Harmonia
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 Terre trouble et âme en détresse (quete finit)

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Liborio Amico
Lucinien
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Liborio Amico


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MessageSujet: Terre trouble et âme en détresse (quete finit)   Terre trouble et âme en détresse (quete finit) EmptyMar 1 Fév - 16:54

Terre trouble et âme en détresse


Voilà quelques jours maintenant que Liborio marchait. Il avait due quitter Tenamas car l’ambiance devenait de plus en plus malsaine pour lui. Il faut avoue qu’il n’y avait pas été en finesse dans la Capital de Umbra. Il avait brisé le bras d’un garde et la jambe d’un autre qui l’avait interpellé pour une bagarre dans un bar dont il avait été la cause, mais l’orc l’avait bien cherché aussi, le seul problème auquel Liborio n’avait pas pensé était que l’orc avait des amis, beaucoup d’amis. Malheureusement le Lucien avait diront nous un peu trop mit le paquet et avais fait flamber se maudit bar se qui passa autant inaperçu que de faire un feu de camp en pleine forêt poursuivit par des indigène, vous voyez le topo ? Bref, voilà comment notre très cher ami c’était retrouvé loin de toute civilisation en pleine nuit entrain de geler dans les monts lunaris.

« Rahhhh ! Saloperie de monde de foutu bouffeur de merde! Mais non hein, Fallait que sa tombe sur moi encore hein ! Hooo. Un volcan »

Liborio jurait et shotait dans le sol de rage. D’un coup le Lucien c’était arrêté, une immense masse de roche remplie de chaleur était devant lui, mais sa contemplation fut vite interrompue par un craquement. Le mercenaire eut un petit sourire étouffé.

« Bien ! Je me demandais quand vous alliez enfin sortir de vos trous. Utile la vision thermique hein ! »

« Bouge pas enfoiré. Tu fait un geste de travers nos 20 archers te transperceront. »

« 20 ? C’est bizarre, j’en n’ai compté que 3. Un là, là et là et deux hommes au corps à corps toi à ma droite et l’autre bouffon sur ma gauche. Non sérieux vous vouliez me vexer ? »

Tout en parlant Liborio avait toujours le dos retourné aux hommes et il montrait avec ses doigts les positions.

« Pas mal, mais tu en n’as oublie un ! »

D’un coup une fléchette se planta dans le cou du mercenaire qui s’effondra. Effectivement un homme était caché près du volcan, mais la chaleur de son corps avait fusionné avec celle du cratère.

« Mmm »

Liborio commençait à se réveiller sa vision était flou et un mal de crâne insupportable lui tenait compagnie. D’un coup une grande claque le réveilla définitivement.

« Enfoiré ! Refait moi sa et je te… »

Clak, une petite giclée de sang vola dans les airs et la tête du Lucien partie sur le coté, il voulut se défendre, mais ses mains étaient attaché dans son dos autour d’un poteau. Il racla sa gorge et cracha le sang mélangé à sa salive. Ses dents étaient serrées, ses joues tremblaient et son regard était meurtrier.

« Toi Fils de pute, je te promet que dès que je serais libre je te..., Ksoo »

Un autre coup fut porté dans le visage du Lucien mais cette fois-ci rien n’avoir avec une claque.

« Sa suffit Rydzo ! Pour parler il a besoin de sa mâchoire ! Crétin allez dégage de là ! Toi ! »

« Ridzo hein.. » En prononçant ses mots le Lucien basculait sa tête de haut en bas légèrement, puis il recracha encore une fois.

« Quoi moi ! Vieux fou libère tout de suite. »

« Pauvre insolant je vais t’apprendre le respect due à un chef de tribu moi. Mercenaire hein ! Jolie tatouage… Akuma Ten’shi je croyais se clan totalement décimé. Itcha ! Apporte moi ma machette »

« Votre Machette ? Holla on se calme hein ! Hé hé Itcha ! Messieurs rigolait n’apporte pas sa machette, na sérieux on va faire sans »

Le lucien se débattait sur le sol, tout en ravalant sa salive. L’homme donna la machette au chef, celui-ci s’approcha lentement et la posa sur le bras de Liborio qui transpirait a grosse goutte.

