La terre ferme [Terminé]

"Au revoir...
-Non. Adieu, en quittant ces lieux, tu es banis Darius, comme ton père avant toi. La famille Nemamiah connait à présent une nouvelle honte.
-Tu regrettera amèrement tes paroles un jour grand conseiller Gorlias, je reviendrais avec mon père et un homme digne.
-Un tel homme n'existe plus, ils sont éteints. Adieu Darius, bannis des cités volantes..."

La fin de cette conversation peu gaie résonnait encore dans la tête de Darius. Ses ailes grandioses s'étaient déployées de tout leur splendeur pour quitter la cité volante sous le regard triste de la foule qui s'était assemblée pour faire leurs adieux; il y avait là sa mère, ses amis et le conseil. Darius ne laissait rien paraitre sur son beaux visage, elle avait attendu trop longtemps, qui savait ce qu'était devenu son père. Cela faisait maintenant plusieurs années que son père avait lui aussi quitté la cité, pour retrouver l'honneur de la famille Nemamiah et son titre de conseiller. Autre fois les hommes et les êtres des cieux vivaient ensemble, mais les hommes avaient perdu leur éclat d'autre fois, et les anges les avaient quittés, les laissant seuls face à leur propre décadence. Le père de Darius ne voulais pas abandonner les hommes de la terre et tentait à maintes reprises de convaincre le conseil d'entendre la raison et de retourner vers les hommes. Cependant le conseil ne voulait pas écouter, et à force de persévérance, le père de Darius a perdu son titre de conseillé. Vivant dans la honte, le général a décidé de quitter le ciel pour trouver un homme digne, et prouver que les hommes pouvaient être bons de nouveau. En quittant la cité, son père fut bannis, une nouvelle honte pour la famille Nemamiah. Après y avoir réfléchit longuement, Darius s'est décidée de suivre son père, de le retrouver.
Empoignant ses glaives et son bouclier rond, elle avait laissé ses quelques amis et compagnons derrière elle. Darius savait qu'un jour elle les revirait, et ce malgré la parole de ce vieux conseiller Gorlias. L'amure en acier forgé de l'ange brillait dans le soleil tandis qu'elle traversait à grand coup d'ailes les nuages denses; ses cheveux longs flottaient sur les courants d'airs puissants. Voler, c'était l'ultime plaisir, se sentir aussi libre était quelque chose que seul les anges pouvaient connaitre et c'était un don précieux. C'est à ce moment là que la femme lui était apparue, et lui avait parlé d'une guerre terrible qui se jouait entre les trois mondes.
Son père participait-il à ces batailles? Était-il mort? Blessé? Une fois la brume dissipée, Darius a plongé encore plus vite vers la terre, ses ailes le long de son corps de déesse pour gagner de la vitesse; telle une météorite elle fonçait vers le sol. Sous son regard perçant, elle voyait une plaine immense et o combien verte. Plusieurs villages se dessinait petit à petit, laissant voir des bergers allant à leurs troupeaux, ou des paysannes qui lavaient leurs linges dans quelque ruisseau. La belle créature ailée s'est dirigée vers l'un de ces villages, esperant trouver quelqu'un qui puisse lui éclairer sur tout ce qui se passait dans ces trois mondes. Elle a atterris sur la place principale du village, ou se trouvaient plusieurs gens aux airs braves. En atterrissant ses grandes ailes puissantes ont soulevées une vague de poussière et de feuilles, elle se tenais debout fièrement dans son armure qui laissait deviner ses formes délicieuses. Assis sur un banc, deux vieillards endormis ne l'avait même pas entendus atterrir. non loin un enfant qui jouait dans un tas de feuilles s'est arrêté subitement pour courir vers un arbre et de s'y cacher. Darius la regardé avec un sourire aux lèvres.

*même si les hommes sont parfois cruels, ils ne pourrions jamais enlevé à un enfant doux son innocence*

Elle s'est approchée des vieillards, seules personnes à part l'enfant sur la place, les autres plus jeunes devait être occupées à des taches fatigantes... Elle a alors parlé franchement et suffisamment fort pour éveiller les deux dormeurs.

"Bonjour messieurs!"

Sa voix douce avait suffit à les tirer de leurs siestes respectives, et ils ont sursauté simultanément. Leurs visages ridés ont comme rajeunis un instant en voyant la belle demoiselle en armure, ses ailes repliées et ses plumes argentées. Elle a sourit en les voyant, le peuple des cieux avait toujours eu un effet positif sur l'entourage et l'ambiance. Avant qu'ils ne puissent parler elle a poursuivi;

"Je viens du ciel, à la recherche d'un de mes semblables. L'avez vous vu?
-Vous etes un ange? Vous venez du ciel?"

Répondre à une question par une question, mais une question à laquelle on avait déjà répondu, voilà ce qui était amusant.

"Oui mes amis, je...
-Vous ressemblez drôlement à celui qui est arrivé il y a longtemps de cela, je n'étais qu'un enfant! Tu te rappels Dorian? Comme il était fort celui là!"
-C'est surement mon père! Il est encore ici?
-Non non ma petite dame, il est parti presque aussi tôt. Toi tu va nous aider quand même non?
-Il me faut aller le retrouver au plus vite, pourquoi auriez vous besoin de moi? Dans quelle direction est il parti?
-Vers la cité de Lacustre... Il y a des bandits qui nous attaquent incessamment, des pillards venus d'umbra comme des vrais diables! Si seulement j'étais plus jeune, je les aurait montrés moi!"

C'est vrai qu'il avait l'air très menacent avec sa canne... Darius continuait à sourire.

"Je veux bien vous aider... Dites moi tout..."

{HRP: Voilà; alors je pense que l'on peu précéder de la manière suivante, (ordre de poste ci dessous si vous voulez bien)
Meujette-> Tu controles les villagois et les bandits
Natael-> tu fais parti de la bande de bandits (comme tu veux enfaite)
Saladin-> de passage dans le région à la recherche de recrutes? Smile

Mais c'est des idées, moi je vous impose rien libre à vous!! bon rp tout le monde!}

Natael venait de sortir de sous terre et avait atteri dans la plaine qu'il venait de quitter...ou pas. Elle lui semblait plus verte, plus plate, plus lumieuse. Il regarda attantivement autour de lui et comprit qu'il était sorti dans un autre endroit que celui par lequel il était arrivé: Il manquait les cadavres des Saleskos. Il s'assit donc là et réflechit:
*Si je ne suis pas sur Harmonia ( Oui, il a finalement obtenu ses renseignements), je ne suis pas non plus sur Umbra, alors je suis... Oh zut! Je suis sur Lucina!Bon, on va quand même essayer de trouver un village pour confirmer ça et surtout le moyen de rentrer chez moi, ou au moins sur Harmonia.*
Il se leva et commença à avancer, attentif à ne pas se faire voir par les autochtones. Au bout d'environ une demi-heure, il s'arrêta: une bande de petits êtres gris venait vers lui.
Il pivota sur lui-même, cherchant un moyen de fuir ou de se cacher: il n'y avait que de l'herbe à perte de vue. Il tira donc sa lame et s'élança sur les Galopins, voulant les tuer avant qu'ils n'appellent des renforts. Quand il arrvia au contact, les humanoïdes avait déjà sorti leurs armes et était prêts à se défendre. Il commença à se battre, la longueur de sa claymore lui donnant un avantage certain, et chacun de ses coups touchait un monstre. Cette fois, il réussit à ne pas bousiller ses vêtements et s'en sortit indemne une dizaine de minute plus tard:
*Ils étaient plus résistants que les gros rats d'Harmonia*
Puis Natael reprit sa route, souhaitant mettre le maximum de distance entre lui et les cadavres, de peur que l'on ait entendu les bruits du combat.
Quelques demi-heures plus tard, il arriva en vue d'un campement. Méfiant tout d'abord, il reconnut les tissus de facture Umbrienne et se dirigea vers les tentes dressées là. Il aborda une sentinelle qui lui indiqua la tente du chef et, pour la remercier de sa "gentillesse", l'égorga par derrière d'un coup de dague. Il emporta le corps avec lui loin du camp et récupéra la hache du mort pour parfaire son déguisement. Il repartit vers le campement et surprit une conversation entre deux hommes qui lui apprit la raisonde la présence des Umbriens içi, à Lucina: c'était une bande de pillards! Il allait rebrousser chemin lorsqu'un homme, apparement un haut placé dans la hiérarchie, l'interpella. Il dut donc se retourner et écouter l'homme qui lui demanda de rejoindre son poste avant l'attaque de la cité qui se trouvait plus loin. Il retournait guetter lorsqu'un groupe de trois hommes arriva, essouflés.
Ils firent leur rapport et, finalement, les bandits commencèrent à marcher sur le village pour s'arrêter à quelques mêtres de la porte.Ils mangèrent là et passèrent à l'attaque.

