Pour un morceau de cuir noir [Terminé]

Elle se précipita dans une tenue assez courte dirons-nous, simple short de jeans et chemise attaché par des nœuds, courant sans relâche vers l'étang le plus proche, riant au éclat, suivit de Fox, et elle sauta de toute ses force pour y atterrir dans une éclaboussure magnifique, digne des plus beaux chocs, elle venait d'arroser tout les alentours, suivit d'un jeune loup qui prit la fuite en regardant par dessus son épaule, elle se tenait dos au rebord et ne comprenait pas pourquoi il était si effrayé...

D'accord il ne se connaissait pas depuis longtemps mais de là, à la fuir en la voyant trempée, elle ne comprenait pas, elle se retourna doucement et nagea un peu sous l'eau, rejoignant la rives sans regarder...elle sorti perdue dans ses cheveux, une vision assez proche des algues mais ce fut de courte durée. Dans un grand mouvement de son corps se cambrant elle les secoua et le remit dans son dos et c'est là! Oui là qu'elle comprit pourquoi Fox avait fui...

Elle regarda l'homme assit sur la souche, et se retient de rire. De le voir trempé, de le voir assit et de comprendre la situation, elle ne pu s'empêcher de rire... Elle s'accroupit en cachant son rire enfantin,pour lui murmurer, ne voyant toujours pas son visage:

- Je suis désolée... Elle était bonne?

Et la... vous vous demandez, comment elle en est arrivée à jouer à trape-trape avec un louveteau, je le sais, je le sens vous voulez savoir, je suis gentille je vais vous en dire un peu plus...Juste un peu , juste pour vous lecteurs... Donc:

Ah... *soupire*...La nature, quand on est une aventurière, c'est un truc qui vous attire. Elle est pleine de mystères et de découvertes, ses dangers sont au coins de la rues, surtout qu'il n'y en a aucune, enfin c'est un havre parfait pour jouer avec vos nerfs, tester vos peurs, connaître vos limites. Mais quand on est aventurier, on s'y rend pour un but, un objectif finale, comme une mission ou un roman. pour Momoe, c'est un peu plus simple, je vous explique, pour elle, la vie est une aventures, donc elle est aventurières et donc... attention déduction partiellement logique: Elle se fabrique facilement ses propres situations périlleuses, ses moments de tests, de peurs, d'adrénalines... Ses aventures...

Alors après la jungles et les malédiction douteuse, quoi de plus intéressant que les rivières, qui regorge de poissons vivaces de petites bêtes poilu qui morde et autres, entre insectes et mammifères... Vous pensez qu'elle pensait à ses détails? Pas le moins du monde...Le paysages était magnifique, chaleureux, accueillant, digne des contes de fée, elle se prenait presque pour une princesse... Enfin presque... Mais les princesses ça s'ennuie tout le temps et ça fait des bêtises ou des caprices, donc revenons sur l'aventurière!

La petit poupée, marcha quelques instants, cherchant de quoi jouer, un compagnon, un fruits à découper, un machin a dessiner...une fleurs pour un bouquet, enfin quelques choses pour s'amuser. Ainsi sa chance légendaire et son oreille attentive, elle entendit des gémissements...


*Pour ne pas heurter la sensibilité des plus jeunes, la scène de libération d'un pauvre louveteau prit dans un filet à était censure, pour toute plainte merci de contacter l'auteur*


Et c'est ainsi qu'elle se lia d'amitié éphémère avec ce petit loup, un peu plus faible, un peu plus jeune, un peu plus roux que les autres... elle le caressa un peu, il lui répondit d'une léchouille, devenons ami et courant dans les champs, elle déposa son sac et ses affaires, laissant le grand manteau noir bien caché, trop précieux vous pensez bien, et elle parti avec fox, oui elle lui donna un nom...

Momoe se stoppa aussi vite que leurs regards se croisèrent, elle en oublia, l'eau qui dégoulinait son visage, la fuite du loup, le temps qu'il faisait, le vent qui soufflait entre les arbres, elle le regardait dans les yeux et son cœur de fini qu'un tour, elle se concentra, pour faire passer la foule de question qui se posait en elle, elle sentait son cœur s'emballait, elle sentait que sa tête se mettait proche de l'ébullition, elle devait certainement paraitre rose ou gênait.. mais lui... Qui était-il...?

Et oui, je suis désolée de vous avoir mis de fausses idées en tête, nous somme bien loin de la beauté d'un coup de foudre. vous savez la première rencontre insolite, qui vous transporte vers des mondes de sentimentalisme... Nous somme simplement en face d'une personne qui fait partie des milliers d'autres personnes qui sont dépourvu de mémoire, non, qui sont en situation de "Je sais que je connais, mais d'où?"

