L'arrivée de Tala... [Terminé]

Invité

Arrivée il y a quelque jour dans son nouvel environnement, Tala se décida a se bouger de son lit pour découvrir la région. Bizarrement, ses origines ne lui manquait pas. Elle repensait a ses parents, parfois, quand elle se sentait seul.
Ce matin, elle s'était réveillée tôt, la chaleur caressait sa peau refroidit par la fatigue et le manque de proie des derniers jours. Une heure pour se préparer. Une bouteille, une boussole, une couverture, et la voilà partit avec son sac a dos.
Elle marchait lentement, attentive au moindre bruit qui pouvait y avoir, attentive a chaque chose qui pouvait bouger, Tala était sur ses gardes. Sur le chemin menant a un supposé désert, Elle se rappelait la dernière fois qu'elle avait du faire face a une course poursuite qui, avec le temps, c'était rapidement transformée en course d'orientation puisqu'elle s'était perdu en pleine forêt après avoir tenté d'attraper une créature plutôt bizarre semblable a un sanglier.
Après quelques minutes, elle passa par une forêt dans laquelle elle déouvra un lieu paisible, sublime, magique même. Une source, abreuvé par une cascade était cachée derrière les arbres et autres feuillages. Tala renifla. Elle sentait quelque chose...

* Quelque chose ... il y a quelque chose... ... créature ? une... bête ? ... *

Une brindille craqua en face d'elle puis quelque chose bougea. Tala avait ses sens en éveille, les oreilles écoutaient le moindre petit bruit, les muscles de ses jambes tremblaient sous l'impatience puis elle se propulsa en avant avec une force infinie. Sa y est, la course avait commencé. La guerrière ne savait pas encore ce qu'elle allait attraper mais elle était belle et bien derrière quelque chose qui, pour elle, sera son déjeuner. La voilà a présent a quelque centimètres de sa proie qui, par rapport a d'autres, se débrouillait plutôt bien pour semer quelqu'un. Tala accéléra encore sa course, elle ne pourrait plus tenir très longtemps, ses muscles étaient en feu et sa rage, bientôt a son paroxysme.

* je vais t'avoir sale bête... *

Un dernier effort, sa proie bascule sur une branche tombée une seconde plus tôt, Tala saute et se retrouve sur elle. Machinalement la jeune femme ouvra sa bouche et laissa apparaitre ses 32 dents pointus, prête a gouter a n'importe quelle chair se présentant. La jeune femme referma sa puissante machoire sur la proie puis on entendit un crie étouffé. Sa y est, le venin avait pénétré et lui permettait alors de se restaurer.
Après un petit quart d'heure, la jeune Otyana, fier d'avoir tué, reparti vers ce fameux désert. Elle marcha peu puisque finalement, sa course l'ayant emmené plus loin, elle n'était plus qu'a quelques centaine de mètres de cette étendu de sable dont elle avait tellement entendu de mal.
Apparemment, le danger était partout...
* En même temps, je suis pas une Otyana pour rien... Mon seul but étant de tuer, si un malheur m'arrivait, je vaincrais ! *

Une fois rassurée par ses propres mots, elle se retrouva au milieu d'un paysage magnifique, surplombant les dunes en contrebas, Tala s'était retrouvée au sommet de l'une d'elle, son odorat lui parlait a nouveau, quelqu'un était ici ...

Vaiarii s'était décidé de se reposer sur un arbre trouvant l'air doux et la nature verte. Ses journées étaient longues et ennuyantes et il se trouvait souvent obligé de faire un petit somme pour passer le temps. Il était donc entre un état de sommeil et coma quand un bruit le réveilla. Une femme passait sous son arbre; elle semblait paisible, ou peut-être en pleins souvenirs.

Soudain un bruit sortit de la forêt. La femme perdit l'expression paisible de son visage et se transforma, en bête de chasse. Elle sprinta, courant après le bruit avec une détermination hors du commun. Elle atteint finalement sa cible et bondit vers lui pour.. le mordre? Pourquoi utiliser ses dents alors qu'elle avait une arme avec elle?

Elle avait un sourire, peut-être car elle allait enfin manger ou peut-être une forme de sadisme envers l'animal, Vaiarii ne savait pas

Il avait vu beaucoup de créatures dans ses voyages mais la, après avoir enfoncé ses canine dans la chair de l'etre, elle s'éloigna en la regardant agoniser lentement au sol. Le Neko eut un sentiment de pitié envers la proie , puis, comprit enfin.

* Du venin? Mais c'est trop..... mortel! *

La chasseuse avait donc des talents cachés, sans doutes des encore plus étranges que le poison. Il avait tellement de questions à poser à la dame, mais il préféra ne pas s'en approcher sous peur d'éveiller son agressivité. Il décida donc de la suivre dans la forêt en évitant soigneusement les branches cassantes et toute source de bruit pour enfin, arriver dans un désert.

Il n'y avait plus de cachettes, plus d'ombre, le soleil tapait, et il devait dorénavent continuer à pied. Il marcha donc silencieusement derrière elle pendant un bout de temps et, au bout d'un moment, se figea complètement lorsqu'elle s'arrêta brusquement devant lui en haut d'une dune. Elle reniflait autour d'elle et semblait l'avoir senti.

Il décida donc de changer de tactique et de s'avancer vers elle.

-Bonjour, dit-il doucement, je m'appelle Vaiarii. Je t'ai vu tout à l'heure mordre cet animal. Tu possèdes donc du venin, qu'est tu? Tu ne peux pas être humain.

Il se trouvait à deux mètres d'elle et avait ses mains derrières son dos. Il lui sourit pour la mettre en confiance, et surtout pour éviter toute forme d'affront innutile

Invité

Le soleil n'avait jamais été aussi chaud a cette heure de la journée. En effet, Tala regarda la place de celui ci dans le ciel et en déduit qu'il ne devait pas etre loin de midi. La jeune femme était toujours immobile, cette fois ci, elle en était sur, il y avait quelqun. Sa bouche s'entrouvrit, son coeur commencait a nouveau à s'emballer, allait-elle a nouveau tuer ?
Les pas de la personne, pourtant très discret, arrivait aux oreilles de Tala jusqu'a ce qu'elle parle d'une voie douce qui se voulait appaisante ...

-Bonjour, je m'appelle Vaiarii. Je t'ai vu tout à l'heure mordre cet animal. Tu possèdes donc du venin, qu'est tu? Tu ne peux pas être humain.

