Première exploration [Terminé]

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Un endroi bien étrange que voilà. Partout il y avait de grandes pointes de pierre. On aurait dis qu'il en a plus récement. L'herbe ressemblait à une mer d'émeraude. Le vent faisant bouger les plantes comme des vagues et virevoletant entre les pierres en sifflant.

Le sang du jeune rôdeur ne fit qu'un tour, il mis son masque, rabbatit sa capuche sur sa t^^ete et s'élança dans l'immense plaine qui semblait ne jamais finir, il s'escapa vers l'Est pendant des heures, en courant il regarda sur sa gauche, une étrange créature marchait en bas de la petite colline. Avec une queue étrange, on aurait franchement dis un rat en armure avec une énorme groseille sur le front. Cet endroi paraissait de plus en plus bizarre pour le jeune homme, lui n'ayant jamais quitté la forêt.

Puis tout au long de sa course le soleil la fit aussi, poursuivie éternellement par la lune qui allait se montrer, l"astre lumineux descendit dans sa tanière, laissant place au regard sur le monde de l'étoile créatrice. Fjord ne se rendit même pas compte que la nuit était tombée, une fois fait, la nuit était tombée et il réussit à entrevoir dans le contours du ciel un arbre à côté d'une pierre, il s'y rendit et cueillit quelques branches. Son fagot improvisé sous le bras, il continua de marcher et s'arrêta encore, posa sur le sol son tas de bois et tâta le sol avec les mains

"Hum... Pour un champ de caillous de cette taille il doit bien en avoir... Ah ! Un tas de pierre !

Il commenca à travailler un petit coin de terre, coupant l'herbe, écartant les racines, applatissant la terre, une fois fais, il placa en cercle le spierres qu'il avait trouvé. Puis mis le tas de bois dessus et frottta deux pierres l'une contre l'autre. Encore, encore et encore.

"Mais vas-tu donc t'allumer !"

Au bout de 30 minutes à frotter deux pierres comme un deumeuré, un rafalle d'étincelles s'en échappa et alluma un feu. Et là le tonnerre gronda et la pluie commenca à tomber en rideau sur cet étrange endroi, en nettoyant une demi-heure de calvaire. le tonnerre retentit encore. On aurait dis un chaton qui miaulait fièrement après son maître après avoir déchiré les rideaux.
Après une suite de mots étranges sur un ton laissant penser qu'il ne s'agissait pas d'une prière, il se releva et marcha sous la pluie. Il se redonna courage en chantant une berçeuse elfique que sa mère lui chantait pour l'endormir.

"Anar'alah, anar'alah beloreeeeee, Lyd'dorei, Shindu fallah na, Lyd'dorei, Anaar, Felaar, belore sin'doooo Lyd'do Lyd'Doreeeiiiiiii aaahaaaaaaa. Lyyhy'doreeei.... Lyyhyd'doreeeei..."

Au bout d'un moment il fallait forcément que ça lui tombe dessus, il avait attrapé la crève : il fut pris d'une toux grasse et d'éternuements en chaine, il continuait de marcher sous un torrent qui se moquait de lui par ses coups de tonnerres indifférents à la misère d'un pauvre homme malade comme un chien, un rat cherchant un abris dans les recoins moisis d'une ville pointée vers le ciel et dont l'inhospitalité des gens faisaient de leurs maisons à porte fermée à double tour des pierres pleines d'elle-même, tristes, immobiles et trempées. Si seulement il pouvait aperçevoir une caverne ou quelque chose comme ça. Mais rien, que la plaine indifférente qui avait pour seul travail de s'étendre à l'infini. Il finit par trouver un arbre suffisament touffu pour le protéger un minimum de la pluie. Il s'y posa et mis sa capuche, se blotissant contre le tronc. Il n'arrivait pas à dormir, à chaques fois qu'il fermait ls yeux, l'orage le ramenait au réveil. Et il entendit soudain des pas dans les feuilles mortes.

Une vaste plaine s'offrait dorénavant aux yeux émerveillés du Cormyr. Un bleu céleste s'opposait à de folles verdures dansant de leur grès avec le vent. Une danse macabre se dessinait dans la contré d'Harmonia tandis que de petites créatures insignifiantes courraient à perte de vue.
Une menace? Jolene était loin d'effrayer un lapin: et même si sa carrure imposante en laissait l'imagination des autres moindres, son je m'en foutisme en rassurait plus d'un.

La vision d'un ciel obscurcit par de gris nuages la laissait perplexe: la pluie n'allait pas tarder.
Ses satellites qui lui servaient d'oereilles ne captaient pas TF1... mais plutôt Arte... la vie des animaux était bien plus passionnante que celle des rochets, dalleur, elle se mit à cavaler en sautillant tel un cabri nouveau né le long de la plaine à la recherche d'éventuel compagnon de jeu.
La pluie n'allait pas tarder à tomber, un petit coups de tonnerre vint faire son effet: Lapinoux et sauterelles avaient disparus, laissant un moment Jolene perplexe, dans un dernier frétillement de queue. Elle leva la tête vers les nuages... Sale temps! À Lucina, la pluie était douce, chaleureuse, chaude et bénéfique. À bout de nerf par ce temps pourrie et ces animaux peureux, elle ne bougea pas et attendait patiemment que la pluie tombât.

"AAaaaaaaahhhh... FROID!!!!!" pensait elle

… sa tête chevaline penchée lui servait de gouttière à demi temps, elle avait prit l'apparence d'un chat mouillé: oreilles en arrières, crinière dégoulinant, mâchoire déserrée, pendante, queue relevée en panache... elle regarda vers le ciel un instant. Elle aurait pu le contempler s'il n'était pas aussi gris et menaçant... elle s'ébroua et décida enfin à marcher sur une cadence plus que rapide vers un abri.

Une fois dépassée la prairie et sans faire attention à l'endroit ou elle posait les pattes, plus pressée à atteindre un gros rocher ou un gros arbre qu'à regarder ou elle mettait les pieds: elle perdit l'équilibre sur un rocher plutôt arrondit et tomba comme une nouille tête la première sur le sol. Un éclair fit son apparition tandis que le tonnerre jouait les percussions pour éloigner les être vils.
Jolene grogna: la chute lui avait éclaboussée sa belle fourrure dorée, la tâchant ici et la de boue collante et sans saveurs. Tout en bougonnant, elle se remit debout. Et tandis une oreille: elle approchait un village... de gens, de citoyen, elle allait peut être avoir un peu d'hospitalité et surtout: de nourriture auprès des êtres vivants …

un cliquetis de pierres attira son attention... elle tourna la tête vers la gauche, à environ un petit kilomètre résidait un arbre assez grand pour une créature de la taille de Jo ». elle tourna les talons vers cette direction et entama un petit trot pépère avant d'observer une ombre d'un individu accroupit, bougeant ce qui semblait être des pierres.

Elle avançait promptement dans cette direction dans la quête de se couvrir de cette pluie infernale. Arrivée à quelques mètres, elle s'ébroua, le bruit de sa gouttière faisait crépiter les feuilles séchées.
Elle tourna sa tête de hippie vers le jeune … … mâle tout en remuant de sa queue de droite à gauche, il siégeait par terre, seul et ennuyé... elle ouvrit sa gueule de joie, découvrant sa large langue haletante. Elle regarda vers la plaine et s'ébroua une deuxième fois afin de mieux se sécher. Sans en faire de trop ni exprès, elle mouilla l'inconnu à terre et comme si cela ne suffisait pas, elle se coucha à terre et commença à se rouler dans tous les sens pour terminer d'enlever l'eau sur sa peau, l'éclaboussant de boue au passage.

Une fois son cinéma finit, elle se mit assise, regarda l'inconnu d'un air bête et foufou. Une créature de dix huit mètres à coté d'un petit homme d'à peine deux... … Jolene se demandait s'il allait déguerpir de cet endroit en attendant que la pluie se calme ou s'il allait partir, frustré de cet indécence.

Invité

Harmonia... un monde parfaitement équilibré. Dans ce monde réside toutes sortes de choses que ce soit des montagnes gelée à des plaines verdoyante lorsque le soleil se fait beau ou bien même des désert de pierre. Hiryu était complètement perdu. Il avait sur lui quelque vêtement un peu déchiré, une cape et une faux très grande par rapport à lui. Il avait accroché au bout de celle-ci une chaine lui permettant de l'entourer autour de sa taille et de ne laisser sortir que la lame (heureusement sinon il se couperait le pauvre). Il venait de fuir le champ de bataille ne lui ayant laissé aucun souvenir et personne vers qui se tournait. Il marchait maintenant depuis plusieurs heures et arriva dans une sorte de grandes vallées avec des cailloux a pertes de vue. Il ne savait pas pourquoi il marchait...Il ne comprenait rien ! Où est t'il? pourquoi cette femme allongée par terre lui semblait si familière ? Il espérait sans doute trouver les réponses un peu plus loin.

Il continua donc sa route lorsqu'il vit une drôle de créature inconnue de sa personne. Il s'approcha doucement. Celle-ci était poilu, dans un léger gris et avait une queux bien touffu (un lapin quoi). Il se mit à son niveaux et la regarda.

-Bonjour d'où viens-tu ? Tu sais qui je suis moi?

La petite bête prise d'une peur panique à la vue du jeune homme courut à toute vitesse. Hiryu la suivait pensant qu'elle l'amènerait quelque part ,mais il perdit sa trace au bout de quelque mètre. Il poussa un long soupire puis continua à avancer. Mais il avait beau avancé toujours la même chose, des cailloux des cailloux et encore des cailloux... Il commençait à en avoir assez ! le soleil commencer peu à peu à disparaitre et assez énervé de ne voir que des caillou, Hiryu enleva sa cape et la jeta a terre avant de s'asseoir et de se mettre à réfléchir.

* Mais pourquoi suis-je ici ? Si ça continue je vais mourir de faim ! tient je me demande si ça mange ça en fait ?*

Il pris un caillou et mordu doucement dedans. Il le lécha et le jeta par terre en marmonnant.

-Eurk c'est quoi sa ! sa sert a rien !

Il regarda alors sa faux et vit son reflet dedans. Il regarda très attentivement.

*Alors, c'est à ça que je ressemble ? Je me demande si d'autre gens sont comme moi? La petite chose de tout à l'heure ne me ressemble en rien ! quoi que si elle avait les yeux comme les mien ! (bleu). Peut-être était-elle de ma famille? Mais alors pourquoi elle s'est enfui? AH je n'y comprend rien ><*

Il jeta violemment la faux contre le sol, si violemment en fait qu'il se coupa un peu le doigt avec elle. Il regarda attentivement son doigt et mis le sang dans sa bouche.