{HRP: Si quelque chose ne va pas avec les bandits, vous me Mp}

Ils étaient enfin là, voilà deux jours qu'il les pistaient. Leurs traces avaient conduis Saladin jusqu'ici, cette bande de pillards étaient à prendre au sérieux, non pas pour leur capacité au combat, mais pour leur nombre. Une trentaine, certes ce n'était pas beaucoup pour lui, mais un seul homme pouvait toujours faire la différence. Ceux qui vaient le plus à souffrir c'était encore les pauvres villageois, sans défense. Si, ils avaient une défense, caché dans les hautes herbes de la plaine verdoyante. Saladin attendait là le bon moment, dès qu'il verrait une occasion, il attaquerait. Mais pour comprendre ceci, petit retour en arrière...ces quelques brigands étaient tombés sur lui par surprise, alors qu'il se tapait une sieste au brod d'un cours d'eau il y avait deux jours de ça. Les hommes l'avaient encerclés, puis après lui avoir piqué tout ce qu'il avait de fortune s'en étaient allés. Au final, l'Harmonien s'était retrouvé avec ses bottes, son pantalon et sa ceinture, tout le reste avait été jugé ayant de la valeur. Même dans son malheur, l'Harmonien s'était estimé chanceux, d'une part parcequ'il ne se retrouvait pas en caleçon, et d'autre part parcequ'il savait qu'il n'aurait pas de mal à faire la peau à tout ces hommes pour récupérer ses affaires.

* Vous n'avez pas été si simple à suivre...je tiens ma chance...*

En effet, ces deux jours de traque ne furent pas de tout repos, Saladin avait dut se concentrer sur chaque trace de pas, chaque brindille écrasée, chaque plante piétinée. Parfois il trouvait un objet oublié sur la route par ces pillards, du genre couteau deb asse facture. Le plus utile et indispensable restait les feux de camps, ces voyous en faisait deux par jour, un le midi et un le soir, et se déplaçait le matin et l'après-midi. A toucher les braises, l'Harmonien, selon la chaleur du foyer pouvait savoir depuis quand les brigands étaient partis. Et en ce début d'après midi là ils les avaient enfin retrouvés là. A environ deux-cent mètres d'un petit village qu'apparemment ils comptaient attaquer. Il ne voulait pas vori de villageois mourir, et en plus il voulait récupérer ses affaires, les brigands risquait vraiment d'en voir de toutes les couleurs.

* C'est le moment...*

Les brigands se déplaçaient désormais, toute leur troupe faisait marche vers le village à une allure assez rapide. Saladin en profita pour sortir des hautes herbes et se faufiler en vitesse dans leur campement. Ne faisant preuve d'aucune discretion, il tomba sur un garde qui, comme son nom l'indiquait, gardait le camp en l'absence de ses compagnons. Vu la tête du brigand, il devait reconnaitre en Saladin le pauvre type qu'ils avaient détroussés deux jours plus tôt. Il commença à venir vers lui.

- Tu viens récupérer tes affaires...pauvre minable...
- Minable, c'est méchant ça, allez soit un bon garçon et montre moi où sont mes affaires.
- Sinon quoi ?
- Sinon j'incendie la totalité de votre campement...la toile de tente brule plutôt bien.

Le misérable voleur s'approcha de Saladin, une hachette à la main, se moquant ouvertement de lui avec un bon rire gras. l'Harmonien haussa simplement des épaules, si les gens le prenaient parfois un peu plus au sérieux il n'aurait pas à recourir à ses pouvoirs aussi souvent. Il prit une certaine expression avec son visage, un peu comme cherchant à dire qu'il était désolé, et tendit soudainement sa paume devant lui. Une boule de feu frappa violemment le brigand en plein ventre. Le choc le osuleva de terre et le fit s'écrouler sur une tente. Puis l'Harmonien enchaina les attaques, envoyant des boules de feux un peu partotu dans le campement. Tel qu'il l'avait dit, il était entrain de transformer cette instalation de brigand en véritable brasier.

* Avec ça...ils ne devraient pas tarder à revenir...*

En effet, les flammes étaien tdéjà hautes, les tentes brulaient particulièrement bien. Les brigands en chemin pour attaquer le village était certaines de ne pas rater le spectacle, leur campement en feu. Saladin se mit à courir un peu partout à travers cette fournaise, ne craignant ni les flammes ni la chaleur, cherchant ses affaires avec empressement.

Invité

Spoiler:

« Chef, chef ! »

Un homme de taille moyenne courait à toute allure vers une tente assez grande et bien animée. La lune venait de montrer le bout de son nez tendit que le soleil lui allait se coucher bien tranquillement. L’homme entra en trombe dans la tente. Il y avait 3 hommes qui se tenaient debout en armure au-dessus d’une table et semblait discuter stratégie. Mais il faisait trop sombre pour les distingués.

« Que veux dire cette intrusion ! Et puis je t’ai déjà dit de m’appelle général pauvre andouille ! »

« Mais Ch… euh mon général.)

« Et quoi ? T’as été élever avec les porcs ? Tu ne connais pas le salut devant tes supérieures ! »

L’homme s’exécuta en faisant une petite grimace puis repris de plus belle et gesticulais dans tout les sens.

« Quelque chose viens de tomber du ciel, il a atterrit dans le village. Mais ce n’est pas tout ! On n’a retrouvé plusieurs hommes à nous… Mort mon Général. »

« Bien ! Pour les hommes morts, c’est leur faute, il n’avait cas mieux se défendre. Ensuite se soir nous raseront le village et en profiteront pour voir de quoi il s’agissait. Bien donné l’ordre aux hommes de pilier, de violer et de tuer comme ils ne l’ont jamais fait carte blanche pour tous le monde se soir. Colonel Aléandro vous prendrez la cavalerie, Capitaine Ricardo vous prendrez les archées et les épéistes, quand à moi je m’occuperais de l’arme de siège. Rompez ! Et que les esprits déchus vous garde. »

« HA OU »

Dans un mouvement collectif les 3 hommes se firent un salut militaire et sortirent de la tente. Le temps était parfait pour la petite surprise qu’il avait prévu. Le vent était en sa faveur et il faisant assez sombre et claire en même temps pour avancer sans se faire repérer. Alors que chacun des gradés partait vers le village avec sa formation respectif, deux hommes était resté pour garder le campement.

« Bien. Archées ! A mon signal. ! »

« Cavalerie, formation triangulaire. »

« Armée moi la catapulte sur la porte, prêt, tirer ! »

D’un coup le Général abaissa sa main, une pierre énorme s’envola et éclata la porte d’entrer. Ricardo lui abaissa sa main aussi et une pluie de flèche nocturne (donc pas visible) s’abattit vers le village, le vent qui soufflait violemment portaient les flèches bien plus loin que d’ordinaire. Dans un mouvement collectif Cavaliers, épéistes et gradé foncèrent vers le village. Alors que tous semblaient bien se dérouler le Général qui était resté loin de tous près de son arme de siège, fut attiré par une odeur de brûler. C’était son campement qui brûlait, ni une ni deux il sauta sur son cheval et fonça vers celui-ci accompagné de 2 hommes. Il arriva rapidement au camp, un homme était la debout.

"Qui es-tu?"

Spoiler:

...Quelques heures avant l'attaque...

"Donc vous êtes Darius, un ange venu des cieux pour retrouver votre père?
-Pour l'unième fois cher monsieur, oui."