« Bien ! Je vois que tu m’as compris alors on va jouer, je pose des questions et tu réponds. Si la réponse ne me plait pas je te coupe le bras. »

« Hohohoho, on reste calme papy, c’est vraiment dangereux ses truc là. »

« Mon Fils. Où l’as-tu emmène ? »

*Merde de quoi Il parle si je lui dit que je ne sais pas où il se trouve je perds mon bras je doit lui mentir.*

En venant le Lucien avait apercu une sorte de grande maison.

« Dan.. dans un manoir non loin d’ici, mais si vous me touché mes complices tueront l’enfant »

*Me demande pas à quoi il ressemble pitié, me demande pas à quoi il ressemble »

« Bien ! Je vois que tu tien a ton bras, je suis dessus j’aurais cru à un meilleur duel entre toi et moi ! Je vais te pardonné, Tu va donc partir avec 5 hommes à moi et arrivé la bas je vais t’échanger. Si tes amis tiennent à toi. Tout ira bien, sinon je ne donne pas chère de toi dans les mains de ridzo ! Qu’on l’emmène et que les hommes se préparent, ils partiront se soir. »

Le nuit commençait à tomber, cela faisait donc a peu près un jour qu’il était détenus par ses indigènes. Les hommes le sortir de la maison brutalement. Un groupe de 5 hommes était présent.

*Ridzo…*

« N’oubliez pas mes katanas et mes Shurikens »

Ridzo pris la parole et exécuta un petit discours pour donner du courage aux hommes, la corde qui attachait le Lucien était en nylon, il pourrait l’enflammer quand t’il le voudrait mais il ne devait pas faire sa ici.

« Un seul rythme le mien »

Les hommes entamèrent donc leur marche. Après 30 minutes de marche tranquille. Liborio entendit un grognement dans son dos. Celui-ci se retourna pour jeter un coup d’œil une meute de loup composé d’environs 20 loups étaient derrière lui.

« Les mecs je croit qu’on va devoir courir là »

« C’est moi qu… Courezzz !! »

Les hommes commencèrent à sprinter, mais liborio qui avait les mains attachées était le plus lent des six a se rythme il allait se faire manger.

« Dommage je voulais le buter moi »

Le mercenaire claqua ses doigts qui étaient attachés et fit apparaître une petite flamme aux pieds de Ridzo qui chuta à cause d’un moment d’inattention. Les autres hommes passèrent au dessus de lui, Liborio qui était le dernier fit un bond et sauta sur le dos de Ridzo qui était entrain de se relever.

« Faut regarder où on marche mon grand. Allez bonne bouffe. »

Le Lucien reparti rapidement laissant la meute se jeter sur le chef du groupe, le déchiquetant de toute part. Liborio fut un peut déçu l’homme n’avait poussé aucun crie, il devait se douter que sa aurait trop fait plaisir a notre bon et gentil mercenaire.
Liborio venait maintenant de rejoindre le groupe d’homme qui se tenait devant le manoir.

« Où est Rydso »

Liborio allait répondre quand le sol commença à trembler, deux mains lui attrapèrent les pieds. Ainsi que aux autre hommes. Le Lucien regarda directement ses jambes en faisant aller sa tête de tout les cotés, Le moment était venue de romprent les liens, il enflamma donc ses mains brûlant ainsi la corde. Il donna un coup sec au niveau des jambes pour se libérer, mais quelques choses le gênaient toujours, c’étaient deux mains qui était accroché à ses chevilles. Liborio se précipitât vers l’homme qui tenait sont armements. Ceux-ci étaient entrain de se battre maintenant avec des sortes de mort vivant. Une de ses créatures venait de se mettre entre le Lucien et ses katanas, celui-ci enflamma son poing et tapa dans le torse de la bête, un craquement se fit entendre, puis le monstre fut projeté sur la dos de l’indigène, le mercenaire n’attendit et attrapa la tête de la bête qu’il croqua d’un coup sec. Liborio attrapa la garde de son katana droit, qui était attacha au dos de l’homme, et rapidement il se retourna bras tendu et trancha la tête d’un mort vivant qui allait lui sauter dessus. Les cinq hommes c’était mis en cercle dos à dos l’homme qui tenait les armes du Lucien lui rendit son katana droit et ses shurikens. Le mercenaire lui fit un signe de la tête pour le remercier. Il avait 8 morts vivants qui était debout Liborio reconnut rapidement celui qui lui avait attrapé les chevilles et 5 qui était sur le sol sans leur tête. Le Lucien avait déjà élaboré un plan pour justifier son histoire d’enfant volé.

