Vasco et les 12 Travaux Malicieux [Terminé]

Le nouveau monde, la découverte, je ne parlerai pas d'aventures, mais quand on y est, autant en profiter... Loin des romans et des rêves qu'elle imaginait, elle venait d'y plonger les pieds complètement, dans cet univers inconnu et fascinant. Elle avait lors de son maigre parcours, rencontrée des personnes, toutes aussi particulières qu'attendrissantes, dont le souvenirs marquera sa vie à jamais. Les péripéties se succédant dans un rythme endiablé, elle n'avait pu réellement trouver le temps pour souffler, mais le calme était de retour maintenant. Le calme avant la tempête. Oui il arrivait qu'elle trouve des moment neutres, simplement pour se reposer, bien qu'il ne durait pas longtemps, il faut l'avouer. Allons, vous le savez, non? Il arrivera toujours quelque chose à notre chère enfant, un incident si inattendu, si imprévisible, nous parlons bien de Momoe, alors la conclusion est plus proche de l'évidence...

Ne nous égarons pas en débat inutile sur sa personne et reprenons un fils plus normal autant que possible avec elle...

Un jour comme un autre, une envie de verdure, pas vraiment. Elle avait en réalité passé quelques temps dans la jungles entourée de ses petits protégés, puis rencontrer des inoubliables dans la capital. Malgré la pluie de souvenirs qu'elle pouvait bien en garder, La réserve des plantes médicinales chuta en flèches, elle se devait de reprendre les plus importantes. Étudiant dans Lucina la carte des contrés, elle trouva une indication sur les vergers de Luminis connu pour sa magnificence dans le sud des terres luciniennes. On pouvait facilement y trouver toutes sortes d'arbres chargés de lourds fruits gorgés de sucres et de vertus. Il y pousse également depuis des temps immémoriaux une quantité sans nom de plantes médicinales, recherchés autant que prisés. Le tableau arc-en-ciel des milliers de fleurs, toutes aussi belles les unes que les autres, ravit le cœur des plus poétiques. Le jardin qu'elle voulait visiter. Mais le plus intéressant, loin des plantes et du reste, c’était la rumeur des jumeaux, d’une malédictions pour certains, d’une farce pour d’autre, d’une mensonge aussi, au sujet d’un parc au portail géant au bout d’une ligne droite, dont les gens revenaient avec des souvenir inoubliables. La nouvelle destination de son voyage venait de prendre place.

Préparant un sac avec le stricte nécessaire "pour excursions", et non le nécessaire pour une femme, car dans ce cas nous parlerions de quelques valise. Il faut faire la part des choses comme il se doit, à chaque situation son sac. Passons les détails inutiles. La route n’était ni dangereuse, ni marécageuse, ni difficile, elle était tout l’opposé aussi verdoyante que linéaire.
Le sac sur l’épaule des rêves pleins la tête, et des idées enfantines, Momoe partait à la conquête des vergers de Luminis, sur cette grande route longue et droite, qui aboutirait au portail principal...

La brise fraîche transporta doucement une odeur raffinée et délicate, pas de doutes la roseraie n’était pas loin. Guidée par son odorat, elle trouva sans mal cette endroit magique. Simplement Magique. Des rosiers au couleurs inimaginable, du bleu, du violet, rose, jaune rouge, en passant par le vert anis, la rumeurs était fondé, ces terres contenaient bien une collections de fleurs magnifiques, aux couleurs arc-en-ciel. Comment ne pas résister à la tentation d’en prendre une? Momoe parcourut cette serre en long, en large, en travers de tous les sens possible ou pas et s’arrêta devant un petit rosier bleu . Ce bleu perçant et intense aussi marqué et pur que les yeux de la jeune femme, elle en coupa une fleur et la déposa dans ses cheveux. Il était temps de repartir.

Reprenant le sentier principal, elle regarda sur le coté gauche, encore des serres, sur la droite un pâturage clôturé, pour l’élevage? Pour les montures? Pour les gens qui désirent camper? Plus loin une grand tour, aussi blanche que l’ivoire, qui pointe vers le ciels bleu, de l’autre coté, des bâtiments dans un style bien particulier, encore plus loin, une forêt… un vergers pas comme les autres. Perdue dans ses réflexions tel que où dormir, comment trouver les plants, combien de jour, s’il y a des complexes d’accueil étant donné qu’on y voit des bâtiments plutôt bien entretenus, elle releva la tête et découvrir le grand portail. Les portes dans un grincement, loin des bruits stridents qui vous font chanter le tympan quelques minutes encore après, le cliquetis des porte sous la pression des mains de Momoe était presque agréable. Vous pensiez peut-être qu’elle prendrait le temps de l’admirer ce portail? Dernière il y avait tellement plus à voir, bien sure qu’elle avait vu la finesse des gravures sur ses fins barreaux, et sa taille inversement proportionnelle à sa faciliter d’ouverture. La aussi l’entretien était notable.

L’entrée belle et vaste, propre et raffinée, rien n’étant laissé au hasard, cette fois plus de doute, le vergers de Luminis était tenu par un groupe de personne, au vu de la taille des terres, le nombre était assez élevé, même si cela n’était que supposition bien évidemment. Elle prit le premier chemin, elle finirait bien par tous les faire, mais pour faire un long chemin il faut commencer par un pas et un choix.

Ils devaient aimer les longues routes droite et calme. Notre jeune enfant continua toujours perdue dans ses réflexions, cherchant un gérant ou un endroit pour déposer la tante. Droite, gauche, personne, quelque centaines de mètres, droite, gauche, le néant. Ainsi le temps passa elle ne faisait plus réellement attention au chemin, étant repassé devant le portail, deux ou trois fois déjà, elle n’était plus à ça prés, comme toujours d’ailleurs. En une fraction de seconde, la brise fraîche et douce, se hâta pourchasser par les vices des terres meubles et du combat, l’atmosphère devant pesante, brutale. Un frisson la parcourant, et elle accéléra le pas, elle jetait même quelques coup d’œil derrière l’épaule, histoire de ce rassurer, et continua.

La vérité aussi simple que de la voir, une terre sinistrée, un homme en son centre, un homme au cheveux noir et long. Un homme, seul et un terre meuble, une terre meurtrie, une étendue de fleurs ravagées, une barrière en bois détruite de part en part, une zone de combat. Elle ne voyait que son dos fort, son souffle encore court et ses yeux qui fixaient le devant, comme si la menace était toujours présente. Au vu des cadavres sur le sol et de leur nombre, le combat pouvait bien l‘essouffler, il s’agissait pourtant de bestioles inoffensives, seules. Elle continua ses pas vers lui, sans réellement se souciait de savoir si il était dangereux, violent. Alors qu’elle allait enfin prononcer un mot pour l’interpeller à quelques mètres de lui, son cœur battant devant le rythme du galop, tellement cet homme semblait intéressant. Elle contempla sa tenue alliant à merveille le rouge, le cuir noir et gris, une ensemble en soi assez harmonieux, son regard se posa alors sur son propre short noir, ses bas rayés, sa chemise rouge au manche évasée horriblement féminine, ses bretelles, son gilet noir et le béret rouge, elle en étouffa un petit rire de moquerie, finalement c‘était lui le plus logique dans la situation... Soudain, une voix cassée de tristesse et de désespoirs éclata dans les cieux, réduisant ce silence:

- AH!!!!!!!!!!!!!!!!! Mon dieu, que c’est-il passé… Mon dieu… George… George..

La femme d’un certain âge, se tenait entre les mains son visage crispé de douleur et de chagrin contemplant les dégâts de ce champ de bataille, le cœur de Momoe se serra, et si le votre regard n‘était pas fixé sur la détresse de cette femme, il vous était possible de voir combien le visage si souriant de notre jeune femme avait prit en quelque seconde, un torrent de tristesse, à en faire changer la couleur de ses yeux, gris. Sa main se tendit par automatisme. Alors que ses jambes tremblaient un peu, elle voulait aller voir cette femme si triste, un deuxième cri, une voix d’homme certainement e dit George:

- Elly.. *court*… Elly… *souffle* que-ce passe-t-iiiiiiiiiii *glisse et tombe brutalement, une pierre pointu au niveau des reins*

- Gorge, gorge, au mon dieu, au mon dieu.. C’est pas possible…

Momoe ne put se retenir déposant son sac, elle se précipita vers ce couple. Elly, était proche de son mari essayant de l’aider à s’assoir, mari qui gémissant de douleur, les larmes aux yeux. La jeune femme s’accroupit:

- Vous allez bien? Vous pouvez bouger vos jambes? Vous sentez quand votre femme vous touche?

L’homme resta surpris un instant, mais un sourire presque invisible, se dessina sur ses lèvres, il gémit un peu et murmura d’une voix de mourant:

- Je vous remmercie mademoiselle, mais je vais bien, Aie! Ouch!!.. Cela n’est pas ma première chute et certainement pas la dernière…
Tant dis que la femme aux regard humide, reprit d’une manière plus affolée:

-George ça ne va pas bien, comment allons-nous faire? Nous avons la visite de contrôle dans deux semaines et tu es blessé, les pavés de "pensées arc-en-ciel", son aussi détruit de la barrière, mon dieu qu’allons nous faire… pauvre de nous.. Je ne veux pas quitter nos terres….