Darius gardait le sourire face au capitaine de la garde fraîchement élu, son prédécesseur étant mort face aux griffes de l'ennemi. Ce n'étais pas un guerrier très accomplis, mais avec le temps, peut être il pourrait se montrer digne des grands généraux. Cependant pour cela il lui fallait du temps et Darius ne pouvait pas être certaine de combien de temps il leurs restait. La garde du village avait été réduit à une quinzaine de gardes plus ou moins expérimentés au combat, et ce n'était pas les quelques villageois qui allaient se battre efficacement face aux hordes d'umbra.
Ils se trouvaient devant la porte d'entrée du village. L'ensemble des bâtiments était entouré d'une muraille peu haute et peu entretenue et le bois de la porte était vieux et usé par le temps. La porte donnait sur la route principale du village, elle était étroite et des hautes maisons entassées se dressaient des deux côtés.
Le capitaine de la garde a hoché sa tête, finalement, il semblait avoir compris l'ange. Il n'était pas très grand, et ses armes et son armure étaient abîmés. Seul sa moustache, où il y avait plus de poils que de la barbe, semblait être entretenue. Darius se demandait comment ils avaient pu tenir jusqu'à présent. La cité Lacustre était elle si lointaine et si faible qu'elle ne pouvait se permettre de défendre ses paysans d'avantage?

"Bien Darius Nemamiah, je suis content de votre arrivée inattendue, je suis le capitaine Juan. Vous avez l'air d'une guerrière accomplie, et j'espère que ce n'est pas qu'une apparence trompeuse, car j'ai du mal à croire qu'une créature aussi belle pourrait être aussi dangereuse...

-La rose est belle, mais gare à ses épines l'ami. Qu'en est il de vous assaillants? Quel est leur nombre?

-Je l'ignore, mais ils ont de la cavalerie, de l'infanterie et un grand engin de siège. Ce sont là des informations chers payés par nos quelques éclaireurs, partis à dix, ils sont revenus à cinq et ce malgré leurs talents de dissimulation...

-Je vois. Ils attaqueront sûrement dans les prochaines heures, lorsque le pénombre tombera. J'ai une idée capitaine Juan, un plan pour tenter de défaire ces pillards.

Oui j'imagine bien cher madame, mais c'est moi qui donne les ordres ici..."

Il a pris Darius par le bras pour qu'ils s'écartent de la vue des autres gardes attentifs à la conversation. A présent, Juan parlait à voix basse à l'ange.

"Je ne peux pas laisser le peu d'autorité qu'il me reste m'échapper Darius, sinon les hommes partiront aussitôt et il s'en est fini du village.

-Oui, veuillez m'excuser. Quelques conseils peut être?

-Conseils et non ordres madame Nemamiah.

-Bien entendu capitaine Juan... Alors..."

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Une fois les discussions terminées, Darius s'était élevée très haut dans le ciel, de manière à profiter des quelques heures qui restaient de la journée. Elle ne pouvait être vue d'un simple coup d'oeil à une altitude si élevée, mais ses yeux d'ange s'ajustaient pour voir quelques détails importants. Les brigands étaient plus que de simples brigands, ils étaient une force d'attaque organisée, une bonne cavalerie et une infanterie nombreuse et variée. Darius se laissait porter par les vents pendant quelques temps, laissant son esprit se reposer pour les combats qui allaient débuter prochainement. Ses glaives et son bouclier étaient prêts et ses sens en éveil. Elle allait quitter le ciel qui tombait peu a peu sous les draps de la nuit lorsque le camp ennemi s'est enflammée subitement. Avaient-ils un alliée? Elle l’espérait ardemment, leur cause était juste, mais manquait d'espoir. Elle avait senti que son arrivée avait fait remonter le morale des quelques gardes tourmentés, ainsi Darius était porteuse d'espoir, un nouveau espoir pour les hommes dans ces heures sombres.
Elle a plongé vers le village alors que les brigands étaient sur le point d'attaquer le village. Elle a juste eu le temps d'entrer par une fenêtre tandis qu'une volée de flèches s'est abattue telle une pluie torride sur les maisons du village. Au même moment, la porte s'est envolée en échardes tandis qu'un projectile immense jeté par l'engin de siège l'as traversé nette. La prote détruite, dans une fracas de sabots et de cris de guerre, une quinzaine d'umbriens portés par leurs chevaux noirs ont fait erruption dans le village suivi de près par une petite troupe d'infanterie. Les attaquants étaient là, mais où étaient les défenseurs!? Il n'y avait personne derrière la porte, la route principale était déserte. Le village ne faisait pas de bruit, hormis les battants restants de la porte d'entrée détruite, qui grinçait péniblement sous le souffle du vent. En tête de colonne, un umbrien s'agité plus que les autres, visiblement mécontent de ne pas trouver d'adversaire.

"Mais où sont-ils colonel Aléandro?
-Silence vermine! J'ai dit silence!

Le colonel Aléandro ne pouvait pas savoir que le capitaine Juan avait suivi les "conseils" de Darius à la lettre. Dissimulés dans les hautes maisons sombres, ils avait réussi à éviter les flèches nocturnes. A présent tous les gardes à l'exception de trois d'entre eux visaient à l'aide de leurs arbalètes à carreaux pointus les troupes umbriennes. Juan se tenait prêt lui aussi, un couteau à la main et un bout de tissu trempé d’alcool dans ses mains moites. Une fois la colonne de troupes avancée suffisamment sur la route étroite, le jeune capitaine s'est mis à couper une corde qui faisait tenir deux tas de sacs de farine dans les premières maisons du village. Alors que les sacs venait subitement de s'éclater parterre, et la poussière blanche s'était dispersée dans les bâtiments et au même moment, le bout de tissu s'est enflammé par une allumette et fut jeté dans la farine volatile. Une détonation assourdissant s'est fait entendre tandis que la farine s'est transformé en explosif improvisé. Les deux maisons ont explosé et se sont effondrées simultanément sur les troupes umbriennes qui entraient dans le village, les écrasant sous un tas de pierres éclatées. C'était là le signal. Depuis les fenêtres des maisons, les tireurs embusqués du village ont fait feu et trois éclaireurs dissimulés par un camouflage bien fait ont attaqués les umbriens qui gardaient l'engin de siège, les tuants à l'aide de dagues pointues. Les carreaux mortels ont tués une dizaine d'umbriens sur le coup. Juan s'est senti emporté par un élan de stupéfaction, pouvaient-ils espérer remporter la victoire?
Cependant, le colonel Aléandro a vite repris le dessus des forces umbriennes en déroute et a donné l'ordre d'entrer dans les maisons aussitôt. C'est alors que plusieurs flashs aveuglantes ont jais dans la nuit et alors Darius a surgi depuis le ciel pour tomber sur la tête de colonne avec cinq gardes du village.

*Bravo Juan, maintenant c'est à moi de faire ma part dignement.*

Le colonnel Aléandro était grand, et malgré une blessure de carreau à l'épaule, il restait menacent et imposant sur son destrier sinistre. Sa lance était enflammée et deux cornes pointues et arrondies se dressaient depuis le casque étrange de l'umbrien terrible. Une boule de feu est apparue au creux de sa main griffue pour s'envoler et frapper de plein fouet un garde du village. Ses vêtements se sont enflammés et il s'est jeté au sol frénétiquement pour tenter d'éteindre les flammes oranges qui brûlaient sa chaire. Darius a bondi en avant faisant mouvoir ses ailes férocement pour éteindre le feu. Le vent levé par les ailes puissantes de l'ange ont suffit pour stopper le feu, mais le colonel ne s'était pas arrêté la et bientôt les toits de trois maisons étaient en proie aux flammes qui semblaient venir tout droit des enfers.
Cependant Darius donnait du courage aux quatre gardes qui l'avait suivie. Elle a bondit en avant une nouvelle fois, se tenant en l'air avec ses ailes pour attaquer à l'aide de ses glaives argentées le félon Aléandro.