Une simple question pour certain, un vrai dilemme, un problème de l'ordre de la plus grande importance existentiel, le problème ultime, voila ce que Momoe pensait, il était qui? Elle ne se souvenait plus... Et ainsi perdue dans ses pauvres doutes et sa pluies de questions intérieur, elle cherchait et lui se rasseyait sur sa souche, elle n'avait pas écouter un mot de ses propos, qui certes devaient être important, comme je sais pas moi, des indices sur son identité, mais ... non... elle avait pas écouter...

Sa mine était sérieuse, elle avait le visage au sol et cherchant dans ses souvenirs, et le pauvre voyageur passa dans des milieux tous plus étrange que insolites, elle commença chez les mercenaires, dans ses premières années de combats, le cousin de Zack, un homme assez grand avec des cheveux noir, un homosexuel, le premier homme du camp à l'avoir frapper, non il était borne. Puis ce fut le tour de Jiin, le fils du boucher, mais il était tout petit et on peut pas grandir autant, Albert le chien de l'Auberge, attend ou tu vas chercher, la?... Momoe était perdue dans ses souvenirs maintenant mais...

"Combat", "manteau de cuir", "nuit et neige", "petit prince", elle venait de trouver, elle releva les yeux un grand souvenir au lèvres, il devait attendre depuis de longues minutes une réaction de sa part, c'était donc Saladin son nom, à l'homme au manteau, elle sourit et lui saute littéralement dessus, pas le temps de l'éviter ou autre, elle lui saute au cou dans un câlin Magistrale.

- Je me souviens, vous êtes l'ennemi de feu petit prince... je suis contente de vous voir... J'avais peur en voyant vos blessures, je ne voulais pas vous laisser partir à la base...

La jeune enfant,se reposa en face de lui avec le même sourire, assise sur ses talons et les mains sur ses cuisses penchée en avant pour lui murmurer joyeusement:

- Comment allez-vous? et vos blessures depuis le temps? Et pourquoi vous êtes là? vous avez faim?

Un grondement raisonna dans toute la forêt, le ventre vide des jeunes est redoutable, vraiment... la preuve en images, enfin en audition...

- Il faut croire que moi oui, ça vous dit qu'on retrouve mon sac, monsieur Saladin?

Toujours aussi souriante elle attendait sagement une réponse...

Il est évident que même la plus grande des aventurières se retrouve gênée par de tels appelles au sucres, elle en rougit presque. Elle le regarda un instant et il était drôlement grand, il épousseta soigneusement ses vêtements, elle toujours immobile, se mit à rire timidement. Puis il finit enfin son œuvre regroupant du regard tout ce qui avait voler lors de cette scène de retrouvaille si touchante…

- Je crois que je vais bien oui...et mes blessures, oui ça fait longtemps qu'elles sont parties...j'ai même eu le temps d'en avoir d'autres entre temps !

Il marqua un temps de silence comme plongé dans les remous d’un passé sans lumière, l’expression sur son visage était si fade, comme tout semblait lourds en cette instant, après tout personne ne peut avoir une vie aussi rose que celle de la douce Moe, personne, car même elle, c’est du rose maculé de sang et de souffrances, mais il est toujours bon de les oublier pour avancer. Ainsi dans son monde de poupée, ou n’est que jeux et fantasmes, elle ne voit pas la haine, la colère ou la rancœur, guider par la pureté d’un cœur blessé.

- Ok, on va partir à la recherche de ton sac...je suppose que tu sais où tu l'as posé...et ça serait bien que tu me dises comment tu t'appelles...

Momoe lui sourit et lui fit une révérence masculine certes, mais une révérence tout de même, elle s’immobilisa et lui murmura le sourire aux lèvres:

- Momoe Van Hell enchantée... Monsieur Saladin Jaggerjack.

Il sourit et se mit à ranger ses affaires avec autant de délicatesse qu’elles étaient précieuses. Elle se redressa enfin, époussetant à son tour ses vêtements d’aventuriers, pleins de boue, entièrement trempée et finalement, elle décida de retourner dans l’eau. Elle ne l’écoutait plus elle était déjà bien loin quand il marmonna je ne sais quoi…Elle tourna un peu dans l’eau, le regardant en souriant et finit par revenir à la rives:

- Monsieur Saladin êtes-vous pressé?

Dans un mouvement souple elle se cambra en arrière pour essorer ses cheveux d’or et de lumière. Ses pas toujours plus élégants avançant un sourire taquin aux lèvres.