Tala se retourna brusquement, qui osait lui demander quelque chose d'aussi personnel ? et puis d'abord, depuis quand été elle observée ? La jeune femme ne savait plus quoi faire, cela faisait longtemps qu'on ne lui avait pas parlé aussi agréablement.
Elle s'avance lentement de ce supposé "Vaiarii" et d'un geste instinctif le renifla au niveau du coup.

* Il m'a pas l'air bien méchant... *

Après cette rapide expertise, la jeune guerrière se recula en laissant apparaitre des griffes pointu au bout de ses mains.

- Je ne suis pas humaine, en effet. Je faisais parti d'une tribu du nom de Ohami, ma race s'appelle les Otyana, je suis programmée pour tuer et me nourrir du sang de mes victimes...

D'un air sadique, elle le reconnaissait, elle sourit au jeune homme et ainsi permit a celui ci de voir ses dents pointu. Bizarrement, elle aimait appeurer ses interlocuteurs... ou futur victime, afin d'avoir un plein pouvoir sur eux... Son désir de le mordre devenait difficilement controlable, elle n'avait jamais gouté a une race pareil, peut-être allait-il être meilleur que les autres ? Ses mains desiraient plus que tout l'attraper, elle ne pouvait rien y faire après tout, c'était sa nature... Tala reussit a se concentrer avec difficulter afin d'avoir un minimum de conversation.

- Ta race me semble bien appetissante mais... je ne la connais pas... pourtant ton odeur me rappelle quelque chose... aurais-je mordu quelqun de ta famille ? un proche peu-être ?
Son interlocuteur semblait vouloir inspirer la gentillesse mais Tala ne l'entendais malheureusement pas comme ca...

Le vagabondage. Pauvre petite âme errante… Notre chère Needy n’avait décidement rien, strictement rien à faire de sa misérable existence, et en plus, elle avait la sensation absolument agaçante de tourner en rond… Encore une fois elle atterrissait dans le désert, c’était la deuxième fois depuis qu’elle était arrivée ici. Ce lieu devait être lié à elle ou quelque chose du genre qui devait sûrement la dépasser. Et pourtant ça la gavait. Du sable chaud qui, emportait par le vent se collait à la partie suintante de son visage. Ça grattait, ça piquait, elle avait chaud, tout cela l’agaçait profondément. Elle se sentait mal dans ses collant trop épais qui lui tenait trop chaud, dans sa robe pas pratique qui aurait été idéale pour une séance photo d’un parfum du genre Lolita Lempicka. La fin de journée s’était révélée particulièrement insupportable pour ma pauvre misérable, délicate, sensible, fragile, raffinée, ma douce, ma chère N.

Si je l’avais pu, je me serait excusée auprès de cette enfant, cette gamine malheureuse. Je me serai mise à genoux pour implorer sa pitié, je n’y pouvait rien, elle me menait en bateau, elle était plus forte que moi. Ma main impuissante traçait les lignes de son caractère sans demander conseil à mon cerveau. J’aurai aimé pu dire qu’elle était forte, qu’elle était la meilleure, une guerrière, mais ce n’était pas le cas, dommage pour Nee.

Ce désert la menait toujours vers des rencontres, d’étrange ou agréables rencontres, la plupart du temps assez inattendues. Nous parlons bien ici d’un désert, c’est important de le préciser…

Finalement ses ailes n’était pas vraiment utiles… C’était une fourrure d’apparat. Elle n’avait pas encore assez de force pour les soulever pour s’en faire un parasol, elles ne servaient strictement à rien.

Elle s’assit désespérément sur le sable brûlant et le fit doucement couler entre ses doigt. Toujours pas la moindre trace de cité, la pauvre jeune femme était perdue dans ce drôle de monde qu’elle ne connaissait pas. Elle commença à faire un château de sable, pour s’amuser, et, en quelque sorte, se rassurer. Son sort n’était pas menacé, elle était juste à la frontière du désert. Et puis elle était maligne, elle n’allait pas mourir…

-Bonjour, je m'appelle Vaiarii. Je t'ai vu tout à l'heure mordre cet animal. Tu possèdes donc du venin, qu'est tu? Tu ne peux pas être humain.

Elle venait d’entendre une voix. Le soleil devait vraiment lui taper sur la tête… très fort.
Des susurrement humains, qui l’attirait. Elle se questionnait : qui donc cela pouvait il être ?
Elle se coucha à terre, n’évitant évidement pas de se brûler les doigt.

Il y avait deux personne, mais elle n’arrivait pas à distinguer leur silhouettes sans se faire repérer.

Elle approcha en trempant. Le sable lui râpait les avant bras, mais c’était plus fort qu’elle, sa curiosité, elle le savait pertinemment, était plus que maladive. C’était comme si une main géante la poussait à faire des choses qu’elle ne voulait pas. Du sport, par exemple.

- Je ne suis pas humaine, en effet. Je faisais parti d'une tribu du nom de Ohami, ma race s'appelle les Otyana, je suis programmée pour tuer et me nourrir du sang de mes victimes...

Individu dangereux, individu dangereux !!! Il faut à tout prix s’éloigner, se protéger, sauver sa peau coûte que coûte !!!! AIE AIE AIE Noooon je veux pas mourir, pitiiiéééé.

Petit instant de bug.

Needy écarquille ses yeux ahuri et ouvre légèrement sa bouche, comme un bébé en plein éveil. Elle cligne deux trois fois des cils puis se reprend. STOP.

Je ne suis pas la cible, alors je n’ai pas à me méfier.

La jeune fille qui venait de dire ça regardait en direction de ce certain Vaïe-aïe-aïe, et pas en direction de notre héroïne. Elle eut donc, à ce moment précis, une idée affreusement stupide qui, je pense, allait s’avérer marrante et dangereuse, comme un jeu d’enfant. Un jeu de rôle, de déguisement. Jeu de poker sûrement.

Elle déchira des pant de sa robe, ébouriffa ses cheveux, fit couler un peu son maquillage et pris son poignard dans une main, son épée dans l'autre.

- Ta race me semble bien appétissante mais... je ne la connais pas... pourtant ton odeur me rappelle quelque chose... aurais-je mordu quelqu’un de ta famille ? un proche peut-être ?

Ce fut à ce moment là que Needy se releva brusquement, poignard levé non en direction des autres mais plutôt en direction de son avant bras.