La terre ferme [Terminé] Blood_knight

Natael entendit d'abord le claquement d'une dizaine de cordes d'arc, puis le bruit caractéristique d'une catapulte suivi de l'effondrement de la porte.
La cavelerie s'engouffra dans le village, et il dut suivre avec les fantassins qui chargeaient.
Arrivé dans la cité, il comprit que quelque chose n'allait pas quand il vit la rue déserte. Il profita du désordre causé par une explosion dans les troupes des pillards pour s'esquiver.
*Voila, maintenant je vais pouvoir aller piller un peu tranquilement, et ensuite je rentrerais sur Harmonia.*
Il commença à se balader dans les rues à la périphérie du village, fouillant les habitations pour trouver de l'argent et des objets utiles. Dans une boutique, il vola une corde:
*Comme ça, je pourrais passer par le souterrain*
Il vola également pas mal de monnaie qu'il stocka dans son sac à coté de la corde. N'entendant plus de bruit de combat, il se dit que les bandits avaient gagnés et qu'ils étaient en train de piller les maisons. Il retourna donc vers l'avenue centrale et fut surpris lorsqu'il vit les cadavres d'épéistes et d'archer bloquant la porte.
Dissimulé dans l'ombre d'une ruelle, il vit un ange descendre du ciel avec cinq gardes pour atterir devant le terrifiant Aléandro.
*Elle ne va quand même pas essayer de le vaincre?*
Mais son attention fut détournée du combat par des cris provenant de la maison à côté de lui. Craignant que les hommes restants le repère, il entra dans la maison et vit un soldat essayer de violer une jeune femme. Il tira sa dague et interpella le mécréant:
"Hé toi! Viens là! Tu voles, d'accord, mais tu ne violes pas!"
Le soldat se retourna, énervé par l'intervention de Natael. Il attrapa sa hache et son pantalon, et attaqua son interrupteur. Natael fit un pas de coté et plongea sa lame dans le corps du violeur potentiel. N'accordant aucune attention à la femme apeurée et étalée sur le sol, il essuya son arme sur les vêtements du mort et sortit pour voir si les gardes et l'ange étaient morts.
Il eut la surprise de voir que quatre des gardes étaient encore en vie, ainsi que la demoiselle qui s'était alliée au villageois. Il fit le tour de la maison pour essayer de partir, mais tomba sur Ricardo et ses hommes qui, après avoir éliminé les arbalètriers, tentaient de prendre à revers les adversaires du chef des cavaliers. Natael jura et se dissimula tant bien que mal sous un porche proche. Une fois qu'ils furent partis, il sortit dans la ruelle et observa le Capitaine.
*Ils vont surement prendre l'ange et les gardes par derrière... Ce qui leur donnerait la victoire à coup sûr...Je sais ce que je vais faire!*
Il suivit les pillards et cassa une fenêtre. Le bruit attira les mercenaires, qui apercevirent Natael monter l'escalier dans la maison. Le capitaine divisa ses hommes et continua avec presque tout ses soldats. Les trois autres entrèrent dans l'habitation, sur les traces de Nat'.
Pendant ce temps, à l'étage, Natael avait trouvé un gros meuble en poids. Il le positionna en haut des marches et, lorsque les trois tueurs arrivèrent, il le poussa sur eux. Deux d'entre eux périrent sous le poids du meuble, le troisième l'évita et monta vers Natael, l'épée au point. L'espace étant trop exigü pour sa hache ou sa claymore, il tira sa dague, prêt à se battre. L' homme créa un nuage noir et le lança sur Natael, qui l'évita de justesse. Le nuage entailla le mur derrière lui.
En voyant l'effet de cette attaque, Natael invoqua son gobelin.
*Puisqu'il utilise la magie, je ne vais pas m'en priver*
"Gobelin, positionne-toi derrière la porte et dès que je l'aurais coincé là-bas, attaque-le"
Le gobelin obéit et Natael se retourna juste à temps: l'homme était devant lui, la hache levée. Il roula sur le sol et courut jusqu'au mur d'en face, le soldat sur ses talons. Alors qu'il était acculé, il cria:
"Maintenant!"
Le gobelin jaillit et planta son épée dans le dos du soldat. Alors qu'il pivotait, Natael lui trancha la gorge. Il sauta de la fenêtre alors due l'invocation disparaissait, se rattrapa sur l'auvent d'une boutique et s'élança à la suite de Ricardo.
Il les rattrapa alors qu'ils atteignaient une position favorable à leur plan et les attira loin des lieux du combat.
"Alors capitaine, on ne peut rien faire sans sa garde?"

{HRP: je ne sais pas mettre d'image, désolé}

Spoiler:

Ah, que ça faisait du bien de sentir ses vêtements sur sa peau, voir son long manteau de cuir voler au vent et briller à la lueur de flammes. Il se sentait tout de suite mieux avec son bô accroché dans le dos ainsi que son sabre bien à sa place à sa ceinture. Tout brulait autour de lui, mais rien n'était encore fini, les brigands avaient attaqué le village. Saladin n'avait pas fait de cette attaque une simple affaire personnelle, il devait aller aider les citoyens. Il courut donc pour quitter le camp, mais fut bientôt stopper quand il vit arriver vers lui trois hommes. Il n'en reconnu pas un seul, mais deux d'entre eux étaient sans nul doute des voleurs. Le troisième avait plus de classe, portant une armure qui aurait put être rutilante et brillante si l'usure de la guerre, la poussière et le temps n'avait pas terni son éclat. C'est ce troisième homme qui inquiétait l'Harmonien, les deux autres n'étaient pas à craindre mais lui...

* Il a la gueule du chef...une tenue plus correcte que ses hommes...et un oeil à l'air bien plus intelligent que ses subordonnés...méfions nous...*

Ce chef des brigands, si c'est bien cela qu'il était, n'hésita pas une seconde à s'adresser à Saladin. Il lui demanda bien évidemment qui il était, et en de pareilels circonstances, se faire passer pour le balayeur n'était pas une très bonne idée. L'Harmonien décida donc de la jouer franc jeu, et pointa l'index de sa main droite vers les trois hommes tandis que sa main gauche serra le manche de son sabre.

- Descendez donc de vos chevaux...vous me faîtes mal à la nuque à devoir lever les yeux pour vous toiser.

Les trois hommes s'executèrent, non pas à cause de la petite réplique de l'Harmonien, mais sûrement parcequ'ils avaient l'intention depuis le début de retourner au sol et de rosser de coups cet étranger se baladant au milieu de leur campement en flamme. Saladin n'afficha d'ailleurs pas la moidnre expression de satisfaction, se méfiant d'autant plus de ce qui allait arriver. Au delà du bruit provoqué par les flammes, il put entendre le son du carnage, on se battait en ville et sûrement de vigoureuse façon.

- Si vous n'y voyez pas d'inconvénients j'aimerais que vous me laissiez passer, j'ai des brigands à tuer en ville...après avoir brulé leur camp il faut bien que je finisse le travail.

Se doutant bien que cette dernière réplique allait sûrement provoqué une rixe, Saladin lacha le manche de son sabre et détacha son baton. Cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas manié, mais après tout les habitudes revenaient vite. Il le fit tournoyé devant et autour de lui pour finalement prendre une posture agressive, prêt à attaquer aussi bien qu'à se défendre.

Spoiler:

Invité

Aléandro

Le fier aléandro se tenait assis sur son destrier, un petit sourire était visible sur son visage. Les batiments qu'il avait brulé commencaient à atteindre les autres demeures.
Si personne ne faisait rien le village ne serait bientot plus que cendres et souvenir. Très calmement l'homme aux cornes de bélier se penchat vers l'avant.

"C'est toi que je doit remercier pour avoir tué autant de mes hommes? Tu doit te demander pourquoi je te dit ca? Et bien grace à toi j'aurais moins de part à faire! ha ha"

L'homme se mit à rien comme si il discutait avec des amies à lui. Puis il se stoppa net et son visage changea totalement, il avait pris un airs sadique et meutrié.

"Vous savez c'est quoi mon fantasme durant une telle bataille? Me baigner dans le sang bien chaud de mes victimes et le top c'est que tu sera mon premier ange, n'est ce pas une journée génial? Rhaa sentez moi ca!"

D'un coup il leva sa main gauche près de son nez paume vers le ciel et il referma son poing, deux colonnes de flamme sortirent du sol et emprissonèrent les deux hommes les plus prés.
Des cries de douleur et une odeur plus que horrible venait de se répandre dans les airs.

"Haaaa! Quoi de mieux qu'une douce mélodie et une senteur de barbecul, durant une si belle nuit. Venez me chercher pauvre minable!"

