Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé]
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Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Mar 21 Déc - 22:25
Il venait de sortir de son cauchemar, une fois de plus, il se réveillait au milieu de tous ces cadavres… quand les avait il tué ? Il n’en avait aucune idée. La seule chose qu’il savait, c’était que son corps était en feu. Il ne savait pas où il était, il ne faisait que constater ce qu’il avait fait. Michaëlis pensait que cette partie de lui avait disparu, mais il constata que non. L’odeur du sang l’excitait toujours autant, et la vue de cadavres était toujours aussi atrayante. Le jeune homme se prit la tête entre les mains et lâcha ses armes souillées par le sang, de gens innocents, qui ne lui avait rien demandé. Sa chemise était ouverte sur son torse pâle, qui se soulevait à un rythme irrégulier sous son souffle saccadé, ses cheveux en bataille, il avait chaud. Que faisait il ici? Il avait peur, peur de sa propre personne et d‘autre chose, mais il ne savait pas quoi. Il recula jusqu’à rencontrer un mur. Michaëlis se laissa glisser le long de celui-ci , posant sa tête contre ses genoux tel un enfant appeuré. A cette instant c’ est tout ce qu’il était. Peut être n’était ce qu’un songe? Hélas non, l’odeur du sang , des cadavres et de sueur étaient bien trop présente. Les images bien trop réel. Le majordome ne portait même pas sa veste noire habituelle. Il était perdu. Mais alors qu’une partie de sa conscience commençait à émergeait, une petite voix dans sa tête lui dit que ce n’était pas assez, qu’il n’était pas rassasié du carnage qu’il avait fait. Qu’il en fallait encore plus toujours plus. Il voulait se repaître des visages qui se tordaient de douleur et de peur, de l’odeur du sang, de son gout metallique quoique atroce et surtout des cris d’agonies.
Le majordome se releva comme possédé, un sourire dément sur son visage, oui, il avait raison il ne s’était pas assez amusé, il devait continué encore et encore pour se satisfaire au point de non retour, pour que cette soirée soit jouissive. Pour que la lune soit témoin de ses atrocités afin de le juger plus tard, quand il ne serait plus. Comme un automatisme, Michaëlis ramassa ses armes, léchant les lames qui suintaient de sang, en laissant une trace sur sa lèvre inferieur. Oui c’était bon, c’était jouissif. Il regarda son carnage une dernière fois avant de se mettre à marcher, toujours avec se sourire qui ne lui appartenait pas. Il marchait d’un pas félin mais décidé. En cette soirée, il était le messager de la Mort, il l’apportait sans demander l’avis de ceux à qui il prenait la vie. En cette soirée, un fléau s ’abattait sur les rues de Lucina. Un démon les arpentait à la recherche de sensations ,de sang, de satisfaction et surtout de victime.
Alors qu’il déambulait dans les rues, recherchant sa prochaine proie, certain en le voyant rentraient chez eux, d’autres le regardaient sans vraiment savoir à quoi ils s’exposaient, mais ils le découvraient bien vite, quand leur gorge fut ouverte laissant les différents insectes se repaître de ce qu’il restait de leurs personnes. Il avançait encore et toujours sans vraiment s’arrêté, il regardait de droite à gauche, sans vraiment voir. Sa vision était voilée. Mais il savait ce qu’il voulait. Un rire s’éleva dans les airs, un rire peu rassurant, un rire annonciateur de folie et d’atrocité . Un rire amusé emprunt d’un avertissement et tout cela parsemé d’un peu de sadisme. Ce rire sonnait tellement bien aux oreilles de son porteur. Mais il fini par se taire, gardant toujours un sourire sur son visage qui ne présageait rien de bon. Il n’avait pas encore fini, il voulait encore s’amuser...
Dernière édition par Michaëlis Kuso le Lun 7 Fév - 21:11, édité 1 fois
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Jeu 23 Déc - 1:29
Une nuit, tous ce qu'il y avait de plus normal et de banale dans les rues de Soleries. Une mauvaise habitude de croire que tout était calme et beau dans ce monde projeté sous les menaces des nouveaux venus. En effet, les meurtres et les crimes contre les habitants de ce lieu se faisaient de plus en plus violents et courant à croire qu'il s'agissait d'un monde de faibles, trop faible pour que les habitants ne se défendent. A cela, le dos tourné vers les habitants de ce meme monde d'ou elle a vue le jour, armes rangée dans son étuis et yeux clos comme le roi "bon et juste" de ce monde, une jeune femme aux cheveux et ailes toutes aussi rouge que le sang des humains mortels, se cachait sous un long manteau noire étoffant sa présence et son corps à tous individus du lieux imposé. Son maitre, un jeune homme dans la vingtaine, bien stylé et sage lui avait ordonné il n'y avait pas moins de quelques heures avoué rechercher de la chaire à cannon, des hommes prêts à se vendre pour une douloureuse bataille, elle n'avait pas dit non et était ainsi partie en quête d'un groupe d'assassins dans sa très chère cité. Une odeur familière lui passait sous les narines, c'était âpres, sucré et délicieux, les lèvres carmins sous l'ombre de la capuche s'étirèrent en un beau sourire: avait elle fait mouche? Se laissant envahir entièrement par cette odeur, le cors se déplaçait à la façon d'un spectre vers les cadavres d'hommes encore fumants et de curieux appeurés aux fenêtres entre-ouvertes. Le sourire s'abaissait, la gorge... "ils" n'avaient donc pas tués par plaisir... Elle se penchait, incitant ses ailes à se refermer derrière son dos et de sa main blanche, poussait les étoffes des corps fumants et touchait le liquide brillant qui s'en dissipait.
Au premier contacte, allant un peu plus loin dans la plaie en y faisant ressortir la veine jugulaire parfaitement coupée, elle sentait la chaleur se diffuser annonçant qu'il avait été tué il y avait moins de dix minutes, la flexibilité du cadavre montrait les moins de cinq affichant un sourire édenté à notre chasseresse. Son corps enveloppé de noir se levait tandis que les ailes se déployait à nouveau pour la refaire flotter au dessus de la terre vers les petites taches et les pas... les traces de pas ensanglantés, la dirigeant un peu en retrait du coeur de la ville. Un peu plus loin, à un kilomètre tout au plus elle recroisait un autre meurtre. Les neurones s agitèrent dans sa vieille caboche, un plaisir de tuer... mais non controlé... Un petit grondement lupin lui sortait de sa gorge alors, qu'avec les meme manipulations instinctives, elle vérifiait la manière de tuer... la jugulaire! le meurtrier avait une belle façon de faire, ne laissant pas les victimes souffrir... peut être un tueur à gage? Ou un fou échappé d'Umbra qui sait?
Elle s'arrêtait dans sa seconde observation des évènements et entendit non loin d'elle, les poils redressés le rire qui s'échappait à moins d'une dizaine de mètres d'elle. L'assassin revenait il sur ses pas ou bien visait il une personne une particulier? Sans se presser, apportant le sang frais touché à ses lèvres pour en humecter l'air et la façon de tuer encore une fois, elle grondait une seconde fois, mécontente de ce qu'elle avait pu trouver... pas d'expression, pas d'excitation dans la manière de porter les coups, elle fut énormément frustrée... tués en un seul coups, c'était digne d'un assassin devenu fou! Des bruit, encore des bruits... son ouïe très fine lui indiquait des pas dans une approximation d'une dizaine de mètre. Encore un tué? ou le fou en question qui revenait sur ses pas? Hors de question pour Jolene de s'arrêter à de simples hypothèses lancés par des cadavres foisonnants, elle devait savoir quitte à tuer d'elle meme ce fou au lieu de le raccompagner à son monde, sa curiosité devait être assouvie! Sa main d'ou gouttait quelques mince filets de sang explosa le crane du corps frèle en une simple poignée, agrippait celui ci à l'épaule et le lançait comme une fétus de paille dans la première grande rue, l'artère principale rapatriant une onde de curiosité sur la personne qu'elle avait entendu. Un sourire en coin, la jeune Cormyr encapuchonnée se retrouvait sur le toit avoisinant décorée d'une belle lueur de lune en contre jour.
" Il faut être fou pour ne pas saisir les plus heureuses choses qu'un meurtre peu t'offrir: les cris, les gouttes de larmes, la peur, l'excitation... et encore plus s'il on laisse des des indices derrière sois."
Derrière son manteau encapuchonné, ses ailes se rabattaient derrière son dos tandis que ses yeux d'argent brillaient d'une malice incontournable. Sa main tachée de sang bousculait le milieu de la veste pour y dégainer une longue lame brillantes et lourde sous les milles reflets serties de la lune. Si elle reconnaissait le personnage? foutre dieux non, son ombre en cachait la tête, elle ne pouvait voir que ce délicieux petit corps qu'elle n'allait pas tarder à trancher afin d'en purifier les lieux. Patiemment, debout sur le toi, elle attendait une quelconque réaction, une discussion, un retrait pour se finir en course poursuite, une tentative d'arriver là haut et ainsi mieux achever la chose...
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Jeu 23 Déc - 14:47
Il contempla pendant quelques minutes la beauté de la nuit, qui lui était offerte. Une légère brise se leva, le faisant frissonner, il ferma les yeux, puis les rouvris pour reprendre son activité première, d’ailleurs, il n’eut même pas à se déplacer, une inconsciente se présenta à ses yeux. Le majordome l’attrapa par le bras, comme pour entamer une danse avec elle, mais au lieu de cela, sa lame passa doucement sur la gorge de la jeune femme, sa respiration s’accélérait sous la peur, elle supplia Michaëlis de la laissé partir. Il écouta ses plaintes à peine audible avec un plaisir visible à qui le voulait. Puis dans un cri déchirant, il lui trancha la jugulaire, la laissant mourir, doucement. Il supporta le poids de celle-ci, avant de se pencher sur sa gorge pour recueillir le fluide vitale qui s’échappait de sa gorge. Il se releva et la lâche à même le sol, léchant ses doigts trempés de sang. Comme il se l’était imaginé, sa soirée était divine. Un mal de tête commença à se faire sentir, il pencha sa tête de droite à gauche faisant de ce fait craquer son cou, puis passa ses mains poisseuses dans sa chevelure ébène. Oui c’était mieux comme cela, il ne voulait pas refaire surface maintenant, il s’amusait si bien. Il défit un bouton de plus sur sa chemise, laissant son torse pâle à la merci du vent, et à la vue des astres. Quelqu’un était là. Derrière lui.
Il fit tourner ses lames dans ses mains, se retournant, d’un geste lent et gracieux, comme à son habitude. Ses yeux se braquèrent sur une ombre. D’après ce qu’il pouvait distinguer, ce n’était pas un homme, mais bien d’une femme, mais pas comme celle qu’il venait d’exécuter froidement, elle avait elle-même une arme entre ses mains. Ses yeux furent animés d’une lueur inhumaine et il dévoila un sourire de la même envergure. Le majordome se déplaça lentement, sans aucune précipitation. Il ne voulait pas aller trop vite. Cela tarirai la sensualité de l’acte en lui-même, et il refusait se détruire cela. Devait il monter sur le toit ? Non pas maintenant, il devait attendre encore, juste encore un peu, ensuite il pourrait s’engager dans une poursuite mortelle, qui , peut être lui couterai la vie. Ne sait on jamais, il s’y était préparé depuis le début de cette soirée ensanglanté. Mais au moins, si il devait y laisser son âme que cet instant soit jouissif, qu’il soit tuer avec grâce, le tout en souffrance pour sentir au moins qu’il avait été en vie pour un court instant. Oui, il aimait la dangerosité que cette situation pouvait dégager. Une lame vous déchirant de part en part, lentement, doucement tenu par une main assurée, ouvrant des plaies profondes et délicieuses. Tout cela sans un cri, juste des gémissements témoignant de la satisfaction que procure ces lames froides, meurtrières, tranchantes qui vous amènes au bord de l’extase avant de vous plonger dans un sommeil éternel remplis de cauchemars aussi atroce les un que les autres, vous faisant subir mille et une torture, mais tout cela après un combat acharné…
Michaëlis sortit de sa rêverie, reportant son attention sur l’ombre qui le surplombait. Bizarrement, il avait une impression de déjà. Aurait il déjà croisée cette femme, il avait le sentiment que oui, mais il ne saurait qui. De ce fait, se sentiment s’évapora aussi vite qu’il était venu en son esprit dément. Il continua donc sa marche pour qu’il soit assez prêt du bâtiment, mais assez loin pour voir la personne qui était là depuis un bon moment.
-Que me vaux l’honneur de votre visite en cette heure tardive gente dame ?
Dit il avec toute la courtoisie qu’il avait habitude d’utiliser, mais celle-ci reflétait son état d’esprit. Il avait vaguement entendu celle-ci dire quelque chose mais n’en avait pas comprit le sens. Quelques personnes encore présentent dans les rues se mirent à courir, de peur peut être que ça ne leur tombe dessus, sait on jamais. Michaëlis aimait cette peur qu’il inspirait sur le peuple de Lucina en cette sombre nuit, oui , il aimait cela...