« Ô seigneur donne moi ta puissance et laisse moi accomplir ta destinée, je suis ta servante, ton unique, Ô toi maître d’EDEN laisse moi comprendre et goûter au fruit défendu de la connaissance »

Pour ce qui ne comprennent pas, imaginez vous la scène :

Une folle furieuse, à la crinière ébouriffée, aux visage livide en plein soleil, aux grand yeux gris effrayant, les ailes déployée à contre jour, son ombre qui recouvre la votre, et ce sentiment instinctif qui vous étreins devant un poignard. Cet espèce de malaise commun qu’on retrouve devant la scarification, le culte des mort et tout ce patatras.

Evidemment, Needy n'avait rien à voir avec tout ça, mais ça personne ne devait le savoir =) Car elle avait beau être nulle en combat, sa ruse équilibrait le tout et c'était pour cela qu'elle était encore en vie.

Imaginez la comme un melange de tout cela, vive les deguisement quoi XD :

Spoiler:

(HRP: Vaiarii--->Talla--->Needy ^^)

Il se trouvait donc en face de cette personne en éssayant de se montrer le moins aggrésif possible. Elle lui adressa la parole :

...aurais-je mordu quelqu'un de ta famille ? Un proche peu-être ?

Vaiarii regarda la chose en face de lui; il rit, un peu, puis commençait à manquer d'air tellement cela lui était drôle. Sa famille, il ne s'en souvenait presque plus, alors qu'elle ait mordu un des siens lui était totalement égal. Elle avait sans doute pris un peu trop le soleil pour vouloir boire son sang. Les Néko était une race rapide et donc au moindre mouvement de la femme, il se serait écarté de sa hache; il était très improbable qu'une morsure le touche.

Il sortit tout de même le poignard de son dos, par sécurité, et le montra à l'Otyana; l'effet aurait été plus fort si il ne riait pas autant.

Puis ça fût le bouquet, il vît l'ange sortir de nulle part prêt à se scarifier l'avant-bras. Elle semblait fatiguée, ses habits déchirés et ses ailes trop lourdes qui trainnait par-terre.
« Ô seigneur donne moi ta puissance et laisse moi accomplir ta destinée, je suis ta servante, ton unique, Ô toi maître d’EDEN laisse moi comprendre et goûter au fruit défendu de la connaissance »

Déjà sous effet euphorisant, Vaiarii se roula par terre des qu'il entendu cette phrase; ils étaient tous fous, et c'était un merveilleux spectacle aux yeux du Neko. Il imaginait déja la suite: un clown sortir du ciel et un éléphant dansant la saba avec un souris. Il avait mal au ventre, aux cotes et ses yeux pleuraient; il essayait d'arreter de s'esclaffer et, au bout de plusieurs minutes, réussit à se tenir debout.

Il s'adressa à l'ange toujours en position de sacrifice et lança une dague qui vient percuter le poignard de la folle.

-Excuse moi de mon coup mais... , il avait du mal à parler et sentait son fou rire remonter en lui, il respira un bon coup et montra du doit la femme sauvage, elle est un peu dangereuse, anthropophage peut-être, alors la vue de sang ne sera pas une bonne idée.

Il s'assit donc parterre, le visage dans ses mains afin d'étouffer son rire.

* suis tombé chez les fous....moi qui m'ennuyait je suis bien servi*

Invité

Tala sentait que la conversation allait mal se finir, d'abord la chaleur l'etouffait, quelle idée aussi d'aller en plein desert ? mais son interlocuteur ne semblait pas vraiment préoccupé par se qu'elle disait. Elle se rappellait vaguement les parôles de sa mère lorsqu'elle était petite : Ne bois que lorsque tu a faim, tu n'es pas un animal, tu dois pouvoir te contrôler.
N'importe quoi, la jeune femme ne croyait pas un mot de ce qu'avait dit sa defunte mère. Après tout, il sont des prédateurs, et ce, avant d'être quoi que ce soit d'autre !
Son interlocuteur se mit a rire, doucement d'abord, puis partit dans un fou rire. Tala ne rigolait pas, elle ne comprenait pas pourquoi et puis déjà, pourquoi rire pour rien ?!

* Decidement, je suis vraiment mal tombée... *

La jeune femme tourna les talons, marcha quelques mètres et sentit une nouvelle odeur, non, pas celle de Vaiarii, autre chose... Elle n'en revenait pas des nouveautés qu'elle pouvait decouvrir dans cette nouvelle région. Elle qui pensait avoir tout vu sur sa misérable petit île, la voilà a présent prête a découvrir le reste !
Sa tête pivota rapidement et la jeune Otyana découvrit un nouvel être, certes, assez spécial. Il ressemblait a quelqun n'ayant pas mangé depuis plus de quinze jours, le regard dans le vide, avec un poignard dirigé vers son avant bras.
Tala attrapa sa hache et s'en servit d'accoudoir en attendant de pouvoir s'en servir si besoin est.
Le regard méfiant elle inspecta le nouvel arrivant et l'entendit parler, pas vers quelqun de précis, au contraire, elle semblait parler a quelqun qui n'était pas là !

« Ô seig..ur ........................... laisse moi ac....plir ta .....inée, je ... .. servante, ton unique...»

La jeune femme prit sa hache et la porta sur son épaule gauche, comme un vulgaire sac a patate pour s'avancer et écouter de quoi parler le pseudo être suicidaire qui venait d'apparaitre...

«...Ô toi maître d’EDEN laisse moi comprendre et goûter au fruit défendu de la connaissance »

Et puis elle compris.
Elle qui n'était pas de nature a rire, elle laissa apparaitre un sourire sur son visage, mais où avait-elle pu attérir ?! Même Vaiarii se moquait. Quelques minutes passèrent et personne ne changeait d'attitude. Etait-ce le soleil qui tapait sur la tête de tout le monde ? Et depuis quand les gens osaient intervenir au cours d'une conversation entre deux autres personnes ?
Tala s'approcha de l'inconnu, près, très près même, puis vit quelque chose lancé sur le poignard. Vaiarii la montra du doigt...

«Excuse moi de mon coup mais... elle est un peu dangereuse, anthropophage peut-être, alors la vue de sang ne sera pas une bonne idée. »

Tala se retourna vers le jeune homme en lui adressant un sourir sadique

- Ce n'est pas la vu du sang qui me dérange, sache le, si j'avais envie de croquer dans son corp de suicidaire, je l'aurai fait... Mais présentement, ce n'est pas ma première envie...

Puis elle regarda a nouveau l'ange et ne pu s'empêcher de sentir son odeur corporel...

- Qui est tu, et que viens tu faire ici ?!

La jeune femme se rendit compte que sa replique ressemblait à une phrase tout droit sortit d'un film mais tant pis, son air sérieux allait surement masquer cette ressemblance...