« Merde, jhon et sully »

« Tu l’es connaît ? »

« Ouais se sont les hommes qui était avec moi »

« La malédiction du manoir était donc vrai ! On va tous mourir »

« Ta gueule ! Personne ne va mourir »

Le Lucien créa une cage de feu au tour d’un des morts vivants et la referma le plus possible pour que celui se consume. Les 4 hommes n’osaient plus bouger.

« Bande d’amateur »

D’un coup Liborio fonça dans le tas. Les zombies étaient lent et avait peu de force, leur seule force était le nombre. Le Lucien lança un de ses katana directement dans la tête d’un des morts qui s’effondra, il n’en restait plus que six maintenant. Le mercenaire n’attendit pas que le corps tombe et trancha la tête avec son katana gauche d’un autre monstre. Puis toujours en courant il se laissa glisser sur le sol et attrapa son katana au passage le retirant de la tête et l’utilisant en même temps comme appuie pour se relever. Les 4 hommes étaient entrain de se défendre du mieux qu’ils le pouvaient. Liborio devait faire vite, ils ne devaient pas mourir tous. L’assassin sortie 2 étoiles et les lança dans la nuque de deux mort vivant qui se battaient avec les indigènes. Puis il trancha net la tête de celui qui se dirigeait vers lui.

« Abaissez vous ! »

Liborio créa deux boules de feu qu’il lança sur la tête des morts vivants. Une fois la boules en contact il les utilisas pour crée une sorte de scaphandre de feu autour des têtes qui était entrain de flamber. Le mercenaire s’approcha ensuite près du groupe d’hommes. Il remarqua tout de suite que l’un deux c’était fait mordre sur au niveau de l’épaule.

« Désolé mon gars »

Dans un timing parfait le Lucien planta son katana dans le cerveau de l’homme. Puis il se retourna vers les autres.

« je n’avais pas le choix et vous le savez. Il aurait pu nous tuer. Bon il va falloir entrer là dedans et aller chercher l’enfant en espérant qu’il est toujours vivant. »

« Je je rentre pas la dedans moi ! »

« Moi non plus »

« Désolé »

« Mais putin de journée, c’est bon resté là et attendez moi »

Liborio marcha jusque devant la porte souffle un coup et s’apprêta à rentrer, quand il fut projeté d’un coup volant au dessus des escaliers en dalle bleu et s’écrasant sur le sol. Une sorte de spectre sorti de la maison.

« Rahhhhhhhh, dégagé de mon passage, je ne fait plus de quartier maintenant »

Le mercenaire ramassa ses katanas et se releva faisant face à l’ombre. Il n’avait plus envie de rire. Il créa un cercle de feu au tour de lui et de l’ombre. Il porta un coup direct vers son ventre, mais celle-ci esquiva facilement en reculent. Il enchaîna avec un coup venant de la gauche porté vers le haut suivit d’une estocade vers l’enfant. L’ombre évita les deux coups habilement et donna un coup de poing dans la figure du Lucien l’éjectant plus loin. Se celui-ci se releva et cracha du sang dans la poussière et frotta sa bouche. Il laissa découvrir ses dents tachetées de sang, mais il n’avait pas dit son dernier mot le lucien fonça sur l’ombre lui portant des coups de tout les sens, la forçant à reculer vers les flammes. D’un coup la lame transperça l’estomac de la bête. Le mercenaire ne perdit pas de temps et la trancha en deux.

« Keu… »

Il retourna sur le palier de la porte après quelques secondes, il se décida à poser sa main sur la clinche, s’apprêtant à se faire taper dessus, mais rien ne se produisit. Il pénétra donc dans la pièce. La température était plutôt bonne et il ne semblait pas y avoir de grabuge. Liborio se dirigea vers se qui semblait être la cuisine. Elle était immense, puis il passa au salon qui était encore plus grand, quand soudain le Lucien percuta quelques choses sur le sol, un cadavre, d’un coup rapide et sec il planta son katana dans la tête. Puis 1, 2, 3, 4 19 cadavre se levèrent due sol.