Les deux hommes restant, surement prit de peur, foncèrent sur Aléandro arme à la main, la fidèle monture du colonel se cabra, les hommes surpris s'arretèrent. L'homme aux cornes de bélier en profita et planta sa lance
de feu dans la poitrine de l'un des gardes, tandis que le cheval écrasa la tête de l'autre avec ses sabots en retombant.

"Bien! Il ne reste plus que toi. Prouve moi ta valeur ou je te promet une souffrance plus que terrible."

Malgré les flammes aux alentours, de la fumé s'échappait à chaque exiparation du colonel et de sa monture. L'ange allait menez le combat de sa vie.

"Je me présente quand même, Aléandro l'egorgeur de pucelles"

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Ricardo

Spoiler:

Alors que le capitaine Ricardo dirigait ses hommes pour prendre les adversaires de Aléandro par dérrier ( pas d'allusion douteuse XD), un homme se planta devant lui, il semblait faire parti
de ses propres hommes, mais celui-ci s'adressa à lui avec beaucoup d'impertinence. Les hommes présent voulurent attrapa le brigant rebelle mais Ricardo leva les mains pour les arreter.

"Ne bougez pas! Tu as une sacré paire de couilles mon gars, Défier ton capitaine devant tous le monde et durant une bataille. Dans ma jeune époque on m'appelait Ricardo "relámpago" tu vas comprendre assez rapidement pourquoi, mais Dit moi ton nom"

D'un coup le capitaine retira son par-dessus rouge et laissa découvrire son corps meurtri de blessures et de cicatrice. Des éclair crépitait autour de lui, il sourait et devisagait son ennemi avec
ses yeux mauve écarlate. Enfin un ennemi à sa taille? Il l'éspèrait tant. Il dégaina ensuie son épée Kazeshini et ordonna aux hommes d'aller aidez Aléandro ou de continu à piller.

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Général

Le général fixait l'homme qui était devant lui. Il osait faire le prétencieu et donner des ordres alors qu'il était en position de faiblesse. Le général ennemi sourit descendit de son cheval, comme
l'avait demandé l'inconnu, celui-ci avait bien joué son coup. Une fois les trois brigands au sol, ils ne purent s'empechés de rire, cet homme leur demandait simplement et purement de le laissé passer.

"tu es bien arrogant! Bien, je pense que je vais bien m'amuser. Vous deux tué le."

Le général claqua des doights, les deux soldat obéir sans poser.

¤Bien testons tes capacités.¤

Il ne fallut pas longtemps à l'inconnu pour maitrisser les deux hommes, sous le regard attentif du chef. Une fois fini celui-ci croca son cou et se créea un bouclier, une lègére pluie s'en suivi.
L'ancien campemen était maintenant devenu son terrain de jeu. Partout ou l'inconnu poserait ses pieds, il serait en danger.

"JE suis le général Rodolph! Je ne sais pas pourquoi tu te méle de tous sa, mais Prépare toi à mourir inconnu, dommage j'aurais bien voulu écrire ton nom sur ta tombe par simple respect."

Spoiler:

Darius a regardé avec horreur tandis que le feu s'est propagé de maison en maison, les foyers brûlaient ardemment. Les flammes oranges étaient d'une chaleur incroyable, et le bois des murs les alimentaient aisément. Les gardes se faisaient tués avec une facilité déconcertante. Des carreaux d'arbalète volaient de partout cependant tandis que les gardes dans les maisons tenaient dignement leurs positions. A présent la rue principale était encombrée de cadavres des umbriens qui avaient tentés de prendre le village d'assaut. Les troupes restants avaient réussi à forcer certaines des portes et l'on se battait à l'intérieur des maisons désormais.
Le capitaine Juan avait retrouvé une partie de ses hommes et combattait avec ferveur une unité de soldats ennemis à l'aide de sa rapière. Au corps à corps dans les maisons étroites du village, les umbriens perdaient leur avantage du nombre. Les gardiens du village pouvait tenir tête. Juan a crié tandis que sa lame ensanglantée a tranché un nouveau ennemi. Ayant tué le dernier des ces adversaires dans la maison, il s'est précipité dans une autre maison, suivi de près par quelques uns de ses hommes vaillants. Ainsi ils ont minimisé les pertes et ont pu tenir leurs positions. Ayant affronté les derniers soldats de l'infanterie dans la rue principale, Juan a cru à la victoire, ce n'est que quelques instants après qu'un goût amer est venu remplacer celui de la victoire; il a senti l'odeur de fumé. Alors qu'ils luttaient contre les hordes d'umbra ils n'avaient pas remarqué les flammes grandissantes qui risquaient de consumer le village entier. Les archers umbriens se trouvaient toujours à l'extérieur du village et ce n'étais qu'une question de temps avant que ces derniers ne se demandent s'ils devaient prendre à leur tour l'assaut du village en proie aux flammes. Les hommes qui pouvaient se battre se comptaient sur une main. La victoire était loin d'être obtenue finalement. Juan a scruté par la fenêtre, où était Darius? Il en aurait bien besoin des conseils de l'ange en ce moment même. Tant pis il allait devoir agir pour le mieux et défendre le village. Il a envoyé l'un de ses hommes blessé chercher quelques paysans du village, ils ne pouvaient pas lutter contre les soldats, mais ils pouvaient lutter contre les flammes, c'étaient leurs maisons après tout! Ensuite le capitaine de la garde a donné l'ordre à ses trois hommes restants de surveiller l'entrée du village dévastée par les maisons explosées. Quant à lui, il est passé par la porte d'entrée pour aller dans la rue principale. Il a enjambé les nombreuses cadavres et les flacs de sang, il y avait des bruits de bataille non loin, plus près de l'origine des flammes... Il y courait franchement.

La lance puissante du général Aléandro venait de percer le coeur de l'un des gardes vaillants tandis que le destrier terrible du colonel a piétiné un autre. Darius senti une larme couler le long de sa joue, cependant son regard est resté froid, la bataille elle en avait l'habitude. Ce colonel semblait venir des enfers, sa voix était dure et sans aucun sentiment outre celui de la haine. Elle allait devoir l'affronter et sans faillir, sans quoi le village était perdu. Alors qu'elle se croyait seule, elle voyait se déplacer des ombres entre les maisons, munis de seaux d'eau, voilà déjà une partie du problème réglé. Darius a tiré sa bouclier depuis son dos pour se protéger contre la lance enflammée du colonel. Elle a bondis dans les airs, ses ailes puissantes battaient à pleine régime, ainsi en hauteur elle pouvait tournoyer autour d'Aléandro et frapper a coup de glaive son adversaire. L'idée était bonne mais peut être pas assez. Le général a sourit méchamment et a levé sa main, une boule de feu a jais et a volé droit vers l'ange qui prenait son envole. Le projectile enflammé aurait sévèrement brûlé Darius si elle n'avait pas eu la réflexe de lever son bouclier pour bloquer l'attaque de feu. Le coup a percuté l'acier forgé solide dans une explosion de flammes et la jeune femme ailée est tombée au revers sous la puissance de l'attaque. Cependant elle s'est vite redressée non sans les ricanements d'Aléandro.

"Tu voudrais défendre un village la pucelle? Ha mais dites moi, comment comptes tu t'y prendre? Tu ne tiennes même pas debout."

Darius était déjà dans les airs pourtant et a bondis sur un toit et a donné un puissant coup de talon dans l'une des poutres qui tenait les nombreuses ardoises posées sur le toit en place. Sous l'impact du coup, le poutre c'est brisé et l'ensemble des ardoises est tombé droit sur le colonel, mais avant, Darius s'était empressée de bondir sur le toit d’en face pour faire la même chose, prenant ainsi le colonel sur les deux fronts. Ce dernier ricané moins quand son destrier a cabré une nouvelle fois. Darius n'as pas hésité a trancher le gorge du grand cheval puissant. Un jet de sang sombre a surgi de la blessure mortelle et la grande bête s'est effondrée à terre pour se vider rapidement de son sang. Le colonel s'est dégagé des ardoises avec une colonne de flammes, la geste enragée de ce dernier a suffit pour témoigner de la rage qui consumait l'homme aux cornes de bouc.
Darius souriait, contente d'elle même.