On savait tous, évidemment que Need’s était une bien piètre actrice… Mais tout de même, ils auraient pu faire un effort… Elle avait l’air ridicule maintenant, car tout le monde rigolait. Mais elle ignora cela, ignora sa honte et tout ça et inspecta les deux éléments (dispositifs?) un peu gênants qui se trouvaient devant elle. Elle reposa donc son poignard et son épée, les rangea, sachant pertinemment que de toute façon si elle était attaquée par un des deux zigotos qui se trouvaient là, ça ne lui servirait pas à grand-chose. Alors que eux c’était sûrement de preux chevaliers, des super soldat, des GI, warrior, des oufs de la vie, des malades mentaux, des samouraïs metaleux androphages arachnoïde. Des espèce de mante religieuse du combat à mains nue, avec des lame courte, des épées, des haches, des pistolets, des grenades et sûrement des bombes aussi !!!

Il avaient l’air si fort, tellement que ça tournait presque à la parodie genre guerrier-héros de l’industrie de sabre en plastique. Genre comme la photo de soldat qui va avec son modèle taille réduit en cire.

Mais elle allait pas critiquer, on est ce que l’on est et on n’y peut rien, mais à son goût ils se la petaie un peu, et c’est sûrement pour ça qu’elle s’était déguisée en pseudo sataniste ange déchu de la mort ringard.

Bref comme dit plus tôt elle observa les deux personnages.

L’un deux était un individu male, plutôt grand et sec, avec deux grosse oreille de chat, elle ne pu s’empêcher de pouffer de rire. Un homme chat, c’est toujours rigolo, mais le problème, c’est que Need’s est… allergique aux poils de chats, elle fit donc un bond en arrière, éternua, se cracha dessus, postillon sur tout le monde et autre détails agréables. Ça y est ça faisais cinq minute qu’elle était là et elle avait déjà un argument anti humanité, anti chat, anti tout. Son asocialité allait la perdre..

La deuxième, une jeune femme à l’attitiude étonnante, semblait vouloir dévorer tout ceux qui lui tombaient sous la mains. Elle était d’un physique normal, à part l’étincelle rouge sang qui luisait dans ses yeux et qui était absolument effrayant. Elle avait une attitude bien plus négative que l’homme chat et semblait vouloir se battre à tout prix.

Cette fille, ce moment, ces yeux, tout ça lui rappelait une chanson, et c’est avec le cœur serré que les paroles raisonnaient dans son petit cœur, comme des battement assourdissant d’un tambour il battait la chamade, mais les paroles le recouvraient, toujours un peu plus fort.

When I find myself in times of trouble
Mother Mary comes to me
Speaking words of wisdom, let it be.

And in my hour of darkness
She is standing right in front of me
Speaking words of wisdom, let it be.

Let it be, let it be, let it be, let it be,
Whisper words of wisdom, let it be

« Mary ?! »

L’heure était venue au refflexion personnelle, étude de cas et psychologie sur le profil de notre personnage. Il y avait des morceau de son passé qui réapparaissait quelque fois, mais elle n’arrivait pas à les assembler, car il disparaissaient aussi vite qu’ils étaient vennus.

Une jeune femme - Une histoire compliquée - Ses long cheveux blond vénitiens et surtout, surtout ce même sourire, cette même attitude et ce même regard rougeoyant. Et toujours ce nom, qui revenaient, promesse mortelle au parfum de la vérité…

Mary…

Ce qu’elle faisait ici? Pourquoi avait elle couru dans cette forêt, les éléments étaient vagues, mais à la simple énonciation de ce nom, tout semblait se compliquer. La jeune Needy s’accroupis par terre et mordilla un pant de sa robes, comme un petit enfant, tout ça l’avait rendu profondément triste et mélancolique, et elle en avais presque oublié qu’il y avait d’autre gens devant elle.

La jeune femme, appelons la Mary ça sera beaucoup plus simple s’approcha d’elle, et lui adressa la parole :

- Qui est tu, et que viens tu faire ici ?!

Réponse mentale :

« Je m’appelle James, je suis un homme doté de pouvoir extraordinaire et je suis la pour vous sauver la vie tout en prennant votre coeur »

Réponse réelle :

« … »

Elle n’allait pas révéler son nom comme ça aux inconnu tout de même.
A la place elle souris bêtement, pris un petit tas de sable dans sa mains et le tendis chaleureusement à la femme anthropophage.

HJ : Je vais m'absenter une semaine (vacances) est-ce que vous pourriez ne pas sauter mon tour svp ? Merci d'avancde

Vaiarii vît la scène avec stupeur; l'agressivité de la femme guerrière ne semblait faire aucun effet sur la folle; celle-ci semblait être perdu dans ses pensées, elle n'était pas parmi eux et rêvait doucement tout en regardant la personne en face d'elle.

La rêveuse prît une poignée de sable et la tandis vers l'Otnaya en guise de présent. La situation dégénérait et semblait devenir n'importe quoi. Il se mit donc debout et marcha entre les deux femmes; il prit le sable de la main de la jeune femme et le montra à l'autre.

-Ok, peut-être pour elle c'est un signe gentil.

Il s'éloigna vite en entendant la fille tousser et cracher, apparemment elle semblait être vraiment mal quand il s'approchait d'elle. Il alla donc vers l'autre en faisant bien attention de dissimuler un petit couteau dans sa manche. Il s'arrêta à quelques pas d'elle.

-Ecoute, je suis la pour m'amuser et je veux bien t'aider à faire ce pourquoi tu es ici, il sourit.

Il demanda aussi les noms des jeunes filles et montra ses paumes de mains pour faire un signe de paix. Il expliqua qu'il était pas la pour se battre, ni pour voler des affaires donc elles pouvaient l'approcher sans avoir peur. Il mit quand même une condition de distance par rapport à la chasseuse pour une sécurité de base.

Le soleil se couchait peu à peu pour laisser place aux vents froids du désert.

-Ecoute , dit-il à l'Otyana, je propose de camper ici et je t'aide demain; il commence à se faire tard et tu as l'air épuisé, sache que je veux t'aider non pour y gagner quelque chose, mais plutôt pour m'amuser ou plutôt faire passer le temps.

Il se retourna à l'autre femme, s'approcha pour la remettre debout, mais changea d'avis quand il se rappela sa réaction face à lui.

-Tu me parait bizarre, mais toi aussi tu es la bienvenue, un peu d'humour de ta part fera passer la nuit plus vite.

Il s'éloigna des deux en attendant la réponse.

