliers menant à sa chambre. Il traversa le long du couloir et s'arrêta devant la porte qui portait le numéro de ses clés. Sortant le trousseau, il regarda avec intention le bruit que faisait la serrure: oui, Ezio s'entrainait à ouvrir une serrure sans faire de bruit. Cela aurait presque réussi, jusqu'à ce qu'il se rende compte que la clé n'était pas la bonne... C'était plutôt bête: la clé ne rentrait pas. Lâchant un léger soupire, Ezio remit la clé dans sa poche et commença à redescendre les escaliers: il allait demander à la vieille femme de lui donner d'autres clés... Il pourrait ainsi voir ce que faisait la jeune femme à présent, même si cela lui passait légèrement au-dessus... C'est donc dans les escaliers qu'Ezio prit la descente...

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"Il y a un problème jeune demoiselle ? Vous vous sentez observée ? En même temps, vous avez attirer toute l'attention de cet établissement avec votre silhouette plutôt charmante et votre lame bien aiguisée. C'était peut-être une erreur, car il y a quelques minutes vous n'étiez observée que par certains, à présent c'est toute la salle qui vous observe. Si je pouvais vous donner un conseil, je vous dirais de filer dans votre chambre avant que quelqu'un veuille vous faire une proposition déplaisante: l'alcool est souvent dévastateur chez l'homme... Bonne fin de journée jeune fille !"

Luminescente se retourna, et tomba nez à nez devant la personne qui venait de lui parler.
Un homme, plutôt grand et vêtu assez bizarrement.
La jeune fille le toisa de haut en bas.
* Nan, mais il se prends pour qui, lui? Comme s'il il croyait que j'ai peur d'un moucheron comme lui! J'ai 1500 ans, mon gars! Il en faut plus pour m'impressionner et déguerpir comme le ferait toute fille normale! Quoique... c'est vrai qu'en apparence, je n'ai l'air d'avoir que 15 ans... Merde!*
Elle décida de jouer les gourdes, et lui sourit bêtement, genre Exusez-moi-je-n'ai-pas-compris-le-sens-de-vos-propos.
Le jeune homme parût interloqué.

* Ah ben bravo, t'a l'air vraiment fine, comme ça! Mais c'est le but, et il a l'air d'y croire... En tout cas, il me fixe comme si j'était une crétine...*

L'interrompant dans ses pensées, Luminescente vit l'homme monter les escaliers, sans lui adresser de nouveau la parole.
Elle soupira d'agacement, plus en colère contre elle-même que contre le jeune homme.
Se tournant vers l'aubergiste elle lui demanda d'une voix sèche:
" Mes clefs, c'est pour aujourd'hui ou pour demain?"

Sans se départir de son sourire (édenté), la vieille dame lui répondit:
" Désolé mademoiselle... Le jeune homme est parti avec..."
Elle ajouta précipitamment, voyant le regard furieux de Luminescente:
" Ne vous inquiétez pas! Il devrait redescendre assez vite, après avoir vu qu'il a prit la mauvaise clef!"
Comme pour approuver les paroles de l'aubergiste, Luminescente vit le jeune homme descendre les escaliers, l'air vexé et un peu en colère, et se diriger vers le comptoir.
Luminescente eu un sourire mauvais.
* C'est parti pour le deuxième round, très cher?*

Une journée pour un assassin [Terminé] Notati10

Ezio Kaire : 4 xp
Luminescente Melwasùl : 3 xp

Rp qui est demeuré sans réponse depuis un moment, d'où sa clôture après des rappels également sans réponse. Dommage, c'était bien parti ...

Les xps ont été attribués

» Une journée anodine de plus [Libre, prio Toph]
» Pour un menuet [Terminé]
» Pour quelques étoffes de plus [Terminé]
» Pour l'amour d'une mère [Terminé]
» Explorons... un peu.... pour changer. [Terminé]