* Oua ,mais ça a un bout gout ! c'est donc comme sa qu'on se nourrit ?? (c'est un vampire) alors je vais recommencer !! *

Il commença à se couper un peu n'importe où peut importe la douleur la faim prenez le dessus. Il s'était entaillé tous les doigts et lécha durant au moins une heure son sang. Mais bien sûr un moment il fini par en manquer et s'évanoui.

Le temps passa et il fut finalement réveillé par quelque chose de froid venant se poser sur sa tête. Il n'ouvrit pas les yeux de suites ,mais cette chose froide tomber de plus en plus et il fut bien obligé d'ouvrir ses yeux. La pluie commença à tomber. Il regarda en l'air et souleva ses mains en ouvrant la bouche.

*Miam ça aussi c'est bon ! c'est vrai que ce liquide rouge me faisait un peu mal pour le faire sortir ,mais sa ça ne me fait rien ! Tient mais ?*

Il regarda ses mains et vit que les plaie ne couler plus et commencer déjà à cicatriser (vampire toujours). Il ne comprenait pas trop ,mais il commença a courir partout en buvant la pluie. Finalement il senti un coup de froid et s'arrêta. Cette pluie incessante commencer à l'énervé et il n'avait pas très soif. Il remit sa cape et sa faux et courut pour trouver un endroit ou s'abriter. Sur sa route il ne vit personne ! pas un chat encore et encore des caillou qui avait changé de couleur à cause de la pluie. Il arriva finalement dans une zone un peu plus belle avec un grand arbre. Au pied de cet arbre se trouver une chose Gigantesque presque aussi grand que l'arbre lui-même ! Intriguait Hiryu aller voir ce qu'il y avait et se retrouver derrière une sorte de grand... Je sais pas quoi ! Il était gravement atteint et n'oser même pas parlé !

Invité

Ya quand même des choses bizarres dans la vie. La tartine qui tombe toujours du côté beurré, on perd toujours aux tickets millionaires à un symbole près, une espèce de nabot à capuche bleu vous envoie dans un champ de cailloux, vous êtes perdus sous un soleil de plomd, une fois la nui après une heure de galère vous réussissez à braiser un peu de pierres et là la pluie envoie tout valdinguer, vous marchez dans le noir, trempé jusqu'aux os jusqu'à un arbre, il fallait que ses fruits aient comme passe-temps de vous tomber dessus toutes les 10 minutes et les feuilles qui prennent bien soin de s'écarter pour qu'une goutte d'eau vous titille le crâne pendant qu'une racine vous explose le dos alors que vous essayez de dormir dans tout ça. Et comme si ça ne suffisait pas, 20 mètres de stupidité phénoménale venait pour vous couvrir de cambouis et vous regarde comme si elle attendait une récompense. Le jeune homme essaya de l'ignorer, mais la seconde pluie devait bien s'arrêter, puisque c'était à sa porté, il se releva donc et ferma les yeux pour éviter de traumatiser ce pauvre colosse de 18x sa taille. Puis il ouvrit les yeux 5 minutes plus tard, et se tourna vers elle, rien qu'à voir sa tête l'obligerait à fermer les yeux pendant encore un bon millénaire. Mais il n'avais pas autant de temps devant lui. Donc va pour 10 minutes. Ce temps écoulé, il pris encore une fois une grande aspiration et se tourna lentement vers l'inconnue. Et commença le plus calmement possible.

"Donc, Est-il gravé dans le peu de matière grise que la nature vous a égoïstement accordé, histoire que vous sachiez ce qu'est de la nourriture, que vous pensiez la moindre SECONDE QUE VOUS M'EMPECHEZ DE DORMIR ! VOUS VENEZ DU HAUT DE VOUS 20 METRES DE SALETE ET VIDE EN SON SOMMET ET VOUS VOUS PERMETTEZ DE ME COUVRIR DE SALETE ALORS QUE VOUS VOYEZ BIEN QUE JE N'ARRIVE PAS A FERMER L'OEIL !"

Dans un tel état d'énervement qu'il dû jetter sa dague loin dans l'herbe pour éviter de faire un énorme bêtise. Puis il rogna et partit se mettre autre part sous l'arbre. Puis il s'allonga et tenta encore de trouver le sommeil. Comme d'habitude la chute des fruits, la fameuse goutte et la racine le suivaient partout ou il essayait de fermer l'oeil. La pire nuit de sa vie, à l'hunanimité intercosmique cette tentative de dormir était un véritable cauchemard. Mais il fallait bien essayer, il faut toujours garder espoir, en même temps il se disait que l'autre abrutie n'allait pas le lacher d'une semelle et continuerait le relooking de ses vêtements lavés la veille par sa femme.

"Le destin est un tortionnaire. Ca y est, j'l'ai dis."

Assise, Jo » regarda le pauvre gars tout boueux crisper ses dents, fermer durement ses yeux comme s'il réfléchissait... pendant ce temps là, une odeur familière chatouille les délicates narines de notre Cormyr. … elle fouetta l'air de sa queue et mit ses oreilles en arrière pour mieux capter cette odeur connut. En effet, elle remit ses oreilles comme si de rien n'était.

Une bête blessée pensait elle, un lapin chassé ou un homme blessé, qu'importe, ce jouet là était plus marrant! En reprenant son air fou et attendrissant, elle observa le jeune de dos qui s'était levé entre temps. Elle ne le perdait pas une SECONDE de vue. Observant sa cadence respiratoire, elle pu voir qu'il bouillonnait, suffoquait, il avait besoin de faire sortir sa rage... dix minutes passèrent, il commençait à chauffer à blanc, se retourna doucement, sans gestes brusques, certainement pour ne pas effrayer Jo ». Devenu rouge, sa machoire se crispait.... encore un petit bout de temps après, il ouvrit ses yeux magnifiques et débita en crescendo tout une flopée d'insanités sur Jolene... il lavait besoin de se libérer.
Jolene ne bougea pas, perplexe et patiente, elle l'écouta jusqu'au bout, le mot même de « créature égoïste » et de « saleté » ne la dérangeait pas, elle savait ce qu'elle était sans cavaliers: un laquais.
Par compassion et impatience, elle bougea sa queue de droite à gauche. Il s'était un peu calmé, comme quoi, il faut toujours être à l'écoute des autres s'ils en ont besoin. Surtout s'il en ont besoin et qu'ils ne veulent pas vous nuire.

"Le destin est un tortionnaire. Ça y est, j'l'ai dis."

Jo » se leva alors, et de haut de ses quelques mètres, oreilles baissées, montra ses crocs, le poussa faiblement, de façon à ce que celui ci se retrouve sur les fesses. Par télépathie, elle lui souffla deux trois choses, de façon à ce qu'il comprenne qu'elle n'était pas dangereuse et plutôt doué d'une nature riche et culturelle:

« vanitas vanitatum omnia vanitas; tu as ton âge, j'ai le mien. Conserve ton espèce et ne te morfonds pas dans l'obscurité, là ou la lumière ne peut venir te chercher... ... »

toujours debout, elle regarda le sol avec énervement, sortit ses énormes griffes et la frappa de façon à ce que celle ci atteigne le bruit du tonnerre. Cannalyses toi Jo »... ça va aller!
Elle avait certainement d'autres chats à fouetter que de rester là.... Mais cette pluie était incessante, et ce sang qui sentait de lus en plus fort... elle perça la brume pluvieuse du regard et entre vit un étrange phénomène. Elle releva ses oreilles, La chose venait de se relever et scrutait également un lieu. CET endroit pour être précis.
Tout en reprenant son allure doux et affectueux, panache levé et crins aux vents, elle fit un pas en avant, histoire d'engager le regard de son collègue d'arbre par là bas...

« à propos, La saleté à quoi tu t'adresses, à un nom, Joeraël Leveline Barnes.... BREF, JOLENE! Rentres toi ça dans ta tête de moucheron! »

Elle quitta l'abri et trotta gracieusement, comme si elle flottait sur la brume que l'humidité des herbes avaient provoquées. Elle atteint vite l'individu qui sentait fort bien la peste et le sang à vrai dire.... Elle s'en méfia un moment. S'arrêta alors à un mètre de lui, le temps de le contempler. Petit.... TRES petit.
SI jolene avait eue une expression humaine, on aurait dit qu'elle riait, pouffait de rire. Elle avança, s'arrêta devant, abaissa sa tête à son niveau et lui léchait son portrait d'un trait, histoire de lui montrer qu'elle n'était pas méchante, premier plan de chatte! puis le deuxième: elle se mit au dessus de lui, l'abritant de la pluie froide. Un élan de bonté ou une moquerie persistante?
Elle lui donna une grosse léchouille bien chaude pour le réchauffer, l'on ne sait jamais... remit sa tête droite, essayant d'avancer tant bien que mal avec la créature sous son ventre, lui donnant des coups de pattes arrières s'il s'attardait de trop.

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étrange...vraiment étrange...Tous les évènements qui venaient de se passer Hiryu avait du mal à les comprendre. Il entendit soudainement quelqu'un hurlait à la mort sa rage comme s'il avait passé une mauvaise journée et qu'on lui annoncait une très mauvaise nouvelle. Il regarda sur le côté afin de voir qui poussait des cris aussi strident. Il vit alors un jeune homme étrange. Il était noir et surtout il était très mouillé. Il ne comprenait pas ce qui se passer ,mais ce jeune homme était différent de lui. Il ne lui ressemblait pas trop et était un peu plus grand. Ensuite ce jeune homme jeta quelque chose a terre et partit ce mettre dans un autre endroit marmonnant quelque chose.