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Ven 24 Déc - 4:51
La grâce de la lune lui permettait d'observer avec un oeil expert l'individu qui s'offrait à elle. Il ne semblait pas tellement aspiré ni repoussé par sa présence, ses ailes et son épée, un assassin plongé dans une folie démente comme elle l'avait souligné quelques minutes ou secondes auparavant. L'homme, elle le connaissait, ou plutot reconnaissait en tant que serviteur ou majordome, ne lui avait elle pas donné une lettre lors de cette dernière visite? Les crocs de Lady Cormyr luisèrent au clair de lune pendant que sa gorge déployait un grognement lupin, "ROargggrrrr" ses canines claquèrent dans le vide pendant que sa mémoire et les moindres petits fragments de souvenirs revenaient l'habiter. Le contexte était assez interessant dans son ensemble, elle se félicitait de n'avoir d'autres manières de secourir les innocents qu'en tuant le propre fautif des troubles causés. De toutes les manières qu'ils soient, les gardes de lumières suivaient les cadavres et le sang dessinés au sol comme une douce invitation, ils ne tarderaient pas a arriver.
Plus un bruit, un petit silence engourdit par le son d'un vent frais prit doucement place pendant que la bête devant laquelle se dressait Mickaëlis tendit ses ailes à leurs paroxysmes, des bruissements sec et sonores remplirent le silence, les crocs brillaient toujours. Ainsi donc c'était une sorte d'invitation pour une dance macabre, funeste ou il n'y aurait qu'un seul perdant... Ses lèvres se tendirent sous la brillance de ses lèvres étirés. C'est sur, elle ne se voyait pas comme ce dernier cas. Se calmant un chouilla, évitant de se jeter sur sa proie, elle optait, chercher dans sa tete un franc moyen de s'amuser tout en ciblant de plus en plus cet assassin. Non pas qu'elle aimait Lucina ni soleries, elle éprouvait toujours autant de mauvais souvenirs de ce lieux putride et banale! non, elle devait faire mieux... Ses ailes se rassemblèrent derrière son dos tandis que d'une main elle lançait un jet d'étincelles qui furent projettés vers ce dernier, s'alliant et se composants pour devenir flèche et rentrer en plein dans le torse de la personne, éclatant jusqu'à affoler le palpitant et le sortir de ses gonds.
Elle reculait dans l'ombre, l'épée à la main pour finalement courir sur le haut du toit, bravant la gravité non sans bruits assourdissant de ses talons contre la craie des maison. Efficace, un petit projet d'attaque pour inciter le monstre à la suivre, un jeu sinistre du chat et de la souris... qui sera l'heureux félin? Elle sautait de la première maison sans regarder derrière elle, certaine qu'avec cette petite attaque l'assassin en quête de sensations extrêmes allait la suivre, au moins pour avoir un nouveau trophée à son tableau de chasse, car plus les proies sont difficiles à chasser et à tuer... et plus elles en valent la peine d'être poursuivies. Sans révéler sa véritable identité, Elle continuait de courir sur le toit, veillant à ne jamais être trop collée ou trop prise d'avance sur son chasseur... Le temps d'une hésitation, elle lui envoyait d'autres gerbes électriques à ses pieds ou à son corps, au choix, le temps que les choses se déroulaient à sa façon... ou plus ou moins, ça la satisfaisait, au moins il s'occupait à autre chose que de tuer d'innocentes victimes pour un rien.
Finalement le grand saut allait pas tarder à arriver, le saut qui séparait ce long toit à l'autre, soit une bonne dizaine de mètres d'allonges sur quelques mètres de hauteurs, Elle s'arrêtait net à la limite, faisant tomber quelques miserables morceaux de craies sans se retourner. L'épée levée, elle recula d'un pas et fit volte face, regadant du bas de la maison ou il était avant et le toit, puis le bas, puis le haut avec un sourire amusé...
"... amusant, non?"
Sourire sous sa capuche, elle tendit ses bras comme si elle avait reçue une ribambelle de flèches et se laissait couler dans le vide derrière elle... Arrivant par la suite sur le sol du coin de cette petite ville. Ailes toujours placés, serrés contre son dos, Jolene atterrissait jambes bien tendus, sur la tête d'un vulgaire marchant, le réduisant à l'état de tapis cadavérique ou le rouge et le blanc des os craqués s'étaient écroulés avec le poids. Finalement, c'était peut être à elle de jouer le chat, non? Les éclaboussures de sangs n'avaient pas fais fuir les personnes aux alentours, non ils étaient tétanisés, horrifiés paralysés sur place, allant de la petite gamine cachee sous les jupons de sa mère à la vieille agée à la canne courbée, de quoi avoir encore plus de choix et de tentations... pourvue qu'il la suive, ou qu'il se mette à son tour à courir, qu'il attaque, tant qu'il bouge et se confronte avec sa conscience, le reste elle s'en tapait royalement! Dalleurs après ce petit carnage, elle fonçait tête haute et petite rires vers une sorte de petite impasse sombre ou l'on n'y voyait pas le bout... osera t il la suivre et jouer à son propre jeu ou continuera t il à tuer le peuple?
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Ven 24 Déc - 14:16
Oh oui, c’était bien cela! Elle se dressait devant elle, cette créature aux ailes qui se déployaient de toutes leur envergure, cette créature qui lui offrirai ce qu’il voulait depuis le début de cette nuit. Une attaque lui fut envoyé par celle-ci, et l’atteint en pleine poitrine, lui envoyant une décharge assez puissante pour qu’il perde son souffle et que son cœur s’affole. Il tomba, un genou à terre et se tint la poitrine. Le temps qu’il relève la tête, elle était déjà partit, il ne vit qu’un ombre s’en aller éclairé par la lumière de la lune, avec grâce. Oui ! Il se releva et regarda les attaques qui lui étaient envoyé, surement pour l’inciter à poursuivre cette femme. Il savait pertinemment qu’il tomberait dans un piège, mais cela ne valait il pas la peine ? Si, dans sa démence, il n’avait conscience du danger, ou il en faisait abstraction pour se lancer corps et âme dans une bataille, peut être même que sa propre conscience profitait de cet état de soumission à l’appelle de la violence et du sang pour se défouler. Il e mit donc à la poursuite de la créature, ses lames dans les mains, elle était sur les toits, lui était sur le sol, la regardant sauter de bâtiments en bâtiment sans regarder derrière elle. Il savait qu’elle était sur de l’avoir attiré. Comment ne pouvait il pas la suivre? Même si il avait essayé de résister, il n’aurait pas put. Le majordome courait donc, évitant certaines attaques. Parfois sautant sur des obstacles pour prendre de la vitesse. Parfois il s’arrêtait puis reprenait sa course. Il arriva alors dans un endroit, où un marchand inconscient vendait des babioles à cette heure tardive de la nuit.
Il vit alors la jeune femme qui tomba en arrière pour broyer les os du marchand. Le bruit des os brisés, le sang qui gicle. Cela excita un peu plus ses sens. Une vieille dame regardait la scène effrayé, une petite fille se cachait derrière sa mère pensant se protéger d’une quelconque attaque. Il la regarda avec insistance lui faisant lâcher un sanglot. Sa mère l’attrapa par le bras, mais était paralysé, c’est alors que Michaëlis fut tenter pendant quelques secondes, il s’approcha de la petite fille, et se mit a genoux pour être à sa taille. Il passa sa main ensanglanté sur le visage de celle-ci déformé par la peur en une grimace si excitante, laissant des traînées de sang sur ce visage enfantin. Puis il tourna brusquement la tête à droite, elle avait encore disparu pendant son moment d’égarement. Il adressa un sourire au public qui l’entourait avant de se lever et de partir dans la direction où il avait posé ses yeux il y avait à peine quelque secondes auparavant. Une sorte d’impasse, mais il faisait si sombre, que ses yeux ne distinguaient rien. Mais il continua tout de même marchant doucement mais surement espérant qu’il était au bon endroit. Il tâta les murs à la recherche d’indices, il n’eut pas à chercher longtemps, un rire cristallin se faisait entendre, si innocent mais à la fois emprunt d’une menace qui sonnait si bien. Il laissa une de ses lames glisser contre un mur, faisant quelques étincelles. Content de cela, il distinguait à présent une silhouette. Il courut vers celle-ci. Et s’arrêta à quelques centimètres, il pouvait sentir son souffle sur lui. Le majordome lui tourna autour comme un prédateur voulant intimider sa proie. Mais il savait qu’il n’allait pas intimider celle-ci facilement, voir pas du tout.
-quelle chance j’ai…
Il se tint la tête pendant quelques secondes avant de se reprendre. Une de ses dagues glissa sur son propre torse pour ouvrir une plaie superficiel mais assez profonde pour saigner, un gémissement sorti de sa gorge. Puis il se recentra sur ce qui l’attirait en premier lieu, il n’arrivait pas à voir l’expression du visage de la créature qui lui faisait face. Il la reconnaissait, mais comment cela ce faisait il qu’il n’arrivait pas à mettre un nom sur cette personne, c’était dérangeant, mais le fait été que ce n’était pas pour le moment le premier soucis du majordome qui se demandait tout simplement comment cette rencontre allait tourner. Il leva une de ses mains pour placer sa lame sur la gorge de la jeune femme, faisant une goutte de fluide rouge perlé sur sa peau de porcelaine. Michaëlis finit par se reculer faisant place. Il était le pêcheur de cette nuit, le démon attiré par la ligne de sang qu’il avait lui-même tracer, la folie avait encore planté ses griffe en ce corps déjà meurtri et le consumait, les véritables atrocités qu’il commettaient se cachaient derrière ses fantasmes, les étoiles prédisaient un fléau ce soir. Serait il le seule ce soir à succomber à la beauté de la lune ? Cela restait un mystère, il ne le saurait qu’à la fin...
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Sam 25 Déc - 6:50
Un silence lugubre et angoissant engourdissait chaque sens de la cormyr, lui offrant toute ne panoplie de choix dans les émotions à venir. L'air frais en était devenu irrespirable tant le vent en était devenu incisif et les ombres qui dansaient macabrement autours d'elle avaient tantot fait d'animer son anxiété, ne montrant rien de l'extérieur, la jeune femme bouillonnait dans son intérieur, il ne restait que quelques secondes, seulement une poignée, un rien avant que ses sens et ses émotions n'explosent en une énorme symphonie enchantée emplie de folie destructrice. Courir à en perdre haleine alors que vous tombez dans un cul de sac est une bien piètre chose, d'autant plus que vous êtes armé et que le vent des alentours, bien que assommant se soumet à votre volonté, dans ce cas pourquoi rester alerte, le souffle rapide et apeurée? seulement apeurée ou excitée par la suite des prochains évènements? Sous sa capuche noire La jeune femme étirait un petite sourire malin, elle se prêtait de trop à ce jeu radicale et dangereux et pourtant elle ne semblait pas y démordre. Ses pas la menait à quelques mètres au devant du mur tandis que son lourd manteau noir essuyait quelques derniers remous du à ses amples mouvements. Impassible, le cerveau en ébullition, elle attendait poing fermé sur la garde de son épée.
Aucuns éclats ne prouvaient que son ombre était vivante, toute vie avait été avec un soin méticuleux, caché derrière un beau rideau, un voile soulevant les apparences lorsque l'on ne pouvait que se soustraire et se dégager de nos idées. Elle se tenait comme invisible alors que le "chat" arrivait, sa silhouette perdue masquée par les reflets inconstants de l'astre lunaire lui donnait un on ne sait quoi d'angoissant, un fantome ou un cauchemar s'apparentant à une douce réalité. Une illusion de vapeur se dressant devant vous sous le soulèvement de la buée créée par la condensation de votre souffle et de l'air, angoissant, monstrueux et ... maléfique. Raisonnant comme le glas du jugement dernier, une dague hurlait de protestation quand à sa soif de chair qui n'était pas encore tarie, il y avait matière à prendre cette ombre croissante pour un serviteur de la mort ou un envoyé de l'au delà. Sadique, apparaissant enfin dans les traitres lumières du jour qui éclairait finalement son fin visage d’albâtre, Mickaëlis avançait de plus en plus vers la forme encapuchonnée à pas de loup se déplaçant avec des gestes calculés tel un félin, lame en poing, sanglante et brillante à souhait prête à prolonger encore plus longtemps cette nuit dans l'enfer ou elle avait déjà commencé pour son porteur.
L'enfer recommençait, sans bouger d'une traite cependant, restant aussi immobile et concentrée qu'une statue, Jolene observait les moindres faits et gestes sans chercher à esquiver ou à s'échapper d'une quelconque manière qu'il soit le fou se tenant maintenant sous la buée condensé à sa respiration rapide, palpitante s'échappant sinistrement de son nez. Pas de peur, pas d'excitation, pas de paralysie, une curiosité mordante et une provocation encore plus flagrante. Le diable allait il reculer et devenir souris ou saisir sa chance et savourer l'instant présent? Une goutte de son sang, passant pour du rouge sous les ombres alors qu'elle n'était que d'un turquoise pure répondit à sa propre question comme un claquement de fouet, l'acte en lui meme était allé trop loin, comment un impur pouvait se permettre de souiller aussi aisément son sang à celui de bas mortels?
Le velours noir de son manteau bougeait au gré du vent mais la personne en dessous, droite comme jamais je bougeait pas d'un sourcil, cherchant un moyen à éviter à cette pression de se remettre encore une fois dans son corps, une pression émotionnelle remplie de haine et de vengeance ou elle serait prête à tout, absolument tout, allez savoir par la suite de quoi il en résulterait, ça son âme était la seule à le savoir. L'ombre comme une invitation à continuer la course poursuite lui laissait le chemin devant elle, montrant le couloir désert et ses reflets étranges. Elle ne bougeait pas, les secondes s'écoulèrent mais elle ne bougeait pas. La perle turquoise vint se loger au creux de ses cavités en disparaissant en une fine étoile brillante: la plaie disparaissait aussitot. Elle ne bougeait pas, toutes les fibres de son corps se canalisaient, frapper le connu aurait était un belle faute...