Momoe regarda la scène, une fois qu’avec l’aide son épouse, George était sur ses deux pieds, elle put enfin se détacher deux et dire d’une voix fière:

- Je n’en ai pas l’air, mais je suis assez forte, je ne peux pas vous laissez dans le besoin, je serai ravie de vous aider de mon mieux…

Aussi fort que la plus puissante des incantations, ces mots apportèrent le sourire au visage de ce couple, si charmant, si attendrissant, si faux. Il ne faut pas se mentir, imaginez leur sourire. Momoe n’en fit pas cas, après tout elle voulait tout visiter et si elle pouvait en les aidant un peu, et puis cela sembler amusant. Qu’il est beau d’être naïve comme Momoe. La vielle femme s’approcha prenant de ses mains tremblantes les mains fine et délicate de notre douce justicière souriante. Elle s’approcha, plongeant son regard humide et cria presque:

- Dieu soit loué, je vous bénis mon enfant, je vous bénis… vous êtes le rayons de chance qu’ils nous fallait, nous pauvre personne dans la fin de vie, je vous bénis.

Son euphorie ne dura qu’instant, et elle reprit, d’une voix timide et tourmenté:

- pour les soins de son dos, nous partirons certainement à la capital des que possible…

- il y a pas de soucis…

- Je suis si confuse, Mon dieu vous nous sauvez…

Le Mari s’écroula de nouveau , dans un râle de douleur, des gémissements, un cri.

- Ah… Elly je ne peux presque plus bouger j’ai mal.. Si mal.. Il faut se dépêcher…

Notre jeune enfant, resta perplexe devant les qualités d’acteurs de ces deux paysans, elle pouffa même de rire, elle avait vu juste c’était vraiment une situation amusante, elle laissa la vielle femme reprendre son discours préparer:

- Il nous faut faire vite, mon dieu… mon… mon dieu….

Momoe sorti de sa poches de quoi écrire, sous le regard surpris du petit monde:

- Allez-y je vous écoute que dois-je faire? Nous sommes la pour ça…

A ses mots comme si elle n’attendait que le « nous », Elly se mit a rire, rire au éclat, rire de femme, rire de sorcière. Le ciel s’assombrit et ils reprirent formes initiales, des sorciers? des succubes? esprits? Des choses pleines de pouvoirs et de prétention, Momoe resta immobile, sans se soucier pour un sou de l’homme au cheveux noir alors qu’ils reprirent:

Spoiler:

Un nuage toujours aussi faux et douteux, les deux jumeaux disparurent, rien à dire sur la mise en scène, des éclats de rire, un sourire ravie, des larmes de joie. Momoe ne pouvait plus se retenir, elle riait de cette mise-en-scène, elle voulait tout faire, chacun des travaux, elle savait combien même si les choses étaient dites de manière si grave, elle n'était en réalité pas si impressionnantes, du moins elle l’espérer peut-être, mais elle savait surtout qu’elle ne ferait pas demi-tour, elle, elle resterait mais lui, L'homme aux cheveux noirs?

La jeune femme releva enfin la tête pour plonger son regard jaune de fou-rire, qui peu à peu reprirent son bleu azur, brulés par les braise de celui de son interlocuteur, elle lui sourit et dit sur un ton un peu gênée, de sa voix cristalline et enjouée en s’approchant de lui:

- Je suis fort désolée, de vous avoir entrainé avec moi par une erreur de syntaxe, je n'aurai pas du vous entrainer avec moi, en disant "nous"…

S’approchant toujours plus…

- Je ne peux me permettre de vous retenir, faite ce que vous voulez…

Se posa enfin devant lui avec son même sourire angélique et chaleureux, son béret rouge et ses bretelles.

- Libre, vous êtes libre…

Elle se retourna d’un coup, laissant son parfum sucré dans les airs et ses cheveux effleurés la joue de l’étranger au cheveux de jais. Pour rétorquait en se dirigeant ver son sac sans le regarder:

- Mon nom est Momoe, enchantée de faire votre connaissance, il nous faut premièrement trouver un endroit pour les tantes, j’espère que vous en avez une parce que la mienne est bien petite, puis nous devrions explorer les lieux, bien que je les ai survolé avant d’arrivé jusqu’ici…

Elle lui jeta un regard sur le dessus son épaule de femme, déposa son sac dessus par la même occasion, un sourire taquin aux lèvres, et une voix à la limite de la sensualité…

- Je suis désolée, j’ai fini par choisir, vous n’allez pas laisser une pauvre jeune femme seule ici, non?

[Je suis tellement triste... >.< ]

Lorsque Vasco sorti du portail il fut heureux de constater qu'il était de retour à Lucina. Il n'avait pas encore ouvert les yeux, mais il sentait, tout autour de lui désignait le monde lumineux, sa petite brise, la douce chaleur du soleil, le bruits des inscects et le chants des oiseaux dans les arbres.

" Je crois que je ne ma lasserais jamais de ce monde, il si beau, si calme et si accueilant... "

Mais Syrn, le bibou violet qui était posé sur son épaule, ne semblait pas du même avis, et il ne se genat pour le faire remarquer à son compagon.

" Et bien moi j'en ai ma claque de Lucina ! En quittant L'Animalerie, je pensais jamais ne revenir ici, or j'ai bien l'impression qu'on y passe un certain temsp ! Pourquoi tu ne retournerais pas sur ton monde après tout, Umbra aussi doit avoir quelques attré non ? "

Vasco n'écoutait que d'une oreille l'oiseau, il marchait lentement dans les hautes herbes vertes pour rejoindre le petit sentier qui se dirigeai vers le verger.

" Je t'ai déjà expliqué qu'Umbra est trop dangereux pour moi, dois-je rappeler que j'y suis rechercher pour trahison ? "

" Si tu veux mon avis, une petite trahison, ce n'ets pas bien méchant, ils t'ont sûrement pardonné depuis longtemps ! Allez, on repasse le portail et on file vers Umbra. "

" Justement, je me fiche completement de ton avis. Tout ce que je veux, c'est me reposser quelques jours au calme. Moi je vais aux vergés, mai si tu veux partir pour Umbra alors dépêche toi, le portail ne resteras pas ouvert bien longtemps. "

Pendant quelques seconde, il ni eu plus aucune paroles d'échangé, Vasco continuait sa mlarche tandis que Syrn semblait réfléchir à l'attitude à adopter. Finalement, l'oiseau gromela quelques mots et s'mvola en direction du portail en boudant. Mais Vasco savait ce qu'il faisait, il començait à bien comprendre Syrn, et il ne doutait pas de le revoir apparaitre très bientôt.

* Tu ne peux pas te passer de moi, tu reviendras, tu verras... *

Une fois seul, le Prince déchu pu apprécier la douceur du paysage qui s'étendait à perte de vue devant ses yeux couleur sang. Il était bien différent de celui qui avait entouré le lieu où il avait passé la majorité de son enfance. Il était née dans les Monts Lunaris, un paysage de rocaille aux montagnes froides et aux pics accérés. Rien avoir donc avec la douceur de Lucina.

Il marchait d'un bon pas, écoutant le chant des oiseaux et les gargouillement du ruisseau qui suivait le chemin. Après une petite demie heure, Vasco pu afin voir les barrière de bois qui entourait le vergé de Luminis, un espace giganteste et d'une beauté sans pareil dans tout le Royaume, c'était là que Vasco avait décidé de predre quelques vaccances. Confiant, il poussa la porte.

Alors qu'à l'exterrieur, le paysage était surtout composé de petites fleurs sauvage et de quelques arbres, dans le vergé tout n'était que fruit appétissant, fleur majestieuse au prafum sublime et aux multiples couleurs, tout été démultiplé et enjolivé, un endroit parfait pour laisser son esprit divaguer sans se soucier de sa propre existance. Le Prince était comme dans un autre monde, un monde calme et paisible dans lequel la guerre n'avait pas sa place.

Même si le prince n'en avait pas l'impression, le temps défilait à une vitesse folle. Quand il leva les yeux vers le soleil, sa postion lui indiqua cela faisait bien trois heure qu'il vagabondait entre les serres, les partaires de fleur et les arbres fruitiés. Se santant sommnolant, il s'arreta à l'ombre d'un arbre et s'assi contre le tronc. En moin d'une minute, le Prince plongea dans un profon sommeil, il eu tout juste le temps de s'inquietté de l'absence de Syrn qui aurait déjà du rejenir auprès de lui, avant d'être emporté dans les bras de Morphé.

Son sommeil fut peuplé de rêves tous plus magique les un que les autres dans lesquelles il survoler des mondes enchanté. C'est un cri, un horrible cri de terreur qui le réveilla. Il se releva en sursaut, le soleil était bas dans le ciel, il ne tarderait pas à faire nuit. Mais ce n'était pas ça qu'il inquiété.