Mais ce qui intrigua le plus Hiryu c'est cette énorme chose maintenant dressé devant lui. Durant "l'engueulade", cette créature avait bougé la queux. Hiryu peina assez pour esquiver sa grande queux ,mais cela l'amusait beaucoup...après tout même étant un vampire dressé pour se battre en quelque sorte, il restait un enfant de 13 ans. Ensuite elle sembla s'activer un peu et tapa le sol avec des griffes qui venaient de lui pousser. Hiryu avait du mal à en croire ses yeux était-ce de la magie? Elle tapa le sol si violemment que sa ressemblait à un bruit de tonnerre. Hiryu se boucha les oreilles en ne fermant qu'un oeil tellement le bruit était intense. Au bout de quelque coup l'animal se calma. Hiryu avait un peu de mal à voir à cause de la pluie ,mais il avait une assez bonne vue. Au bout de quelque minute la créature semblait s'approcher. Hiryu n'avait pas peur il était très curieux de voir ce qui pouvait faire autant de bruit. La bête s'approcha et arriva à 1 mètre de notre jeune demi-vampire. Celui-ci ne bougea pas et regarda la bête. Jamais il n'avait vu quelque d'aussi massif (et ce même avec sa mémoire). Elle sembla un peu méfiante ,mais au final elle s'approcha et lui lécha le visage d'un coup de langue. Hiryu tomba sur les fesses et s'essuya doucement le visage avant de rire un peu.

-Ahah c'est tout collant c'est bizarre ,mais pas très bon... Tient ,mais il ne pleut plus?

Hiryu regarda alors en l'air et vit que la chose l'abritait. Cela l'arrangeait et il regarda son visage en souriant. Elle le lécha une nouvelle fois ,mais cette fois elle ne toucha pas le visage ,mais presque tout son corps. Cela l'avait un peu réchauffer. Ensuite elle commença à avancer avancé et à donner de lécher coup ,car Hiryu trainer un peu la patte. Il avança et ramassa alors la dague jeter plus tôt par l'autre jeune homme. Ensuite il l'examina. Elle était plus petite que sa faux et moins encombrante.

* Tient ça l'air plus simple a porté et sa coupe autant que mon bâton (la faux). Peut être devrai-je le prendre? il la jeté je suppose qu'il n'en veut plus !*

Hiryu rangea le couteau dans sa ceinture et caressa la jambe de l'animal. Mais se toucher semblait étrange. Hiryu senti un truc bizarre le parcourir. En touchant l'animal il sentait son énergie remontée. Sans le savoir il avait activé son pouvoir et aspiré l'énergie de la créature. Il ne se doutait même pas de ce qu'il faisait. Ayant activé sa magie et étant passé en mode "Combat", Son oeil gauche devint rouge et sa cicatrice commença à briller. Mais comment aller réagir la créature face a cette agression? Hiryu rester la un peu souriant.

Invité

Fjord était toujours par terre entrain de râler. Il avait déjà presque oublié ce que lui avait répondu l'autre immondisse. Puis il entendit un cliquetis de métal un peu plus loin. Il vit la grande créature entrain d'essayer de dévorer un enfant, il s'aperçut également que le jeunnot avait ramassé sa dague, et semblait ne pas avoir l'idée de le lui rendre. Il commença par fixer le môme, pensant qu'il comprendrait ce qu'il voulait, mais quand il comprit qu'il était décidé à garder l'objet, il courrut vers l'enfant et arracha sa dague de sa ceinture.

"Non-mais ! Ca ne se fais pas de prendre les objets des gens sans autorisation ! Ta maman ne t'as jamais dis que c'était pas bien de voler ? Et tu aurais pû te couper, c'est pas un jouet. Et toi la grande perche ! Lâche-le tout de suite ! Tu vois pas que tu l'étouffe à moitié ? Oui il est apétissant mais dans une autre catégorie ! ( ) ! Qu'est ce qu'il t'as fais ? Pourquoi tu ne le laise pas tranquille ? Mais j'en ai ma claque ! Vous êtes tous dingues ici ! J'aimerais bien savoir ou je suis, pourquoi cet endroi a l'air de s'étendre à l'infini et pourquoi ya des cailloux partout ! m***e ! m***e ! J'en ai assez j'ai envie de comprendre, j'ai froid je suis trempé et je me fais salir et dépouiller par des monstres et des gamins qui arrivent de nul part ! RHAAA !! RHAAA !!"

Il sentait que sa tête allait exploser et qu'il allait mourrir d'un rhume. Il sortit sa carte et regarda un peu. Trempée. Bon, bah il n'avait plus que ces deux hystériques pour ésperer sortir de cet endroi un jour. S'il en est destiné. Il se tourna vers le deux zigotos et tenta de retrouver son calme.

" Bon. Peut-être que je pourrais au moins vous demander d'ou vous venez et ce que vous venez faire ici ?"

Il était encore énervé et regardait à l'horizon en cas de civilisation. Puis il constata un grand objet brillant dans l'herbe. Il avança prudement vers la lumière, il s'agissait de la lame d'une faux rouillée. Il la ramassa et l'examina attentivement. Il y avait du sang seché sur le bout. Il réfléchit un instant.

*Donc, on est 3 ici, moi j'ai une dague, la grande perche as son odeur, la dernière créature pensante est donc ce marmot*

"Petit ! Je pourrais déduire par cette faux que tu es paysan. Mais elle est tâchée de sang sur le bout. Je peux déduire par contre aux cicatrices sur tes doigts que tu ne sais pas t'en servir. Donc je vais la garder pour viter que tu ne te blesse encore"

Il avait à ce moment là pris sa pose classe du "gars perspicace" les sourcils froncé. La bouche neutre, un pied devant l'autre et 1/4 de profil par rapport à celui à qui il parle. Sa faux dans la main droite et tendu en avant à partir du coude. Sans bouger le reste de son corps, il pris l'instrument et le fit tourbilloner. Puis il is pivoter son pied en arrière. Enfin il leva le bras et planta le bâton dans la terre.

"Finalement je préfère le laisser ici. Mais n'y touche plus. Quant à toi la grande perche j'aimerais savoir au moins à quelle espèce de bipède tu appartient""

Tout en continuant à protéger le petit de la pluie et à marcher d'une cadence plutôt rapide, l'arbre se présentait vite devant eux. Elle redressa sa tête, quelque chose la piquait... lui donnait des fourmis dans la patte antérieure droite... comme tout chat au contacte de l'eau, elle fit un énorme bond sur le coté, tendant la patte, surprise et tenta de la bouger dans tous les sens avant de repasser sur le coté, laissant le petit de nouveau sous la pluie, elle, agitait tant bien que mal sa patte, une chose la gênait, elle ne savait pas quoi, une crampe peut être? Elle reposa sa patte. Non, rien. Elle redirigea sa tête vers l'humain bizarre: ses yeux viraient à un rouge étrange, attirant, beau... machiavélique.

Jo » était loin d'être bête. Il avait gagné un peu de sa force vitale et pouvait attaquer à n'importe quel moment: sa force vital était boostée à fond. Jolene à cet égard gronda, ne fit rien sur un moment jusqu'au moment ou elle aperçue une lueur anormale dans les yeux de ce derniers. Alors prise de son instinct maternel, et SURTOUT pour éviter qu'il arrive quelque chose de fâcheux à ce dernier comme se casser une jambe ou un bras au contacte de sa peau dure.

Alors elle avança vite, donna un coups de tête dans la poitrine de ce dernier, sans qu'il tombe, mais certes assez fort pour qu'il puise sentir la montagne de force que cette dernière avait et qu'il puisse comprendre finalement qu'il n'avait rien à craindre, rien à redouter. Jo" remue la tête de bas en haut, le laissant se déséquilibrer légèrement. Elle quémandait un câlin...

Elle fit vite détournée de ce « câlin », le « fou » arriva, poussa à moitié l'enfant pour récupérer la dague qu'il avait rageusement jeté par terre. Il lui faisait à lui aussi la morale...et était encore en train de râler.
Décidément, il un instinct féminin remarquablement présent ma fois pensait Jo ».
Elle reprit un air doux et apaisant, se coucha, fatiguée par ce long et ennuyant discours. Leva la tête et dans un LARGE, très large bâillement, elle ouvrit son énorme gueule édenté, faisant voir tous ces crocs chatoyants démesurés, puis se posé sur le flanc en position de chien de chasse. Certes il pleuvait, certes il faisait froid, mais après tout, elle ne désirait nullement offrir hospitalité à un aveugle sourd et con!

L'infortuné, après avoir encore parlé, se une pause originale pour ne pas dire ridicule... enfin, elle posa un regard sur l'enfant, un regard désespéré, soupira pour finir par se relevé, s'étirer de tout son long et d'une lenteur presque divine, puis gronda et rugissait à plein poumon: pouvant presque atteindre l'autre bout de la plaine s'il y avait quelqu'un. Jo » n'était pas contente, ça non.
La pluie tombait en corde, les éclaires étincelaient de toutes par et le tonnerre gronda bien plus fort que les autres fois. L'abri était à coté, pourquoi ne pas aller dessous? … sont bêtes des humains!pensés télékinésiques envers les deux protagonistes*

« quadrupède ! Joeraël Leveline Barnes , Jolene pour éviter les longs discours tortueux. Je viens de la très noble contré de Lucina. JE suis un Cormyr, tous les cent ans, je change de corps; femme lucide une fois, créature salvatrice l'autre. Autre chose? »

Elle jeta un bref coups d'oeil à l'enfant... ... certes il avait une cicatrice: sur sa tête, mais cela n'aurait pu être sa faux... Jolene ne voulait pas en savoir plus, tout ce qu'elle voulait, c'est s'abriter par ce temps de pluie, s'amuser un peu, courir après les lapins... et manger, surtout manger!!!
cela faisait un deux mois qu'elle n'avait rien chassé par flem. Un cormyr peut s'abstenir de manger quatre mois soit trois jours humains. Elle avait autre chose à penser d'autant plus que le temps se faisait de plus en plus mauvais... Elle gronda et adressa un regard assassin à ce machin malade comme un bouc...

Invité

Sa force...Hiryu sentait sa force vitale revenir ! à présent c'est comme s'il n'avait jamais marché ! Il était toujours aussi calme ,mais peut à peut il sentait une odeur familière le revenir au nez...Il sentait une odeur de sang... Le sang rester sur sa faux a présent a terre lui donna une envie irrépressible de tuer. Il ne comprenait pas ce sentiment de destruction qui l'avait soudain pris. Il regarda ensuite en direction de la créature qui semblait s'être éloigné de lui étant donné qu'il ressentait à nouveau la pluie. Elle semblait un peu énervé ,mais elle se calma rapidement et revint près de Hiryu. Elle lui donna un léger coup de tête ,mais Hiryu ne tomba pas étant donné la force vital qu'il venait de récupérer. Ce petit coup le calma légèrement et il retrouva peu à peu son calme. Mais au même moment l'étrange homme refit son apparition et recommença à crier. Il s'approcha dangereusement de Hiryu qui ne bougea pas et se fit reprendre la dague.