"Sale petite peste, je vais te tuer! Non mieux, je vais te ravager et te trancher la gorge!"

Darius a volé droit sur le colonel avant que ce dernier ne puisse envoyer de boule de feu, et elle a plantée l'une de ses glaives dans l'épaule d'Aléandro. Ce dernier a crié de douleur avant de tomber à terre sous le coup de l'impact. L'ange a repris son envol et a disparue dans la fumée tournoyante des maisons enflammées. Aléandro s'est levé et a retiré la lame aiguisée restée plantée dans son épaule. Dans une geste de rage il a balancé la glaive dans le ciel enfumé. Il ne pouvait pas voir Darius rattraper l'arme avec une facilité déconcertante. Ses ailes puissantes battaient à peine, mais elle ne pouvait pas rester dans la fumée trop longtemps, l'air devenait vite irrespirable. L'ange regardait tandis que Aléandro envoyait des projectiles enflammées de partout dans le ciel sombre, sans toucher quelque chose, Darius continuait à tourner dans la fumée discrètement, elle ne vit que trop tard le capitaine Juan.
Surgit de nulle part, Juan a profité de ce moment de manque d'attention de la part d'Aléandro pour l'attaquer, et il y a réussi, en plantant fièrement sa rapière dans le dos du colonel. Aléandro a crié de douleur avant de se retourner précipitamment et d'attraper le cou de Juan. Le beau visage du jeune capitaine s'est enflammé, les flammes oranges ont surgis depuis les mains puissantes du colonel umbrien pour détruire la face capitaine vaillant.
Darius a volé droit vers la terre ferme pour donner un coup de pied à l'horizontal, droit dans le visage crispé d'Aléandro. Le colonel s'est retrouvé de nouveau dans les airs, volant tel un fusée droit vers le sol, lâchant sa prise mortelle sur le valeureux Juan. L'ange a attrapé le capitaine de la garde avant que ce dernier ne tombe à terre avec ses mains douces. Bercé par l'ange, le capitaine Juan a tenté de parler, laissant des petits gémissements sortir depuis sa bouche mutilée à jamais. Darius ne pouvait rien faire, le visage de Juan était dévasté et ensanglanté, ses voix respiratoires bouchées. Il est mort dans les bras angéliques de Darius qui lui a murmuré a ce qui lui restait d'oreille;

"Tout va bien, le village est sauvé, grâce à son vaillant capitaine"

Darius a vu la lumière vivante quitter les yeux de Juan, et l'a posé doucement à terre. Elle a regardé là où le colonel devait être, et c'est la qu'une boule de feu a surgi. Elle était mal ajustée, surement dû aux blessures lourdes qu'avait été infligés à Aléandro, mais le projectile enflammé a frappé de plein fouet le bras gauche de Darius. Elle a crié de douleur tandis qu'une brûlure grandissante a fait apparition sur sa peau douce. Aleandro riait encore, mais alors que ses ricanements retentissaient, une gorgée de sang est venue l’arrêter subitement, et il a commencé a tousser ses entrailles. Le coup porté par Juan avait été profond, et Darius a levé son bouclier une nouvelle fois, avec sa glaive ensanglanté dans l'autre main. Ce village n'allait pas tomber aujourd'hui, elle ne cesserait pas de combattre...

Natael ne savait pas trop pourquoi il avait interpellé le capitaine Ricardo de cette façon, surtout que l'ange était une Lucinienne, une ennemie. Mais maintenant il était là et il devait se battre contre lui, alors autant se donner à fond!
Le capitaine commençait à se déshabiller: peut-être voulait-il l'impressioner comme ça?
Mais il s'arrêta à son pardessus rouge. Natael pouvait apercevoir les multiples marques de son corps, stigmates de ses anciennes batailles sans doute.
Natael fut surpris lorsque des éclairs commencèrent à courir sur les muscles de Ricardo. Il avait chassé ses hommes, ce qui laissait une chance à Natael de survivre si il le battait, ce qui n'était vraiment pas sûr vu la puissance que son adversaire dégageait.
Le capitaine, armé d'un sourire et de son sabre, fit dégager les derniers soldats qui avaient voulu rester et dévisagea Natael de ses yeux mauves. Natael sortit sa claymore et se mit en garde, prêt à se battre de toute ses forces.
Le capitaine se jeta sur Nat', sabre en avant, et lui assena un coup puissant à la tête destiné à le décapiter. Natael para le coup avec son arme mais son bras le tortura soudainement. Il se dégagea et comprit que Ricardo avait fait circuler les éclairs parcourant son corps jusqu'à son bras par l'intermédiaire de son katana et de la claymore de Natael.
Le capitaine souriait. Natael ne pouvait pas l'attaquer sans se prendre une décharge, et il le savait.
Tout en esquivant les coups de sabres de plus en plus difficilement, Nat' se mit à réfléchir à un moyen de vaincre Ricardo sans se faire tuer ou électrocuter.
*Alors, si je l'attaque, je me fais griller, et si je bloque, je me fais griller aussi. J'y pense!Si je l'attaque à deux endroits diférents en même temps, j'aurai peut-être une chance de le blesser!*
Natael se mit en sureté pour changer d'arme et prit sa hache dans la main droite, sa dague dans la gauche et retourna dans le combat.
Le capitaine observa le changement fait par Natael avec un sourire.
Natael se jeta sur lui. Il enchainait les coups qu'il arrêtait à quelques centimètres de la lame de son ennemi. Apercevant enfin une ouverture, il y plaça un coup de hache et dans le même mouvement porta une attaque au bras du capitaine. Il para la hache mais la dague s'enfonça de plusieurs centimètres dans son bras. Mais alors qu'il pensait avoir réussi, une décharge plus puissante que la précédente lui fit lacher ses armes. Il battit en retraite, le corps tourmenté par le pouvoir de cet homme.
Natael dut donc réfléchir à une nouvelle stratégie tout en tirant son arme, ce qui n'était pas évident quand un tueur veux vous brancher sur un courant de mode dont il était le chef.
*Bon ca ne marche pas. Je suppose qu'avec trois attaque ca triplera la douleur...A part lui lancer ma dague; mais il faut que je la ramasse...*
Natael était de plus en plus fatigué, et le capitaine le poussait vers le fond de l'impasse, ce qui n'arrangeait pas ses affaires.
*La seule solution pour le blesser serait que je le touche,mais indirectement..*
Natael était à présent bloqué contre le mur, et Ricardo s'appretait à lui porter un coup fatal, lorsque Nat' trouva la solution: une partie de la terrasse d'une des maisons environnantes était fragile et les poutres de soutènement étaient pourries par l'humidité.Il invoqua son gobelin pour faire diversion, et profitant de l'attaque de son allié sur la pile humaine qui lui faisait face, il put se replacer dans la ruelle et ramassa ses armes, lachées un peu plus tôt. La foudre tomba soudain juste à coté de lui. Nat' se retourna et vit le capitaine, sourire aux lèvres, s'avancer. Natael cala sa dague dans une des poutres grâce à une corde déjà en place et bougea au moment où le deuxième éclair s'abattait dans la rue. La dague agit comme un paratonnere et la foudre fut redirigée sur la poutre. La puissance de l'attaque était telle que le bois fut pulvérisé et la terrasse s'abattit sur l'arrogant homme-foudre. La poussière empêchant de voir quoi que ce soit, Natael crut pendant un instant que ca y était, il avait vaincu ce monstre, mais les débris lui arrivèrent en morceaux au visage. Le nuage dissipé laissait voir le Capitaine, blessé malgré tout, dressé au milieu des planches découpées du balcon.
*Il controle aussi le vent?*
Et le combat reprit de plus belle.
Natael avait de plus en plus de mal à éviter les attaques du puissant Ricardo et ne savait toujours pas comment faire pour ne pas être touché par la foudre. Il avait toujours sa dague et sa hache avec lui et, pensant à un moyen de les utiliser comme paratonnerre, ne vit pas venir le coup. Il fut obligé de bloquer avec sa lame et subit pour la troisième fois une décharge électrique. En se remettant en garde, il ressentit une différence de poids dans son arme. Sachant que ce n'était pas possible, il ne comprenait pas pourquoi il avait plus de mal à la soulever....A moins que, peut-être, il pouvait le paralyser grâce à ses éclairs...
Doutant de plus en plus de sa survie, Natael se souvint d'un détail qu'il n'avait pas jugé utile quand ca s'était produit.
*Quand sa foudre à frappée ma dague, j'ai cru voir que seul la lame était illuminée. Ce serait donc sa puissance et non mon paratonnerre qui aurait détruit la poutre? Oui mais quand je l'ai attaqué avec, j'ai pourtant été touché par sa magie. Mais oui! Je touchais la garde de ma main à cet instant, à cause de la puissance demandée pour toucher profondément!!Alors maintenant que je sais comment le battre, il n'y a plus qu'à comprendre pourquoi. Mais ca, on verra plus tard? Pour l'instant, à l'assaut!*
Natael lacha sa claymore et tira sa dague de sa ceinture. Puis il se jeta sur le capitaine qui, peut habitué à ces situations, hérita quand même de quelques blessures légères, Natael ne voulant pas se faire électrocuter si sa théorie était fausse. Les deux combattants mettaient toute leurs forces dans ce duel, car chacun d'eux savait que seul le gagnant survivrait. Les coups s'enchainaient de plus en plus vite et étaient de plus en plus brouillon: malgré leurs ardeur, ils étaient de plus en plus fatigués; le combat durait depuis une bonne demi-heue et aucun des deux adversaires n'avait pris l'avantage.
Soudain, un coup plus puissant que les autres fit trembler Natael: le Capitaine avait trouvé une faille et s'y était jeté. Mais l'épée de Ricardo s'était arrêté à quelques centimètres de son cou. La dague de Natael était en effet pointé sur le coup de l'homme-révèrbère. La situation semblait figée mais Ricardo n'avait pas remarqué le gobelin qui prenait position dans son dos, invoqué par Nat' il y a quelques minutes...