* Mais d'où pouvait bien venir ce cri à glacer le sang... *

Balayant l'espace de ses yeux, il ne vit rien de menaçant, mais il remarqu'à quelque chose qu'il n'avait pas vu auparavant. C'était un portail, un haut portail argenté. Pour une raison incconnu, il se sentait obligé de le traverser, de l'ouvrir et de voir se qu'il y avait de l'autre côté. Sans attendre, il se dirigea donc vers le dit portail qui d'ailleur était admirablement bien réaliser, gravé d'une finesse incroyable, il était etonnant que Vasoc ne l'ai pas vu avant. Ne pouvant resister, il poussa l'un des batants qui souvrit sans aucune resistance. Du portail partaient plusieurs chemins, il hésitait sur lequel prendre quand le cri retenti de nouveau, il était plus proche, et Vasco su alors quel chemin prendre pour arriver jusqu'au cri.

Il s'élança donc sur l'un des chemins de droite, se rapprochant à vive allure de ce qu'il pensait être à l'origine du bruit. Soudain, le vri retenti une troisième fois, sur sa droite. Sans réfléchir, il coupa travers champs et tomba sur un prés cloturé par une petite barrière de bois. A l'intérieur, le combat faisait rage, une dizaine d'être plutôt étrange, ressemblant un peu à des galopins étaient en train de s'attaquer à un couple d'un certain age. Le sang de Vasco ne fit qu'un tour, il attrapa son épée et se jetta dans la mélée. Les première minutes, le Prince abbatu trois créatures sans problème, sans doute grace à l'effet de surprise, mais rapidement, les aissaillants se divisèrent en deux groupes, quatre faisant face au Prince et les trois autres continuaient de se battres avec le couple qui se défendait à coup de fourche et de baton de bois.

* Ils ne vont pas tenir longtemps face à ces êtes armés jusqu'aux dents ! *

En face du Prince, quatres créatures donc. L'une portait un bandeau noir sur un oeil, il se batait avec un petit gourdain, il portait à la ceinture trois petit couteau. Un autre était armé de deux sabres, le troisième avait des gants renforcé de métale avec des piques sur les premières phalanges et le dernier se batait avec un baton sur lequel était gravé des symboles.

*Hum... de la magie ? *

Vasco n'eu pas le temps de faire grand chose, le supposé mage leva son arme et une détonation retentit. Vasco ressenti violent coup à la poitrine qui le projeta contre la barrière qui se cassa en deux sout le choc. Le souffle coupait, Vasco n'eu pas le temps de se relver avant de voir fondre sur lui les trois petit combattants, leur armes pret à l'emplois. D'un revers de sa lame, Vasco bloqua les deux sabres, puis il roula au sol pour esquiver les poings métalique, et embrocha le proteur de gourdin avant qu'il ne lui explose la figure.

Il se releva enfin et tira sur le mage plusieurs sphère noir, l'une d'elle le toucha à l'épaule, ce dernier riposta par des boules de feu, mais l'une d'elle toucha malencontreusement le sabreure qui c'était un peu trop raproché du prince. Mais le mage ne s'arreta pas pour autant et faisait pleuvoir ses boules sur Vasco qui dû faire des cabrioles pour les éviter, mais ça ne suifit pas. En effet, l'une des boules avait frôler sa cape qui commencer déjà à s'embraser. D'un mouvement vif, il la détacha en vitesse avant que le feu ne se propage. Mais il n'eu pas le temps de limiter les dégats, il avait un combat à terminer !

* Espérons qu'elle ne sera pas trop abimé... *

Le mage avait arrété ses attaques, il semblait à bout de force. Vasco en profita, bien décider à lui faire payer la perte de sa cape. Le mage tanta de riposter en envoyant une dernière boule de feu, le Prince déchu la contra d'une sphère d'ombre qui explosa à son encontre, traversant l'explosion tel la mort en personne, Vasco abati sont épée sur la créature qui en perdit la tête.

A cette instant, Vasco reçu un douloureux coup sur le côté gauche, la créature aux points pointu venait de la frapper. Le prince lui attrapa la gorge, lui trancha une main et enfonça son épée dans la poitrine du petit être qui mouru quelques minutes plus tards

Se relevant, Vasco tanta de ses doigts les quatres petits trous ensenglantés à son côté, ils n'ataient pas très profond, mais ils étaient tout de même douloureux.

* Mes problèmes importent peu, qu'est devenu le couple ? *

D'un regard, il vit que la femme était toujours en train de se battre, la fourche à la main, l'homme était au sol, il saignait au niveau du dos. Il restait encore une créature debout, armé d'une épée large, il trancha le manche de l'arme improvisé de la femme qui se retrouva sans défence. Le Prince ne pouvait pas la laisser mourrir, il abatu la créature d'un coup de sphère d'ombre, mais alors qu'il se raprochait de la femme pour l'aider, il senti quelque chose d'étrange dans l'air, comme de l'electricité, soudain, les corps des créatures disparurent et laissèrent place à des cadavres de lapin et autre renard. De plus, ses pieds étaient cloués aux xol, impossible pour lui de bouger.

* Mais enfin... les créatures n'étaients que de simples illusions posés sur des animaux.. mes pieds... de la magie, mais enfin qui sont ces gens ! *

Mais ses pensée furent stopées pas l'arrivée d'une jeune femme. Elle portait un short noir, des bas rayés, une chemise rouge ainsi que des brettelles et une gilet noir, sans oublier un beret rouge. Elle possédait des formes des plus aventageuses, mais pour le moment, Vasco avait d'autre chose à penser, parce que en plus de ne pas pouvoir bouger, le voilà qu'il était à présent plongé dans le noir, il n'entendai plus rien. Soudain, une voix raisonna dans l'air, une voix de jeune femme, douce et gracieuse:

- Allez-y je vous écoute que dois-je faire? Nous sommes la pour ça…

puis une autre s'éleva pour résiter un bien étrange poème qui parlais de douzes tâches à réaliser dans un temps impartie. Enfin, Vasco retrouva la vue et ses pieds se décollèrent du sol, il ne comprenait plus rien. Mais la jeune fille ne lui laissa pas beaucoup de temps pour réfléchir, elle enchaina.

- Je suis fort désolée, de vous avoir entrainé avec moi par une erreur de syntaxe, je n'aurai pas du vous entrainer avec moi, en disant "nous". Je ne peux me permettre de vous retenir, faite ce que vous voulez… Libre, vous êtes libre…

Entre chaques phrases prononcaient, la demoiselle se raprochait de plus en plus du Prince qui semblait avoir perdu l'usage de la parole, d'ailleurs, son visage se colorait d'une légère teinte rosée, Vasco n'était as très à l'aise avec les filles, ils n'avait jamais vraiment eu l'occasion d'en cotoyer.

La belle se retourna alors, son parfum emplissant les narines du jeune homme.

- Mon nom est Momoe, enchantée de faire votre connaissance, il nous faut premièrement trouver un endroit pour les tantes, j’espère que vous en avez une parce que la mienne est bien petite, puis nous devrions explorer les lieux, bien que je les ai survolé avant d’arrivé jusqu’ici…

Vasco trouvait cette mise en situation un peu rapide, après tout il n'avait encore rien dit à cette Momoe au sujet de ses intentions. La jeune femme tourna alors la tête pour regarder le Prince.

- Je suis désolée, j’ai fini par choisir, vous n’allez pas laisser une pauvre jeune femme seule ici, non?

Tout était brouillons dans la tête du jeune homme, en partie à cause de la vitesse à laquelle les évènements ce sont enchainés, une autre par la heuen femme et son fabuleux parfum. Vasco réussi tout de même à articuler quelqus mots.

" Je dois dire que je n'ai pas tout compris ce qui se passe ici, mais je ne peux assurément pas vous laisser seul... "

Vasco détourna le regard, géné par les yeux profond de Momoe. IL préféra retrouner voir dans quelle état était sa cape. D'un coup ied, il étouffa les quelques flammes et la prit dans ses main pour la déployer. Les flammes l'avait presque totalement rongé, il ne restait que quelque ridicules lambos.

" Elle est foutu... "

D'un geste rageur, il la balança sur le sol. Puis, il se décida à revenir près de Momoe.

" Je m'appelle Vasco et je n'ai pour seul bagage que cette épée, mais ne vous en faites pas, je peut dormir à la belle étoile... En venant, j'ai repérait une petite clairière qui devrait faire l'affaire pour un campement, vous venez ? "

Marchant d'un bon pas il se dirigea vers un bosquet qu'il avait traversé en venant au millieu duquel se trouvait une petite clairière tapissé d'herbe, elle était hors du chemins, se qui permettait d'éviter un certaint nombre de rencontre, si tanté qu'il y est d'autre personne qu'eux dans cette étrange endroit. Toujours aussi géné par la présence de Momeo, il lui demanda timidement.