"Non-mais ! Ca ne se fais pas de prendre les objets des gens sans autorisation ! Ta maman ne t'as jamais dis que c'était pas bien de voler ? Et tu aurais pû te couper, c'est pas un jouet. Et toi la grande perche ! Lâche-le tout de suite ! Tu vois pas que tu l'étouffe à moitié ? Oui il est apétissant mais dans une autre catégorie ! Qu'est ce qu'il t'as fais ? Pourquoi tu ne le laise pas tranquille ? Mais j'en ai ma claque ! Vous êtes tous dingues ici ! J'aimerais bien savoir ou je suis, pourquoi cet endroi a l'air de s'étendre à l'infini et pourquoi ya des cailloux partout ! m***e ! m***e ! J'en ai assez j'ai envie de comprendre, j'ai froid je suis trempé et je me fais salir et dépouiller par des monstres et des gamins qui arrivent de nul part ! RHAAA !! RHAAA !!"

Le jeune homme avait décidément rien compris. Certes Hiryu avait pris son arme, mais cette créature ne voulait en aucun cas manger Hiryu. Il pouvait sentir l'énervement de la personne en face lui et ça se rapproché presque d'une haine. De plus l'animal n'avait pas voulu manger Hiryu, loin de la ! mais plutôt le contraire ! elle essayait de l'aider même s'il n'avait pas vraiment la taille adaptée. Après un tel excès de colère il se calma. Il sembla reprendre son souffle puis reprit en demandant aux jeunes gens d'où il venaient. Cette phrase ne fit qu'un tour dans le cerveau de Hiryu...Il eut alors un terrible flash back lui montrant une scène où il voyait des gens se faire tuer de partout. Il se tenait la tête et semblait perdre l'équilibre. Il fit un effort et ouvrit un oeil lorsqu'il aperçu le jeune homme prendre sa faux. Il raconta n'importe quoi disant que Hiryu était un paysan. S'il avait bien regardé la faux était plus grande que Hiryu lui-même et il est impensable de penser qu'on peu s'en servir pour faucher quoi que ce soit si ce n'est des têtes. Ensuite il effectua un mouvement bizarre et planta la faux a terre. Ce geste fit de nouveaux venir un flash back dans la tête d'Hiryu.

" Que...Maman? Mais que...AHHH !! "

Ce flash back montrer la jeune femme qui avait été familière lors de sa première rencontre avec Hiryu. Hiryu courez vers elle criant maman (d'où le fait qu'il dise "maman"). A coté se tenait une grande personne armé d'une faux (celle qu'il possède) et qui éventra sa mère. Fin du Flash Back Hiryu devenait hostile. Ses instincts de demi-vampire prirent le dessus et il ne se contrôlait plus. Il arriva alors à une vitesse fulgurante au niveau de la faux la sortie du sol et mis la lame sous le cou du jeune garçon. C'est alors qu'une voix retentit dans sa tête.

« quadrupède ! Joeraël Leveline Barnes , Jolene pour éviter les longs discours tortueux. Je viens de la très noble contré de Lucina. JE suis un Cormyr, tous les cent ans, je change de corps; femme lucide une fois, créature salvatrice l'autre. Autre chose? »

Une fois cela dit, Hiryu regarda en l'air et vit la créature. Cela le calma totalement et il reprit ses esprits. Il lâcha la faux et tomba sur les genoux. Il regarda en direction de la créature et sourit difficilement.

" Bonjour Jolene ravit de te rencontrer (il a entendu le mot "femme"). Je ne sais pas qui je suis pour ma part... "

Il dit ça d'une voix très faible comme s'il venait de vider son énergie.

" D'autre part tu ne pourras pas prendre une forme humaine ou de notre taille? ça serait plus facile pour parler tu ne crois pas ? "

Il dit sa gentille-ment puis soupira.

Invité

Surprenant. Peut-être Fjord avait-il développé un don de preturbation mentale, le jeune graçon s'était mis à crier et à mettre sa tête entre ses mains. Fjord regardait la scène et posait la main sur sa dague. Le jeune homme se mit à appeler sa mère. Peut-être avait-il une quatrième personne non-loin de là. En tout cas il n'avait pas appreçié l'apellation de paysan, et fonca sur Fjord comme un dératé pour attraper sa faux et la lui mettre sous la gorge. Fjord dégainna sa dague en un éclair et la mit entre son cou et le croissant de lune d'acier. Il restèrent un long moment dans cette position et Fjord ne montrait aucun signe de peur. Le bras du jeune homme semblait trembler et finit par lâcher la faux qui tombat par terre. Fjord rangea sa dague et fixa la grande perche du coin de l'oeil, quelque chose chez elle lui échappait. Comme un détail que son physique exposait. Encore une réflexion.

*Hm... Il y a quelque chose de pas clair chez elle... Rien dans aucun bestiaire d'Harmonia ne parlerais d'une créature pensante comme ça, et son physique dégage quelque chose de menacant, et puis les luciniens ne peuvent pas accéder à Harmonia, tandis que... Non... Ce n'est pas possible ! La situation est plus grave que prévue ! Autant tout de suite réagir*

Il resortit sa dague et la pointa vers elle.

"Ne me prend pas pour un idiot. Je sais très bien qu'un lucinien ne pourrais pas être ici, quant à ton espèce, elle ne correspond à aucune trouvable en ce bas-monde, donc tu viens forcément d'Umbra. Ne nie pas, je t'ai démasqué, quant à toi gamin, file de là si tu ne veux pas qu'elle ne réessaye de te dévorer !"

Il regardait la grande créature d'un oeil méfiant et sûr de lui. Le seul problème était qu'il ne ferait pas le poid face à elle. La diffférence de taille était trop importante. Il chercha une solution à ce pétrin.

*Bon, réflechissons, mes talents d'assassinat ne serviront pas, la plupart des espèces en dehors de la chaine de l'évolution ont une ouïe ou une vue trop fine, quand à mes conaissances des points de douleurs ils n'auront peut-être aucun effet, la disposition nerveuse est peut-être différente des humanoïdes, et ce n'est même pas la peine de penser à lui faire une clé de bras, sa condition physique est trop grande, et si je m'enfuyait avec le gamin ? Non... Vu comment sont taillées ses jambes elle court sans doute plus vite que moi, et les Umbruns sont des créatures assoifées de sang, elle refuserait de m'épargner, Rhalala je suis vraiment dans la galère ! Je vais mourrir et même dans l'au-delà j'aurais eu l'incapacité d'avoir pû sauver ce gosse sur la concience... La seule solution c'est de l'affronter en face... comme je n'ai jamais pû faire*

Son regard commença petit à petit à manquer de confiance, mais il ne bougeais pas, il attendait que la créature riposte pour la prendre en planchette japonaise (nan c'est pas du kama ssutra ! "-_-) et lui planter sa dague sur le haut du crâne. La pluie s'était presque calmée et la rosée commencait à tomber sur la nature. A l'horizon la ligne rouge commençait vaguement à apparaitre. Fjord se dis qu'il la voyait peut-être pour la toute dernière fois. autant lui offrir un spectacle digne de ce nom. Il repensait à sa femme et à son marmot tout juste sorti du four. Il se dis que l'enfant marquait la suite de l'histoire DamnedWalk. La marche damnée. On peut dire que Fjord l'avait faite cette nuit, et pas qu'à moitié.

… … Très beau spectacle que voilà...les deux hommes se battaient pour une histoire d'arme... pour une fois que ce n'était pas de femme! Et voilà que maintenant, la personne qui avait créée tout ce chahut prenait le dessus, positionnant l'autre à terre, face contre le sol, la faux du petit lâché, l'autre se releva, fière comme un coq, dague à la main. Et... se positionna pour combattre en face de Jolene.
Trop de sang avait déjà coulé et elle réfuta l'idée de combattre, même si apparemment, il n'avait que cela à faire... La peur sans doute?! mais qu'est-ce qui le troublait tant? tout cela était palpable dans la respiration de l'homme et même dans ses battements de cœur que la terre absorbait.

Umbra... Elle réfléchissait, elle avait déjà eue un combat contre eux il y a huit cent quarante trois années... un combat sanglant, tous les peuples d'Harmonia et de Lucina s'étaient assemblés afin de combattre le vil et faire place à la paix et l'espoir... Elle avait retrouvé une même créature, un frère génétique et l'avait anéantit et il avait disparut.
Pour contester ce dernier, ce qui était tout à fait compréhensible, elle abaissa ses oreilles en arrière, recula rapidement, donnant des mouvements de tête frénétique vers le haut. Elle se cabra, griffa l'air de ses pattes robustes, poussant un petit son strident, celui qu'ont les chevaux lorsqu'ils sentent la mort venir.

Sa seule solution était le calme par la défense. Avant de retoucher le sol, elle chargea son énergie, ses yeux devinrent vert, son corps musculeux crispé et frémissant, sa cabrante était toujours symétrique, 35 mètres de hauts s'imposaient, son énergie se concentra dans ses pattes puis, dans un dernier effort digne d'un tremblement volcanique, elle avançait, postérieurs chargés, et deux mètres devant l'autre, elle laissa tomber ses pattes avant créant un éclair doré et sur l'instant, une zone apaisante, anesthésiant la douleur des blessures physiques et mentales apparut.

légèrement épuisé après cet effort, elle recula de nouveau, soufflant comme un bœuf. Eh oui, elle avait oublié qu'elle ne pouvait plus utiliser cela sans effort; elle n'avait plus de cavalier, ironique lorsque l'on sait qu'il est mort il y a trois cents cinquante ans environ. D'autant plus amusant lorsque l'on sait comment il est décédé: une chute de plus de deux cent mètres de haut, en tombant de sa monture. Son flash back finit, elle grogna, plus assez de force pour utiliser la télékinésie.
La pluie se calmait un peu.

Elle avança vers l'homme en face, lui donna une bref léchouille le long de son corps. Au fond, elle l'appréciait bien ce fou furieux! Tourna pour se retrouver en face de l'autre gars. Elle baissa son encolure, lui donna un coups de museau, histoire de lui dire « debout, t'endors pas! » ramassa la faux de sa grande gueule et s'assit. Trop d'efforts. Plus trop d'énergie... Elle pensa alors qu'il ne fallait pas rester trop près du gamin... « boh! Allez, on va être une bonne fille, on va se laisser faire, après tout, t'est pas méchante Jo »! »
elle tourna sa tête vers le fou, lui adressant un petit sourire malicieux, amusant, et ne le quitta en aucun cas du regard...