Invité

Tala ne décrochait pas le regard de son interlocuteur. Celui ci avait un air nié, puéril, et ne semblait pas vraiment dur a cuir. La jeune femme se demandait vraiment si les gens d'ici connaissaient les mots Haine, Sang et Sadisme, ou si c'était elle qui était tourné vers le négatif et la mort. Elle se redressa, regarda le paysage en esquissant a sourir a cette pensée.
Ils devaient vraiment penser qu'elle était une gothique en mal d'amour !
L'être en face d'elle lui sourit sans lui répondre et finit par lui tendre un tas de sable a la place. Plutôt curieux comme conversation, se dit elle. Vaiarii s'approcha en regardant les micro coquillage tomber de la main du muet ...

-Ok, peut-être pour elle c'est un signe gentil.

Tala leva les yeux au ciel d'un air lassé puis rassembla ses forces pour montrer un minimum de gentillesse et de sympathie. Elle sourit au muet en se rendant compte qu'elle laissait apparaître ses dents pointu a celui ci. Se rappelant qu'elle devait sembler agréable, elle cessa rapidement d'exposer sa mâchoire qui pouvait en effrayer plus d'un, prit le sable et approcha sa tête a deux centimètre de ce qui ressemblait a un ange en disant d'un air gaga ...

- Merci ... heu... truc ! Gentil !! Meeeeerciiiiiii ! A gouziiii gouziii !!!!

Elle s'éloigna alors et reprit son travail d'écoute et d'observation. Rapidement elle regarda le soleil et se rendit alors compte que la journée allait bientôt se terminer. La lune était déjà visible haut dans le ciel mais les étoiles étaient encore cachées par la lumière de l'astre bientôt disparu. La jeune femme sortit de son sac la gourde qu'elle avait prit en début de matinée puis en but quelques gorgées. Plusieurs gouttes de breuvage s'égarèrent sur ses lèvre et teintèrent la peau d'une couleur rouge.
La boisson à l'intérieur était gardée à température ambiante puisqu'il ne s'agissait pas d'eau mais plutôt d'un concentré d'hémoglobine qu'il était meilleure de dégusté a une température se rapprochant de celle d'un corps en vie.
Elle referma soigneusement le récipient en prenant bien garde de ne pas l'égarer dans le sable puis regarda Vaiarii la regarder avec un sourir...

-Ecoute, je suis la pour m'amuser et je veux bien t'aider à faire ce pourquoi tu es ici, je propose de camper ici et je t'aide demain; il commence à se faire tard et tu as l'air épuisé, sache que je veux t'aider non pour y gagner quelque chose, mais plutôt pour m'amuser ou plutôt faire passer le temps.

De l'aide ? Mais depuis quand Tala Ohami avait elle besoin d'aide ?! La jeune femme mit a l'écart cette phrase pour tenter de ne pas jouer la difficile. Certes elle voyait bien que son interlocuteur ne semblait pas méchant mais plutôt sincère dans ses propos mais ce n'est pas pour ça qu'elle lui ferait confiance. Elle le regarda de haut en bas lorsqu'il se dirigea vers l'autre invité, enleva une bretelle de son sac de l'épaule gauche et finit par complètement poser celui ci a terre. De toute façon, il ne pouvait casiment rien lui arriver.

- Mon nom est Tala, lanca t-elle d'un air sollenel.

Elle regarda Vaiarii avec un sourire en designant sa manche ...

- Et tu peux enlever ton couteau, ce n'est pas ce qui m'empêchera de te tuer si j'en ai envie ! Mais bon, dit elle en montrant sa gourde, tant qu'elle est remplit et que je pourrais trouver autre chose a manger que vous, vous n'avez rien a craindre ! ... Malgrés votre air très appêtissant !

Tala sortit alors la couverture qu'elle avait prit soin de plier et ranger au fond de son sac puis la posa sur le sable encore chaud de l'après midi.
A présent, la nuit était tombée et les constellations pouvaient facilement se remarquer parmis cet océan de reflets. La jeune Otyana était fier d'elle. Elle aurait presque cru qu'elle devenait sociable avec ces nouvelles rencontres. Tout en s'asseyant sur son long plaid, elle sortit a nouveau sa gourde qu'elle posa a côté d'elle. Le lond tissu en laine pouvait facilement accueillir deux autres personnes mais avec la distance de sécurité qu'avait mis en place le jeune homme, elle prefera se lever et s'asseoir un peu plus loin afin de laisser ses nouvelles rencontres s'installer sur le tissu. Sa gentillesse la surpris.
Elle devissa le capuchon de la bouteille contenant son repas et la tendit aux autre

- Je suppose que vous en proposer ne sert a rien ?!

Paf alors qu’on était presque midi, ou qu’il semblait être midi quelque.. Minutes plus tôt, on était maintenant le soir, décidément ce pays était on ne peux plus étrange… Needy n’avait pas observé la courbe du soleil dans le ciel mais elle se rendait compte que sa trajectoire avait été extrêmement rapide. Ce qui voulait dire qu’on était forcement près des pole. Ou alors que cette planète tournait plus vite… Ou bien que les rpg-eurs précédent avaient courbé l’espace temps et fait un magnifique anachronisme mais ça notre petite Needy ne pouvait pas le savoir. Mais après tout je me trompe sûrement.

Très bien maintenant que Needy avait assuré son « attitude bizarre mais sympathique », que plus personne n’avais envie de s’entretuer, sa curiosité la prenait, et il faut l’avouer, Need n’avait pas eu beaucoup de renseignement sur la ou elle était, ce qu’on y faisait… elle était peu être la seule à avoir atterri comme ça et du coup les gens la regarderai bizarrement, se demanderai si elle était peut être pas une sorcière, de la race des vraies méchantes, comme dans les contes pour enfant, et elle finirait brûlée dans un buchet façon grillée à point comme Jeanne d’Arc pour leur tenir chaud durant cette nuit qui allait, elle en était persuadée, terriblement froide, glaciale et obscure.

«Mais au fait, qu’est-ce qu’on fou la? »

Voilà la phrase que chaque être humain se posait régulièrement (NdA : Bernard Werber on t’aime). Et qui résumait en quelque mots toutes les question que notre chère N se posait :

Je suis où ?
Comment j’ai atterri ici ?
Vous êtes qui ?
Vous faites quoi ici ?
Pourquoi on est ici ?
On fait quoi maintenant ?
Vous connaissez d’autre endroit ?
C’est quoi ces portes bizarres ?