« Un putin de nid »

Le Lucien fit tournoyer ses katana dans ses mains avant de les mettrent dans leur fourreau, des flammes sortirent de ses mains enflamma rapidement tout les pièces, mais il devait se concentrer pour ne pas faire flamber tout la maison. D’un coup il claqua ses mains l’un dans l’autre et toutes les flammes disparurent. Il avait encore de 3 zombies fumant qui était debout. Tout les autres était au sol, une odeur pestilentielle errait maintenant dans la pièce, le mercenaire devait presque se retenir de vomir. Il s’approcha des morts vivant restant et leur coupa la tête. Ses créatures étaient vraiment faibles. Liborio se dirigea enfin vers l’escalier pour monter à l’étage. Sa respiration était court et rapide, il avait des bleus un peu partout mais surtout sur la tête. Une fois arriver au palier, une sorte de coup de vent le percuta l’éjectant dans une étagère, puis une rafale de livre lui tomba dessus. Liborio se sortie de là difficilement, une fois debout il croqua son cou, son épaule gauche le faisant souffrir, un bout de bois était planté dedans. Liborio plaça sa gauche dans son dos et l’arracha d’un coup, puis utilisa le feu pour cicatriser la blessure et stoppé l’hémorragie. Deux ombres étaient maintenant au bout du couloir et fixaient le mercenaire. Liborio coura vers eux dans un crie de rage, une ombre leva la main et fit décoller le Lucien du sol, il se trouvait maintenant dans une sorte de bulle invisible. L’ombre agitait les mains dans tous les sens, envoient le Lucien dans les murs, plafond et planché, puis quand elle jugea avoir assez porté de coup, elle le laissa tomber sur le sol. Liborio se releva quand même, du sang coulait de son crâne et sortait de sa bouche, ses cheveux blancs étaient devenus rouges. Il laissa glisser sa main lentement dans une de ses poches. Il devait attendre, une fois que l’ombre leva sa main pour le projeté, il lança ses 3 étoiles, une vint percuté la tête de l’ombre qui disparut d’un coup, l’autre avait dévié les étoiles dans le mur. Liborio qui ne tenait presque plus debout sourit, il ne restait plus cas en tue une. Il devait jouer son dernier atout maintenant. Il créa des boules de feu qui apparue par tout sur son corps. Puis les lança tout vers l’ombre, celle-ci les dévia toute d’un coup de la main avec un petit sourire en coin, mais elle n’avait pas prévue se qui s’en suivit derrière se nuage de boule un katana avait été lancé de justesse elle arriva à le dévie mais le mercenaire avec prévue le coup et c’était déjà jeté sur elle, il la transperça d’un coup sec.

La dernière ombre du groupe venait de tomber, le Lucien monta l’escalier qui menait au grenier d’un pied ferme et décidé, son corps était couvert de blessure, mais il devait terminer cette mission pour son honneur de mercenaire. Une fois au-dessus il poussa la porte qui s’ouvrit dans un grincement à faire pâlir le plus courageux des hommes. Liborio ravala sa salive et serra son katana droit fermement, il expira un bon coup pour se donner du courage et pénétra dans le grenier. Il fessait sombre comme dans le derrière d’un orc. Liborio claqua les doigts de sa main gauche, une flamme apparut dans la paume de sa main, éclairant la pièce un peu plus, la magie du Lucien était vraiment faible maintenant. Malgré la flamme la pénombre était toujours présente. Soudain des sanglots se fit entendre dans le coin supérieur droit de la pièce. Liborio tourna la tête directement dans cette direction, son katana tremblait un peu, malgré tous les fantômes et ombres qu’il avait déjà tués depuis le début la peur était toujours présente en lui.


*Allez reprend toi ! T’es sérieux là ? On dirait un petit gamin qui a peur du noir.*

Le Lucien qui se donnait du courage serra sa garde pour ne plus trembler et avança lentement. Les bruits venaient d’en dessous d’une couverture. Le Lucien attrapa un bout.

*Bon sang ! Pourquoi sa doit m’arrivé à moi. 1,2,…3*

D’un coup il retira la couverture et leva son katana prêt à frapper. Rien pas une seule attaque juste des sanglots, Liborio baissa sa tête, l’enfant était la juste sous son katana.