Son corps à l'allure d'une ombre se mouvait emportant avec sa main gauche le cou de Mickaëlis quoique bien broyé entre ses doigts fins fut violemment plaqué contre le mur derrière ce dernier. Des fissures et craquements sinistres se firent entendre tandis que le visage sous le capuchon, invisionnable et imperturbable montrait des crocs luisant comme la lune, offrant un sourire démoniaque au contours d'une couleur carmin.
" Tu n'as pas idée! Jouons encore un peu, la partie ne vient que de commencer..."
La lame de son épée tenue dans sa main droite brisait le poignard qui se logeait dans la main de son porteur et découpait largement le torse de l'individu dans un mouvement prompt et rapide, répendant le divin liquide un peu partout. La main au niveau de la gorge se serrait d'une traite, étranglant la pauvre victime avant de la laisser s'écrouler sous le manque d'oxygène. La main gauche de la Cormyr se portait à sa bouche, les gouttes étrangement brillantes de la lame furent acceuillient à grand coups de langues tandis que sa silhouette reculait en laissant la personne, la victime, l'homme dans la lumière. Jolene s'arrêtait là, lame de son épée effleurant le sol, ses yeux brillants de malice observaient le gars, elle reculait, sourire large sous le capuchon, elle se retournait en marchant lentement, très lentement, puis sa cadence s'accélérait, s'accélérait.... elle se mit à courir, retournant dans le quartier de Soleries à la recherche ... elle ne savait pas de quoi, elle jouait à un jeu sinistre, une sorte de cache-cache ou le vainceur prenait possession de l'autre, de son sang et de sa puissance. Sinistre mais tellement instinctif et inhabituel! Elle courait donc, ailes collées contre son manteau comme si elle n'en n'avait pas, à la recherche d'un autre point de cachette, une endroit de sombre, de chic, de desert...
Sur son chemin, il y avait des pancartes indiquant "marché" sans y réfléchir d'avantage, elle contournait ce lieu, ça risquerait fort d'être intéressant... un peu plus tard. Elle optait pour passer vers la grande artère de la ville, sautant des escalier du haut vert le bas pour se retrouver devant un fleuriste ouvert. Alors qu'il faisait nuit, elle contournait ce dernier, son odeur perdu entre les milliers de fleurs, le flair de son poursuivant pouvait se perdre facilement! à coté de ce fleuriste il y avait une petite ruelle donnant sur un petit ruisseau, elle ne chercha pas longtemps, se faufilant entre les petits morceaux de terres et les murs rapprochés de l'endroit, elle finit par se trouver une place. Le lieu était plutôt grand pour une arrière court, une petit ruisseau bordé de quelques mètres de terres meuble et fertile... Elle émit un petit ronronnement occasionnel, les traces des talons de ses bottes étaient marqués contre le sol... Comme précédemment, elle se tapissait contre l'ombre d'un mur, épe dans la main droite, aussi immobile et mystérieuse qu'une statue. Elle l'attendait.
hrp:=D joyex noel à toi! .... j'ai été assez inspirée, désolée de la longueur =/
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Sam 25 Déc - 14:33
Il sentit une main puissante lui broyer littéralement la gorge, son dos s’exploser contre le mur qui se trouvait derrière lui. Il en perdit son souffle, mais ne bougea pas, attendant la suite avec une sorte d’excitation malsaine. On brisa alors son poignard. Ce poignard auquel il tenait tellement , qui avait brisé tant de familles, déchiré tant de chaire, prit tant de vie. Il venait de se brisé sous une autre lame. Mais au lieu de céder sous la colère, il continua d’attendre, fermant les yeux sous la douce pression qui était exercé sur son cou. D’ailleurs, le manque d’oxygène commençait à se faire sentir, une douce agonie, bientôt remplacé par une douleur mordante au niveau de son torse, une lame s’amusait à déchirer sa chaire, d’un geste rapide et précis, on lui procurait une exquise douleur maculant le sol et le mur de son sang. Michaëlis laissa un râle s’échapper d’entre ses lèvres. N’importe qui aurait put prendre ce gémissement comme une marque de la douleur ressentit. Cela n’était pas tout à fait faux ,mais ce râle aussi était signe de l’excitation qui montait en lui, de la satisfaction que lui procurait cette brulure. Et bientôt la main de la jeune femme se resserra un peu plus autour de la gorge du majordome, le laissant pantelant, sans souffle, mais il ne se débattait pas. Il voulait voir si sa vie s’en irai maintenant, ou si la mort lui laisserai encore un peu de répit. La réponse ne fut pas bien longue quand on le lâcha. Sans force, il tomba lourdement à même le sol. Il respira tout l’air que ses poumons pouvaient emmagasiner avant qu’une quinte de toux ne vienne l’interrompre dans sa récupération d’oxygène. La créature se délecta du liquide carmin qui s’était échappé de sa victime, avant de se reculer pour finalement partir en course, comme elle avait dit elle-même, le la partie ne faisait que commencer. Il regarda alors l’ombre s’enfuir. Ils jouaient tous deux à un jeu dangereux, ils en étaient conscient, mais ils n’avaient aucune envie de s’arrêter maintenant. A ce stade du jeu, ils voulaient plus, savoir qui prendrait la vie de qui, qui gagnerai tout simplement. Une chasse à l’homme ? C’était un peu cela. Mais en cette soirée, ce n’était pas le jeu de jeunes adolescents à la recherche de frissons, mais de deux créatures en quête de sensations fortes, de frissons et de sang.
A cette pensée Michaëlis se releva non sans une grimace, il passa sa main sur la plaie qu’avait ouvert cette jeune femme et ramena le sang sur sa langue. Elle n’était pas aller de main morte. Mais le moment n’était pas au repos ou à la contemplation, mais à la chasse! Il monta sur le muret espérant avoir une vue d’ensemble sur la place, mais il n’était pas assez haut. Il couru alors pour prendre de l’élan puis sauter sur un toit, là il voyait mieux. Quelques maisons étaient éclairées par des bougies, des ivrognes marchaient ou du moins essayaient de retrouver leur logis et…là! Il vit ce qu’il cherchait. Une ombre passa à une vitesse affolante. Il se mit en branle sans plus réfléchir. Mais déjà, malgré sa haute position sur les quartiers, elle avait disparu, vers une marchande de fleurs. Il s’arrêta quelques secondes, elle devait surement l’attendre dans un coin sombre. Le majordome descendit de son perchoir, et prit garde à chaque pas. Cela ne l’étonnerait pas si on l’attaquait dans la pénombre, de ce fait il prit toute les précautions possible. Regardant derrière lui à chaque pas, prêt à se défendre avec sa seule dague restante. Il sentait encore la pression des mains de la jeune femme sur sa gorge, une marque violacée était d’ailleurs apparue. Cela renforça son envie de se mesurer à elle. Il se trouvait à présent à côté du magasin où il l’avait vue disparaître, dans un coin sombre où la lumière de la lune n’était pas. Ce n’était pas un cul de sac comme précédemment, mais une ruelle sombre et peu rassurante, qui se resserrait autour de vous à chacun de vos pas. Une ambiance oppressante se faisait sentir, michaëlis n’entendait que son propre souffle, mélangé à quelques bruits nocturnes. Il déboucha sur une grande place, un ruisseau s’y trouvait ramenant un peu de lumière dans ce sombre endroit. Elle était là, il le savait. Mais l’odeur des fleurs étaient encore présent embrouillant ses sens déjà engourdies.
Il n’y avait aucun bruit, pas un mettant en évidence une présence quelconque. Pourtant le majordome était à l’affut, marchant doucement mais surement. Il se tourna vers une façade ou il semblait y avoir une statue, mais en s’approchant, on pouvait voir une buée qui s’échappait de façon régulière. Bien… Il tenta une première attaque qui fut esquivé avec une facilité déconcertante. Elle c’était juste poussée sur le côté, laissant son attaque s’échouer contre le mur. Mais il ne s’arrêta pas pour autant plaçant un autre coup de dague et cette fois, il ne la rata pas atteignant son bras lui faisant desserrer sa pression sur son arme. Mais auparavant, il avait vue la blessure quoique superficiel qu’il avait infligé à cette femme se refermer sans laisser une marque. Comme si il ne l’avait jamais blessé. Se passerait il la même chose avec une blessure plus profonde. Puis en regardant le bras qui était caché par le manteau, il put voir que son sang n’était pas poisseux et rouge comme le sien, mais turquoise et fluide. Cela attisa la curiosité du jeune homme. Elle n’était donc pas humaine? Oui maintenant il pouvait l’affirmer bien qu’au début de la nuit il avait déjà remarqué de part ses ailes qu’elle avait déployé quand elle était sur le toit. Il se recula, non pas de crainte , mais de curiosité. Lui qui était d’habitude si discret et n’importunait pas les gens regardait la jeune femme, la dévisageant littéralement. Il avait envie de l’égorger, de la voir mourir, de l’entendre le supplier de la laisser en vie. Hélas, il savait cela impossible. Elle l’avait déjà maîtrisé dans l’impasse lui broyant littéralement la gorge. Alors elle n’allait surement pas s’abaisser à ses bassesses humaines. Mais cela vallait le coup d’essayer, même si elle était, et s’était irréfutable, bien plus puissante que lui.
-Amusons nous donc, comme vous l’avez dit, cela ne fait que commencer.
Il marcha à nouveau vers elle puis éclata de rire avant de s’élancer pour l’attaquer à nouveau. Le chasseur finirait il chassé ? Le ruisseau reflétait la lune faisant apparaître une lumière irréelle, qui donnait une tout autre dimension à l’affrontement qui allait commencer. Comme si les actions qui allaient à présent se dérouler seraient indépendantes de la réalité que tout les êtres humains ou pas pouvaient connaître.
hrp: pas grave pour la longueur plus c'est long mieux c'est ^^. Moi je penses que mon post laisse à désirer... En tout cas Joyeux Noël à toi !!!!
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Dim 26 Déc - 13:59
L'ombre croissait dans le silence nocturne, s'amplifiant de plus en plus sous les doux rayons de l'astre lunaire. Les bruits aux alentours, les echos des bruissements de la rivière, les ombres difformes, les ondulations de l'eau, tout aspirait à un univers de paix, de tranquillité ambiante. La fraîcheur de la nuit pinçait les peaux meme cachés sous les vêtements, à moins que ce ne soit cette nouvelle menace qui faisait élever l'épiderme de la jeune femme cachée sous son voile de velours. Du haut de son mètre soixante dix son regard d'argent et son souffle opalescent trahissaient sa présence, la lune n'était pas en sa faveur cette nuit ci mais qu'importe ce qu'elle lui apportera, tant que le souffle du vent, meme le plus glaciale lui révélait son chemin, Lady Cormyr n'aurait rien à craindre. Le souffle de la vie ne lui manquait pas et bien plus qu'à n'importe quel moment de sa vie, on ne prend jamais autant conscience de la valeur de celle ci lorsque l'on est sur le point de la perdre.
Des bruits de pas tapant le sol à une cadence régulière, cependant timide et craintive venait obscurcir une nouvelle fois le petit chemin, la petite ruelle sombre éclairée par la lune. Le chasseur Michaëlis l'avait de nouveau retrouvé et c'était avec une prudence mère qu'il avançait, presque à pas de loup, évitant de ce faire remarquer, sauf qu'il brillait un peu de trop. La lune semblait lui prodiguer une sorte de folie inimaginable, une poussée assassine insoutenable... dans quel pétrin c'était elle encore fourrée? Ses eux brillants dans la penombre, le souffle bas mais bien présent, elle l'observait avancer, scruter les lieux et enfin de compte comprendre qu'il avait encore une fois trouvé sa proie. Un léger noeud dans la gorge invitait la jeune femme à mettre son épée en garde, mais elle n'en fit rien, c'était le deal de ce jeu macabre, du sang pour une victoire. Seulement son premier reflexe lorsque le majordome s'avançait à grands pas vers elle fut de s'écarter, laissant encore plus le personnage se languir de l'appel du sang. Elle avait échouée une seconde fois, inadmissible! Les jambes bien planté contre le sol, la lame de l'épée bien enfoncée pour la caler au cas ou, elle attendait la seconde attaque.
C'est fou ce qu'une âme en perdissions peu accomplir juste par pure désir de survivre, par simple fait de vouloir poursuivre une étoile, un destin meme s'il n'y a rien, peut etre rien d'autre qu'un gouffre sans fond, l'âme se débat en entrainant son corps lourd dans un reflexe non songé. C'est ce reflexe qui lui assura la blessure de son bras alors qu'elle avait sentit le vent charger vers ses reins, une simple seconde de prévision et le sang coulait à un endroit différent d'ou il aurait du égoutter. La couleur pure de sa race s'écoulait une seconde fois le long de la terre, l'hémorragie mit plus longtemps à se remettre ce coups ci, comme si le corps savait qu'il allait devoir veiller sur ses réserves. La femme souriait, la vie était vraiment une chose précieuse, est-ce que son valeureux chasseur l'estimait également à sa juste valeur? Elle ne lachait pas ce dernier du regard, pas meme lorsque la lune éclairait enfin toute la silhouette de sa présence dévoilant toute sa belle parure noire velouté ou se cachaient les deux yeux d'argent observateurs. Une seconde attaque fut lancé.