Invité

Hiryu continuait a se tenir la tête. Il ne s'était pas vraiment remis de son dernier flash back. Le jeune garçon en face de lui semblait bien méfiant comme si il essayer de protéger Hiryu. ensuite il commença a parler de chose...Umbra? ce nom pourtant familier a Hiryu, il n'en avait aucun souvenir. Il ne savait pas ce qui se passait dans ce monde mais une chose est sur, la créature en face d'eux n'était pas méchante. Ensuite un bruit sourd ce fit entendre. La grande créature commença a s'exciter et créé une énergie phénoménale autour d'elle. Hiryu pouvait la ressentir sans savoir ce que c'était réellement. Mais en quelque seconde son mal de tête disparu. Il se sentait apaisé et se releva après que la créature lui est donner un léger coup de museaux. La pluie avait céssé de tomber, le soleil commencer a réapparaitre. Hiryu se rappela alors le discoure du jeune homme et lui donna un violent coup de poing dans la tête. Il ne voulait pas taper spécialement fort mais il avait un peu de mal a se contrôlait.

" Pourquoi...pourquoi tu t'en prend a elle? c'est une créature comme une autre ! tu ne peu pas lui accorder le bénéfice du doute ?! je ne comprend rien a propos de vos histoire d'umbra et de luci je sais pas quoi ! mais une chose est sur, traiter une personne de la sorte parce qu'elle est différente est totalement injuste et déplacer de ta part surtout lorsqu'il s'agit d'une femme ! "

Hiryu était assez énervé. Il avait était élevé par sa mère qui lui avait appris les bonne manières et comment ce conduire en présence d'une dame qu'elle soit humaine ou pas. La galanterie ce perd de nos jour et c'est bien dommage. Hiryu ramassa ensuite sa faux puis regarda en souriant la créature.

" Excuse le il est surement énervé pour une quelconque raison et il ne voulait surement pas t'offenser. Mais je t'avait poser une question et tu ne semble pas y avoir fait attention, peut-tu prendre une taille humaine ou pas ? cela serait bien plus simple pour nous tous en espérant que sa calme aussi notre jeune exciter. "

[Désolé post plutot cour et bouré de fautes mais je suis très fatigué après cette semaine ^^"]

Invité

(Hiryu : Une zone apaisante enlève l'idée de mettre une mandale à quelqu'un)
(Jo' : "Gigolo" est un terme insultant envers les homosexuels Smile

)

Fjod continuait de flotter dans le pluie de lumière et sentait la terre autour de lui se soulever et l'empêcher de tomber lorsqu'il perdait l'équilibre dans cet océan de quiétude. Quelques images lui apparaissaient, comme le sourire de sa femme ou encore son enfant dans son berçeau. Il entrevoyait l'enfant les sourcils froncés et la cormyr qui s'appelait magnifestement "Jolene" assise par terre avec la faux dans la bouche et en remuant la queue. Il finit par sentir quelque chose de gluant couler sur son visage, ça lui paraissait sans importance. le soleil commençait son entrée au loin et ses rayons balayèrent la grande plaine, laissant apparaitre la nature abreuvée de la mésaventure de trois abrutis aux yeux vitreux. Puis il fut à moitié réveillé par un choc sur son visage, c'était encore le marmot qui jaccasais. Etrangement, sans entendre un raitre mot de ce qu'il avais dis, il sut entièrement le message du mioche. Il prit donc une grande inspiration.

"Laisse tomber ça nabot, par contre pour ce que tu viens de faire tu as intérêt à courrir vite dès que la zone sera disparue.

Et il repartit flotter dans les pensées positives. Mais toutes les bonnes choses ont une fin et la zone finit par disparaitre pour laisser place au soleil. Fjord prit une grande bouffée d'air frais et jetta encore un regard à l'arbre. Un pommier. Premier coup de chance de la journée. Il fut pris d'un sourrire malsains et marcha en direction de l'arbre, grimpa dedans en un éclair puis attrapa une pome en haut de l'arbre, il croqua dedans et profita du gout sucré et plein de vers de terre du fruit. Puis il ricana et lança la pomme en direction du visage de l'enfant, et redescendit manger dans les branches sans faire attention au résultat. Il mangeais les pommes presque deux par deux et finit par à moitié tomber de l'arbre, enfin rassasié d'un nuit de calvaire, il tendit le bras et prit deux autres pommes qu'il lança aux pieds des deux autres les yeux écarquillé devant un ystérique entrain de remercier les dieux de lui avoir offert... des pommes. Fjord sentait que cette journée allait être moins pire que la précedente et se rassit pour réflechir à un plan.

"Tient, maintenant que j'y pense, peut-être que je vais pouvoir nous localiser avc la décoration de la carte par rapport à ces gros cailloux..."

Il regarda vers le nord attentivement. Il y avait magnifestement le bout d'un longue chaine de montagnes. Puis il se concentra pour essayer de se souvenir.

*Hm... Si je me souvient bien la seule chaîne de montagne de cette envergure ne peut être que les montagnes de glace. Et la seule région officielle au sud... Ca y est !*

Il se releva brusquemement et se retourna, puis il lâcha sèchement

"Nous sommes dans la vallée des mégalithes"

Toujours assise entre les deux truands, la gueule occupée par un petit bout de bois, yeux anéantis par l'occupation des deux hommes qui étaient toujours aussi infernale, décidément, cette pluie aurait permit à Jo" de connaître de nouvelles choses autant que dans un monde que dans l'ethnologie de cet endroit. Jo" se décida à se lever, une petit idée frappait sa tête dans tout les coins...

* un bâton... une vallée inépuisable, un lanceur, un soleil levant? tien tien! et si...*
Jolene se dirigeait vers le gamin qui s'était enfin levé pour tenter de raisonner l'homme... ce qui n'avait pas fonctionné. soudain comme piquée par un moustique, queue levée en panache, elle tentait faire un effort pour lever ses pattes et faire la belle pour obtenir ce dont elle voulait. Elle se stoppa gentillement, toujours la queue virevoltante de droite à gauche, comme un chien chien demandant une caresse ou à jouer, et réflexion faite, elle posa la faux aux pieds du jeune homme puis la poussa en sa direction... certes, le bâton était trop grand pour lui... mais bon, ne surestimons pas la capacité physique d'un individu non connu.

Elle recula, toute fofole, ne lâchant pas l'engin des yeux, toujours avec cette même queue stressante. tout en abaissant son buste, la croupe levée, elle attendit le lanceur.
*jouer, jouer jouer et encore jouer!! lances, lances LANCES DONC!!*

mais rien ne vint. Tout à coups, à ses pattes, une petite balle jaune heurtait sa patte avant. Curieuse, elle baissa sa tête, sentait la chose tout en tirant une tête déconcerté: ceci n'était pas comestible. finalement, elle comprit l'intension et commença à sautiller tout autours de la chose. Le môssieur voulait jouer! il lui avait lancé un truc! vite, vite vite, lui ramener pour qu'il lui relance!

elle prit délicatement la chose entre ses dents, mais la pomme, bien que solide se fendit entre les crocs acérés de Jolene. surprise et désespérée, elle regarda vers l'arbre. Il y en avait encore plein! des boules jaunes et rouges partout dans l'arbre! elle n'avait donc pas fait de bêtises! elle s'avançait vers l'arbre.

"Nous sommes dans la vallée des mégalithes"

*AH? tiens? on est pas dans la plaine verdoyante de Lucina? ... bon, que dois je faire déjà? Ah oui... la mission... *
elle s'arrêtait devant l'arbre, regardait l'homme haut perché, d'un air peu envieux et poussa une espèce de grondement qui ressemblait plus à un aboiement rauque qu'autre chose. Elle tenta de se lever du haut de ses pattes pour toucher le feuillage, mais au contacte d'une boule, celle ci se fendait aux contactes des crocs ou bien, toutes ses voisines tombaient. Elle abandonna et se remit à quémander une boule pour jouer. Sa queue le laissait deviner, toujours en panache virevoltant de droite à gauche sans arrêts. Elle était contente la petite bête oh mais que oui!

elle se stoppa. des bruits faisaient agiter ses oreilles, elle reniflait la terre. Quelques créatures arrivaient par ici. Que voulaient-ils? Jolene sentit ses poils du dos remonter tout le long de sa colonne vertébrale. Une menace approchait. Elle grognait, s'agitait et finissait par commencer à griffer le sol de ses pattes. à manger! enfin!

Invité

La zone créé par la jeune créature semblait décidément rempli de surprise. Après le coup que Hiryu à donner au jeune homme, celui-ci le menaça mais n'avait pas l'air du tout énervé. Comme s'il était complètement drogué ou quelque chose comme ça. Ensuite il grimpa à un arbre et commença à manger un étrange fruit rouge qui avait l'air drôlement bon ! Hiryu bavait a moitié quand le jeune homme lui lança cette chose étrange. Il l'attrapa avec la bouche et la croqua tout entier manquant de s'étouffer avec. Il cracha les pépins et souffla un coup. Ce fut ensuite au tour de Jolene d'avoir une réaction bizarre. Elle sautilla partout amenant au pied d'Hiryu sa faux. Il ne comprenait pas ce qu'elle voulait ce qui sembla rendre triste la grande créature. Il soupira puis la vit prendre la pomme entre ses dents puis la casser sans même essayer de la manger. Quel gâchis ! Ensuite elle refit la même erreur et faisait tomber plein de pomme. Hiryu courut sous l'arbre puis enleva sa cape pour en mettre un maximum dedans pour plus tard. C'est alors que l'étrange jeune homme descendit de l'arbre et jeta à nouveau une pomme dans la direction de Hiryu et de Jolene. Hiryu ramassa rapidement la pomme et la mangea en la savourant. Ce gout sucré lui plaisait énormément. Finalement Hiryu, complètement plongé dans sa dégustation, entendit un cri soudain.

"Nous sommes dans la vallée des mégalithes"

*Uh? La vallée des quoi?? Olala je suis complètement perdu moi...*

C'est alors qu'il vit Jolene d'excité en train de taper le sol et regardant à l'horizon de drôle d'animaux. Jolene une carnivore? Surement. Hiryu était gravement atteint de son amnésie. Il regarda alors sa faux le regard vide et vit un dragon au bout de celle-ci.

" Hi...Hiryu? A !"

Il se tourna vers Jolene puis vers le jeune excité et cria.