- Je ne pense pas, mais je pense aussi...

La jeune enfant arrivée enfin devant lui fièrement, ne se souciant guère de sa tenue sourit et pointa son torse de son index enfantin. Se penchant un peu en avant, le regardant avec un sourire malicieux, elle lui dit sur le ton de la confidence et du défis:

- Que vous ne savez pas nager…

Un rire cristallin s’éleva dans les airs, elle se mettait encore a rire au éclat, oubliant combien elle avait faim, elle lui enlace un dernier sourire, suivit d'un clin d'oeil , puis parti en courant pour sauter dans l’eau. Cette eau toujours aussi bonne et ce soleil toujours aussi haut, quoi de bien que l'eau? Et puis de toute manière pas besoin de ce justifier, elle avait envie d'y retourner, elle le faisait encore et encore. Elle parcourut la plus grande des distance possible pour ses poumons d’aventurière et finit par sortir la tête, histoire de le voir… Ce Monsieur saladin.

La lassitude, Momoe le regardait et se demandait pourquoi.. pourquoi était-il si mou, si neutre si simple, si lasse... une chaussette de grand-mère en piteux état serait plus utile que cette homme au cheveux de jais pour la divertir, il faisait une chaleur digne des plus beau désert, le soleil se jouait des regards, déformant l'horizon sans retenu, Le vent ne soufflait pas la chaleur des pierres, le temps était radieux certes mais la chaleur accablante. Mais non lui se contentait de la regarder barboter au milieu de l'étang, elle attend que le prince capricieux daigne venir.

Un simple signe de main, une non-nonchalance à vous couper le siffler, et c'est peu dire, mais quel Rustre!!! Quel goujat un homme qui devait encore la prendre pour une écarte-cuisse sans morale qui aurait succombé devant son aura de mâle dominant, dire qu'elle était heureuse de le savoir en vie, dire qu'elle avait ronger ses sangs pour un homme comme ça, dire qu'elle le croit peut-être mort ou je ne sais... dire qu'elle n'avait pas oublier son visage. Peu à peu la rage montait, ses mouvements de bras pour venir se faisait de plus en plus rapide, elle arrivera bientôt à sa hauteur.

Alors que Monsieur le grand Saladin je crois tout savoir des femmes faisait mumuse avec des cailloux, attention loin de moi l'idée d'insulter les tas de roche, certain avec une pointe d'imagination un soupçon d'intelligence et un peu de vie sont vraiment utile et attachant, après je dit cela comme je dirais bonjour aux papillons un jour de neige, enfin bref reprenons.

Le pas fière et le regarde fixe, telle la vénus sortie des eaux elle se posa devant lui qui fumait son tabac, d'un mouvement rapide elle releva son poignet et la cigarette se fendit en deux , elle s'approcha le regarde passant de bleu à encre de chine noir, elle ne souriait plus, oui elle était énervé:

- Écoutez moi bien Monsieur, je pense que tout m'est dû...

D'un autre mouvement souple elle fit voler son sac, qu'il est bon de tisser sa toile, allons il faut toujours rester prudent, elle lui avait déjà déposer des aiguilles, vilaine fille, vilaine! Elle le regardait fièrement, il jouait encore les pantins, main juste trois aiguilles:

- Je pensais que vous auriez simplement le temps de sourire, mais il faut croire que non...

Momoe le regarda et son visage noir de rage, passa au gris de la mélancolie, elle détacha toute ses aiguilles et lui posa son sac de justicier au pied, puis sans le regarder, elle tourna les talons.

-Venez c'est par la... que ce trouve ce que vous chercher....

Le voyage se passa sans qu'elle ne se retourne, sans qu'elle ne le regarde, sans qu'elle ne le calcule, elle ne le prévenait pas des branches, des ronces ou des autres obstacles, elle ne se souciait même pas de savoir si il était toujours derrière elle. Arrivée devant son sac elle le regarda fièrement. il était toujours aussi coloré, plein de choses inutile dont un vieux morceau de cuir qu'elle avait durement protégé, raccommodé, et graisser pour ne pas qu'il s'abime il avait d'ailleurs meilleur mine qu'au départ. Mais tout cela n'est encore qu'un détail fugace.


*une fois de plus, l'auteur choisit de mettre une censure sur les propos émanant la conscience de la douce enfant, en effet pour ne pas heurter la sensibilité et la patience de ces chers lecteurs, il préfère laisser planait le doute...*


Momoe soupira aprés avoir penser à combien il l'avait déçu, puis sans savoir si il était la ou non, elle murmura d'un vois cassé et monotone dénuée de sa jugeur sensuel et naturel de sa fougue de son allégresse, bref de sa vie chaleureuse:

- Voila, Monsieur Saladin c'est ici...