Elle n'osait plus bouger, non pas crainte, mais par respect, elle laissait donc son épée plantée dans le sol et évitait l'attaque, la première charge avec un simple mouvement vers la droite, sauf qu'au moment ou le chasseur allait passer à son coté, sa main blanche rencontrait la sienne, porteuse de la dague. La saisissant avec une délicatesse maladive, elle fit tourner le majordome vers elle en lui attrapant l'autre main, face à face, ou presque, elle lui fit faire quelques pas de dance juste pour le plaisir de la moquerie, une invitation à une dance de la mort. En lui tenant les mains, elle lui insufflait un brin de son énergie, presque immédiatement toutes ses plaies furent rétablies, plus aucunes égratignures ni meme cicatrices apparaissaient sur son torse masculin aux formes sculptées. Un sourire s'affichait sur le visage de la dame tandis qu'elle rejetait avec force le chasseur vers le mur, ce mur ou elle avait été silencieuse et statue peu de temps auparavant... Elle se retournait vers son épée, ce n'était pas une bonne idée, mais quelle autre arme détenait elle? Une corde ...
Elle fit un saut de felin en arrière, chippant son épée au passage en courant, faisant un détours autours de celle là avant de la pointer directement sur le torse de Michaelis...
" c'est toi la souris... cours!"
Elle stoppa tout mouvements reprenant son apparence de soit disante statut, et afficha sa main gauche devant elle, ses cinq doigts blanc étincelants énumérait un triste décompte...
" 5 ....... 4 ...... 3 ...... 2 ......."
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Dim 26 Déc - 18:10
Alors qu’il attaquait une fois de plus, le jeune femme lui attrapa la main avec une douceur presque exagéré, puis exécuta quelques pas de danse, histoire surement de se moquer de lui peut être, mais lui ne le vit pas de cet œil là et accepta volontiers, jusqu’à sentir une légère décharge qui fit de suite son effet. Michaëlis sous cette légère décharge prit une grande bouffée d’air et comme par miracle, ses plaies se mirent à se refermer, même les traces de doigts qui marquaient auparavant son cou avaient disparu, laissant juste les tâches de sang sur son corps. Son infirmière du moment lui adressa un sourire avant de le balancer contre le mur sur lequel elle était adossé il n’y avait que quelques minutes, son dos heurta le mur, mais moins violemment que dans l’impasse. Il releva son regard, mais à peine avait il levé les yeux que déjà une lame se faisait menaçante sur son torse nu. Qui sous l’adrénaline se soulevait à un rythme irrégulier. Allait elle se faire un plaisir de le découper lentement, ou allait elle attendre et se prendre complètement au jeu dont-ils avaient secrètement scellé l’accord, sans un mot, juste avec un regard, qui en l’espace d’une seconde avait été les mêmes. Animés de la même lueur, de cette même envie. Et en ce bref moment, ils avaient compris les règles du jeu qu’ils étaient entrain de jouer. D’un bond elle se recula reprenant son épée auparavant planté dans le sol et reprenant par la même occasion son sérieux.
-C’est toi la souris… cours!
Il prit quelques secondes avant de comprendre. Le chasseur chasser? C’était tout à fait cela, il avait été le chat, à présent qu’il avait attrapé sa proie et qu’il ’l’avait blessé ils devaient échanger les rôles, comme le jeu des enfants, mais en plus dangereux. Une audace sans égale. Cette phrase renfermait un avertissement de taille qu’il était bon d’écouter. Et le majordome l’écouta, non pas parce qu’il était saint d’esprit, mais parce que cela promettait d’être fort plaisant, pour ses sens qui seraient bientôt tous en alerte, pour son corps qui serait soumit à la fraîcheur nocturne, son esprit calculateur qui saurai pertinemment qu’il était suivit par une personne dont la force était supérieur à la sienne et qui voulait sa peau. Il réagit en se déplaçant lentement serrant de sa main droite la dague qui lui restait. Toujours en regardant le chasseur qui commençait un décompte dangereux annonçant bientôt cette course poursuite. « 5... » il se dirigea vers un muret et grimpa dessus sans regarder derrière lui, il scruta les environs à la recherche d’un endroit convenable. De plus, grâce à la guérison de ses blessures, il avait retrouvé sa rapidité. « 4... » Il entendit toujours la voix de la jeune femme et se dit qu’il était temps d’avancer, de plus dans cette voix, il pouvait distinguer un sourire qui le fit sourire à son tour. Il sauta sur un autre muret pour enfin atteindre le sol et commencer à courir. « 3... »Il n’entendait plus la voix de la jeune femme, mais courais tout de même comme elle le lui avait conseillé quelques minutes avant. Une petite échoppe, fermé se trouvait à un mètre à qu’il était passé par là. « 2... »Il sentait que le prédateur allait bientôt partir à sa recherche, et il avait décidé de jouer jusqu’au bout. Il voulait du frisson, de la frayeur, il voulait que ce doux cauchemar ne se termine jamais. Alors il faisait en sorte que ça dur.
Il restait à un endroit visible de tous, puis dés que le chasseur arrivait, il disparaissait de sa vue tel un fantôme pour partir à nouveau. Au bout d’un moment, il cessa son jeu car il le savait bien trop dangereux. En tant que souris il se devait de faire attention à chacun de ses gestes. Il trouva donc un endroit reculé où il reprit son souffle. A force de jouer, il avait oublié de respiré, mais il surveillait chaque ombre qui se dessinait sur le sol reculant de plus en plus pour avoir un minimum de marge si elle le retrouvait. Puis il décida de continuer sa course effrénée. Pour se cacher dans un magasin abandonné, ou quelques meubles étaient resté debout et où quelques poupées de porcelaines cassé se trouvaient, donnant à cet endroit une ambiance sinistre. Il se sentit mal d’un coup, prit d’une peur incontrôlable. Il en oublia les conditions de son arrivé ici. Il ne savait pas pourquoi, mais les poupée qui étaient présentes semblaient l’accuser. Leurs visages meurtri par le temps leur donnaient des expressions si vrai qu’elles en étaient effrayantes. Michaëlis se recula, il lâcha son arme quelques pas avant qu’il s’effondre sur le sol , assit contre un mur, il ramena ses genoux sur son torse, les entoura de ses bras et posa sa tête sur ses genoux comme un enfant. Pourtant, il avait encore envie de jouer. Le souffle commença à lui manquer, il avait peine à respirer. Et pourtant il trouva la force de se relever, malgré sa faiblesse il voulait continuer pourquoi s’arrêter maintenant alors que cela venait tout juste de commencer ? Il ramassa son arme et dut s’appuyer sur un meuble, il jeta une des poupées avec violence sur le sol, la faisant exploser en mille morceaux, son sourire revint alors, malgré son souffle court, il sentit une présence tout prés. Il alla alors dans l’arrière boutique. Le majordome trouva une porte et sortit et s’en alla au plus vite et trouva un autre endroit pour reprendre ses esprits. Une fois calmé, il se cala dans un coin retiré, ou l’herbe s’étendait à perte de vue, et juste à côté, on pouvait voir la transition parfaite avec la ville. Un bon endroit d’après Michaëlis, il avait reprit le gout du jeu et attendait la venu de la jeune femme avec impatience, il était prêt...
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Sam 1 Jan - 8:17
" - zero ... "
L'air frais soufflait les quelques meches de cheveux qui tombaient le long de ses hanches. Tournées vers le mur, les ombres se superposaient les unes au autres l'espace d'un temps pour saluer cette lugubre nuit de sa noirceur. L'échange d'une vie contre une autre, ou saisir le moindre moment opportun, la moindres chance de conservation et se démener pour survivre, les moments étaient à leur summum de l'excitation, pas encore à leur paroxysme cependant, mais l'on pouvait dores et déjà sentir l'air se réchauffer dans la capitale de la lumière. La fraicheur retombait tandis que remplis de son instinct animale, la Cormyr tournait gracieusement la tête en direction du muret ou un instant d'avant, le temps d'une mélodie, l'oiseau s'était levé de son perchoir pour rencontrer d'autres environs. Il faisait bon, doux frais et les diverses senteurs de cette rues affublait un peu plus ses sens un à un. Une véritable vague à l'âme de sensations, tant d'émotions et de senteurs dans une respiration, tant de fleurs et de sang dans une inhalation, c'était bon, c'était jouissif. Son épée longeait doucement son dos pour rejoindre son fourreau tandis que ses jambes longues et alertes la faisait de reposer sur le toi de la maison ou sir Michaelis était apparut avant, juste avant.
Ses astres argentés scintillaient d'une lueur plein de malice, le vent et les odeurs ne pouvaient la tromper, en choisissant l'une aux tons âpre sucré et légère, tel le parfum que les hommes ont durant leurs toilette quotidiennes, elle savait déjà à quoi se tenir. Suavement sa langue passait sur ses lèvres avec une délicieuse envie de mordre dans le coeur de cette senteur, s'en accaparer l'essence et le parfum jusqu'à la moelle. Catégoriquement ses talons frappèrent la toiture d'ou elle se tenait en se dirigeant vers la droite, s'avançant vers cette essence magnifique, démoniaque, la cadence de ses mouvements n'étaient ni trop rapide ni trop lente, celle d'une parfaite predatrice en chasse, son visage toujours caché par sa capuche noire laissait les habitants du bas en proie de leurs imaginations en surchauffe d'ou leurs fuite ou leurs envies de courir... à moins que ce ne soit le passage de cet être magnifique, ils étaient tous anxieux tel des antilopes à l'affut du seigneur des lieux. La cadence des pas et leurs échos s'amplifièrent l'espace de quelque petite secondes, le temps pour l'ombre de sauter d'un toit à un autre, toujours à la poursuite de sa proie et de cette essence qui l'affublait.
« Tchac …. tac – tac – tac – tac... » ses talons recommencèrent à battre la craie mêlée à la roche des toitures, lugubre, croissante et funeste cadence. L'essence devenait de plus en plus palpable de sa senteur, de plus en plus forte et délicieuse, la légère odeur sucré qui émanait du lieu ou se situait la proie était particulière, de dehors le batiment ressemblait à une maison brulée, rien de bien alarmant.
un bon choix, j'aurais de quoi m'amuser...
Regardant la porte et ses battants ouvertes, elle pouvait en effet constater une ombre non définit, sa curiosité croissante, elle se porta en douceur sur le toit de la maison en question, rentrant par la fenêtre du premier étage avec une agilité et une discretion féline. Une fente se dessinait dans le sol en bois, là ou l'on pouvait avoir une vision du rez de chaussée, endroit morne, poussiéreux et tremblant, un incendie avait peut etre ravagé les lieux. La lionne s'accroupissait sur le sol sans en faire craquer les bois grillés et observait mieux la scène qui se passait sous elle dans un silence et une discrétion maitre. Il était encore trop tot pour se lancer sur la gazelle bien trop tot malgré la bonne distance et les bons éléments qui lui permettait de s'assurer sa victoire cependant elle voulait voir ce qui causait autant de trouble chez la personne choisie. Être reculé contre un mur ainsi positionné signifiait l'hésitation, la peur, la menace et tout cela à cause.... de quoi? Toujours par la meme fente, la chasseresse observait tout, les palpitations du coeur par le bois, les mouvements pas assez alertes et brouillés, il semblait légèrement perdu, quelque chose clochait, notamment lorsque qu'il basculait la poupée à terre. Dans sa petite tete, Jolene assemblait les pièces qu'elle avait en tete concernant le phénomène, les marques, tatouages, sur sa main, son comportement, cette poupée... se rappellerait il donc d'un moment douloureux de son passé pour agir de la façon suivante? Tapis dans la poussière du lieux, Jolene réfléchissait tandis que la souris rassemblait ses force pour sortir.
Des poupees, des traces, un grand air de majordome sous des pulsions meurtrières, un sadisme et un charme fou, cet Umbrien se promettait épatant! Pour éviter de se prendre dans son propre piège psychologique et surtout éviter de se faire remarquer et reconnaître elle devait rester dans l'ombre tout en menant sa petite enquête. A cette idée, ses crocs se serrèrent dans sa bouche et sa nervosité montait d'un cran, il lui fallait résoudre cela en se montrant manipulatrice, une chose qu'elle savait faire.... mais qu'elle détestait par dessus tout. Le temps pour elle de se remettre dans l'ambiance du jeu, il se passait plus de quelques minutes. Devait elle faire une entrée fracassante, timide ou discrète? Connaissant la bète il était mieux pour elle de faire cela dans la discrétion mais sa manière de procédé allait certainement être plus féline qu'humaines, il ne devait pas y avoir d'hyppothèses, pas d'ouvertures. La timide? Elle ne reflétait en rien sa personnalité la souris pouvait croire à une hésitation et donc prendre moins de plaisir à fuir ou a attaquer... la dernière solution était donc la meilleur par défaut. Se redressant de toute sa hauteur, elle en appelait à toutes les forces vivantes qui l'entourait. Bien vite un vent d'une force rare rentrait dans cette maison et sortait de par le jardin arrière ou se situait la souris. Simple avertissement, tandis que le vent soufflait de plus en plus, sa main blanche se dirigeait vers le sol de ce premier étage...
… on y va...