"Euh... Vous... vous voulez que je vous aide pour monter votre tante ? "

Le Prince essaya tant bien que mal de sourir, mais il avaitpeur du resultat tant il se sentait gauche.

* Pourquoi Syrn n'est pas là pour détendre l'atmosphère, pour une fois que j'ai besoin de lui § D'ailleurs, je commence à m'inquiéter, froussard comme il est, il aurai déjà dû revenir me trouver... *

Vasco leva les yeux au ciel, le ragard inquiet, mais il avait une mission.

" Euh... Vous... Je, je ne me souvient pas très bien de la première tâche que nous allons accomplir, vous pouvez me la rappeler ?

Je pense qu’un petit récapitulatif ne sera pas de trop, non? La situation est pourtant simple…

Une poupée au boucles dorée décida de percer le mystère de la légende des jumeaux qui flâne sur le jardin des « milles-questions » au verger de Luminis. Après une longue route, elle arriva au portail, qui s’ouvrit comme par enchantement sous la pression de ses mains de princesse. Toujours aussi curieuse, elle découvrit ce qui semblait être une zone de combat, avec en son centre un homme aux cheveux noirs pour un regard de braise.

L’homme en tenu de combat, au regard méfiant semblait vivre le plus ardent des combats. C’est de la que commença la mise en scène des Jumeaux. Alors que l’étranger se voyait combattant, la jeune femme quand à elle, assistait à une pièce de théâtre faussement dramatique.

Le premier commun fut l’explosion et l’apparition d’ombre qui leur donnèrent des indication sur douze travaux à réaliser en douze jours, si l’on ne connait pas la légende, comme cela devait être le cas du jeune homme, la situation peut sembler critique. Si à la fin des douze jours, les travaux ne sont pas réaliser, ils resteraient coincés à jamais entre « milles-questions ». Ainsi victime de la mise illusion ils écoutèrent, la jeune femme en prit même des notes.

Fin de la mise en scène, retour à la réalité, tout deux au milieu du jardins, elle décida de le prendre avec elle. S’approchant de plus en plus, il lui expliqua qu’il ne pouvait la laisser seule. Ah… la chance d’être une jeune femme aux apparences fragiles, comme elle pouvait en jouer parfois. Il lui dit aussi qu’il n’avait pas tout compris, elle prendra un temps pour lui dire la vérité, allons ne laissons pas nos alliés dans le doutes, non?

Après une scène tragique sur l’état déplorable de sa cape, elle était foutue. Quel idée de dire cela à une folle de l’aiguille, le raisonnement dans la tête de notre poupée était d‘une évidence affligeante, vous aussi non? Vous savez ce qu‘elle pensa à cet instant… Elle pouvait bien faire cela, pour lui, l’homme qui avait décidé de céder à ses caprices de princesse, malgré lui dans un sens.

- Je m'appelle Vasco et je n'ai pour seul bagage que cette épée, mais ne vous en faites pas, je peut dormir à la belle étoile... En venant, j'ai repérait une petite clairière qui devrait faire l'affaire pour un campement, vous venez ?

Le visage de Momoe rougit à son tour, il avait un bien étrange prénom, mais était-elle la mieux placée pour critiquer? Elle le contempla et décida de le suivre, une clairière, c’est pratique, mais surtout c’est jolie. Oui chacun ses critère de sélection. La jeune femme prit le pas de son nouveau compagnon de route. Arrivée de la rivière, elle soupira de bonheur s’étira et déposa son gros sac d’aventurière.

Un petit tour du propriétaire et elle trouva l’endroit pour dresser la tante dans les meilleures conditions, elle sortir simplement la toile se posa devant et tourna le poignet à toute vitesse, alors que son étrange compagnon semblait un peu inquiet de la voir immobile devant sa toile.

- Euh... Vous... vous voulez que je vous aide pour monter votre tante ?

Momoe se retourna et souriant et leva les bras vers le ciel, entrainant la toile avec elle. Elle ne tournait pas les poignet sans raison, et elle n’avait pas disposé la toile sur le sol de cette façon sans raison, une tante unique pour une femme étrange. Elle rougit et murmura en souriant fièrement, alors que la tante se dressa derrière elle, comme par magie, sous le visage surpris de Vasco.

- Je ne pense pas que cela soit vraiment utile, non?

Mais la tante n’est pas la seule chose qu’il faut pour un camp. Elle se frotta les mains fièrement et déposa Vasco, pour reprendre son agencement. Alors qu’elle commençait à ramasser le bois pour le feu, suivi par son étrange partenaire. Il demanda encore un peu gêné.

- Euh... Vous... Je, je ne me souvient pas très bien de la première tâche que nous allons accomplir, vous pouvez me la rappeler ?

Momoe sans se retourner, répondit sur un ton amusé et tendre, continuant son œuvre minutieusement:

- Nous en parlerons autour du feu et du repas, si ce fait tard et nous avons encore beaucoup à prévoir avant la nuit, vous ne pensez pas?

Un sourire, un regard et Le temps passa, elle s’occupa du feu et du repas, alors que lui finit les autres taches, déplacer des troncs pour le confort, sécurisait la zone, la nuit commença à les couvrir de sa noirceur.

Le soir finit sa course, le camp était en place, comme il se doit. Momoe avait préparer le feu, il l'avait allumé, elle avait préparé le soupé, du riz avec des épices et un Ikloo en désert.

Ikloo: n. M. fruits du Ikloola, grande teneur en sucre et en vitamine, le ikloo est de couleur violet à la chair verte ou bleu, tendre et juteuse. il est rare et représente un symbole d'équilibre dans l'écosystème.

La jeune femme était assise sur le tronc en face du feu, découpant le déserts en dé, après avoir déposé la casserole de riz sur le feu.

*Mine de rien, en plus d’être beau, il est efficace et serviable, je ne pensais pas qu’il resterait..*

Un sourire tendre étira le visage de notre chère enfant, perdue dans ses pensées de jeune femme, elle n’avait aucune honte à le dévisager, lui, l’homme qui s’occupant du feu. La lumière éclairait son visage aux traits fins, faisant briller ses cheveux de jais, de reflet dorée, le reflet des flammes dans ses yeux de sang faisait partie de ses beautés éphémères que l’on ne peut oublier. C’est alors qu’il la regarda, elle rougit. Elle sourit, elle assise sur un tronc, pensif à le regarder œuvrer pour maintenir le feu. Elle reprit pour ne pas laisser sa gêne, d’une voix angélique:

- Je… Je voulais vous dire Merci, vraiment, cela n’est pas tout les jours qu’un homme reste pour suivre mes caprices, je suis affreusement touché, en plus d’être gentil, vous êtes serviable et efficace…

Elle sourit et reprit d’un ton amusée:

- Je vous ai vu cette après midi coupé les branches sur mon chemin et ainsi de suite… Merci Vasco.

Ah!!!!

Sans lui laisser de répit, elle se précipita prés de lui, qu’allait-elle faire? Non je vous rassure elle ne lui sautait pas dessus, elle se contentai de venir retirer le riz du feu, car perdue entre gêne et méditation, elle l’avait un peu oublier. Mais dans cette précipitation, elle se retrouva presque contre lui.

- Le riz…

Elle déposa la casserole et se releva dans un geste brusque, les larmes aux yeux, en se tenant le doigt. Son regard se plongea dans celui de son compagnon, ses joues roses et ses yeux ayant pris la couleur rouge de douleur, comme ceux de son compagnon d'ailleurs, alors que la distance entre eux , était presque indécente, elle murmura:

- Je…. C’est-à-dire que… je… je me suis brulée…

Momoe baissa la tête, et se retourna vers la casserole et le sac. La situation étant un peu trop gênante, même pour elle. Elle servit deux bols et en déposa un dans les mains de son compagnon et s’assit à coté de lui. Tournant son bol doucement pour se réchauffer. Il fallait casser ce silence assez pesant, elle reprit de sa voix timidement sensuel:

- Je pense qu’il serait préférable que je vous explique toute la situation, la légende, les jumeaux, la situation, les travaux… après tout nous sommes ensemble pour minimum douze journées, non?

Elle releva son regard de nouveau azur, se plongea dans celui de son compagnon, et elle sourit tendrement, chaleureusement, ses pommettes roses, assise prés du feu, prés de lui…

Vasco et la jeune arrivèrent donc dans une petite clairière entourait d'arbres plutôt impostant au profond feuillage vert. En plus de leur assurer une protection non négligeable, les arbres les protégaient du vent, si jamais se dernié venait à souffler sur les jardins et la clairière était assez large pour placer un campement relativement confortable. Seulement voilà, depuis qu'ils s'y étaient arrété, Vasco ne pouvait s'empêcher de s'intéroger sur la jeune femme qui avait soudainement fait irruption. Cette dernière ne semblait d'ailleurs presque pas chamboulait par ce qui venait de leur arriver.