Les trois brigands avaient mis le pied à terre, et leur étrange chef donna l'ordre aux deux sous fifres d'aller tuer l'Harmonien. Saladin ne se démonta pas, sentant que ces deux là ne lui poserait pas le moindre problème...il rêgla d'ailleurs le sort de ces deux là avec quelques coups de batons bien placés, et n'usa même pas de ses pouvoirs. Mieux valait pour lui en garder sous le coude, le chef des brigands était assez énigmatique, et avait sûrement profité de ce petit affrontement contre les deux hommes pour pouvori jauger l'Harmonien. Mais Saladin n'avait rien laissé transparaitre de sa force exact, ni de l'étendue de ses pouvoirs. Pourtant, le brigand ne se démonta pas vers lui...l'Harmonien put sentir une variation magique autour de son adversaire, ainsi le chef de ces voyous avait des pouvoirs. La pluie se mit à tomber, produisant sur les flammes du camp calciné d'horribles crépitements. Bientôt, le feu dans sa totalité serait éteint. Saladin se tint sur ses gardes tandis que l'homme se présenta enfin, Rodolph donc...un général, titre qu'il s'était sûrement lui même donné. Aux yeux de l'Harmonien cet homme là n'était qu'un simple leader d'un minable groupe de voleurs et de criminels. La réplique aurait put en désarçonné certains, mais l'Harmonien ne se démonta pas.

- Amusante cette idée de tombe, je comptais pourtant mourir bien plus tard...je suis désolé mais si tu tiens tant que ça à me tuer, je vais devoir mettre fin à tes jours...et en ce qui me concerne, tu n'auras pas de tombes...te laisser pourrir ici sera suffisant pour toi, allons y !

Sans crier gare, l'Harmonien se déplaça à grande vitesse vers le général, tenant son baton à une extremité, et arrivé à la hauteur de ce dernier il lui asséna un violent coup. Mais son arme dont le coup aurait sonner facilement un carnivore décharné rencontra un puissant obstacle invisible avant d'être repoussé en arrière. Saladin ne réagit pas tout de suite, et Rodolph en profita. Il tira une longue épée à deux mains de son fourreau et donna un grand coup vers l'Harmonien...coup qui aurait très bien put priver Saladin d'une partie de son abdomen si il n'avait pas contré le coup avec son baton. L'Harmonien recula de quelques mètres en effectuant des petits sauts...avant de se concentrer à nouveau vers son adversaire. La situation s'avérait plus problématique, le général était d'une tout autre trempe, et si il n'y avait jamais été confronté, Saladin savait que le pouvoir du bouclier était une défense plus que redoutable. Rodolph n'avait pas bougé, tenant sa longue épée d'une seule main, témoignant de la force que lebougre devait avoir dans les bras. Il fit un petit sourire vicieux et ft un simple geste de la main. Saladin ne comprit pas ce qui lui arrivait, une sorte de pic venait de sortir du sol et lui perforer la cuisse gauche, mais très légèrement seulement. L'Harmonien ne s'était pas complètement fait empaler la jambe grace à un bête reflexe qui le poussa à sauter sur le coté lorsqu'il sentit le douleur. Le général se mit à rire lorsqu'un autre pic sorti du sol, encore une fois esquivé par l'Harmonien. Puis ce fut une courte mais malgré tout longue série de pics, cherchant à chaque fois à tuer l'Harmonien, Saladin esquivait à chaque fois, examinant le sol à chaque fois qu'il y posait le pied...il se rendit comtpe d'une chose, les pics ne sortait pas du sol, mais des flaques d'eau.

- Tu ne sais plus où poser le pied n'est-ce pas ?

L'attaque des pics de flote sortant des flaques d'eau il fallait y penser. L'Harmonien leva les yeux au ciel et vit que les gros nuages n'étaient pas prêts de cesser de pleuvoir, pour ce qui était de leur terrai nde combat, il serait bientôt détrempé...bref une arène de jeu à l'avantage de Rodolph, puisque sans conteste cet homme maitrisait l'eau et la glace. Si il continuait ainsi, Saladin ne donnait pas cher de sa peau, si cet enfoiré utilisait ses pouvoirs alors il devait en faire de même. Il y avait tout de même un soucis, contrôlant l'eau, Rodolph avait le dessus sur le feu de l'Harmonien, en revanche il y avait un élément qui allait lui être très utile. Il restait encore le problème du bouclier. Mais le général ne laissa pas plus de temps à l'Harmonien pour réfléchir, et sous ses yeux, Rodolph se liquéfia lentement, disparaissant dans une flaque d'eau. Quelle était la suite du plan ? Saladin ne bougea pas d'un centimètre, essayant de sentir la présence de l'adversaire...mais ce fut inutile. Dans un grand bruit d'eau, le général sa métérialisa juste derrière l'Harmonien et lui asséna un violent coup d'épée. Saladin ne put faire grand chose, si ce n'est se décaler, subir l'attaque lui entaillant méchamment le dos, et porter une contre attaque faible qui buta contre le boucleir magique du brigand.

* Merde...*

Rodolph sentant qu'il avait le dessus enchaina les attaques, frappant avec vitesse et précision, Saladin affaiblie par sa récente blessure ne fit que reculer, il encaissa d'autres plaies moins sérieuses, car Rodolph s'amusait à faire sortir de nouveau pics du sol tandis qu'il attaquait lui même l'Harmonien. La survie de Saladin n'était actuellement due qu'à ses réflexes, sa vitesse et son expérience...mais quoiqu'il en soit il était dans une très mauvaise posture. Un coup de pied du général le cueillit au ventre et le projeta sur les restes fumant d'une tente. L'Harmonien atteri lourdement au sol tandis que le rire de Rodolph se fit entendre sur la zone de combat. Ce rire avait quelque chose d'inssuportable, quelque chose de très repoussant. Ce rie énerva plus que de raison l'Harmonien, qui se releva lentement, son corps était zébré de fins éclairs, glissant sur lui comme de fins serpents.

- Vas-tu te taire un jour...prépares-toi à te battre !
- Mon pauvre Harmonien, tu es dans un sale état, et tu penses encore pouvoir me battre...ici je suis avantagé, l'eau est ma source d'attaque, et ma défense est impénétrable...je vais encore m'amuser un peu avec toi et te rêgler ton compte.
- Dans ce cas, je vais attaquer avec une telle vitesse que tu en seras pas en mesure de contrer, si rapidement que ta défense sera brisée !
- Pauvre idiot, comme si tu pouvais...