Puis elle s'éloigna, n'attendant pas de réponse, pas de réaction, pas moins de merci ou de à plus tard. Décevoir une femme, ou essayer de comprendre une femme, voila de bien belle erreure vous ne trouvez pas? Attrapant au passage la machette qui trainait à coté de son SAC, mais quelle aventure palpitante, que va-t-il se passer? Momoe avançait bien décidé à manger, après les nerfs, la deception, voila que la faim prenait le dessus sur ses sens, elle voulait un ragout d'ours.. ou de chevreuil...

Un rustre, un goujat, un sauvage! Tout la traverser de la forêt pour retrouver son sac s’était passer comme ça, mais quelle manque de tacts sans fondement, qu’elle homme abjecte! Dire qu’elle heureuse de le voir, qu’elle s’était du mouron pour lui, quelle avait garder précieusement le morceau de cuir, le réparer et le soignant comme il se doit, à croire que lui ne l’avait jamais fait, enfin…. Et lui je jugerai que par ce morceau de cuir, qu’il le récupère bon débarras, comme cela elle n’aurai plus à le garder. Bine qu’il fait avouer que certaine nuit froide il fut très utile, mais jamais au non! Jamais elle ne lui avouerait. Ainsi laissé devant le sac il l’avait enfin retrouver, quelle bonheur! Non mais je vous jure!

Boudeuse et triste, elle se faisait un nouveau chemin dans la foret, machette à la main et dents serrées, cela faisait longtemps que la capricieuse Momoe n’avait pas refait surface. Elle ne le regardait déjà plus, bien trop occupé à la contemplation d’une ruche en plein ouvrage. Quoi chacun ses fascination, non? A dire vrai elle avait déjà envie d’aller s’excuser pour son comportement, elle n’avait pas à lui parler comme ça, oui il n’avait rien fait. Justement! Elle aurait voulu qu’il vienne, mais non lui et son morceau de cuir… et c’était repartie pour une tour, raaah les femmes.

Aussi rapide qu’un coup de tonnerre la terre qui se trouver devant elle explosa dans un souffle des plus bruyant, elle chuta pour ne pas en recevoir dans les yeux, et assise parterre sa colère explosa, la mine boudeuse a souhait, qu’elle était mignonne. Non mais quel brute!. Le jeune homme s’approcha doucement, Momoe toujours au sol, ruminer de rage dans sa tête, ne sachant pas qui de l’uppercut ou du coup pieds dans le tibia était le plus adapter à la situation alors qu’elle allait plonger ses yeux rouge de rage dans ceux de l’homme, aillant opté pour le tibia, elle se fit soulever et remise sur pieds, haha! Il lui faciliter la tache! Et… rien… Elle resta immobile la bouche en rond. Le rustre connaissait les baiser. Et … non je peux pas avouer ça… mais… il était beau avec cette air heureux, alors il était si content que ça? Elle finit par soupirer et écouta:

Merci, merci beaucoup d'en avoir pris soin !

La douce enfant n’eut pas le temps de lui répondre que déjà elle se retrouver dans ses bras, et c’était plaisant. Mais ou va le monde? Je vous le demande bien fort.. Reprenons… Alors que l’étreinte de cuir noir et de joie était d’une douceur rare, elle rougit encore, finalement, elle n’avait pas de raison de se mettre en colère, elle culpabiliser un peu, la gêne l’envahie totalement, mais tout n’était pas fini. Après un geste des plus adorable symbole d’une gêne évidente, il se retourna, balançant au grés du vent des mots d’adieu, non mais je vous jure… celui-là… Momoe resta bête. Oui simple bouche baie, le regardant dépitée sauf qu’il se retourna de nouveau, mine provocatrice et regard de marmot, que le jeu commence.

Momoe écouta et le vit partir à grande foulé, il avait pris le chemin qu’elle lui avait montré, il était sur de perdre. N’était-elle pas arrivé d’un autre coté du lac, elle avait pris ce chemin, juste pour lui mettre des branches dans la tête. Quelle petite chipie je vous jure et elle en était fière, elle soupira et se mit a courir pour rejoindre le lac, elle sauta sur une branche et le fit entrain de se dévêtir. Quel homme! Quelques cicatrices sexy, un corps tailler pour le combat et une bonne dose de ridicule, vous vous voyez vous quand vous vous déshabillez à la hâte? Je vous l’accorde là ça fait beaucoup de vous, mais vous avez compris le principe non? Enfin bref… elle se mit à rire alors qu’il sauta dans l’eau et l’observa comme une panthère sur cette branche se laissant glisser dessus pour que sa main touche l’eau, elle était au finale à la opposé de là ou l’homme barbotant attendait.