Une énorme gerbe de foudre fit flancher le bois et sortir toute la poussière de la maison vers ce petit jardin, envenimant la flore émeraude d'une poussière noire mortelle, elle arrivait toujours sous ses vetements noirs et sa capuche au rez de chassée avant d'avancer vers la sortie... « Tac – Tact – Tac – Tac... » le rythme reprenait sa cadence morbide tandis que le bruit d'une épée fut dégainée dans la noire poussière. Finalement la poussière se dagaeait, arme au poing et … poupée cassée dans l'autre. Soudain, plus de Jolene, plus d'être encapuchonnée, plus de poussière ni de lucina pour Michaëlis, juste une maison, une maison rose et blanche comme l'on ne pouvait louper dans les environs de la capitale. Une porte s'ouvrait devant lui montrant des enfants jouants avec des poupées avec de grands sourires aux lèvres, sadiques... Jolene toujours invisible se plaça derrière lui et le poussait incitant l'homme à faire un pas, le précipiter dans cette belle illusion, ou un petit enfer... Elle ne le quitterait pas à moins de dix mètres. Soudain les poupée elles aussi commencèrent à sourire, les enfants mort contre le sol sans trace de sang laissaient leurs peau blanche et pale se durcir. Animé d'une volonté de vivre, les poupées se levèrent brusquement et saisirent des buches proche de la cheminée familiales, pour en tirer une chacune et s'approcher vers Michaelis... Simple stratégie, une simple illusion pour vérifier sa thèse et ses idées... allait il fuir, combattre ou bien...
« Je suis là... tout prêt de vous... ma proie... tout proche... »
murmurait elle dans le creux de l'oreille du majordome tandis qu'un autre élément perturbateur prenait place, le jeu prenait une autre tournure, sire Kuso allait il se défaire ou combattre les cinq poupées qui avançaient vers lui en décrochant un horrible sourire sur leurs tête de porcelaine?
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Sam 1 Jan - 14:31
Il la sentit approché. Oui elle arrivait. Des pas se faisaient entendre. Michaëlis l’attendait de pied ferme. Arme à la main, sens en alertes, muscles bandés. Il n’avait plus peur. Mais un vent violent souffla lui disant que quelque chose d’inhabituel était sur le point d’arriver. De ce fait, le majordome se recula regardant toujours la maison de laquelle il venait de sortir. Un bruit assourdissant se fit entendre, une lumière aveuglante puis plus rien. Juste une poussière noire l’entourait. Il aurait put paniqué, mais reconnue que cela devait être une façon qu’avait eut son prédateur pour l’intimider. Il resta donc dans sa position, les yeux fixés sur quelque chose qui n’existait pas. Puis toute cette poussière disparue peu à peu, laissant apparaître une maison…rose. Une porte s’ouvrit, mais le majordome se refusa de rentrer et pourtant, comme si on l’y avait poussé, il entra contre son gré. Des enfants jouaient avec des poupées, mais leurs sourires n’avaient rien d’humain, du sadisme, de la cruauté se lisait sur leur visage enfantin. Puis ils tombèrent tous pour laisser place à des poupées dotés d’une vie propre. Le majordome écarquilla les yeux. Pas encore. Les poupées allèrent près de la cheminée pour prendre des buches. Puis elles s’approchèrent de lui, toujours avec ce sourire. Le premier reflexe du majordome fut de chercher une sortie, hélas la porte refusait de s’ouvrir, et une voix féminine lui soufflait cette même phrase, avec une douceur effrayante. Une douceur à glacer le sang, il sentait une souffle dans le creux de son oreille. Il voulait s’en aller. Les poupées avançaient toujours, pâles, menaçantes, emprunt d’un sadisme irréel. Elles se délectaient de la peur du majordome qui fini par se servir de sa lame comme il le savait. En un rien de temps, il put les éliminer mais était ce fini ? N’était ce qu’un songe ? Non, il ne savait pas ce que la chasseresse avait découvert sur lui, mais elle s’en servait à son avantage et si elle continuait ce jeu allait devenir un véritable enfer pour le majordome, qui ne voulait absolument pas se souvenir. Il ne savait pas encore quoi, mais il savait que après la mort de ses parents dans un incendie et le moment où il travailla dans une famille ne tant que majordome, il y avait un grand vide dans sa vie qu’il ne voulait absolument pas connaître. Il se refusait d’ouvrir cette porte en lui qu’il avait scellé volontairement. Il en avait jeté la clef, et en cette nuit de folie, elle menaçait de s’ouvrir, mais le majordome y mettait toute ses forces pour qu’elle reste fermé pour toujours et à jamais.
Il resta un moment sans bouger essayant de faire le vide en lui, pour retrouver une contenance, il était sur le point de craquer, inconsciemment, il passait sa lame sur une de ses mains tatouées la mettant à sang. Il réfléchissait, il voulait sortir d’ici. Dans cette maisonnette, il n’y avait rien de rassurant, du moins rien qui ne pouvait le rassurer, car pour certain, une petite maisonnette comme celle-ci avait tout de rassurant, mais pour lui, c’était un véritable enfer. Y avait il quelqu’un d’autre avec lui , surement, car il sentait encore une présence discrète mais bien présente peut être était ce la créatrice de cette illusion. Le majordome parcouru la salle du regard sans vraiment chercher quelque chose de précis, quelque chose à se raccrocher, quelque chose qui l’aurait ramener à sa folie meurtrière le sortant d’ici, mais rien… toujours ces poupées cassées qui le regardaient. Il était dans son propre enfer. Et quand il se rendit compte, il entendit son propre cri raisonné dans la maison, un cri déchirant, la peur, la crainte, la faiblesse, la vulnérabilité, tout cela s’entendait de ce cri, qui lui était venu sans même y penser, il détruit ce qu’il restait des poupées les réduisant en poussière. Mais cette sensation de vulnérabilité restait. Et cette sensation engendra une rage incontrôlable, il détruit tout, vraiment tout. La chemise qui l’avait couvert jusqu’ici se retrouva à même le sol. Il devint plus pâle qu’à son habitude, ses yeux prirent une teinte rouge, inhumaine, jamais il n’avait perdu le contrôle à se point. Jamais Michaëlis s’était laisser aller à de tels sentiments, en avait il seulement eut ? En de rare occasion mais pas comme à cette instant. Il avait mal à la tête, si mal. La majordome tomba à genoux, mettant ses mains dans ses cheveux espérant calmer la douleur, mais celle-ci se faisait plus présente, plus puissante. Une plainte lui échappa. Son souffle était rapide, sa vue se troublait. Il perdait la tête pour de bon. Il se disait que s’en était fini de lui, mais il utilisait les dernières forces qui lui restait, sa dernière once de lucidité.
Il répéta inlassablement la même phrase d’une voix monocorde: -laissez moi tranquille… je ne veux pas…
Il essayait de se convaincre lui-même. Mais plus il disait cela, plus son mal de tête s’amplifiait, il allait vraiment perdre la tête si il ne sortait pas d’ici, déjà sa voix devint un souffle à peine audible. Il ne s’était pas douté une seconde que ce jeu qu’il avait lui-même crée se retournerait contre lui, qu’il aurait une adversaire capable de le manipuler de la sorte le rendant plus fou encore. Une adversaire qui était sur le point de le faire craquer, qui l’avait poussé à bout de ses limites juste avec une illusion qui reflétait son enfer personnel. Il savait à présent qu’elle était puissante, mais il voulait la tuer, l’entendre hurler, la démembrer pour avoir réussi à le mettre dans cet état. Mais n’était ce pas les règles du jeu ? Il était belle et bien la souris et le chat refermait doucement ses griffes autour de lui, l’écorchant à vif.
hrp: la musique que tu as mise elle est terrible !!! elle est excellente.
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Dim 2 Jan - 11:31
Les éclats de porcelaine contre le sol en bois vernis de la salle s'imprégnait doucement des lueurs feutré des flammes de la cheminée. Les corps sans vies qui n'avaient jamais existé se dissipaient lentement avec le vent, emportant avec eux les marques du temps et le passage précaire d'une faucheuse lassée par de gestes sots tel que le meurtre et la débauche. Les poupées restaient sur le sol rien ne semblait les affubler ni le temps ni le changement soudain de décor qui se faisait ressentir. La proie était belle est bien encerclé, son jugement dernier sonnait tel le glas de la miséricorde le moment retardé ne pouvait être oublié et repoussé encore une fois. A genou il semblerait que la souris venait de se rendre à l'évidence, un faux chat reste faux chat, une métamorphose reste une pale imitation d'un genre, une illusion reste une illusion. Sous son capuchon noir, Jolene serrait ses poings jusqu'à faire couler une perle de son sang, voyant l'homme se démener et être torturé de la sorte, elle devait se maintenir et se contrôler pour ne pas arrêter son processus. La compassion... partager la douleur des autres et les soutenir pour et contre tous, tel se résumait son existence et ses croyances envers les Hommes. Les faire avancer et évoluer en les épaulant par delà l'impossible, tel était la tache qu'elle s'était promue.
« - Tu n'as rien à demander, tu n'as aucun choix, attendre ta sentence et la dernière chose que tu auras à faire, Tu as voulus me montrer ton chat... c'est à mon tour... »
Ses mains retombèrent contre ses hanches tandis qu'elle inspirait et expirait doucement mais longuement pour revenir à son but premier. Qu'importe si elle aimait ou non faire ce genre de choses, il lui fallait résoudre le cauchemar qui sommeillait en le personne qui était agenouillé devant elle, dépaysé et tristement perdu, essoufflé par cette course qui venait tout juste de commencer. Les paumes de ses mains se levèrent devant son visage et le décor de cette illusion changeait, la maison rose prenait une teinte pourpres, des dalles noires dans des rues de Ténamas prenait forme sous leurs pieds, devant eux, la maison à semi brulée restait la meme seul différence entre la réalité et le début de cet autre songe. Le décor s'intensifiait laissant quelques flocons gris tomber doucement du ciel vers le sol, autours d'eux aucunes belles lumières dans les environs, simplement... Elle. Une petite fille à la chevelure rouge et yeux opales, gris et larmoyants tenant une poupée dans une main, s'enlevant les dernières larmes perlant ses joues apparaissait dans l'encadrement de la porte noire et craquelée. De son physique on ne pouvait lui donner plus de sept ou huit années, une simple copie de la prédatrice lors de son plus jeune âge, rien de plus simple à faire, rien de plus destabilisant... L'enfant s'asseyait au sol poussant la poussière du bout de ses pieds nus en serrant fortement la poupée dans ses mains tout en regardant michaëlis de ses grands yeux larmoyants.
« - pourquoi? Pourquoii? »
Soudain la petite mit ses deux mains contre sa tête en fermant ses doigts autours de ses yeux et versait toutes les larmes de son corps. L'illusion s'amplifiait, toujours tenue derrière Michaëlis Jolene du se contenir pour ne pas arrêter son illusion, ses crocs serrés à l'intérieur de sa bouche elle savait que meme le pardon à ce stade ne serait plus accepté et meme cela ne la décourageait pas, elle était elle aussi sur le point de larmoyer... dalleur l'illusion se changeait tout de suite... des tatouages identiques à ceux de la proie s'identifièrent sur les petite mains de l'enfant, ses cheveux se transformèrent catégoriquement, noir de gaie plus court mais tout aussi soyeux. Jolene tentait avec son imagination et la copie sous ses yeux de réaliser un Michaëlis en miniaturisé, de quoi refermer encore plus l'étau sur ce dernier. Le choix du lieu était purement stratégique, un simple bout de la réalité, ce coin de lucina brulé malheureusement, mêlé à un souvenir, un quartier riche de Ténamas, après tout si la souris devait mourir, ce devait être avec une classe digne du rang de ce dernier. La petite réplique de la souris en plus jeune était là pour rajouter un peu de pression et pousser l'adulte à accomplir sa destiné, s'auto détruire en passant le poignard sous la gorge, en l'étripant comme il l'avait fait sur les humains précédents ou les poupées. S'il refusait dans tous les cas Jolene préparait une attaque illusoire pour tout défaire avant de porter son coups de grâce.
Comprendre, toujours tenter de comprendre les choix qui nous sont posés et ne jamais nier la fatalité telle qu'elle soit. Toujours tenter de comprendre les choses telles quelles, qu'elles soient, funestes , douloureuses ou belles et affronter chaque souvenirs en sois, batailler contre son passé et recevoir la récompense mérité. Plus les batailles sont ardus et plus les expériences et les tentatives menés contre celles ci nous marqueront, ainsi nous ne réalisons jamais plus de deux fois les meme erreurs tant elles sont marquantes. Toujours s'imprégner des indices que l'on a car chaque leçons apprises nous en retrouvons, il suffit de les assembler tel un puzzle pour trouver le sens de notre passé et des moments marqués et ainsi nous arrivons à nous remettre en questions sur nos actes manqués. Se servir des plus petits indices avec une grande perspicacité d'esprit s'en servir contre notre ennemi, notre cauchemar, en retournant ainsi les roles nous arrivons tous à prendre l'aventage sur un autre. La vie et comme une partie d'échec, il suffit d'un indice bien visible, d'un rien, d'une infime avancé stratégique pour mettre l'autre en échec... Il n'était pas trop tard pour Michaëlis, il n'est jamais trop tard!