Elle s’attendais évidement à une réponse précise et détaillée sur chacune des questions qu’elle se posait dans sa tête, mais comme, personne à sa connaissance n’avait le pouvoir de lire dans les pensées tout ça n’allait pas vraiment l’arranger. Et elle n’allait pas poser de question plus précise, après tout, ce n’étais pas une personne bavarde, non, vraiment pas bavarde.

Les autres préparaient une sorte de campement, et elle fut prise de l’instinc étudiant-américain-qui-va-chez-les-scouts. Elle n'avait pas prévu de couverture, de tente super antique comme y’a toujours dans les dessin animé et que les héros galèrent à monter, de corde parce que c’est toujours utile de savoir faire un nœud quand on est chez les scout, ni même de petit uniforme ringard avec un joli petit bandana autour du coup et une tenue vert caca d’oie.

Cependant, et ça elle savait qu’elle était seule à l’avoir prévu, pensé, imaginait et même dans les rêves les plus impossible, les plus fou, même leur fantasmes les plus secret ne les avaient pas emmené à ça, l’ultime, le suprême, le magnifique, plus puissant que Charle cinq et trois font huit et huit font treize dans le roi et l’oiseau, plus méchant que Dark Vador dans Star Wars, plus intelligent que Dr House, aussi formidable que les chorégraphie de West Side Story, de Grease et de Rocky Horror picture Show mélangé, tellement génial qu’on pourrait comparer ça au poster de Bill Gates qui est au dessus de mon lit, à l’infini des étoile, à tout les épisode de hélène et les garçons, et surtout à Johanna et l’accent avec lequel elle dit « Comment ça va mon Cricri ? » encore plus profond que les forêt de la charteuse qui me rappellent mon enfance, aussi génialissime qu’un Tarantino, aussi surprenant que le coup dans l’oreille que donne le narateur à Tyler Durden dans Fight Club, doux et agréable que l’odeur du plancher et les meubles en bois que ma mère aurait tout juste ciré. Mieux qu’un solo avec les dent de Jimi Hendrix, mieux que la voix de Freddie Mercury, encore plus jouissif que d’écouter à fond le boléro de Ravel, mieu qu’une raclette-fondue-pierrade-tartiflette et surement plus obsédant que la rache de gras sur la tapisseries à fleur de chez mes grand parent.

Des marshmallows.
Des marshmallows.
Des marshmallows.
Des marshmallows.
Des marshmallows.

Caramélisés.

Dans un feu de bois.

C’est bon.

Si ce texte avait étais un film, j’aurai à ce moment la inséré les images pornographique les plus trash, les plus ultime, le sommet de plaisir sur un écran LCD. A coté duquel on aurait pu comparer l’affiche d’année bissextile à une histoire pour enfant.

Needy cacha sa mains dans son dos, compta jusqu’à trois (ou quatre haha) et sorti un paquet de mashmalows, pour les faire griller sur un peu de bois.

« TADAAAAAAAAAAAAAA !!! Trop bon trop bon trop bon trop boooooon !!! »

Et bien voila, même le désert avait ses avantages.

Spoiler:

(HRP: juste dire un truc... tu peux pas mettre dr house dans un texte qui est supposé être au moyen âge, ni bill gates^^ Sinon tés bizarre dans tes textes.. ça me fait un peu peur Wink

Vaiarii regardait les autres s'installer pour passer la nuit; apparemment ils semblaient ok à l'idée d'établir un campement. Tala semblais déplier un drap pour s'allonger dessus; pourtant elle fît un geste étrange et partît pour laisser son duvet aux autres. Cela le toucha et il se dit qu'il pouvait, en fin de compte, avoir du bien dans tout le monde. Elle lui proposa sa gourde de sang et ce sentiment d'acceptation disparut aussi tôt.

Il se retourna pour voir l'autre fille. Elle semblait sortir une vrai maison de ses manches, du feu, une tente, des choses à manger. En faisant ça, elle réfléchissait durement à quelque chose. Elle semblait contente et elle frissonnait de bonheur quand elle sortit ses provisions. C'est à ce moment-la, que Vaiarii préféra Tala à la femme folle. Elle lui faisait peur d'une façon étrange; peut-être le fait d'être heureuse tout le temps, il ne savait pas.

En tout cas les deux voyageuses avaient vraiment tout prévus et Vaiarii se sentait bête de n'avoir rien; lui se contentait de dormir à la belle étoile ou sur un arbre. Il regarda Tala boire son "sirop" toute seule dans son coin.

Il décida d'aller vers la chasseuse et lui mit la main sur l'épaule en espérant retrouver celle-ci après sa phrase :

-Ecoute, va dormir; je prends la garde ce soir... en plus j'ai franchement dormi pendant plus d'une semaine non-stop, alors ça devrait aller.

Vaiarii se plaça sur un rocher en scrutant l'horizon. Il voyait très bien dans le noir mais n'arrivait pas à distinguer une chose qui bougeait à quelques kilomètres de là; une vague de sable apparaissait au fur et à mesure comme si quelqu'un courrait très vite en laissant de la poussière derrière elle.

* Bof, certainement le vent *

Invité

Tala appréciait le moment. Seul dans son coin avec son breuvage, elle aimait observer les nouvelles espèces qu’elle découvrait depuis peu. Combien de rencontres fera t-elle encore ? Surement plusieurs. Mais au faite, qu’es ce qu’elle faisait là ?!
Pour la première fois depuis longtemps, la jeune femme se laissait aller, elle ne réfléchissait plus à rien, ne se souciait de rien, elle ne vivait que pour le moment présent.
La jeune guerrière observait l’espèce d’ange suicidaire installer son campement. Celui-ci sortit un sac et en dévora la moitié du contenu en un rien de temps. Tala releva la tête encore plus haut et fit travailler son odora. Du sucre ?!
La jeune femme n’avait jamais vu ce genre d’aliment.

* Oh aller, je risque rien… *

Tala se leva et s’approcha de l’autre femme. Rapidement elle sortit ses griffes et en planta une dans le marshmallow pour l’amener devant ses yeux. Si ses pupilles avaient été un appareil photo, elle les aurait changés en mode Macro pour poursuivre son analyse.
La sucrerie descendit jusqu'à son nez puis, juste avant de toucher ses crocs, Tala regarda la femme…

- Bon, normalement, j’aurai pas demandé, mais là, j’avoue que rien que l’idée de t’entendre pleurer comme un enfant me glace le sang donc : Je peux ?
Puis l’Otyana ingurgita le Marshmallow sans attendre la réponse de son interlocutrice. Elle grimassa. Visiblement, le sang était bel et bien le seul aliment qui lui donnait des frissons. Et puis, il faut avouer que chasser un animal est quand même plus amusant que de sauter sur une emballage en plastique, de l’ouvrir et de manger…

Tala reparti s’asseoir dans le sable et rebu quelques gorgées de sa gourde afin de faire disparaitre le gout du bonbon qu’elle venait de manger.
Vaiarii s’approcha. D’un coup, la jeune femme sentit une main se poser sur son épaule. Instinctivement elle bougea son épaule afin de faire glisser la main. Depuis quand quelqu'un pouvait la touché ?