« Ha ! Enfin je t’est trouvé et tu n’es même pas blessé mon pote, laisse moi voir sa. Ne t’inquiète pas c’est ton froussard de papa qui m’envoi. »

Le Lucien souriait à l’enfant pour ne pas le traumatiser, il s’abaissa pour le soulever et le mettre sur son épaule, la fuite serait beaucoup plus facile comme ça. Le mercenaire au gilet noir descendit les escaliers pour retourner au rez-de-chaussée, plus rien ne lui barrait la route, il avait purifié la maison mais pour combien de temps. Il était maintenant devant la porte qui allait lui offrir la liberté de l’air pur. Liborio posa sa main sur la poignet et jeta un regard derrière lui par-dessus son épaule, son visage laissa voir une grimace de haine. Celui-ci ouvra la porte de sa main droite et tendit sa main gauche dans son dos.

« Allez crever en enfer, bande d’enfoiré ! »

D’un coup tout le rez-de-chaussée s’illumina les sofas, divans, rideaux, escaliers et touts se qui pouvait brûler s’enflammait à une vitesse monstre. Liborio ferma la porte derrière lui avec un sourire maintenant sur son visage. Il descendit le perron calmement avec l’enfant sur son épaule. Il regarda les trois hommes qui devaient l’escorter.

« Mission accomplie, bande de couillions ! Bon maintenant vous la fermez et vous me suivez, un seul rythme. Le mien ! »

Liborio laissa sortir un rire étouffé, il faisait encore nuit, la lune était en croissant et elle éclairait ses yeux rouge. Il croqua son cou et commença à courir vers le village, la meute de loup devait sûrement être encore là. Mais dans la nuit il avait un atout majeur, il pouvait voir les pics de chaleur et ainsi savoir où se cachaient les petites bébête et les éviter.

« Allez, on me suis. A droite. Tout droit. Allez ! A Gauche. »

Après 30 minute de course le petit groupe arrivèrent cette fois sain et sauf sans aucun égratignure au village. Toute la tribu était sortie sur la place. Le Lucien avança d’un pas sur vers le chef, tout le monde s’écartait et chuchotait, une fois devant la grand patron Liborio s’arrêtât et le regarda dans les yeux, puis descendit l’enfant de son épaule. Durant quelques secondes le regard de Liborio croisa celui de Dany, il semblait refléter l’âme d’un posséder, son regard était vide de bonté mais remplie de sadisme. Le mercenaire qui avait juste à ramener l’enfant ne s’en soucia pas plus que ça. Le Lucien expliqua l’histoire qui fut confirmé par les hommes survivants.

« Voilà ton fils ! Laisse moi repartir ! Et donne moi un cheval ! »

« Bien, comme promis je vais te laisser la vie sauve. Mais pour le cheval ce n’était pas dans notre contrat. Part Lucien avant que je change d’avis. »

Le regard du Lucien se laissait envahir par la haine, il avait sauvé la vie de son fils et il n’avait même pas un peu de gratitude. Puis liborio posa ses yeux sur l’enfant, toute la haine qu’il avait s’évapora pour laisse naître un sourire. Le mercenaire se retourna et parti. Il pénétra dans les bois pour retourna en direction du portail car la capital de Umbra était encore trop tendu pour lui.

1 heure de marche plus tard

Alors que Liborio retournait vers le portail à pied ! Un bruit de cheval retentit dans son dos, celui-ci se retourna avec une main posée sur sa garde. Le cheval s’arrêta devant lui. Un homme descendit, c’était un des hommes du village.


« Vite, il faut que tu revienne au village, l’en l’enfant est posédé. Il a tué le chef du village, son père ! Il brûle les maisons. Il tue aussi les femmes et les enfants. Pitié ! »

Liborio posa sa main sur l’épaule de l’homme et le regarda droit dans les yeux. Puis sourit, son interlocuteur sourit aussi croyant avoir convaincue le mercenaire.

« Désolé ce n’était pas dans le contrat. Par contre je prends ton cheval. »

Le regarde de l’homme fut anéantie durant quelques secondes son sourire laissa place a grimace d’effrois total. Liborio dégaina son katana d’un coup et profita de la situation pour couper la tête de l’homme anéantie de tout espoir. Le lucien monta ensuite sur le cheval et jeta un regard satisfait dans la direction du village. Puis reprit sa route mais cette fois-ci à cheval. !!!

Fin
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MessageSujet: Re: Terre trouble et âme en détresse (quete finit)   Terre trouble et âme en détresse (quete finit) EmptySam 5 Fév - 11:07

Liborio Amico --> 30xp

Les xps ont été attribués Wink
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