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Jeu 6 Jan - 17:51
Le décor changea autour de Michaëlis, doucement mais surement le faisant relever la tête. La maisonnette changea, elle était à présent brulée. Il semblait être dans un quartier riche, mais il n’y avait rien d’enchanteur, il n’y avait aucunes lumières. La maison qui tombait en ruine avait été proie au feu. Et une petite fille se tenait sur le pas de la porte essuyant ses larmes. Elle s’avança vers le majordome, tenant une poupée dans une de ses mains, puis elle poussa les morceaux de verre regardant Michaëlis en semblant lui demander pourquoi. Le majordome ressentit cette phrase comme une accusation qui lui était destiné et ne dit rien tout en regardant le petite fille qui changeait d’apparence, les tatouages que possédait le majordome sur une de ses mains se dessina sur la main de la petite fille pour finalement prendre son apparence quand il n’avait qu’un petit garçon, toujours avec cette poupée dans les mains et ses yeux larmoyants. Il avait l’air si fragile, si innocent, mais ses tatouages prouvaient que déjà à cet âge, son âme d’enfant était souillé. Il ne pouvait regarder, il ne voulait pas. Il n’avait jamais voulu cela. Mais cette force, ce vice qu’on lui avait inculqué par la douleur, la haine il avait prit cela comme un mode de vie normal à partir de cet âge. Comment pouvait on manipuler un esprit aussi facilement ? Le majordome recula pitoyablement. Il était sur que si il enlevait Seulement le t-shirt de cet enfant, il verrai les marques qu’avaient laissé les gens empli de vice et de convoitise envers sa personne, il n’avait plus aucune résistance, la porte avait cédé, et les souvenirs longtemps refoulés revenaient en masse. Il voyait toute les choses qu’il avait faite à cause de la haine, la douleur de ce tatouage qui avait été apposé sur sa main et cette maison, ou il avait cru qu’on lui voulait du bien mais ou tout était étrange, une ambiance sombre. Un tas d’image lui revenait à une vitesse fulgurante, il entendait chacun de ses hurlements de ses supplications, les paroles qu’on lui avait dite avant d’apposer se tatouage sur sa main, les humains étaient pire que tout croyant en des choses qui n’avaient aucun sens et pourtant ils avaient fait de Michaëlis leur cobaye. Dans un sens peut être que cette soit disant magie avait fonctionné. Il était devenu un monstre, ses yeux n’avaient plus rien d’humain; sa soif de sang était constante.
-Arrêtes cette illusion dit il dans un souffle
Juste en regardant son sosie miniaturisé, cette porte avait cédé il n’en voulait pas à cet enfant. Il respirait bruyamment s’hyper ventilant de plus en plus. Sa poitrine était en feu des images défilaient devant ses yeux, il voulait que cela cesse. Il prit son arme et s’avança vers l’enfant le regardant avec une tristesse. Il s’en voulait de lui avoir fait subir toutes ces atrocités alors qu’il n’était qu’un enfant. Il avait grandi trop vite. Il passa sa main sur le visage empli de larme. Il lui murmura un désolé a peine audible. Il voulait sortir de cette illusion celle-ci avait éveillé trop de choses en lui. Il prit sa lame un d’un geste vif et prit de tremblement il retourna sa dague vers lui pour se l’enfoncer dans le ventre évitant les points vitaux pour, si l’illusion disparaissait voir la chasseresse . Lui montrer que tout compte fait, la sourie avait gagne. Il voulait voir le visage de celle qui avait sut le rendre fou, qui avait réussi à lui faire voir le monstre qu’il était. A ouvrir cette porte qu’il avait fermé pour son propre intérêt, il resta un instant assit, regardant son fluide vite s’échapper de sa plaie, il toussa bruyamment envoyant une giclée de sang devant lui. Ca faisait si mal, c’était si bon, il se sentait en vie pour la première fois depuis un bon moment. Mais celle-ci lui échappait doucement. Le monde tournoyait doucement autour de lui, il tomba en arrière, enlevant la lame qui empêchait le sang de s’écouler plus largement. Finalement, ce jeu il l’avait en quelque sorte gagner puisque le chat n’avait pas prit sa vie. Il respirait à présent difficilement mais voulait tout de même tenir juste encore un peu.
Il savait que son choix était purement égoïste et peut être sans intérêt, que cette pensée était ridicule. Mais il était encore dans l’optique du jeu qui lui avait ouvert les yeux sur sa propre personne. Il regarda encore une fois l’enfant qui se tenait devant lui. Une dernière fois. Surement ne le reverait il plus.
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Ven 21 Jan - 5:36
Un enfant, symbole de l'innocence et de la fragilité, un pilier maître pour l'espèce humaine, car c'est de cet être si candide que dépend l'avenir des mondes: en grandissant et prenant de la mauvaise graine, l'homme devient adulte et croit ou décroit au rythme des ombres que la lune affole à ses cotés. Ce choix... Elle le regrettait déjà amèrement, si cela ne résultait que d'elle, si c'était son âme qui était en proie à d'effroyables tourments, elle aurait tout fait exploser autours d'elle... si pas de pouvoirs, elle aurait tué son sosie de sang froid ou en dernier recours, s'il n'y avait pas de solution envisageable, elle se serait donné la mort d'une façon catégorique, au moins le sang et la douleur était une des choses qui, par respect à l'humain, ne pouvait tromper ses ennemis. Les demies lunes brillantes et fixés sur le jeune maître d'hotel, la Cormyr se retenait ardemment de faire irruption dans cette soirée lugubre, ce songe sans failles et sans fins... si elle venait à faire découvrir son visage, c'était la fin de toute choses, de tout espoirs de ramener ce dangereux individu à la raison... elle ne devait pas échouer! Au lieu d'avancer, sa main se resserra sur la poignet de son épée en lui valant un étouffement de douleur tant elle n'y allait pas de main morte. Mais que faisait il? il essuyait les larmes d'un enfant innocent... une illusion.
Les sanglots se répétaient, le songe se transformait en cauchemar autant pour le démon qu'elle meme, voir un homme agoniser, meme s'il mériter une telle "punition" était contre ses principes. Cette nuit aussi noire et obscur qu'un rêve empoisonné serait à tout jamais marqué d'une pierre blanche, c’était la première fois qu'elle allait autant dans l'extrême en affrontant ses principes. Que faisait il? Il sortait une lame, aussi brillante et traîtresse que l'astre glaciale qui les observait du haut de son piédestal, patiente et discrète. Que faisait il? Il se donnait la mort.
" HUMMPF!!!"
Elle du se mettre les deux mains devant la bouche et fermer ses yeux rapidement pour ne pas avoir à culpabiliser ou à courir vers le défunt. Ses oreilles entendirent le souffle rauque et hésitant, les pas chancelants et hésitant, le corps lourd tomber, fracassant le sol de toute sa masse tandis que le souffle se répercutait en fin sifflements... sa fin. Un bruit métalique puis ... des battements de coeurs, de fins et petits battements, comme si on l'appelait à secourir, venir en détresse et vaincre la mort en la recroisant une seconde fois... Quelle plaisir y avait il en se donnant la mort? Quelle jeu pouvait permettre à un individu de prendre sa vie à la légère? Elle n'en pouvait plus, pour elle ... la vie était bien plus importante que n'importe quel caprice: Il lui fallait venir au secours de ce majordome et même si elle se jetait dans la gueule du loup, au pire des cas, elle pourrait juste refermer la plaie et le laisser à son triste sort, aux gardiens de la ville qui le retrouverait dès le lever du soleil. Sa main proche de sa bouche frola sa tunique sans la bouger pour autant, ses pas la mirent en avant et petit à petit la distance entre elle et le blessé diminuait. La capuche toujours rabattue sur sa tête, l'anonymat encore voilé, le corps n'était plus qu'à ses pieds à présent. Elle se pencha lentement sur le corps, lui saisissant la première main, droite, moite, ensuée froide, le coeur battait de moins en moins, il fuyait. L'autre main de la jeune femme attrapait l'autre de l'homme également, histoire qu'il ne dévoile pas tout de suite le son visage, que le rideau ne tombe pas immédiatement...
" Vous êtes un tricheur Sire Kuso... Un tricheur qui a de la folie en guise de courage et du panache pour force. "
Un sourire illuminait ses lèvres tandis qu'une flamme d'un bleu cobalt, aussi sombre qu'une nuit d'hiver empruntait le chemin de la main de l'homme pour se frayer un chemin tout autours de la blessure et ce, jusqu'à atteindre la tête. La flamme croissait sans démordre, elle était d'une chaleur et d'une douceur maternelle, rassurante et remplie d'une force de vie capable de pousser meme un mort vivant à s'accrocher à ce qui lui reste de vivant... l'énergie de la flamme se décuplait, s'arrachait, la main redevenait chaude, le pouls normal, quoique un peu rapide avait reprit le cours des choses. Jolene fronçait les sourcils... et maintenant? son épée était toujours dans son fourreau... Dans un mouvement vif, elle attrapa le poignard du majordome et se levait avec un geste souple, félin en se retrouvant à quelques mètres du corps remis en états. La lame pointée vers le démon comme pour le menacer, l'autre tendu vers vers l'avant... elle reconnaissait qu'elle avait perdue la partie et en montrant son bras et le poignard, elle espérait qu'il comprendrait ce qui lui restait à faire...
HRP desolee du temps de reponse, mais j'avais beaucoup de choses à faire, dont moderation -_-... maintenant que je suis libre, je suis toute à toi ! on reprend si tu veux bien
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Ven 21 Jan - 18:00
Sa vue était déjà quasi nul, les battements de son cœur ralentissait, son souffle n’était plus qu’un sifflement aigu. Mais un sourire victorieux et blessé s’affichait sur son visage qui était devenu livide. Dommage, il n’aurait surement pas le temps de voir celle qui l’avait mise dans cette état. Ses yeux se fermèrent, puis il entendit des pas se diriger vers lui. Malgré ses sens endormi il pouvait encore sentir le vent frais sur sa peau. Des mains saisirent les siennes devenus moites et des bribes de phrases attinrent ses oreilles, si il avait eut la force, il aurait surement éclater d’un rire mauvais. Mais hélas non, jusqu’à ce qu’il sente une chaleur parcourir ses mains pour envelopper tout son corps. La douleur se faisait moindre, il reprit des couleurs, du moins le peu qu’il en avait, et son corps se réchauffa. Comme si on avait essayé de l’étouffer, le corps de Michaëlis se cambra en arrière dans une inspiration profonde presque douloureuse, il avait ouvert les yeux de surprise. Son cœur battit tout d’abord à tout rompre avant de se calmer le laissant respirer normalement. La personne au dessus de lui se releva, lui reprenait ses esprits encore à même le sol sans trop comprendre ce qui lui arrivait. Le majordome s’assit pendant quelques secondes puis il fit face à la silhouette toujours encapuchonné qui lui avait redonner la vie juste à temps. Il avait gagné. La personne lui faisant face tenait sa dague entre ses mains et la tendait en avant. Au début comme une menace puis peu à peu comme un don. Il se leva légèrement chancelant, les membres engourdis, son crane prêt à exploser sous son mal de tête, mais il en fit abstraction et s’approcha de l’inconnu prudemment, puis s’arrêta à quelques centimètres. Il se rappela qu’il avait perdu sa première dague au cours de cette chasse à l’homme, mais il avait quelques ressources qui ne lui appartenait pas bien.
Un geste un peu ridicule, mais il voulait savoir si il était toujours à la hauteur. Il sautilla sur place et d’un geste vif recula avant de reprendre sa course pour fondre sur l’épée qui se trouvait toujours dans le fourreau de l’inconnu. Il l’enleva de celui-ci avant de sous pesé l’épée, elle était parfaitement équilibré, c’était une épée de grande qualité que seul les personnes expérimenté pouvaient magner avec force et précision, son poids était tout de même conséquent. Il recula d’un bond et tendit l’épée vers la personne encapuchonné. Il l’aurait bien embroché sur sa propre épée, mais même si il considérait le jeu gagné de son côté, il voulait encore attendre. Il n’était certes pas aussi forte que la personne qui l’avait fait se poignarder en dernier recours, mais il voulait tout de même tenter sa chance. Et surtout voir le visage de cette personne. Cela était devenu une obsession. Depuis le début de leur rencontre en fait. Il avait aperçu quelque chose qu’il avait déjà vue. Sa façon de se mouvoir pour se battre surement, il ne pouvait le dire clairement, mais il était sur qu’il avait raison de croire qu’il connaissait cette personne de près ou de loin. Toujours l’épée pointé devant, il fit juste un pas en avant:
-voir ton visage serait un véritable plaisir pour moi.
Il baissa son arme et c’est l’esprit encore embué qu’il avança encore en direction du dangereux personnage, conscient de ce qu’il risquait. Il était si près que sa propre dague caressait son torse dénudé. Il savait qu’elle pouvait la tuer en un seul mouvement, juste en appuyant sur le manche de la dague, d’un coup sec, lui perforant la cage thoracique. Mais c’était si excitant. Il s’approcha du visage de l’inconnu et fut assez près pour lui murmurer quelques mots à l’oreille.
-J’aimerai que ton visage meurtrier me soit dévoilé, mais je ne voudrait pas te violenter pour cela. Alors?
Il resta un moment dans la même position pas spécialement dans l’attente d’une réponse. Tout ses sens étaient tout de même en alerte pour sentir chaque mouvement et pouvoir esquiver une attaque, si il y en avait une. Michaëlis était toujours imprévisible dans cet état et se foutait royalement des reflexes d’un humain normalement composé qui se serai déjà enfui à toute jambe. Il n’avait pas respécté grand-chose dans sa vie à par les ordres de ses maîtres quand il était en service, mais là il ne devait rien à personne.
HRP: pas grave, on peut reprendre !!!