- Ecoute, va dormir; je prends la garde ce soir... en plus j'ai franchement dormi pendant plus d'une semaine non-stop, alors ça devrait aller.

Tala sourit. Elle se leva pour s’ettirer puis observa le jeune homme…
La jeune femme sentait une odeur, quelque chose était présent, mais elle chassa rapidement cette obcession. Devenait-elle folle ?!

- Je ne dors presque jamais. Mais un petit some ne me fera pas de mal. Sache que je ne dors jamais complètement…

Elle s'allongea sur le sable refroidit par la nuit puis ferma les yeux.

* Encore cette odeur... *

[HJ : Alors, très cher, pour te répondre : Ce ne sont pas des anachronisme mais simplement des métaphores et des comparaison. Elles sont comprises dans la narration et sont parfaitement autorisée sur le forum, car elle n’implique pas mon personnage. Par contre, il y a un réel anachronisme, c’est les marshmallows mais c’est à prendre avec humour après si tu en a pas c’est pas mon problème. Par contre si tu ne lis pas ce que les autres écrivent ça peut devenir un problème. Premier exemple alors que Tala fait apparaître qu’il est pas loin de midi, on se retrouve le soir tout à coup :

Tala Ohami a écrit:

Le soleil n'avait jamais été aussi chaud a cette heure de la journée. En effet, Tala regarda la place de celui ci dans le ciel et en déduit qu'il ne devait pas etre loin de midi.

Vaiarii Dazak a écrit:

Le soleil se couchait peu à peu pour laisser place aux vents froids du désert.

Alors que je ne crois pas avoir aperçu d’ellipse, mais bref passons c’est pas une erreur très importante.

Voyons plutôt celle là, qui contrarie carrément ce que j’ai écrit plus tôt :

Vaiarii Dazak a écrit:

Il se retourna pour voir l'autre fille. Elle semblait sortir une vrai maison de ses manches, du feu, une tente, des choses à manger.

Alors que j’ai écrit

Needy Black a écrit:

Les autres préparaient une sorte de campement, et elle fut prise de l’instinc étudiant-américain-qui-va-chez-les-scouts. Elle n'avait pas prévu de couverture, de tente super antique comme y’a toujours dans les dessin animé et que les héros galèrent à monter, de corde parce que c’est toujours utile de savoir faire un nœud quand on est chez les scout, ni même de petit uniforme ringard avec un joli petit bandana autour du coup et une tenue vert caca d’oie.

Je sais pas ce qui te dérange là dedans mais en tout cas le « n’ », le « pas » et le « ni » indiquent clairement une négation … non?

En dernier argument, je dirai que si on devait vraiment écrire comme au moyen age, on serait tous en faute à part si tu savais parler le vieux français dans ce cas je m’incline mais de toute façon tu devrais balancer ton pc par la fenêtre par ce que ça ce serait un anachronisme, le forum tout entier serait un anachronisme et on devrait se retrouver à écrire sur des parchemin et à s’envoyer nos rp par hiboux alors là tout irait bien.

Mais évidement je ne suis pas modérateur, je peux me tromper, et j’ai absolument rien contre les puristes, ce qui veulent du bon vieux rp avec des quêtes et des gentil héros qui sauve le monde. Mais moi je suis pas pas puriste et je pense que chacun doit respecter le styles des autre et si j’avais commis des fautes quelque part, si il été indiqué dans le règlement qu’on a pas le droit d’écrire en faisant des métaphore sur Bill Gates, alors je serai là pour m’excuser et pour quitter tout de suite le forum ensuite.

Pour conclure, si tu n’aime pas mon style d’écriture, c’est ok, tu me le dis par mp et je sors de ce rp par un dernier post sans problème et j’en trouve un autre, sinon tout va bien ]

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Needy avait de la chance, et elle pouvait s’enfiler des tonnes de sucreries sans jamais grossir, comme les petits enfants. Needy, malgré ses dix sept ans, ressemblait toujours à une enfant. Comme si elle n’avait jamais grandi, elle avait toujours les même reve, les même réaction simple, ses remarques positives, cette timidité maladive, cette manière de se poser, de ne plus rien faire, et, avec un grand sourire inocent, de profiter tout simplement de l’instant présent et de se dire « on est bien, là ». Pas besoin d’artifice pour son bonheur, et je pourrai vraiment la comparer à ma petite sœur, qui, comme un ange, ne se plaint jamais et lance des remarques douce et innocente, demandant simplement qu’on prenne cinq minute pour lui faire un dessin ou pour écouter ses histoire fantastique. Chez elle, comme chez Needy, tout est intéressant, tout mérite d’être raconté, étudié, analysé. Curieuse par nature.

Peut être avait elle plus de problème et cette partie joyeuse était par fois rongée par la fatigue, l’ennui ou le désespoir, mais pour l’instant, ce n’était pas le cas, et elle s’allongea dans le sable encore chaud de la journée, son paquet de bonbon serré contre son cœur.

« On est bien là »

C’est alors que l’anthropophage lui demanda un bonbon. Anthropophage hein? TRICHEUSE. Mais Needy accepta, partageant gentiment son bien. Enfin gentiment faut pas non plus exagérer elle en donna qu’un seul, d’ailleurs sa nouvelle amie (car Needy considérai que le partage des friandise était un cap prépondérant dans ce qu’on appelle les relations sociales et qui marque presque à chaque fois le début d’une amitié, c’est fou comme c’est simple la vie finalement) ne l’apprécia même pas. D’ailleurs ce n’était plus son amie (selon la vision du monde de mon héroïne, ces amis, absolument sans exception doivent apprécier les sucreries sinon elle ne peut pas les considérer comme des humains à part en tiers mais seulement comme des résidu gastrique pourrissant n’ayant aucun goût pour les bonnes choses de la vie.

Une fois sa panse bien pleine, elle se décida à s’endormir vu que les deux autres se bagarraient pour la gardes partagée et aller entrer en procès. Ah non, c’est pas ça je me trompe d’histoire je recommence. Une fois sa panse bien pleine, elle se décida à s’endormir vu que les deux autres se bagarraient pour pouvoir surveiller le campement. Les deux se disaient insomniaque ou quelque chose comme ça mais elle n’eut pas le temps de savoir qui avait finalement gagner vu qu’elle s’endormit tout à coup.