De plous, la présence de la jeune femme, Momoe d'arpès ces dires, mettait le Prince très mal à l'aise. Il ne pouvait s'empecher de la regarder de temps en temps, oubliant totalement la tache qu'il devait accomplir, la nuit n'allait pas tarder à tomber et il fallait à tout pris monter le camps et faire un feu avant que la pénombre ne les engloutissent. Ainsi, après avoir assisté au montage d'une tante de plus intriguante, Momoe lui affirma qu'elle lui expliquerait tous une fois devant un bont feu de camps. Aussitôt, les deux "compagnons" se mirent en quête de bois. Il leur fallu un bon quart d'heure avant d'en avoir une réserve suiffisante afin de passer la nuit sans trop se soucier d'aller retrouner chercher du combustible afin que le feu flabois et qu'il les protège des bêtes sauvages qui ne devait pas manquer de trainer dans les parrages. D'ailleurs, en parlant de bêtes, il laissa seul Momoe quelques instants afin de sécuriser le tour de leur territoire provisoire.

Marchant lentement entre les tronc d'arbes, Vasco cherchait la trace de quelconque prédateurs. Il n'en trouva que de très infimes traces, ce qui laisser à penser que l'animal, un loup solitaire d'après les empreintes, était passé là depuis déjà plusieurs jours, il devait donc ne plus être là, il ne les dérengerais pas. A par le loup, le Prince repéra plusieurs nids d'oiseaux habitait ainsi que quelques terriers de lapin. Se servent de branche souples, il confectionner plusieurs pièges déstiner à en attraper quelques uns, histoire qu'il est un peu de viande à se mettre sous la dent, après, Vasco n'avait aucune provisions, il fallait bien qu'il contribue à trouver e la nourriture. Avant de retrouner au campement, il leva les yeux au ciel qui commençait déjà à s'assombrir, espérant peut-être y voir une tache violette.

* Syrn, tu m'inquiette, je t'en pris, reviens vite... *

Encore une fois, le remord envahie Vasco, il n'aurait jamais dû laisser cet entêté partir seul. Néanmoins, Vasco retourna au centre de la clairière, Momoe avait terminer de préparer le feu, il ne restait plus qu'à l'alumer, Vasco se proposa tout naturellement pour cette tache. Momoe lui tendit un brquet à amdout. Après plusieurs essaies, une faible fumée s'éleva du petti tas de bois sec qui fut bientôt rejoint par quelques branches plus imposantes, en quelques minutes, le feu était partie, il suffisait à présent qu'il tienne toute la nuit. Alors que Vasco se relevai, il s'apperçut qu'il manqué encore une chose, de quoi s'assoire. Balayant l'espace du regard, il reperra un petit tronc d'arbe assez épais pour pouvoir s'y installer conffortablement et pas trop lourd pour pouvoir être roulé, ce qu'il entrepris de faire, le rapprochant du feu. Une fois cette tache accomplis, il alla remplire d'eau la petite casserole que lui tendit Momoe.

En arrivant, il avait entendut non loin du bosquet le murmure d'un ruisseau, après quelques minutes de recherches, il le trouva enfin. Il n'était large et profond que d'un mètre environs, mais c'était largement suffisent. Plongeant la casserole dans l'eau claire, Vasco se souvint alors de sa blessure au niveau des côté, il se dit qu'un petit nétoyage lui ferrai le plus grand bien. Posant la casserole d'eau au sol, il tata de sa main l'endroit d ela blessure. A son grand étonnement, il ne la trouva pas et ne ressenti aucune douleur. Soulevent légèrement son habit, il observa sa peau lisse et sans marques là où auparavant se tenait quatres trous sanginolant.

* Mais bien sûr, ces êtres n'étaient que des illusions, les blessures qu'ils m'ont infligé en étaient aussi... *

Rapidement, il tatta son torse et son dos, effectivement, il n'avait plus aucune douleur causaient par le combat qu'il avait pourtant mené à peine une heure auparavant. Contant de cette bonne nouvelle, il retrourna au près de Momoe, tout en vériiant les différents pièges qu'il avait posé, mais aucun d'eux n'avaient pris quelque chose.

Momoe s'occupa ensuite de préparer le repas, pendant ce temps, Vasco l'observait. Il l'a trouvé très jolie, avec ses boucles souples bougaient à chacun de ses mouvement, lui encadrant merveilleusement bien son visage toujours souriant. Mais dès que leur regard se croisaient, Vasco détournait les yeux, et sa peau de marbre prenait un peu de couleur.

Le feu crépitait joiellesement sous la casserole dans laquelle du riz et des épice cuisaient doucement. La clairière était à présent plongait dans les noir, leur feu était la seule source de lumière et de chaleur. La lumière des flammes couplé aux ténèbres de la nuit avait totalement transformer le paysage, a prèsent, les arbres, d'un aspect si protecteur en journée, s'emblais à présent abriter milles démons près à surgir. Mais Vasco n'avait pas le coeur à la peur. Ses pensée étaient pensée vers deux choses. La première, réussir à dires plus de quelques mots sans baffouiller pitoyablement, la seconde, a esprérer le retour de son hibou. Soudain, il se senti observait, levant les yeux du feu de bois qu'il était en train de triturer avec un bois de bouts, ses prunelle proupres rencontrairent celle azures de la jeune femmes, ils s'observèrent quelques instants, les joues de Momoe prirent une jolie teinte rosé, tandis que Vasco sentait les siennes s'enflammer. Le jeune femme pris alors la parole.

- Je… Je voulais vous dire Merci, vraiment, cela n’est pas tout les jours qu’un homme reste pour suivre mes caprices, je suis affreusement touché, en plus d’être gentil, vous êtes serviable et efficace… Je vous ai vu cette après midi coupé les branches sur mon chemin et ainsi de suite… Merci Vasco. Ah!!!!

Vasco sursauta, ne comprenant absolument pas se qui se passait, un prédéteur venait-il de surgir dans son dos, dans tout les cas, Momoe se jetta pratiquement sur lui. Le corps de la jeune femme effleura celui du Prince qui ne savait plus ou ce mettre.

* Mais enfin, qu'est-ce qui lui prend tout d'un coup ? *

C'est alors qu'il comrprit, le riz, elle retirait juste le riz du feu, mais elle se redrassa brusequement, un doigt dans la bouche, elle c'était brulé dans sa précipitation. Cela fit sourire Vasco, jusqu'a ce qu'il remarque les yeux de la jeune femme, des yeux rouge, des yeux identique aux siens. Cela faisait bien lontemps qu'il n'avait pas vu de prunelles semblables autre que dans son reflet depuis l'assassina de sa famille. Cela lui fit un choc, que faisait-il ici, avec cette femme, il avait une mission, il ne devrait pas s'attarder, après tout, elle semblait plutôt bien se débrouiller toutes seul, mais une petite voie dans ça tête disait tout le contraire.

* Je suis bien avec elle, je me sens apaisé, comme jamais je ne l'avait été depuis ce jours tragique, et puis, je ne peut pas l'abandonner ici, toute seule, se ne serai pas digne d'un prince... *

Momoe le sortit de sa reverie en lui tendant une bol de riz qu'il pris en la remerciant, encore un peu sous le choc, timidement, il leva de nouveau ses yeux vers les siens, ils avaient repris une douce couleur bleu.

- Je pense qu’il serait préférable que je vous explique toute la situation, la légende, les jumeaux, la situation, les travaux… après tout nous sommes ensemble pour minimum douze journées, non?

Vasco avait percu ses parole comme un bruit de fond, tant il était occupé à regarder le visage de Momoe, si beau, son sourire si joyeux et ses yeux d'une tel profondeur qu'il se noyait dedans. Son visage était si proche du siens, leur corps se touchaient presque. Dans un murmure, Vasco répondit à la jeune femme, toujours occupé à la regarder.

" Oui, quelques expliactions me serait d'une grande aide afin que je puisse savoir de quoi je vais devoir vous protéger... Car soyez en sûr, je ne permettrai à personne de vous faire du mal tant que je serai à vos côtés... "

Le silence avait envahie la petite clairière, même les crépitement du feu semblaient s'être affaiblies, plus rien ne bougeait. Quand soudain Vasco s'entie quelques chose lui effleuré la jambe...

" Ouép, moi aussi j'aimerais bien quelques explications, c'est qui cette minette ?...Eh ! Prince de mes deux c'est à toi que je caaauuuuuse ! "

L'affreuse petite voix de crecelle fit sortir Vasco de sa torpeur, cette voix, ce ton suppérieur, il ne le connaisait que trop bien, c'était celle de Syrn.

" Bah alors gros nigaud, tu m'entend ou je dois mordre la blondasse pour te faire... "

L'oiseau n'eu pas le temps de finir Vasco l'attrapa par le cou d'une main, de l'autre, il lui immobilisa les ailes. Se relevant, il s'éloigna du feu en "compagnie" de Syrn qui ne comprenait pas du tout ce qu'il se passait. Une fois qu'il se fut assez éloigner, il relacha le cou de l'oiseau, mais continua à lui maintenir les ailes.