" Vous pouvez m'appeler Hiryu ! "

Tout fier de s'être trouvé un nom il sauta avec sa faux en main et la lâcha subitement. Elle tomba en plein sur une des petites créatures au loin. Hiryu ne contrôlait pas vraiment sa force. Il courut dans la direction des créatures en faisant fuir la plupart puis ramassa sa faut regardant le sang partout.

* Uh? Nourriture? Le liquide rouge ! Je n'aurais pas à me faire mal pour le boire !*

Il commença à baisser sa tête et bu le sang de l'animal gaiement.

" Vous voulez gouter vous aussi ??"

Invité

Tout le monde se donait à coeur joie à manger les pommes et la journée semblait bien commencer. Jolene changea soudain d'allure, ses poils s'hérissaient et elle frappait la terre de ses pattes. Fjord sortit sa dague et sauta de l'arbre dans un buisson et guetta depuis son abris. au loin, d'étranges animaux siégaient et semblait s'interesser dangereusement aux trois abrutis entrain de jaccaser autour d'un pommier, en écartant une branche, il vit le petit paysan qui avait demandé à se faire appeler Hyriu, prendre sa faux et la lancer en plein dans le tas d'animaux, en observant plus attentivement on constate qu'il s'agit de petits diablotins, une fois que la faux eut transperçé le crâne de l'une de ces créatures, les autres se dispersairent d'un coup, le jeune inconscient se ruha sur le cadavre et se pencha sur lui, tout à coup, fjord sortit son bestiaire d'Harmonia de son sac et feuilleta le livre.

*Oh non ! Il n'as pas idée de ce qui va lui arriver !*

Il sortit de son buisson et se mit à crier garde à Hyriu.

"Revient ! Tu vas te faire tuer ! Ce sont des galopins, ils ne sont jamais seuls !"

Il prit une grande inspiration et s'élança vers la... mélée, puis à une dixaine de mètres il se jetta au sol et commença à ramper pour chercher les autres créatures et en neutraliser un maximum. Mais aucune trace des créatures, juste un étrange bruit de sucion du côté du morveux, Fjord craignait le pire, il écarta deux fougèes et regarda la scène et écarquilla les yeux. Le gamin était entrain de sucer le sang de la petite créature ! La situation était plus grave qu'on pourrait imaginer, ils étaient en présence d'un groupe de galopins duquel on ne connait ni les attentions de circonstance, ni la position approximative, ni le nombre, et un vampire ! il se releva et courrut à découvert vers Jolene. Lors de sa course l'uns des galopins surgit de la brousse et sauta à la gorge de Fjord qui profita de l'élan pour lui donner un coup, le galopin gémit en tombant sur le sol puis se releva pour poursuivre Fjord, il arriva en face de Jolene et lui fit un rapide résumé de la situation.

"On a deux gros problèmes, on a des galopins aux trousses et j'ai découvert que le gamin est un vampire ! Et même si le petit nous aide pour les tuer rien ne dis qu'il ne va pas nous consommer après ! Il faut trouver une solution, mais celle de rentrer dans la mélée directement est une mauvaise"

*Bon, réflechissons, je sais qu'on ne peut même pas les voir cachés à 5 mètres, qu'ils sont d'une grande agilité et que l'aperçu actuel de leur stratégie est de venir un par un, ça va peut-être être moins compliqué que je ne l'aurais imaginé. Mais il faut voir"

Encore et toujours des galopins.... Pourquoi le peuple de Globi était il si stupide ? Ils ne comprenaient pas que la folle furieuse et son Galopin personnel était une menace pour eux ? Il ne semblait pas. Espériane fit une pause alors qu'elle venait de décimer un groupe de Galopin quand elle en vit d'autre arriver affoler. Eux au moins furent plus malin! Et il filaient droit sans se soucier d'Espériane... Aurait elle éliminer le groupe de renforcement de ces petite chose? Elle n'eut pas le temps de se poser la question qu'une odeur familière lui arriva au narine. Elle sentit l'odeur du sang, mais pas le sang des galopin, elle avait sentit l'odeur du sang maudit des être des limbes. Se fessant la plus discrète possible, Espériane prit son envol et se rendit sur les lieux en volant.... Pour les autres cette scène pouvait être des plus étrange, une des légendaire démone-corbeaux qui venait se poser face au vampire. Elle se pencha vers le jeune homme qui manger, prit sa tête dans une de ses étranges griffes, et le fixa du regard. Golbi de son coter était poser avec son arc à regarder les alentour. Espériane après une observation minutieuse du jeune homme, dit d'une voie las et juste audible du jeune homme.

"Mon pauvre! Tu est un demi comme moi! Tu 'est pas un vrai vampire, ne possédant pas leur immortalité, ni leur force... Mais tu à leur gout du sang! Je te comprend! Mais je ne peut prendre soin de toi, car mon destin est de veiller sur une autres personne."

Espériane se releva, fit un signe à Globi, et alors qu'il allait relâcher sa vigilance un galopin fit irruption... Une flèche entre les deux yeux mit très vite fin à cette menace. Tien donc, une galopin qui tue une autre galopin. L'étrange compagnon se mit à émettre des son étrange, et plusieurs galopins prirent la fuite... Mais deux se diriger vers Fjord et Jolene par le flan, alors que quatre arriver par derrière. Espériane tendit la mains, et un sphère de ténèbres en sortit. Mais pour être sur que les bête soit tuer, Espériane prit la suite de sa sphère faux en mains... le double impacte fit tomber net les deux galopins. Golbi se dirigea alors vers sa maitresse et de sa voie si étrange la félicita.

"Joli coup maitresse Espériane! Globi préfère vous avoir avec lui que contre lui! Mais les frère de Globi ne sont pas tous parti! Quatre encore à revers on pris!"

Cette façon de parler exaspérer Espériane, il ne pouvait pas faire une phrase normale? Non, mais c'est vrai quoi! Comment voulait il apprendre à bien parler s'il ne fessait pas des phrase normale? Toujours est il que quatre galopins attendait les compagnons à revers. Comme elle vit le jeune harmonien et la splendide créature qui l'accompagnait, Espériane lui dit alors à voie haute de sa voie douce et calme.

"Quatre galopins dans votre dos! Prenez garde!"

Et dans le langage muet des grand prédateur elle ajouta à l'attention de Jolene.

"Belle créature, je me nome Espériane Bréséliande ! Humble gardienne de notre dame nature née dans les ombre et rêvant de vivre dans la lumière! Je vous supplie de ne point me juger de par mon aspect et de mon lignage ! Tel ce malheureux demi-vampire qui semble vous accompagner, je suis la servante d'une noble dame Luciene qui ma demander de la laisser seul pour une certaine période !"

Espériane finit sa phrase muette en s'inclinant légèrement pour que seule Jolene puisse voir cette révérence.

Des galopins... l'odeur percutait les délicats naseaux de Jolene. Tandis que l'un courrait pour chopper sa proie, l'autre dégainait son arme avec dextérité pour s'en servir immédiatement et percer deux à trois galopins. Jo » sentait autre chose arriver... un contraste noir se levait des nuages célestes. En grondant, elle avança un peu. Ça sentait la charogne, la mort, le sang. Jo » était certes carnivore, mais elle aimait tuer dans les règles de l'art. Dalleur...Un confrère galopin tentait désespérément de lui embrocher les pattes … aucuns effets avec une pointe en acier. Elle leva sa pate, désespérée, lui montrant des signes d'avant en arrière, signifiant « tu m'embête, ça va mal se finir » « dégages j'ai dit! » pour rabattre sa grosse patoune sur l'intrus avec un ravissant « SPLASH! »

Elle avait faim mais... ces charogne ne l'animait guère. Puis, sortant de ses rêveries solitaire, elle fut perturbée par le jeune homme qui suçait le sang. Un vampire? Jo » frémissait. Pas ennemi ni ami, elle ne pouvait rien redouter de ces... infortunées créatures. Le nuage de corbeau descendait... se transforma en femme... étrange. Saisissant le jeune homme par la tête. Jolene alors constatant l'ennuie prévisible de la situation, abaissa ses oreilles, montra ses crocs, et comença à charger légèrement pour finalement dans cette même seconde, se rattraper à temps.
Elle et Fjord étaient pris dans un cercle de galopins. Sa taille lui permettaient d'avoir une nette vision de l'emplacement des bestioles... et une vingtaines cavalaient encore dans leur directions, ils provenaient du nord.

Toujours en contacte avec la terre, Jolene sentait également la présence de créatures hostiles derrière elle et Fjord. Toujours en grommelant, elle recula de quelques mètres. Les quatre de derrières venaient en rampant...soudain...
tien?! Qu'est-ce qu'elle me veut la créature?
L'étrange femme venait vers eux sans crainte. Déjà, cela annonçait une bonne chose. Amis sans doute? Quoique... le galopin aux cotés de la femme semblait un temps soit peu appétissant...

Elle se remit à sa position, avançant de quelques pas, se mettant catégoriquement au dessus de Fjord comme pour le protéger.
Deux galopins attaquants venaient d'être catégoriquement renvoyés d'où ils venaient... ombre et flèches... de quoi mettre Jo » sur le qui-vive.
La femme portait des bras couleurs noirs_des bras_ des serres plutôt oui! Elle avait un coté animal que jolene appréciait particulièrement. Allant jusqu'à s'agenouiller devant elle, et établir une sorte de présentation instinctive.
« Belle créature, je me nome Espériane Bréséliande ! Humble gardienne de notre dame nature née dans les ombre et rêvant de vivre dans la lumière! Je vous supplie de ne point me juger de par mon aspect et de mon lignage ! Tel ce malheureux demi-vampire qui semble vous accompagner, je suis la servante d'une noble dame Luciene qui ma demander de la laisser seul pour une certaine période !" »

Une Umbriene aux services d'une dame luciene? … enfin, le moment n'était pas venue pour hésiter ou être méfiant de nos adjuvants.

«Jolene, satisfaite de faire votre connaissance»

Elle abaissa son encolure, sa lourde crinière tombant sur son chanfrein. Elle toucha du bout du nez la femme, la sentant, essayant de flairer la moindres parcelle de sang, ou quoique ce soit.
Elle donne un coups de patte sur le sol, le galopin à ses cotés ne lui inspirait pas confiance.
Abaissant ses oreilles, montrant sa gueule béante, ses crocs éfilés. Elle recula, énervé par tant de sang et de bataille, écrasant sur son recul deux galopins rampants. Elle se gonfla, fit tressaillir ses muscles et partit vers le nord à la recherche des Galopins réservistes pour se rassasier.