Elle siffla, comme pour l’appeler ou se moquer et lui sourit, elle dessina des rond sur la surface de l’eau et reprit fièrement avec un petit sourire mutin et taquin

Ah oui tu sais nager… mais…

Jolie poupée au cheveux de blé, il est temps de retourner dans l’eau, d’un mouvement presque félin et élégant elle finit sa course dans l’eau glissant comme une sirène pour venir apparaitre prés de lui en souriant, elle tourna un peu autour de lui et finit par attraper son dos. Je ne vous fais pas un dessin, poser sur lui, avec les main sur sa tête, sans pour autan forcé, juste pour s’appuyer:

Tu n’es pas très gentil, tu m’as fais de la peine alors j’ai le devoir de te punir…

Elle appuie d’un coup sur sa tête, pour le faire couler, oui oui, elle a couler SALADIN JAGERJACK!! Mais qui sème le vent récolte la tempête, elle le lâcha et partie a toute hâte, elle allait en prendre pour son grade, c’était amusant… et le contact de sa peau contre la sienne des plus plaisant… et oui vous vous attendiez à quoi.. Mais ceci est une autre histoire…

"je venais de faire ce que je voulais faire depuis de le début, de toute manière je n'ai JAMAIS de regretter, bon d'accord un peu de temps à autre mais sinon JAMAIS... Et il venait de couler, ~~kufufufu.. pas folle la guêpe que je suis je pris vite la fuite, je ne voulais pas qu'il me rattrape quoique..."

Alors que la tête de Saladin se retrouva sous l'eau, et en plus comble du ridicule pour lui, il venait de prendre une tasse monumentale, ce qui bien sure vous pouvez vous en doutez fit rire Momoe de plus belle. La fuite devenait donc vraiment une évidence notable. Nager, Nager toujours plus vite, toujours plus loin pour survivre voila ce qu'elle devait penser, mais elle aussi futile que frivole, elle s'arrêta en voyant l'ombre sous elle, elle le reconnu et se dit que le destin était tracer, elle leva les yeux au ciel et il attrapa la cheville.

"je ne me doutais pas qu'il irait plus loin alors, j'ai pas prit une grande inspiration, aussi idiote que je peux être, alors lorsque je sentis qu'il remontait pour m'appuyer encore plus profond... "

Il faut avouer que la peur la saisit elle aimait l'eau mais des mauvais souvenir ça existe, alors elle essaya de remonter, vers le surface étincelante, espérant trouver de l'air, mais non il continuait à l'enfoncer toujours plus loin dans les ténèbres de cette eaux pourtant si trouble. De surprise, elle lâcha toute son air et avala de l'eau, elle ne pouvait pourtant pas remonter, mais quel mouche l'avait piqué? elle ne comprenait pas? ce vengeait-il d'un coup? lui faisait-il payer pour son comportement? était-il en colère ou simplement sadique avec les jeune filles sans défenses livrée à elle-même dans le danger de cette foret? hum... ou alors il était simplement joueur...

Elle sentit qu'il venait la chercher, elle remonta à la surface, elle prit une grande inspiration, heureusement qu'il la tenait, vu comme elle était fragile d'un coup, elle toussa fort et plusieurs fois, comme une enfant qui à bu trop d'eau, crachant même un peu de cette eau, et passant son bras pour agripper à lui et se frottant le yeux d'une main tremblante avant de le regarde avec de grand yeux pleins de larmes:

Est-ce que j'ai fait une bêtise...?

Elle tremblait, oui elle tremblait de cette peur qu'elle eut, de cette incompréhension...de cette eau qu'elle aimait tant et surtout des actions de cet homme, qu'elle aimait bien, elle posa son autre bras autour de lui et posa sa tête sur son épaule toussant encore un peu, vraiment déboussolée pour le coup, elle ne savait même plus comment réagir, complètement perdue, elle lui murmura:

je suis désolée d'avoir fait une bêtise, moi je ne voulais que jouer avec toi, pourquoi tu m'as fait aussi mal? je t'ai fait quelque chose? tu es fâché? énervé? tu m'en veux? tu vas recommencer....

Elle redressa la tête pour le regarder avec une tristesse sourde et puissante pourtant le dévisageant cherchant des réponses qu'elle ne pouvait pas voir si facilement et se contenta de lui rajouter doucement, avant de détourner le regard honteuse:

j'ai peur de toi, juste un peu mais j'ai peur de toi....