[HJ : là par contre il y a une ellipse]

Plus tard dans la nuit, Notre chère petite se réveilla en sursaut. Elle avait froid et tout son corps tremblait. Elle décida d’aller faire un tour, profitant de la pleine lune éclairant doucement ce désert. Puis elle entendit un hurlement de loup, quelques dunes plus loin, tout doucement, en essayant de faire le moins de bruit possible, elle voulu rentrer au campement, mais ce « moins de bruit possible » , était probablement déjà trop fort, et par conséquent, la bête d’approcha, gueule béante de la jeune fille tremblante.

(HRP: Franchement; c'était juste pour aider c'est tout. C'étais pas à prendre au sérieux (Tu as écrit plus d'explication que de RP!! Tout ça pour prouver ton point de vue, tu devais être super énervée.... sérieux tu me fais peur -_-") mais bon tu es peut-être susceptible et je m'excuse si j'ai..... pu paraitre, euh; méchant je suppose, je ne recommencerai plus Wink

Il faisait noir et de petits frissons parcouraient le dos de Vaiarii; il se trouvait dans le désert assis sur un rocher à scruter l'horizon. Pourtant quelque chose n'allait pas, les étoiles tournaient, le sable dansait devant lui et les deux filles semblaient avoir disparus; il s'élevait doucement du rocher pour finir suspendu en l'air. Il ne comprenait pas ce qui se passait ni pourquoi cette faculté de voler semblait si..... naturel.

Il montait tout doucement pour finir pas s'asseoir sur la lune. De la haut il voyait toute la terre; il était seul, pas de bruit, pas de gens, rien. Il voyait une des deux filles s'éloigner du campement et des animaux sauvages semblables à des loups l'entourer. Il ne semblait pas comprendre le danger qui rôdait et se contentais de la regarder bêtement.

*C'est super comme vue d'ici... pourtant....*

L'espace autour de lui tournait, les étoiles le frappaient et s'élançaient vers lui. Il leva les bras pour se défendre.

-Bordel!

Il cria fort et ouvrant les yeux et en tombant de son rocher. Il était en sueur et avait le coeur qui battait la chamade. Sa fainéantise avait pris le dessus sur son travail de garde et il s'était endormi.

*Sacré rêve. Je me demande ou les autres sont?*

Il se roula sur le ventre en entrainant du sable avec lui et leva la tête. De sa planque il voyait la fille de son rêve faisant face à un loup. Elle semblait surprise et abordait une expression de peur.

Vaiarii regardait en souriant le spectacle; en temps normale il serait venu à son secours mais là, la tentation de voir la suite le démangeait.

Il se tourna vers Tala; presque persuadé que celle-ci ne dormait pas et dit:

-Hé !Viens voir! Tu paries sur qui? Moi la fille..... elle a des dents plus pointus que ceux de la bête.

Il se retourna et posa son menton sur ses bras pour apprécier pleinement le spectacle.

Invité

Finalement la jeune Otyana s’était allongée dans le sable. Faisant un énorme trou dans les micros coquillages avec le poids de son corps, l’ensemble pouvait faire penser à un berceau. La tête posée sur son bras, la jeune femme commençait a ne plus le sentir. Les fourmis devenaient peu à peu douloureuses et rappelèrent à Tala que celle-ci était au beau milieu du désert avec deux inconnus. Par instinct … et aussi par grosse flemme d’ouvrir les yeux, l’Otyana huma les alentours.
Tout était en ordre.
Rassurée, la jeune femme pu repartir dans les bras de Morphée.
…
Hein ? Du mouvement ? Comme quoi, les fourmillements n’étaient pas forcement un hasard ! Tala ouvrit un œil et découvrit la mangeuse de marshmallow avancer a pas de loup dans les dunes. Mais pourquoi ?
L’odeur que la jeune guerrière avait sentie la veille s’était rapprochée et l’Otyana imaginait bien que c’était elle qui attirait la marshmallow girl. Elle referma à nouveau les yeux, ne se préoccupant pas plus de l’avenir de l’aventurière. Après tout, si elle se mettait en danger, ce ne serait qu’à elle qu’il faudrait s’en prendre… Même la nature de l’odeur qui enrobait les narines de Tala ne l’intéressait pas, était-ce le sang d’hier qui lui faisait un effet pareil ? Ou bien le soleil qui lui aurait trop tapé sur la tête ?
Quelques minutes passèrent. Impossible de se rendormir.

*Ca ne va quand même pas être l’avenir de cette gamine qui va me préoccuper, si ? *

Une légère brise parcourut le désert, emportant avec elle quelques poignées de sables piquant la peau de Tala. La jeune femme remarqua enfin l’absence de Vaiarii. Ou était-il ?!
Décidément, cette nuit n’était vraiment pas commune ! Elle qui avait l’habitude d’être insomniaque et de regarder les autres dormir, c’était le monde à l’envers !

-Hé !Viens voir! Tu paries sur qui? Moi la fille..... elle a des dents plus pointus que ceux de la bête.

Tala releva la tête de son bras endormis par les fourmis. C’était Vaiarii, qui semblait observer attentivement une scène. Elle se releva alors doucement, s’avança les bras ballant vers le jeune homme, dont elle n’avait aucun mal à distinguer tellement la lumière de la lune éclairait les 3 êtres. La jeune femme s’assit à côté de lui et découvrit une scène plutôt improbable : La pseudo suicidaire-marshmallow-girl-puéril face a une tribut de loups.
La guerrière sourit. Devait-elle aller l’aider ?! Non.
Pour l’instant, elle préféra jouer au jeu de Vaiarii qui lui semblait bien plus amusant. Ne l’oublions pas, le sadisme, c’était un peu un part d’elle-même …

- Les loups ! Ils sont plus nombreux, plus audacieux et ont faim ! Elle, elle est composé de 85% de sucreries cette nuit, et elle a peur !

[Tala, Vaiarii et moi on a marqué qu’il n’y avait qu’un seul loup, et je préfère garder cet option là parce que si je dois le tuer toute seule, je ne peux pas faire ma grosbilliste et tuer une meute de loup, après évidement il y a d’autre alternative mais ce serait étonnant de s’en sortir vivant face à une meute de Kaeonide mais bon après tant pis si c’est une erreur de rp, mais comme je n’ai pas vraiment la possibilité de mourir, tant pis.]

Guns of Brixton - The Clash