Une fois arrivé, un massacre se fit, deux égorgés, un écorché et un dernier tronçonné. Les cinq autres filaient vers l'arbre. Jolene alors calmée, rassemblait ses prix victorieux, les mis en tas, se couchait et commençait à les mâcher les uns après les autres, vêtements et cuirasses déchirés au préalable par les griffes de cette dernière.

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Hiryu savouré le sang de cette ignoble bestiole lorsqu'un bruit vint le déranger. Il regarda au loin et vit Fjord arriver en courant et criant.

"Revient ! Tu vas te faire tuer ! Ce sont des galopins, ils ne sont jamais seuls !"

Après cette phrase, il commença à faire des choses bizarre comme ramper sur le sol ou je ne sais quoi d'autre. Hiryu le regarda un moment pour détourna la tête pour continuer son repas. C'est alors qu'il sentait l'air devenir un peu plus lourd. L'odeur du sang se faisait sentir de plus en plus. Hiryu n'était pas comme les autres vampires, il pouvait se passer du sang ,mais il devait le compenser par une ingestion massive de nourriture, et comme cela fait quelque temps qu'il n'avait pas mangé alors il lui fallait du sang. Soudain il vit une ombre s'approcha et devant lui apparut une drôle de dame.

Elle était grande et a moitié nue. Derrière se tenait une créature a peu prêt similaire a celle qu'il était en train de manger. Elle pris la tête d'Hiryu dans ses mains et le regarda avec un regard triste.

"Mon pauvre! Tu es un demi comme moi! Tu 'est pas un vrai vampire, ne possédant pas leur immortalité, ni leur force... Mais tu à leur gout du sang! Je te comprend! Mais je ne peut prendre soin de toi, car mon destin est de veiller sur une autres personne."

Vampire? Hiryu ne connaissait pas ce mot... Elle semblait en connaitre plus sur lui que lui-même. Mais il est vrai que Fjord avant de courir avait dit quelque chose de semblable à propos de jeune vampire. Lorsqu'elle lui dit cela, cette attitude un peu maternelle envers lui, le fit partir dans un flash back... Sa mère en train de le regardez en pleurant le tenant pareillement à ce que venait de faire la jeune vampire lui disant a quel point elle l'aimait. Cela laissa Hiryu sans voix. Il semblait figer complètement et ne repris ses esprits que lorsque la jeune femme repartit. Il se tourna soudainement vers elle et la vit se battre avec les galopins. Elle était très habile et se battait elle aussi avec une faux. Hiryu regarda alors sa faux et la pris en main.

*Alors voilà donc a quoi elle sert...Mais alors cette faux a...*

Il avait les idées confuses. Tout c'est flash back a répétition lui donner mal à la tête et ceci n'échappa pas à deux galopins qui s'étaient enfui en voyant le jeune ténébreuse. Hiryu reprit rapidement ses esprits et trancha avec sa faux l'un des deux galopins pour ensuite attraper l'autre avec la chaine accrocher a celle-ci et le plaqua au sol avec sa main.

*étonnent... Je me débrouille bien...pourtant je n'ai aucun souvenir de m'être battu...c'est peut-être sa un "vampire"...*

Hiryu perdu dans ses pensées fut réveillé par la morsure du galopin le faisant saigner. Hiryu le regarda, son oeil devenu rouge, et lui arracha la mâchoire d'un coup de main.

*La force...elle m'a dit que je n'avais pas la force des vampires...ils doivent être très puissant alors car je ne me sens pas si faible que ça... Je dois en savoir plus !!*

Hiryu courut en direction de la jeune femme et s'arrêta lorsqu'il vit Jolene ayant l'air en pétard et près à massacré tout ce qui passait. Bien sûr elle ne s'en priva pas et alla tuer quelque galopin au loin. Hiryu s'approcha alors de la grande femme et lui tira légèrement le bras.

- Bonjour mademoiselle, désolé de vous importuner ,mais pourriez vous m'en dire un peu plus sur ce que vous appelez les "vampires" s'il vous plait? *Petit moment de silence* Oh désolé je ne me suis pas présenté, je me nomme Hiryu !

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Une étrange créature ailée fit soudain son apparition de nul part, elle prit Hyriu entre ses griffes, puis le relâcha et s'approcha de Jolene et lui raconta ce qui semblait actuellement être un bobard grand comme la plaine des mégalithes et au-delà. Les galopins continuaient de fuser de partout et Fjord utilisait toujours leur élan inchangeable pour les éventrer et leur trancher la gorge. Il regarda le reste de la troupe, aucun blessé, si ce n'est que Hyriu avait arraché la machoîre d'un galopin d'un simple geste de la main. Fjord était effrayé par une telle démonstration de force. Une fois son galopin hors d'usage il avança vers Jolene, cette étrange cicarice qu'il avait sur l'oeil brillait et fjord gardait un oeil sur lui tandis uq'il tranchait les galopins un par un jusqu'à ce que les assauts perpétuells s'arrêtent. Une morsure sur l'épaule, le côté du torse bien griffé mais rien de cassé pour le jeune assassin qui tenta de maitriser Hyriu en lui faisant une clé de bras, il profita de s'être fait oublier pour passer derrière le jeune vampire et ravan nerveusement sa salive.

*Au fond, jje ne sais pas si il ne va pas m'arracher aussi la machoire. Mais il faut bien que je tente de le maitriser, si cen n'est pas lui c'est nous... Hein ? Il demande ce qu'est un vampire ? Aïe aïe aïe ! C'est encore piore que ce que je pensais ! On bat vraiment tous les records en matière de situation désastreuse ! Il est demon devoir d'y mettre immédiatement un terme. Ou sinon je pourrais le poignarder sans préambule ? Non, jolene s'énerverait et m'attaquerait... Mais que faire alors ? Bon, autant essayer la clé de bras, mais je signe peut-être mon arrêt de mort.*

Le moment de se glorifier ou de se faire lamentablement arracher le crâne. Il avança sans bruit vers Hyriu et fit signe à jolene de faire comme si de rien n'était, une fois au corps à corps et derrière lui, il hésita un instant puis lança sa tentative, il enroula ses bras autour de ceux du vampire et leva le tout pour lui serrer fermement la nuque, puis une fois fais la riposte allait survenir d'un moment à l'autre. Qu'est ce qui allait se passer ? Allait-il se faire arracher les bras ? envoyer valdinguer à 50 mètres ? Ou tout simplement remettre cette dangereuse créature aux autorités ?

Jolene fut satisfaite de cette rencontre pacifique, bien que l'odeur du sang et de la mort qui était imprégner dans chaque fibre du corps de la jeune Umbrienne sembla lui déplaire....ainsi que le petit Galopin du nom de Globi qui sembler être le suivant d'Espériane. De son coter le jeune vampire don l'umbrienne ignorer le nom sembler perplexe quand à la déclaration de celle-ci. Ainsi il avait oublier qui il était, triste destin. Il était venu demander des renseignement sur sa nature à Espériane, après avoir arrachait la mâchoire d'une galopin d'un revers de la mains... Oups ! Alors il avait la force de sa race.... au moins ne bonne nouvelle, il n'avait pas hériter que de défaut. De son regard ingénu, et d'une voie mal assuré il avait demander les précision, mais le jeune harmonien sembler avoir une autre idée de son coter.... Alors que le demi-vampire regarder Espériane, il alla dans son dos et lui fit une clef de bras. Cette acte téméraire pourrait lui couter la vie... Mais ne voulant plus voir couler le sang, Espériane réagit. D'une de ses griffes elle prit l'harmonien pour lui faire lâcher sa prise, et de l'autre, elle prit le demi-vampire de la même façon. De sa voie calme et douce elle dit alors.

"Sir harmonien je ne sait qui vous êtes ni ce qui vous lie à ce jeune homme ! Mais s'il venait à se défendre je pourrais mieux supporter la force qu'il possède que vous ! Et vous mon petit vampire je vous répondrais d'ici peut! Mais avent je vais vous dire une chose importante ! Les acte et les désir de vos ancêtres son plus noir que les ténèbres qui m'ont engendrait, mais je sent qu'en vous une lumière peut naitre de par votre oubli de votre passé ! Les vampire sont l'une des races damner de notre terre, il ne vive que pour tuer et boire le sang de leur victime ! Contrairement aux légende il peuvent vivre à la lumière.... Mais ce ne sont que les rare vampire qui lute contre leur instinct qui le peuvent ! Si vous sombrer dans les ténèbres la lumière du jour vous consumera pour punir vos pêchers! J'ai dit plus tôt que vous n'étiez que demi-vampire! cela vous permet de ne pas avoir à boire du sang, vous pouvez manger comme n'importe quel humain ! Mais le gout du sang sera toujours pour vous un délice plus raffiner ! J'ai aussi dit que vous n'aviez pas la force de vos paire.... Et bien sur se point sachez que j'eus tort ! La force du monstre qu'est votre part sombre est bien en vous ! Si vous désirez rester dans la lumière ne consommer jamais de sang pure, seul le sang des monstre peut vous suffire à nourrie la bête en vous sans consumer votre âme ! Et si vous voulez savoir à quoi ressemble l'enfer qui sera votre vie si votre âmes fut consumée..... Osez soutenir mon regard !"

Espériane relâcha la prise sur le vampire et le fit la regarder dans les yeux. Son regard de braise était devenu un aperçut de l'enfer, ce jeux de torture psychologique était un des don de sa part démoniaque.... En faite Espériane était plus démone qu'humaine comparait à Hiryu. Elle se souvint d'ailleurs de son nom à ce moment. Ce regard infernal Hiryu vit les horreur qu'avaient commis les autres vampires, ainsi que le cauchemar de ceux qui étaient rester bon. Espériane resta ainsi jusqu'à ce que le jeune vampire eux détourner le regard, puis elle le pris dans ses bras, et le serra contre lui en lui disant d'une douce voie maternelle.

"Tel est le passer de ta race, mais tu a en toi la force de changer cela et de lui donner une avenir de paix ! Ne laisse jamais la haine et le pouvoir te corrompre, et tu pourra faire de ce monde un monde meilleur ! Mais pour le moment, laisse toi aller ! Je veille sur toi mon petit Hiryu !"

De son coter Globi, l'arc toujours prêt à tirer se méfiait autan de Jalene que de Fjord, et il veiller à ce que sa maitresse soit en sécurités.