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Ven 4 Fév - 6:30
Sous son capuchon noir, attendant ce qui aurait pu être sa dernière sentence, Lady Cormyr orientait son regard opalescent vers le mur droit devant elle, seul objet encore concret et reposant au milieu de cette nuit effrayante. Ne se demandant pas plus ce qu'allait faire le meurtrier, c'était son problème mais plutot le comment échapper à cette oppression terrible, à ce cercle vicieux ou elle et son assaillant semblait toujours finir sur une même note funeste. Il semblait ne plus y avoir de sortie de secours, d’échappatoire ou de moyens pour notre statue effrayée de se frayer un chemin sauf pour sa survie en dépit de sa peau dure et de son organisme pure. Dans le brouillard absolue, ne quittant pas le mur de ses yeux brillants et humides la belle cherchait encore et toujours un moyen pour alléger ce sentiment pénible de dominé. Utiliser ses talents spéciaux montrait qu'elle était réellement faible mentalement, obéir et dévoiler son visage en faisant tomber le rideau signifierait la fin de l'acte et répliquer ou dialoguer... Pourquoi faire? Si le démon était en recherche constante de proie à éliminer rien ne garantirait qu'il l'écouterait et même parlerait avec la même honnêteté que la dame blanche. Elle cherchait, cherchait tandis que le poignard sanglant rencontrait la peau de l'homme et son épée purificatrice faisait de même sur sa cape noire, déchirant le tissus en rendant visible dans l'ombre des lieux les pans d'une jupe rouge vermillon. Il fallait réfléchir et vite! Le poignard rentrait dans la chaire du démon, souriait il? Le mur ne semblait ne rien vouloir laisser paraître lui... si noble et droit froid et lugubre...
La Cormyr soupirait longuement, sa respiration chaude embuait d'autant plus la vue, faisant briller l'air rafraîchissante de la nuit tandis que sa main porteur du poignard se laissait déporter doucement sur le coté droit de l'humain en y laissant une petite trace d'un rouge vif. Elle poursuivit son tracé jusqu'à trancher péniblement l'air derrière le corps marqué de sang, le corps noir embaumé et caché s'avançait contre celui à semi découvert, lentement dans un moment mélancolique emprunt d'une douceur maladive. Sa tête se posait doucement contre l'épaule du majordome, sa main gauche se posait sur le manche de l'épée imposant un bref moment de répit avant de reprendre de la partie. La main au poignard se cala gentillement contre le dos du jeune homme, au niveau de la partie charnue entre l'omoplate et la poitrine et durant ce simple instant, moment ou même ses ailes pliés derrière son dos n'osaient plus se mouvoir ni frémir, les yeux de la créature se fermèrent, dégustant un faible instant la pause, le répit qu'elle venait d'offrir au deux partis. Le capuchon voilant toujours bien ses yeux et ses cheveux pouvaient sans aucun mal être retirés... encore fallait il avoir la malsaine idée d'utiliser un tel moment emprunt de plénitude pour achever une envie aussi idiote que d'enlever un capuchon.
Un plan se manigançait sous son habit noir, agir et fuir avant de se faire définitivement dévoilé, et que lui arriverait il si le majordome la reconnaîtrait? Elle ne pouvait imaginer une telle chose, alors bon meme si son acte allait être office d'une certaine tricherie, il ne fallait en aucun cas se dévoiler... sauf si...
" votre requête n'est pas à la hauteur de vos actes, vous ne méritez rien de tel... encore un peu de patience..."
Le temps de maintenir de majordome dans ses bras elle fit apparaître une illusion bien plus claire et original, autours des deux protagonistes s'étendaient une dizaine de clones bien formés, tous conformes à la véritable ange rouge qui s'était doucement envolé d'entre les bras du majordome, laissant un autre clone prendre sa position. Elle recula, vérifiant si tout son plan concordait, du moins ça avait l'air, tous lui ressemblait et s'il en advenait au démon d'enlever la capuche à l'un de ses clones... un sourire apparut sous l'ombre de Jolene alors que ses talons raisonnèrent dans la rue tout comme ceux des illusions...
" Cherches moi, encore!"
La dizaine de clone levèrent alors le poing vers le majordome, faisant voir leur deux bras remplis d'électricité: les vrombissements, l'énergie électrique, les ombres et vêtements flottants... tout était bien réel... Comment allait il pouvoir se débrouiller pour trouver la véritable Cormyr en était tout autre chose alors qu'elle courait paisiblement vers la rue de la ville, là ou l'aube venait encore tout juste d'éclairer le ciel sombre de sa voie lactée et de ses gouttes de rosées. l'ombre de la nuit étouffaient les lueurs dorées du commencement de la journée, comme pour stopper le temps et la course d'une journée qui se voulait clair. Des gouttes de pluies apaisaient les cadavres jonchés contre le sol, elle refaisait exactement le meme chemin inverse qu'en revenant, montant sur les toits en surveillant les humains déjà levés à embaumer les corps des innocents dans la ville, une vraie boucherie! Dans son instar, Jol' se demandait quand est-ce qu'elle allait croiser les chevaliers de Lucina, au fond elle espérait bien les croiser avant que cette sainte soirée ne touche à sa fin et que le soleil ne pointe son bout du nez. Elle s'arrêtait un temps et observait le ciel, il restait a peu prêt trois bonnes heures avant que l'astre solaire ne pointe véritablement son bout du nez, donc trois heures avant que la fête au village ne s'arrête... encore fallait il qu'il n'y ait pas de panique ...
Sa tête se dirigeait instinctivement vers le lieux ou son illusion prenait doucement fin, des éclaircis azur se distinguaient dans le ciel, indice pour elle que cette illusion prenait fin et que le majordome avait été attaqué dûment. Il serait certainement blasé de savoir se battre contre une simple illusion et encore plus de savoir la vraie gazelle partie, cependant le jeu du chat et de la souris n'était pas encore finie, pas encore... alors que ses pas la menaient petit à petit vers la source de la ville, le coeur ou se dévoilaient spectacles, représentations et vente de batailles, le bruit des gens assourdissants et les odeurs digne d'un bon festin lui indiquèrent le bon chemin à prendre. Aussitot sur place, sans enlever sa capuche malgré le regard des gens insistant sur elle, Lady Cormyr avançait vers la grande place, se positionnant devant une fontaine à eau en forme de nymphe au vase, se penchait et s'abreuvait en plongeant ses mains blanches dans l'eau pour porter le liquide bienfaiteur à ses lèvres. Autours d'elle, histoire de rassurer la population elle libérait une vague de soin mentaux pour signaler sa présence non-hostile, elle passait ainsi inaperçu aux yeux de ses con-citoyens. Reniflant, reprenant le souffle un cours instant sans prendre meme la peine de se dissimuler à une foule endiablé par une musique de troubadours, elle guettait les environs de ses yeux d'aigle en attendant toujours avec la meme patience d'une lionne en chasse, l'arrivé de sa proie.
Michaëlis Kuso Umbrien
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Ven 4 Fév - 22:08
Le contact de la jeune femme tout contre lui troubla ses sens quelques secondes semblant reconnaître cette personne sans vraiment y mettre un visage, toujours l’épée en main, elle avait posé sa tête sur son épaule faisant glisser sa dague sur la peau immaculé du majordome, le faisant soupirer en sentant le léger tiraillement qu’avait provoqué cette blessure superficiel. La dague continua son chemin sur son dos lui faisait gouter à la fraîcheur de la lame un frisson presque douloureux le fit trembler. Il se sentait si vivant parmi les morts, si vivant de part cette douleur, s’en était quasi jouissif. Il aurait put à cet instant lui arracher cette capuche qui lui cachait son identité, mais il ne le fit pas, le jeu serait alors fini de plus il n’y voyait pas l’intérêt. On lui offrait une petite pause alors autant en profiter. Il sentait le souffle chaud de l’inconnue face à lui et la buée s’échapper d’entre ses lèvres, c’était presque agréable, mais de courte durée, ils allaient encore jouer. Les paroles de la créature au teint visiblement pâle, résonna dans l’esprit du majordome comme un nouveau défit. Était il le chat ou la souris ? Peut importe, il allait devoir s’atteler à la tâche. A peine son adversaire eut il le temps de finir sa phrase que des clones apparurent laissant quelques mots en suspend mettant Michaëlis en appétit. Tout les clones possédaient à bout de bras, de l’élèctricité, tous les mêmes. Mais le majordome se doutait qu’elle était assez intelligente pour s’en aller, mais on lui barrait la route. Sans plus réfléchir, l’épée entre les mains , il fit face à tous ses ennemies sans broncher, esquives, contre attaque et défense était de rigueur, tout cela paraissait si vrai et pourtant, les coups, les blessures, les coupures. Mais il était certain de l’absence de la jeune femme, et il ne s’y trompa pas.
Les clones disparurent comme ils étaient apparu le laissant sur sa faim, un gout amer dans la bouche, celle de la défaite, mais pas totale. Cela éveilla en lui une excitation du feu de dieu et en même temps, une colère sourde. Elle était redoutable et ne regrettait aucunement de l’avoir rencontré. Il se mit donc à la recherche… de sa proie ? Il n’en était même pas sur vue les surprises qu’il avait eut en cette nuit de tous les pêchers. Mais secrètement il l’espérait. Il partit tout d’abord dans un chemin qui fini en cul de sac, un peu blasé il retourna sur ses pas, peut être était elle allé au point de départ de toute cette histoire ? C’était une hypothèse à ne pas ignorer. Michaëlis grimpa sur les maisons, sauta de toit en toit, voyant la ville s’éveiller doucement mais surement, quelques goutes de pluies vinrent caresser son corps quelques peut endoloris et laver le sang qui le souillait. Une constations qui ne plus pas du tout au majordome à l’esprit dérangé, le jour allait bientôt se lever, et cela ne présageait rien de bon, il devait finir se petit jeu avant que le soleil ne prenne place. Il accéléra le pas, surprenant des passants de part sa tenue qui était bien précaire et sa façon de se déplacer. Une brise se leva le rafraîchissant quelque peu, car une chaleur presque insupportable avait envahi ses muscles. Le majordome s’arrêta quelques minutes, histoire de regarder autour de lui, recueillir quelques informations en écoutant les différentes conversations et il trouva ce qu’il cherchait se remettant en route sans perdre une seconde.
Il se retrouva sur une place, où la musique était présente, différentes odeurs venaient brouiller ses sens. Ce qui lui déplut particulièrement. Il n’aimait pas cela, du moins pas aujourd‘hui. une ombre attira son attention, c’était elle, pour sur, il ne pouvait pas se tromper, mais le lever du jour l’inquiétait, si il n’avait pas fini avant le lever du jour, tout ce jeu aurait été vint, il ne se retrouverai pas dans cet état avant un bon moment, peu importe, l’action valait mieux que tout les discours. Il était sur qu’elle guettait son arrivé, de plus il n’était pas passé inaperçu. L’avait elle déjà repéré ? Il n’espérait pas. Il marcha d’un pas lent vers une fontaine, au milieu de la place. Il comptait sur son regard perçant pour dissuader les regards interrogateurs et le sourire aux lèvres il alla vers la jeune femme.
-je t’ai trouvé, dit il pour lui-même.
Michaëlis s’approche de sa cible et arrivé près de celle-ci, il se précipita sur elle tenant sa lame, du moins celle qu’il avait récupéré, à bout de bras, dessinant de fine coupure sur le long vêtements noir. Sans vraiment tirer, il attrapa le capuchon se contentant d’approcher son visage près de l’oreille de la jeune femme:
-Il serait temps que tu te rende. Toi qui m’a fait me dépasser montre moi ton visage pour que je puisse te remercier comme il se doit.
En fait, il lui laissait le choix en quelque sorte, ne l’obligeant ni à enlever sa capuche, ni à se retirer. Ca serait moins amusant sinon. Mais il ne devait pas abuser, le temps allait lui manquer sinon. De ce fait, il se dit qu’à la prochaine tentative, il n’hésiterai pas à enlever cette capuche de force. Plus que trois heures, trois malheureuses heures avant le dénouement…
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Les citoyens de Lucina se morphondaient dans leur vie paisible, jouant, riant ils dansaient au rythme d'une musique au tempo endiablé. Les cris de joies se confondaient avec les larmes de joies et de terreurs certaines personnes de ce lieux avaient vraisemblablement perdu un proche durant la nuit, perdre sur le moment ou à tout jamais. L'ombre noire se camouflait dans la pénombre environnante essuyant d'un revers de main les gouttes cristallines qui lui étaient tombés sur les épaules, ses ongles blancs et propres griffèrent ce point sensible ou quelques minutes plutot une douleur cuisante lui avait permit de réfléchir au lieu d'agir sous le coups de l' impulsion. Une autre ombre passait prêt d'elle sournoise, assassine, celle qui horrifie les enfants le soir et alerte les mères les plus prévoyantes, c'était Lui. Sourcils froncés sous son humble vêtement noir, la Féline observait la foule qui diminuait au fur et à mesure que la pluie tombait, cette journée allait être plongée dans les tourments et l'apocalypse si le soleil ne se pointait pas au plus vite.
Le coeur battant à tout rompre, la respiration saccadée Jolene changeait l'orientation de sa tête pour rechercher d'autres éléments de cette place qui pourrait arrêter le tueur dans son élan: tel était le but de la Cormyr. Des gens se comptaient en cinquantaine, les stands de consommations par dizaines et celles des présents, armureries, verreries et autres par vingtaines. Il y avait deux moyens de sortir de ce lieu l'un par le nord en contournant le marchands de poissons pas frais et l'autre en sautant de toit en toit les dalles en pierres humides et glissantes étaient très bonne pour les courses rapides et les sauts et comme tout le monde le sait... l'eau est un très bon conducteur électrique il serait facile pour elle de faire un carnage! seulement il n'y avait qu'une seule proie et elle ne valait pas la peine que l'on tue une petite centaine d'homme pour alors elle prenait son mal en patience en humant, nez au vent, l'odeur exotique et forte de l'homme chasseur qui était dans un coin plutot proche d'elle.