"Eh bien quel accueil ! Moi qui me faisait une joie de te revoir, je me retrouve traiter comme un vieux sac à pattate ! Y suffit que je m'absente quelquess heures pour que tu te me trouve une remplacante ! Et puis... "

"La ferme ! Ecoute moi bien, sale petit oiseau de malheure, tu vas allé présenter tes excuses à Momoe, et c'est comme ça que tu l'appelera a partir de maintenant, tu oublie, les surnoms foireux dont tu es le spécialistes, ou sinon au petit déjeuné de demain matin, il y aura du hibou en brochette, c'est claire ?! "

Dans les yeux du hibou se lisait une haine intence envers Vasco, ce dernier savait pertinament que l'animale n'apprécié pas du tout de se faire sermoner de la sorte. Lentement, Vasco déssera sa prise qui s'envola dans le ciel sombre. Il réaparue quelques instans plus tard près du feu, à coté de la jeune femme. Vasc se rapprocha pour pouvoir entendre ce que l'oiseau allait dire.

" Je vous pris de m'excuser, je n'aurais pas du vous parler de la sorte. Je suis Syrn, compagnon de voyage de Vasco et suis heureu de faire votre connaissance... "

La voie du hibou était redevenue normal, aigu, mais normal, son aire suppérieur c'était effacer, a présent, il fesait profil bas, il s'avait qu'il avait déçu Vasco... Il alla près du tronc, sauta dessus et sembla s'y ratatiner. Vasco s'assie entre lui et Momoe, l'apparition plusque disourtoise de Syrn avait ravivé la gêne du Prince envers la jeune femme, qu'il n'osait plus regarder...

" Excusez-le, il ne connait pas le mot gentillesse... J'espère que ses paroles ne vous on pas trop blessée... "

Vasco, les yeux rivaient sur les flammes, il ne voulait pas croiser le regard de Momoe, trop honteux par l'arrivée de son "ami", le voilà qui se renfermait dans sa coquille. C'est d'une voix éteinte qu'il posa une question à la jeune femme.

" Pouriez-vous me donnez quelques explications sur... sur ces jumeaux et les travaux, vous semblez en savoir un peu plus que moi... "

D'une main, Vasco repris son bout de bois et attisa les flammes, des étincelles s'envolèrent dans la nuit...

Momoe contempla Vasco qui la dévisageait, il ne devait avoir entendu qu’un mots sur deux, mais elle se moquait bien de ces détails, après tout elle lui répèterait autant qu’il le faudra. Ainsi perdue en contemplation, dans le souffle d’un murmure, il lui demanda d’identifier ce qu’elle ne connaissait pas le danger, alors qu’elle ne savait comment réagir entre le plaisir de le voir si dévoué, si attentionné, et la gêne engendrait. Elle se contenta de sourire , et alors que la paroles allait lui revenir elle entendit la crécelle.

C’était un beau hibou violacé, aussi élégant qu’un éléphant dans la boue. Chaque ouverture de becs, donnait naissance à une vagues d’atrocité. Momoe contemplait de compère, un peu comme un vieux couple qui se dispute le dernière morceau de viande, un duo de comique, mais elle se retenait de rire, bien trop sage pour les déranger. Elle ne put étouffer son amusement quand il reprit sur la blondasse.

Vasco visiblement outré par le comportement peu courtois de son oiseau aussi il le saisit par le cou, Momoe se leva pour le rattraper mai se rassit après tout cela ne la regardait pas non? Ils discutèrent un peu tout les deux. Pauvre hibou au vu de comment il le tenait, il devait en prendre pour son grade, une belle scène de remontrance ou le couple passe au stade de maîtrise. Elle attendit sagement, et prépara un petit pot avec un assortiment de graine, plus ou moins rare qu’elle posa sur l’arbre à ses cotés.

Ce fut le retour du volatile, visiblement un peu triste et rageux, elle écouta poliment ses excuses et lui sourit. Et Vasco enchaina sur des excuses, elle ne pouffait plus se retire de rire, entre la gêne et la situation qui les entouraient. Le voila qui redemandait des explications, elle se releva pour les regardait tout les deux et se mit à rire au éclat un rire pure et sincère:

- Pardon je suis désolée, mais vous êtes tout les deux si drôles…

Elle s’approcha du maudit volatile, et lui caressa le dessus de la tête de sa main fine, si il avait pu rougir il serait telle la tomates au soleil dans le sud de la France, bref elle le regardait tendrement.

- Ce n’est pas la peine de te forcer, tu peux m’appeler comme tu veux, tu peux même me tutoyer, cela ne me dérange pas… mange c’est pour toi…Syrn.

Puis elle lui murmura, sur le ton de l’amusement, comme pour le mettre dans la confiance, le secret partagé par ceux seul, une preuve de confiance et de pardon:

- Maintenant il me reste plus qu’a aller le convaincre lui de faire de même…

elle se retourna et s’approcha doucement de Vasco un sourire taquin au lèvre, se balança, les bras en arrière, comme une enfant avant se de poser délicatement à coté de lui . Elle le regarda faire un instant, voyant combien il semblait gênée de cela, puis finit par lui dire:

- Ca vaut aussi pour toi, si tu restes avec moi, tu m’appelles Momoe et tu arrêtes le vous.. . D’accord?

Comme pour joindre les mots à la paroles elle adressa un clin d’œil à l’hibou et embrassa Vasco sur la joue. Puis se mit à rire, se pliant de rire, mais ce fut de courte durée, elle se rappela de la question:

- Bouge pas je reviens…

Comme si il allait quitter le poste qui pouvait presque camoufler sa gêne, elle se précipita dans sa tante, et chercha au moins dix bonne minutes. La jeune femme revint avec un livre qui semblait ancien, et poussiéreux, elle s’assit l’invitant de la main à venir le rejoindre, elle le contempla venir vers elle, ne pouvait détacher son regarde du sien, puis se reprit, retourna a la vision du livre, qu’elle ouvrit pour lui expliquer:

- Viens assit-toi, alors… Il y est du qu’il y aurai des esprit farceur, ou petit esprit malin, qui vivent sur les plaine de lucina, et un peu plus loin, il parle de trésor et de richesse, et de chance, alors cela m’a faite rire… Ah et la il parle de travaux exagérés, d’un coté théâtrale qui touche directement le cœur des gens, c’est leur pouvoir, donc si réfléchit, je n’ai pas eu la même vision que toi au départ.. Enfin bref… et donc l’autre jour j’étais dans une taverne pour me restaurée, et j’ai entendit la rumeur sur un jardin parallèle à celui de Luminis, donc je suis venue voir… et voila…

Momoe le regarda un peu honteuse de son explications égoïste et prétentieuse, alors elle reprit, en rougissant, un sourire fière mais gêné au lèvres:

- Ne t’imagines pas que je soit de ses personnages qui cherche l’aventure pour conter leur exploit ou pour se faire peur…

Syrn était enfin revenue, où était-il passé, Vasco n'en savez rien, et il préféré ne pas le savoir, de toute façon il avez d'autre chose à penser, comme l'étrange mission que ces êtres leur avait donné un peu plus tôt. La jeune était plongé dans ses pensé, il essayé tant bien que mal de comprnedre ce qu'on lui demandé, mais tout était flou dans son esprit. Au moins, tant qu'il refléchissait, il n'avait pas à regarder Momoe qui lui faisait à chaque fois perdre tout ses moyens. D'ailleurs, il fut supris de la voir en face de lui, il ne l'avait pas vu se dpélacer.

- Ca vaut aussi pour toi, si tu restes avec moi, tu m’appelles Momoe et tu arrêtes le vous.. . D’accord?

Au son de cette vois, le prince leva les yeux et se perdit dans les yeux de la jeune femme.

" Très bien, si vous.. euh.. si tu veux... mais..."

Mais... Mais rien du tout, Momoe ne le laissa pas enchainer que déjà elle se pencha vers lui pour lui donner une petite bise sur la joue avant de se redresser, rigolant de plus belle. Vasco était d'un rouge rare, heureusement pour lui, l'obscurité embiante cammouflé un peu sa gène. Alors qu'il essayer de se ressaisir, le jeune femme s'éclipsa dans sa tante pour y chercher quelque chose. En attendant son retour, les yeux du jeune homme vagabondèrent sur leur campement improvisait et tombèrent sur Syrn en train de manger quelques graines que Momoe lui avait certainement donné lorsqu'il était plongé dans ses pensée. Vasco s'en voulait soudain du ton avec lequel il avait réprimandé son ami, après tout, Syrn était toujours comme ça, il ne pouvais pas changer d'un calquement de doigt.

D'ailleurs se dernier pri la parole d'une voix relativement basse, peut-être pour ne pas se faire entendre de la jeune femme.

" Alors, qu'est-ce qui c'est passé, c'est qui cette Momoe et ta cape, tu en as fait quoi ? "

" Pour tout te dire, je ne sait pas grand chose sur elle, je ne sais pas de quelle monde elle viens. J'ai était attiré dans ces jardins par un cri, et je me suis retrouvé avec elle. Si j'ai bien tout compris, quelqu'un nous à donné une mission. Pour ma cape, elle est littéralement parti en fummée..."