Tandis que les enfants jouaient à "chat" en tentant de s'attraper et de se rattraper, Jolene festoyait dignement, sa mâchoire crispée sur les derniers os de sa victime, elle prenait un plaisir à ronger cet chose... elle arrivait presque à l'orgasme. Ses yeux se fermèrent, tandis que la moelle osseuse délivrait son succulent liquide. Une fois à demi rassasié, un dessert devait s'imposer! Après tout, n'était t-elle pas LE chasseur par excellence? Et ne restait il pas un Galopin dans les parages? Bien sur! Ses oreilles pivotèrent vers l'arrière, entendant la dispute menée par les trois bipèdes. La femelle semblait avoir bon caractère! Jo » aimait cela. Au moment de s'étirer, elle remit ses paraboles vers l'avant, de manière à observer le paysage. Un calme plat s'exerçait devant le début d'une journée prometteuse.

Doucement, en faisant abstraction de sa taille, elle se faufilait en militaire sous les herbes, ni vu ni connu. Malgré la dorure de sa robe et sa taille quelque peu dérangeante pour ce genre de situation, elle semblait enfin avoir choisit sa petit « dessert ». après tout, trois mois sans manger... vous la comprendrez, mais l'estomac quémandait plus de nourriture.
Rampant alors doucement dans les sens du vent, de façon à ne laisser ni trace de son odeur ni craquement de pattes contre le sol, elle se faufilait vers le Galopin à l'arc.

Après tout, il était armé non? Alors, autant profiter de cette position pour le confondre gentillement avec n'importe quel autre Galopin...arrivé à environs dix mètres de sa proie, jo" s'apprêtait à bondir quand tout à coups, une invasion de pomme vint l'attaquer. Une première tomba sur sa tête, suivie de toutes les autres. Enfouit sous une montagne de nourriture … pas comestibles pour Jolene, celle ci folle de rage fit exploser celles ci sous son bond énorme vers sa proie non lâché des yeux... le clouant au sol avec sa patte guche, dans l'intention de porter le coups de grâce avec la droite, elle ajouta en pensés télékinésiques:

« c'est parce que tu vas nourrir mon corps de ton enveloppe charnel que ta quête sera noble. Reposes en paix! »

sans ce soucier des personnes qui l'entourait, Jolene était prête à assouvir sa faim. Même ce prénommé Hiryu, ou l'autre gars en armure pouvait y passer s'ils se mettaient au travers de sa proie.

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Alors qu'Hiryu venait de finir sa phrase, Fjord fit quelque chose de complètement inattendu. Il se mit derrière Hiryu et lui fit une clé de bras l'empêchant quasiment de bouger. Cependant, Hiryu pouvait s'échapper facilement avec sa force et surtout il avait gardé sa faux en mains. Hiryu s'apprêtait à se défendre ne voyant pas qui lui faisait cela lorsque que Espériane intervint. Elle sépara en un rien de temps les deux jeunes garçon, faisant lâcher sa faux a Hiryu, puis doucement elle réprimanda le jeune harmonien. Ensuite elle répondit a Hiryu. Elle lui dit à quel point les vampire était cruel et avait commis tellement de crime qu'il était plongé dans les ténèbres les plus noirs qu'il soit. Hiryu baissa la tête suite à cette phrase. Alors, comme ça il était un demi-vampire ? Ce qui signifie qu'il n'avait qu'un père ou une mère vampire et l'autre non...Mais comment ça se fait? Si les vampires était vraiment aussi cruel qu'elle le dit comment ce fait t-il qu'il soit née? et pourquoi le souvenir de son père n'ai jamais apparut dans sa mémoire? Cela soulevait bien des questions. Ensuite elle continua en disant au jeune demi-vampire qu'il pouvait changer sa nature. Oui Hiryu pouvait contrôler son envie de sang, la preuve sinon il aurait déjà mangé Fjord. D'autre part étant un demi-vampire ayant perdu la mémoire, la jeune Umbrienne lui dit qu'il pouvait devenir quelqu'un de bon...Hiryu n'ayant que 13 ans il ne fait pas tellement la différence entre le bien et le mal ,mais tuer ne lui fait ni chaud ni froid. Elle lui dit de ne plus jamais boire le sang d'être "humain" afin de pouvoir rester dans la lumière. Hiryu avait du mal avec ce concept de bien et de mal. Mais après tout tout le monde venait de tuer les galopins non? Il sont vivants tout comme nous non? Alors pourquoi les avoir tué...et Jolene censée être un être de la lumière à tuée ces galopins d'une façon atroce... Ah !!! Hiryu commencer à avoir mal à la tête. C'est à ce moment qu'Espériane intervint. Elle pris la tête d'Hiryu entre ses griffes et le fit la regarder dans les yeux. En un instant il vit toute les horreurs causées par les vampires. Finalement le petit "massacre" causé à l'instant n'était absolument rien comparé à ce qu'il avait vu...Hiryu compris un fait essentiel. Ce qu'il venait d'accomplir était purement de la légitime défense. Il ne connaissait pas ce mot ,mais il pouvait comprendre ce que c'était. Une larme coula alors de son oeil rouge qui redevint bleu.

Les dernières phrases de la jeune femme apaisèrent Hiryu qui ferma les yeux.

A cet instant précis Hiryu ressentit de la maternité ,mais ne voulu rien dire... Il se contenta de rester la sans bouger.

Après quelque instant passer sans bouger Hiryu entendit un bruit. C'était Jolene un peu énervé semble t'il qui sauta sur le compagnon de la jeune Umbrienne. Hiryu lâcha Espériane et courut en direction de Jolene. Il se mit en face d'elle et lui toucha le museaux.

-Lâche le s'il te plait. Tu es affamé certes, mais tu sais très bien qu'il n'est pas comme les autres. Tu n'es pas bête alors contrôle toi. C'est ce qui est propre et qui nous différencie tant des animaux...

Fjord semblait trop surprit pour réagir. De son coter, le jeune demi-vampire sembler s'être rendu compte de ce que voulait montrée Espériane, mais il était rester apaiser grâce à l'attitude de la jeune femme. Globi de son coter venait de se retrouver sous Jolene qui sembler vouloir le croquer. Étrangement il ne poussa aucun cris, il regardait la bête d'un aire paniquer, mais savait qu'il ne fallait pas crier s'il voulait vivre. Par chance pour lui, Hiryu avait remarquer ce que fesait son amie, et il attira donc l'attention de la jeune femme sur le duo dans une position des plus fâcheuse.
Une moue boudeuse apparut sur le visage de la demi-démone, et de sa serres droite, elle souleva la bête céleste pour libérer son compagnon. elle fit pivoter Jolene pour lui faire face, et dans le langage des prédateur, elle lui dit.

"Ce galopin n'est pas à manger! C'est un compagnon d'arme! Par respect pour cette forme de vie intelligente n'y toucher pas....ou votre sang s'ajoutera a celui qui empeste mon corps!"

Car oui, la jeune femme avait une forte odeur de sang, de vieux sang, et de mort, mais seul les sens de Jolene pouvaient le sentir...enfin Hiryu pouvais percevoir l'odeur de sang. Espériane reposa Jolene alors que Globi grimper dans son dos pour se caler dans le creux d'une de sa serres droite. La jeune femme regardait Jolene avec un regard noir, après tout elle avait tenter de croquer son serviteur, et de plus elle avait fait cela en sachant qu'il n'était pas une proie mais bien un compagnon de la jeune femme. Mais Espériane garder ses sens attentif au cas où les chose tourner mal du coter de l'harmonien, ou des lieux. Car elle se sentait observer, et elle ignorait par quoi...Globi de son coter regarder Jolene avec des yeux plus clément, et il dit de sa voie dissonante.

"Pourquoi la grande lionne de feu voulait croquer Globi? Globi pas bon à manger! Si la lionne à faim, Globi peut lui préparer des pommes, ou autre chose! Globi se souvient même ou est cacher la biche de maitresse Espériane!"

Globi attendait la réponse de Jolene.

Jo" se sentait un peu molle sur le coups. Faites le teste: un oiseau avec une force surhumaine vous décolle du sol et vous propulse à au moins deux mètres... frustrant non?
En se remettant péniblement debout, elle repensait à son but qui lui était fixé par son instinct: le galopin. Il se tenait à coté de sa maitresse... et lui proposait des fruits, légumes... et une biche! Un animal céleste, fragile et sans défenses.

Jo" étalait son mécontentement en une masse de grognements assourdissants, restant plusieurs minutes à mène le sol, assise à réfléchir intensément.
Si elle devait manger le galopin, elle devrait utiliser la ruse. Mais comment?
Elle calculait la distance qu'elle aux autres, au jeune homme, jeune vampire, et démone. Il ne lui fallut que très peu de temps avant de de rendre compte qu'une chose allait certainement bouleverser sa machination: la démone semblait forte, et peut être avait elle acquise une rapidité extrème... enfin, elle en était lé, elle devait se faire confiance et user de ses talents de prédatrice.
Lorsque les trois individus se tournèrent et recommencèrent à parler, Jo" se prépara.

" C'est partit! "

avec l'agilité d'un chat et la force d'un dragon, elle arriva sur Hiryu, lui prit son bras au passage, le balança contre l'arbre, fit un volte-face, esquiva en sautant derrière l'arbre, pour au final sortir ses griffes infernales et arracher le Galopin de son poste pour, plusieurs mètres plus loin, le remuer dans tout les sens, l'assommant contre un rocher et le lâchant au moment ou Jolene ne sentait plus la force dans le corps de ce dernier.
Le corps se propulsa devant Fjord. Et dans un Rugissement de victoire, Jolene reprit son air agressif et dangereux, babines retroussées, griffes sortie, rage à son paroxysme, muscles tendus.

" le premier qui s'avance, je le broie avant même qu'il ait pu penser la moindres chose! "

son ventre gargouillait, et elle sentait bien que le galopin n'était pas passé dans l'autre monde. Jo" préférait la viande fraiche, vivante pour la sentir les nerfs et le cœur battre aux contacte des crocs.

Alors, elle eue une idée. une effroyable idée. Elle se détendait un coups, laissant ses muscles fléchir, tressaillir par la méfiance et la convoitise.
peut être y avait il d'autres endroits aussi riches de créatures et de magie dans ce nouveau monde?
Après tout, Jolene avait déjà visité Harmonia. D'autres endroits tout aussi vaste devait certainement l'attendre, et puis cet endroit était pourrissant.
Alors dans un élan de dégoût et de rage, elle renifla et partit au grand galop dans la vallée sans demander son reste.

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