Le premier contacte avec l'air, le timbre de sa voix l'excitait et la menait à un état presque incontrolable: comme tous les animaux, le timbre de la voix d'un individu influence sa façon d'être, son coeur ralentissait, ses muscles se détendirent et la fuite était maintenant inutile... qu'aurait elle été de plus? Sa douleur à l'épaule recommençait à la lancer tandis que ses plumes lourdes tombaient lentement contre les dalles sales de la ville, comme un chien dont la tête s'abaisse petit à petit en montrant sa soumission. La demande... montrer son visage... meme cela ne l'effrayait pas plus, fixant le vide et le brillant du sol humide la bouche a semi ouverte, crocs dénués a mordre l'air environnant essoufflée elle attendait le jugement... Elle n'avait plus d'épée mais avait encore ses points. Plus de fierté mais encore son audace. Plus de force ni de courage mais autant de panache et de volonté! Alors reprenant ses esprits elle se retournait, attrapant la lame de son épée dans un mouvement éclair tandis que le coin de sa capuche était toujours tenue entre les mains du majordome.
Un rayon, un dernier rayon de la lune passait doucement et lentement sur son visage ou la détermination pouvait très brièvement se lire dans son regard tandis qu'une mèche de ses cheveux d'un rouge sang lui passait devant le visage comme pour cacher en toute pudeur ses traits fins et célestes. Une seule seconde ou deux le rayon blanc s'échappait ensuite, la main de la Cormyr tenant l'épée se resserrait en étaux, son autre main attrapa le majordome à l'épaule, insistant ses ongles dans les clavicules juste un moment afin de le retirer d'une rêverie, d'un tourment par un moyen légèrement sadique pour préserver son attention ... Les Luciniens hurlaient de frayeurs maintenant, du sang il y en avait et à profusion, les dalles en étaient recouvertes tandis que les corps des innocents gisaient ici et là sanglotants dans cette marre incommensurable. Des os, ligaments et organes... des reins et poumons sortaient des corps putréfiés, l'odeur était nauséabonde et il faisait froid et c'était insupportable. Derrière l'ange rouge une petite garde de chevalier, quatre arrivaient au pas, fatigués de leur journée et de cette bataille... songe ou réalité? Il fait si froid et l'odeur est tellement ... est si... putride, nauséabonde! l'être encapuchonné envoie une décharge électrique dans l'arme, sous le coups de la surprise, l'épée est lachée et la personne disparaît dans une légère bourrasque de plumes rouges.
" Que se passe t il ici? Qui êtes vous? identifiez vous! mais vous n'êtes pas d'ici...! arrêtez le!"
" Votre seul remerciement sera de déserter ce lieu et de vous trouver un autre guide de pantin. créateur ou déchu... qu'importe vous allez mourir un jour, songez simplement à cette folie qui vous consume. J'ai aimé joué avec vous ce fut divertissant, adieux."
Les chevaliers Gardiens dégainent leurs épées sur leurs chevaux et les lancent au galop, les destriers bien qu'épuisés se lancent vers le majordome torse nu dans de grands râles intempestifs. Les roulements de leurs fers contre les dalles raisonnent à des lieux, les cadavres frémissent sous cette charge, les ossements et organes sautillent, le sang du sol éclabousse les environs. Déjà bien loin de cela, La jeune Cormyr, posée sur le toit d'une maison a dejà rangée son épée et soigne ses blessures aux mains en léchants avidement son sang bleu: son énergie du moment ne pouvait lui permettre d'user de la magie... non seulement elle aurait été repérée mais en plus d'autant plus d'énergie serait écoulée de son être: elle avait besoin de repos!
hrp: [ a toi de voir pour la suite soit on continue de suite, soit on se fait une suite après. Sachant que la confrerie est en "stand bye" en attendant que l'on ai finis notre "rencontre" ] et promis!!! si on fais une suite, d'une je répondrais plus rapidement et de deux, t'auras le droit de voir le visage de la "souris" (mp au besoin) ]
Michaëlis Kuso Umbrien
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Alors qu’il pensait tenir sa proie, alors qu’il était sur de l’abdication de la souris tout s’effondra autour de lui. Une seconde, juste une seconde d’inattention et la situation fut retourné. Une main se posa sur son épaule insistant sur sa clavicule faisant couler quelques gouttes de sang le long du bras dénudé du majordome. Une grimace de douleur se fit voir sur son visage, il lâcha son arme sous une légère décharge électrique. Le temps qu’il se retourne, un rayon blanc failli lui dévoiler ce qu’il avait cherche. Mais hélas la créature était bien trop habile pour se laisser avoir et avant même que le majordome ne distingue les traits de la jeune femme, elle avait déjà fait volt face. Du sang, des hurlements, des entrailles à profusion. Illusion ou réalité ? Il ne savait pas lui-même mais ce laissa aller à cette douce image. Le temps qu’il se retourne on lui parla mais il ne vit personne. Juste une pluie de plumes couleur carmin sur les dalles . Des gardes derrière lui lui sommait de se rendre alors qu’il réalisait sa défaite… Ses yeux passèrent des gardes aux toits, des toits aux gardes. Un long soupir se laissa entendre avant un cri inhumain ne déchire l’air. Une rage incontrôlable s’empara de son être.
Il avait perdu…
Les gardes derrières lui essayait de lui parler, mais rien ne parvenait à ses oreilles. Il était sourd à toutes les plaintes, aveugle à tout les signes. Sa respiration se fit laborieuse. Le soleil faisait son apparition, il commençait à fatiguer après cette nuit de folie, mais ne pouvait se résoudre à cette défaite. Il se leva d’une lenteur effrayante, les gardes l’avertirent une dernière fois tout en reculant par prudence, mais celle-ci ne fut pas récompensé. Michaëlis les fit voir la mort à main nue. Du sang maculait son torse dénudé, ses muscles bougeaient sans une once de grâce trop embrumé par sa défaite. Ca ne se pouvait pas. Ces cris déchirants avaient alerté d’autres gardes qui n’attendaient que les ordres pour l’abattre comme un vulgaire animal, mais il n’en eurent pas l’occasion . Il ne verrait pas le jour.
Michaëlis trainait dans la rue. Le soleil qui venait de faire son apparition semblait bruler son épiderme souillé par le sang. Il ne tenait plus sur ses jambes, ses paupières se fermaient toute seule, il s’appuyait contre les murs laissant des traces de son passage. Il chercha un endroit à l’ombre du soleil levant pour reposer son corps meurtri mais soigné de nombreuses fois par la jeune femme. Il n’avait même plus la force de se mettre en colère. Il trouva un endroit à sa convenance. Loin de tout avec un petit point d’eau où il ne se lava que sommairement avant de tomber sur le son totalement vidé.
-On se reverra, et cette fois… murmura-t-il avant de fermer les yeux.
Jolene Ladraël Barnes Lucinienne
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Un rayon, un doux rayon rouge de l'astre solaire venait de frapper la ville encore debout à fêter le Saint du jour, les troubadour s'arrêtèrent petit à petit, leur ventre bien remplis et les yeux lourds de sommeils pour aller rejoindre leurs appartements. Les villageois eux esquissèrent des courbettes devant les yeux des gardes attendris par autant d'amour, de joie et de festivités: Soleries fonctionnait normalement, rien de perturbant sur le moment, rien de mesquin, aucun mal dans les alentours si ce n'est ce cri étouffé par les troubadours et les cris de joies des Luciniens en fêtes! ça ne parait pas, mais les elfes ça fait énormément de bruits quand c'est content! Bref, la fête s'était très bien passé... Ils allaient prendre congé, laisser la place et les habitants rentrer dormir pour certains et pour d'autres, la journée et le travail ne faisaient que de commencer. Les charrettes, les boeufs chevaux et ânes étaient attelés les uns après les autres pendant qu'une ombre semblait se débattre contre un cauchemar... son cauchemar ou la réalité? Lorsque la place fut déserte, le long râle d'un homme essoufflé et mourant vint prendre place face au silence pesant du moment. Une tache bleu sur une main blanche disparaissait tandis qu'une autre, une illusion s'achevait, les corps de deux gardes de la cité de lucina vinrent être à découvert aux yeux de tous sans compter ce majordome là... ce démon, cet être effroyable qui venait d'assassiner deux pères de familles avec sa seule folie et hardiesse.
Préférant attendre la mort que de lui échapper, il s'enfuit, titubant de fatigue et de mélancolie tel une sombre pensé éphémère, un fantome du passé ne reconnaissant plus aucune traces, plus aucun fragment de se mémoire brisée. Il hante la ville de ses murs et se cache dans la pénombre croissante peut être dans l'espoir de retrouver un peu de réconfort. L'illusion qui l'avait maintenue sous pression avait été inhumaine, peu d'humain et même d'être vivant anormalement constitué se seraient échappé ou sortie vivant de cette dure épreuve, vous prenez la réalité et y ajouter un éléments du passé... puis du présent... vous faites de la bouillie avec la cervelle d'un homme pour le rendre votre merci et enfin, dans un dernier salut, confondez sa réalité avec la présente, la confusion est alors totale, un simple homme en serait sortit fou, un homme fou, serait mort... Ce majordome n'était PAS normal, cette aventure destinée à sauver des milliers de vies en était la preuve accablante: l'énergie dépensée pour créer cette illusion avait été phénoménale, la Cormyr se délectait de son propre sang en attendant de retrouver au moins un minimum d'énergie. Mais qu'était il? Un simple démon serait mort comme une vulgaire mouche! et un humain ... pire!
La place publique ou s'était déroulée les deux heures de batailles et de fanfaronneries était couverte d'une légère couche de rouge brillant, ce n'était pas du sang mais du vin... deux corps de gardes sur le sol ... une prédiction? non, il ne sert à rien de prédire si vous saviez pertinemment que personne ne sortirait d'une cage ou un deux hommes nus sont livrés à un lion affamé... ils n'étaient meme pas armés et avaient encore moins de destriers. Sa plaie arrêtait de couler et la peau blanche vint cicatriser la dernière chaire calciné tandis que ses yeux de lynx scrutèrent les pas et l'allure du majordome. Un reflet ténébreux sous les reflets rougeouillant du levant, il n'était qu'une âme destructrice sous une enveloppe charnel prêt à exploser à tout moment, et pourtant, il continuait, le dos voûté et la respiration lente à avancer pour échapper au luminescent comme une souris à un chat.
Ne sentant plus de danger, de gens dans les environs qu'il soit marchand, garde ou citoyen, la Jeune femme aux allures félines s'accordait un temps d'action dans le respect qu'elle devait pour cette personne. Ses talons glissèrent sur le toit ou le diable avait regardé plus tot sans rien déceler et avec une souplesse éloquente, son énergie déjà bien retrouvée, elle se réceptionnait sur les dalles rougies par le sang du "Christ". Des plumes? Pas les siennes en tout cas, ses ailes étaient de la magie pure, chaque plume recelaient un sentiment, une émotion envers chaque habitant du monde de Lucina et parmi elles, les plus grandes, larges et brillantes... ses maîtres. Encore une illusions qu'elle avait soumis pour faire preuve d'un peu de réalité et perdre le chat à son jeu... le chat ou le chien? La Cormyr arrivait à coté du majordome et le regardait de prêt, très prêt, une très courte distance séparait son corps debout du sien assis contre le sol, amoché, sanguinolent et dans un pieux état. L'homme avait une respiration sifflante quelque chose le gênait, son sommeil profond démontrait qu'il avait été surmené... mais ne l'est on pas lorsque nous avons rencontré la mort à maintes fois, l'avoir caresser du bout des doigts avant de lui avoir rit au nez?
Les mains de Lady Cormyr prirent les deux cotés de sa capuche alors qu'un sourire s'affichait sur son visage, le majordome dormait, il n'y avait pas de doute possible, elle en profita pour retirer sa capuche comme pour se moquer de ce dernier. Ses longs cheveux rouge flamboyant tombèrent sur ses épaules et même au sol tant ils étaient long, des bijoux sertis sur son front faisaient briller la pénombre d'une lumière bénéfique tandis qu'un petit pendentif tout aussi lumineux qu'un diamant ajoutait sa touche de pureté et de brillance à ce tableau trop émotionnel. Les yeux de la jeune femmes bien qu'amusés se plissèrent de joie, le sourire s'étirait doucement en posant un baiser humide sur le front du majordome, elle lui devait au moins cela...
" J'en ai la certitude Sire Kuzo... nous nous retrouverons! "
Toujours avec un sourire magnifique, la mystérieuse créature se leva, sans laisser le temps à l'homme le temps de respirer ou d'ouvrir les yeux. Le soleil se levait, plus de rouge, une belle lumière orangée et dorée parsemait les lieux et bannissait l'ombre, d'un geste vif, Jolene enlevait sa cape noire, la pliait en carré pour la placer sous le coude du "chat"... en tant que chienne, elle devrait lui accorder une vengeance meme si elle n'était pas équitable... Le temps de vérifier s'il dormait toujours en prenant son pouls et la voilà partie, les ailes étirés pour aller rejoindre son entre... il était temps de gagner un peu de repos après tout cela...
Serena Magami
Messages : 1113 Date d'inscription : 27/01/2010 Age : 30 Localisation : Ici, avec vous ;p
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé] Mer 9 Fév - 16:00
Un rp bien sanglant à souhait et un jeu du chat et de la souris qu'on ne demande qu'à voir continuer ^^ J'ai bien envie de lire votre prochaine rencontre ^^
Michaelis Kuso : 11 xp Jolene Ladrael Barnes : 11 xp
EDIT BY ADMIN : Xps donnés !
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Sujet: Re: Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé]
Sleepless night [PV Jolène Ladraël Barnes. [Terminé]