" J'espère que tu ne lui as pas trop parlé de toi si tu ne sais pas d'où elle viens... "

" Qu'est-ce que tu veux dire, je ne comprend pas... Tu pense que je devrais me méfier d'elle ? C'est ridicul enfin ! "

" Dois-je te rappeler que tu es recherché ? Si sa se trouve, cette fille à tout inventé et elle te fait gentilment patienter ici jusqu'à l'arrivé de ses copains qui vont t'embarquer illico presto dans une geole de Tenamas ! "

En entendant ces mots, Vasco se rendit compte de l'imprudence auquel il avait fait preuve. Après tout, cette gentillesse était peut-être une feinte, la trahison, il connaissait, et il savait qu'elle pouvait prendre n'importe qu'erle forme pour vous séduire avant de vous poignarder dans le dos...

Le Prince aurait aimé répondre à Syrn, mais Momoe revint à cet instant. Vasco s'arrangea pour effacer toute trace de suspition sur son visage et vint s'assoir près de Momoe qui lui aisait signe. La encore, les yeux de la jeune femme interceptèrent les siens, comme à chaque fois, Vasco ne put s'empêcher dans explorer les profondeur, mais une sorte dereserve c'était emparé de lui...

* Et si tout cela n'était qu'une superbe comédie, une illusion destiné à m'abattre... *

Le Prince était à présent assis tout proche de Momoe, étrangement, sa gène avait disparue... Cette dernière avait apportait un livre qui semblait assez vieux, recouvert comme il était par sa reliure de cuir.

- Il y est du qu’il y aurai des esprit farceur, ou petit esprit malin, qui vivent sur les plaine de lucina, et un peu plus loin, il parle de trésor et de richesse, et de chance, alors cela m’a faite rire… Ah et la il parle de travaux exagérés, d’un coté théâtrale qui touche directement le cœur des gens, c’est leur pouvoir, donc si réfléchit, je n’ai pas eu la même vision que toi au départ.. Enfin bref… et donc l’autre jour j’étais dans une taverne pour me restaurée, et j’ai entendit la rumeur sur un jardin parallèle à celui de Luminis, donc je suis venue voir… et voila…

Tout en parlant, elle désignait du doigt quelque passage du livre que Vasco lidsait en partie.

* Visiblement, se qui nous arrive concorde avec ce qui est écrit la dedans... *

D coin de l'oeil, il vit Syrn se rapprocher, ce dernier regardait Vasco avec insistance. Le Prince se leva alors et fit quelque pas, sortant quelque peu du cercle de lumière, les yeux fixé vers les arbres plongeaient dans les ténèbres de la nuit.

" Alors ce serai ces esprits que nous avons rencontré cette après midi... Je crois que la première des taches parlait d'une barrière qu'il faudrait suivre et d'une cloche, il nous est impossble de "jouer" après les douze coups de la nuit... Inutile donc de nous mettre à la recherche de la cloture tout de suite... "

Finalement, Vasco se décida à refaire face à Momoe.

" Je propose de nous coucher tous de suite, il y a fort à prier que demain sera une rude journée de marche... Ne vous... Ne t'inquiette pas pour moi, je vais dormir pret du feu... "

La livre avait quelque peu rassurer Vasco sur la véracité des propos de la jeune femme, mais les parole de Syrn résonaient encore dans l'esprit du Prince déchu...

Les crépitements du feu, les lumières ardentes qui dansent sous les regard de la lune, un bine étrange rencontre pour une bien belle aventures, Momoe ne voyait pas le doutes ou les soupçons dans ce monde qui était le sien, mais à dire vrai qu’elle est réellement ce monde qui est un peu comme le votre mais pas réellement comme il devrait être, simplement le sien. Après cette belle explication pleine de Magie et de passion sur la légende des jumeaux et sur le ridicule des épreuves elle le regarda.

L’atmosphère était devenue beaucoup plus lourde, plus pesante autour d’elle, malgré la chaleur des flammes, un frisson l’avait parcourue. Elle le regardait et ferma le livre doucement, ses mains blanches et fines se crispèrent un peu, d’un coup d’œil subtile elle regarda le hibou et son cœur se serra. Pour sur qu’elle ne comprenait pas le langage des animaux, bien que celui-ci parler l’humain, mais il n’était plus la boule de plume aux mauvais caractère, il était plus froid, plus loin, plus neutre, plus calme, plus sage, plus méfiant. Elle ravala sa salive et regarda le prince.

Vasco était debout, il était si grand qu’elle le voyait proche des cieux, ce qui la fit sourire, mais le regard du jeune prince était bien plus pesant que la nuit, il le détourna bien vite. De ses pas lent et lourd de réflexion il s’écarta de la lumière, comme pour se plongeait dans les ténèbres. Le noir d’une nuit sans étoiles, un brasier et un prince au yeux de sang, elle le contemplait alors qu’il lui expliquait:

" Alors ce serai ces esprits que nous avons rencontré cette après midi... Je crois que la première des taches parlait d'une barrière qu'il faudrait suivre et d'une cloche, il nous est impossible de "jouer" après les douze coups de la nuit... Inutile donc de nous mettre à la recherche de la clôture tout de suite... "

Ces paroles semblaient si froide, réfléchies mais si froide, elle le suivait du regard, oubliant le hibou et ses mains de plus en plus crispées et son regard de plus en plus triste. Que se passai-il dans sa tête? Pourquoi s’éloignait-il? Avait-elle fait quelque chose de mal? L’avait-elle déçue? Le camp était pas à son gout? La nourriture, était pas dans l’habitude de son palais? Avait-elle porter un affront sans le savoir? Une foules de questions, des plus censé au plus froides , elle releva les yeux et vit qu’il était de nouveau face a elle, plongeant son regard de braise ou les flammes dansaient et ou les femmes pouvaient se perdre.

" Je propose de nous coucher tous de suite, il y a fort à prier que demain sera une rude journée de marche... Ne vous... Ne t'inquiète pas pour moi, je vais dormir prêt du feu... "

Momoe le regarda, s’approcha de lui, il étai vraiment grand, elle monta sur une pierre sans détacher son regard, loupant la marche comme on dit, elle se rattrapa a son bras mais garder sa mine sérieuse et son retard perçant qui ne voulait céder dans les flammes et le sang de son étrange compagnon de voyage. Le regarda à une hauteur maintenant égale elle rougit et se mit à rire au éclats:

- J’allais te demander pourquoi tu était si sérieux d’un coup, mais.. Mais… en voyant combien la scène était ridicule…

Elle redescendit et lui fit signe de la main, dans un déhanché désinvolte et lourd de sous-entendu, lui lançant, comme parlant dans les airs, avec un vois forte, un peu pour parler au hibou ou au prince:

- Il est bon de douter de l’inconnue, mais je ne suis pas un monstre.. Je ne fais que jouer les aventurières avec des esprits malins et un homme au regard de braise, qui illumine les cieux quand il rougit…

A la fin de sa phrase elle entra dans la tente et un certain moment passa doucement. La belle poupée se défit de ses vêtements délicatement, les laissant tomber un à un, les ombres dans la tente devait dessiner son corps au yeux de tous mais elle ne faisait pas attention a ses détails, elle se contenter d’écouter les conseil de l’homme du camp, se préparant pour la nuit. Une fois vêtue de sa robe en soie blanche, ses sandales de fins liens noirs , son gilet de fourrure grise et les cheveux attachés d‘un ruban de satin, sans la moindre armes, avec simplement des couvertures et son sourire. Elle s’approcha et lui dit déposant les couverture et le morceaux de cuir au sol, commençant même à faire un lit de fortune le prince.

- Je pense que tu seras bien mieux la dedans, vu que tu veux rester prés du feu…

Momoe le regarda, il était vraiment d'un beauté unique, ses cheveux de jais, dieux seule sait combien elle voulait y passer les mains et sa peau blanche pour son visage angélique, ce regard sang qui vous transperce aussi envoutant que le sien. Elle se frotta les bras, luis souriant, fière de son lit et détourna un peu le regard gênée de devoir demander cela. Elle se racla la gorge dans un soupire et finit par lui dire timidement:

- Je peux pas rester encore un peu avec toi?

Et elle éternua…

Spoiler:

Vasco n'avait jamais vraiment réussi à cacher ses changements d'humeur, pourtant, cela lui aurait bien servit à l'instant. En effet, Momoe avait tout de suite remarqué que quelque chose avait changé en lui, que quelque chose le troublait. Vasco était à présent assez proche d'elle. Cette dernière tenta de se lever, mais elle trébucha sur une pierre et se rattrapa au bras du Prince. Leurs yeux se rencontrèrent...

C'est à cet instant qu'il compris qu'elle avait compris.

- J’allais te demander pourquoi tu était si sérieux d’un coup, mais.. Mais… en voyant combien la scène était ridicule… Il est bon de douter de l’inconnue, mais je ne suis pas un monstre.. Je ne fais que jouer les aventurières avec des esprits malins et un homme au regard de braise, qui illumine les cieux quand il rougit…

Immanquablement, Vasco baissa le regard vers le sol, son teint pâle pris un peu de couleur.

* Comment fait-elle pour lire aussi bien en moi ? Es-ce de ma faute, es-ce moi qui les lui révèle inbconsiement, c'est possible... *

Sentant que ses joues c'étaient refroidies, Vasco jugea qu'il était temps de relever la tête. Mais Momoe avait déjà disparue dans la tante. Sur la toile, en contre jours, la silhouette de la jeune femme apparue. Vasco la vit retirer peu à peu ses vêtements. Genait, il détourna le regard, le plongent dans les flammes du feu de camps. Aussitôt, une vision l'assaillit, celle d'une ville magnifique qui partait en fumée, prisonnière de hautes montagnes noirs, des cries dans les rues, des cavaliers armés de lances, sa mère lui huralant de fuire, sa soeur tombant sous les coups des soldats. Une larme perla au coin de l'oeil du jeune homme qu'il essuya d'un revers de sa manche.

* Arriverais-je un jour à oublier cette terrible nuit ? *

Entendant du bruit dans son dos, Vasco se retourna, c'était Momoe qui revenait. Dans la tante, elle c'était changée. A présent, elle portait d'une jolie robe de soie blanche et un gilet de fourure. Elle déposa au sol couvertures et cuir grâce auquels elle confectionna un lit de fortune

- Je pense que tu seras bien mieux la dedans, vu que tu veux rester prés du feu…

Vasco bredouilla un simple oui, ses pensées étant toujours tournés vers ses ardents souvenirs. Quand il reposa les yeux sur Momoe, cette dernière le regardait, un frisson lui parcurue le dos.

* Ce visage, on dirait... un ange... *

Puis, elle se frotta un bras, comme géné, avant de poser une question à Vasco.

- Je peux pas rester encore un peu avec toi?

Un nouveau frission. Elle eternua. Rapidement, Vasco s'approcha d'elle, leurs visages n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Le cerveau de Vasco tournait comme au ralentie, la fin et délcieus parfum de Momoe s'insinua dans ses narines. Les yeux du Prince divaguèrent un instant sur le visage de la jeune femme. La voix de Vasco s'eleva, tel un murmur dans la nuit.

" Je ne c'est pas si c'est résonnable... Je... J'ai besoin de rester seul... pour cette nuit, au moins... et puis tu risque d'attraper froid.... "

Finalement, Vasco détourna les yeux. Quelque chose n'allait pas, dans sa tête, tout était en train de s'effondrer, les images se faisait plus insistantes, les flammes, le sang, Momoe, de nouveau les flammes, les corps détruits, sa soeur, son père, sa mère, le sang, le corps de Momoe, les lances, les cheveux, le bruit, Momoe morte, ses mains couverte de sang... Tout tourna autour de lui, il eu tout juste le temps de porter sa main droite à sa tempe avant de s'effondrer au sol...

-----

Es-ce la fatigue ? Non, je ne crois pas, c'est autre chose, c'est cette autre chose, la chose tapie en moi, cette chose ignoble, cet être noir qui me consume, j'en suis certain à présent, il est là, tout près, mais je ne le laisserai pas passer... Non, je l'arrêterais et le détruirais...

" Alors, tu aimes mon nouveau jeu ? "

Qui est-il, es-ce lui le monstre ? Devant moi, dans la nuit se dessine une forme ténébreuse, on dirait un homme, un homme constitué de fummées noires, mais son visage n'a rien d'humain, il n'a ni bouche ni nez et m'observe de ses grand yeux rouges.

" Vas t'en, tu n'es pas le bien venue dans ma tête !"

L'être poussa un rictus avant de s'évanouir.

-----

Vasco ouvrit les yeux, son corps semblait affreusement lourd. Combien de temps était-il restait sans connaissance, sûrement un certain temps, car l'aube commençait tout juste à peinter le bout de son nez...

Le feu crépitant sous les regard sanglant de ce prince déchu, la demoiselle n’avait le pouvoir de détacher son regard de lui, beau, sombre et d’une tristesse, sans égale, un tableau de mélancolie et de douceur noir. Alors qu’elle pouvait le voir perdu dans ses pensées, elle posa une question qui trouva réponse des plus troublante. Alors qu’elle frissonnait, le froid humide de ses nuit sans étoiles dans les forêts enchantées, lui transperçait jusqu’aux tréfonds de son âme. Elle Leva les yeux vers lui, attendant de trouver cette réponse, et ne vit que son visage.

Il avait les traits si fin, des traits délicat et pourtant tellement masculin, il ressemblait au définition des jeunes filles en fleur quand elle parle de leur prince charmant. Et leur regard se croisèrent de nouveau, les joues de la belle enfant se teintèrent de rose, elle ne pouvait cependant plus le quitter des yeux, elle ne le voulait pas le moins du monde d’ailleurs, hypothèse par la beauté de se brasier si proche qu’elle aurait voulu s’y plonger. Alors que sa voix suave, murmura qu’ils ne devraient pas, non il ne devrait pas rester ensemble encore un peu, elle vit son regard changer, rien de bien remarquable, comme un éclair brulant qui lui déchira l’âme.

L’instant unique, cette complicité qui venait de naitre entre ses deux visage proche à la limite de l’indécence vola en éclat, Vasco baissa les yeux. Quelques choses n’allait pas, non quelques choses n’allait vraiment pas… La douce enfant se redressa un peu le voyant perdu dans ses pensés, les yeux ne pouvant se fixé, cherchant une échappatoire à ce qu’il était entrain de voir, elle ne savait pas quoi faire, lui parler, l’appeler, le serrer? Comment réagir alors qu’il partait loin dans un monde qu’elle ne pourrait contrôler…

Le temps se stoppa, comme une pause, sur elle il tomba inconscient, elle le rattrapa, serrant ce corps dénuée de vie, à la respiration saccadée. Elle avait peur, peur de perdre, celui qu’elle n’avait pas pu connaitre et dont elle voulait tout découvrir, cette peur si grande si pure, fit perler sur ses joues rose, les larmes de son passé, allait-elle encore voir partir dans ses bras la vie d’une personne aimé? Elle pleurait. Chacune se ses larmes venait finir sa chute sur le visage du jeune homme, elle ne savait pas comment faire. Il tremblait, prit dans une spirale qu’elle ne pouvait arrêter. Un imposante, elle ne pouvait que le serrer, répétant:

Vasco, réveille-toi, Vasco… je t’en supplie ouvre les yeux… s’il te plait.. Ouvre-les…

Mais ses pleurs eurent raison d’elle. Elle serra le jeune homme, caressant ses cheveux, son corps toujours blottit contre le sien. Il semblait si mal. Les gouttes de sueur perlaient sur son front, elle attrapa un morceau de tissue et lui épongea le front. La respiration était douloureuse, lourde de souffrance et ses yeux prenait des rictus de douleur par moment, à quoi pouvait-il bien rêver? Elle ne le savait pas et ne pouvait que lui assurer la plus douce des étreintes, en attendant son réveil.

En parlant de douceur, on peut dire qu’il était en effet entre de bonne grâce. En effet lors de cette perte de conscience, le jeune homme avait basculer tête en avant, se retrouvant dans les poumons de la demoiselle, elle se redressa un peu, les couvrant d’une des couvertures. Le temps passa et toujours rien, bientôt le jours se lèverait sur eux, et elle continuerait à le veiller.

Les premiers rayons du soleil vinrent chatouiller les cheveux d’ébène du jeune homme, ce qui fit sourire la demoiselle, dans la nuit son sommeil s’était un peu apaisé, et elle avait pu profiter d’une vision angélique de ce prince noir. Elle pourrait presque le faire chanter, pour voir dormir comme un enfant contre elle toute la nuit, mais la n’était pas la question car enfin il ouvrait les yeux.

Momoe soupira de soulagement, caressant ses cheveux délicatement, en lui murmurant:
J’espère que ta nuit était bonne, moi je n’ai pas pu dormir, un jeune homme m’a fait une des plus grand frayeurs de ma vie, je ne le connais pas de puis longtemps, mais j’ai eu très peur pour lui…

Elle lui laissa le temps de se redresser et de comprendre dans quelle situation, et position, il avait passé cette nuit, qu’il aurait voulu seul, et lui dit avec douceur, remettant ses cheveux noir en place du bout de ses doigts délicat:

J’ai eu très peur, je ne sais pas si tu veux m’en parler, je te laisse reprendre tes esprits mais…

La douce enfant détourna le regard, et ses roses se teintèrent d’un rose délicat, quand elle murmura un peu gênée, en tripotant les plis de sa robe de soie blanche:
Si tu pouvais ne plus me faire peur de la sorte… j’ai pleurer tu sais… mais juste un peu…

Comme une enfant elle releva les yeux vers lui, attendant la réaction de ce prince sortant des songes…

Momoe Van Hell --> 8xp
Vasco Honem --> 8xp

Les xps ont été attribués Wink

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