Rodolph se tut lorsqu'il vit l'Harmonien disparaitre sous ses yeux et réapparaitre juste devant lui, frappant avec son baton. Puis ile le vit apparaitre sur le coté, frappant encore une fois, puis sur l'autre coté, puis dessus, derrière et finalement par tout les angles. Saladin canalysait en lui toute la vitesse que lui offrait la foudre pour frapper à une vitesse phénoménale, faisant pleuvoir un véirtable déluge de coup sur le bouclier de Rodolph. Ce dernier pouvait sentir chaque coup enfoncer de plus en plus sa défense, la force des coups de l'Harmonien étant multiplié avec la vitesse déployée. Chaque impact sur le boucleir devint couteux en énergie pour le général qui devait redoubler d'effort pour maintenir sa défense. Il ne pouvait pas non plus contre attaquer, n'ayant pas la moindre idée de où se trouvait l'Harmonien, la seule chose qu'il pouvait sentir, c'était les coups porter sur sa défense. Le brigand, paniqua un seul instant, lorsque la vitesse des coups fut si grande qu'il eu l'impression d'un véritable grondement autoru de lui plus qu'une succesion de coup. Cette seconde lui fut fatal, sa défense se brisa, et Saladin s'y introduisit aussitôt. L'Harmonien avait chargé entre ses mains une boule d'air qu'il lança sur la général, la boule se transforma en une véritable lame de vent. Cette attaque en plus d'entailler très sévèrement le brigand le souleva dans les airs et le fit s'écraser avec violence une vingtaine de mètres plus loin dans ce qui restait d'une charette calcinée.

La pluie cessa, Saladin se tenait debout, seul, plutôt essouflé. Le combat avait été rude, mais il avait gagné...il ne restait plus maintenant qu'à achever ce fumier. L'Harmonien s'avança donc vers la charette, lentement car il avait laissé dans cet assaut une belle quantité d'énergie. Lorsqu'il y arriva, ce qu'il vit lui fit froncer les sourcils...Rodolph n'était pas là, mais ses empreintes dans la boue témoignaient de deux choses. La première, c'est qu'il pouvait encore marcher, avec difficulté lui aussi, les traces de pas étant celle de quelqu'un trainant un peu la patte. L'autre chose, c'était que le général se rendait en ville. Saladin décida le poursuivre...mais il fit quelques pas et tomba à genoux au sol. Trop d'efforts, voilà le soucis...une pause le temps de soigner ses plaies et de reprendre son souffle, et il irait poursuivre le brigand en ville.

- On en a pas encore fini...enflure...

Invité

Spoiler:

Alors que le Général Rodolph avait mené la plupart du combat son adversaire l’avait surpris avec une attaque rapide et puissante le mettant dans un sale pétrin, mais malgré tout il avait réussi à s’échapper et foncer vers le village. Sa jambe le faisait souffrir énormément et le ralentissait, si bien qu’il décida de se crée une paire d’ailes, sa lui permettrait d’arriver plus vite au village et d’avoir une vue d’ensemble sur le combat. Une fois sur place une monter de colère l’envahit son armée avait été presque entièrement mise en déroute. Mais rodolph était de ses personnes qui avaient toujours un plan de secours. Du ciel, il chercha ses deux meilleurs hommes, il les trouva rapidement, Ricardo se battait contre un homme et un gobelin, celui-ci était en mauvaise posture, d’ailleurs le Général ne pu que contempler sa mort. Le gobelin venait de l’embrocher par derrière et l’humain par l’avant mais celui-ci lui avait laisse un cadeau, il avait empaler sa dague dans le bras droit de l’homme et avait balancé une décharge électrique, rendant son bras cassis inerte.

« Sois ! Où est Aléandro»

Rodolph ne mit pas longtemps à trouver son colonel qui lui aussi était en mauvaise posture. Il semblait être vaincu et on pouvais voir la mort porté sa faux au tour de son cou. Le général ne perdit pas de temps il fonça vers lui et l’attrapa en vol, ensuite il atterrit sur le toit d’un maison et regardait Aléandro d’un coup il lui tranchât la gorge, lui coupa une jambe et fit un échange avec la sienne, l’opération fut très douloureuse mais nécessaire. Une fois fini il pris un morceau de doigt et retira toute les chaires pour ne garder d’un morceau d’os. Il regardait maintenant l’ange avec un sourire sadique. Il lança le bout d’os vers elle et ensuite claqua des doigt tout les morts ennemie et allié se relevait maintenant, plus de 45 mort vivant était debout. Ainsi que Ricardo et Yuan. La bataille ne faisait que commencer.

Spoiler:

Les flammes commençaient à perdre de leur vigueur face aux jets d'eaux des villageois ardents; ils refusaient de baisser les bras. Darius sentait que le plus dur restait à faire et pourtant son adversaire semblait vaincu. Elle avait eu de la chance, il fallait le reconnaître. Dans les décombres de la maison où avait disparu le colonel féroce, un ombre est apparu avec une vitesse surhumaine. L'ange a senti son corps frisonner, rien n'allait s'arranger pour le moment. Elle a bondi dans les airs, faisant battre ses ailes puissantes, pour gagner de l'hauteur et voir ce qui se passait.
Alors que ses belles plumes l’amenait plus haut dans le ciel désormais orageux, elle a vu l'ombre qui se tenais sur le toit d'une des maisons épargnée par les flammes. C'était un spectacle sanglant. Dans une main l'homme sinistre tenait le corps du colonel Aléandro égorgé tandis que de l'autre il arrachait d'un coup puissant la jambe du colonel cornu. L'ombre a poursuivi ses actes de nécromancien en coupant sa propre jambe, visiblement blessée. La geste fut accomplie rapidement et sans gène. L'ange ne pouvait pas en croire ses yeux. L'ombre a tiré un peu de fil a coudre depuis l'une de ses poches, et armé d'une aiguille, a commencé à s'attacher le membre ensanglanté à son corps. Les points de couture étaient précis et exécutés d'une main non-tremblante. Le travail n'as pas duré plus de quelques minutes, et en moins d'un rien, l'ombre se tenait debout sans gène. Il souriait, visiblement heureux ou complètement fou. Il crispait ses poings et riait à gueule béante tel un animal enragé.

"Où sont passés mes hommes? OU SONT ILS? HA HA HA"

C'est alors que le cour naturel des choses a oublié l'ordre naturel. Ainsi ce qui était mort a retrouvé la vie. Un vent froid s'est mis a soufflé et un puissant coup de tonnerre a fracassé le ciel. Partout dans le village les morts se levaient doucement avec des rictus horribles sur leurs visages. Beaucoup d'entre eux étaient mutilés, boiteux et ensanglantés. Une odeur horrible s'est dégagé depuis les cadavres ambulants tandis qu'ils se ruaient dans le village. Le nécromancien se tenais sur le toit encore, et riait de plus en plus fort. Il avait réussi à inverser la bataille, retrouvant des forces dans les dépouilles du combat.
Darius regardait avec horreur tandis que les morts vivants commençaient à se tourner vers les villageois, visiblement ils avaient faims de chair fraîche. L'ange devait défendre les villageois avant tout, car sans eux, il n'y avait plus de village. Elle ne s'est pas attardé sur le personnage étrange qui avait su affronter la mort et l'ange a donné un coup d'aile puissant pour se laisser chuter vers la terre ferme non loin des villageois. Il y avait femmes, enfants et vieillards, et tous luttaient contre les quelques foyers de flammes qu'il y avait encore. Les morts vivants étaient sur le point de les atteindre quand l'ange a surgi depuis la fumée pour atterrir a pied joints sur la crâne de l'une des cadavres ambulantes. Le poids plus la vitesse de l'ange était suffisant pour réduire l'os déjà fragilisé en bouillis pour chien. Darius a fait un alto avant de tomber sur ses pieds agiles et de faire frémir ses grandes ailes. Les villageois se sont regroupés derrière les belles plumes de la guerrière ailée qui s'était donnais comme mission de les protéger. Dans une main elle tenait une glaive brillante et dans l'autre son bouclier rond, son beau visage abordé une expression de détermination et de courage sans faille. Une quinzaine de morts vivants se sont jetés sur l'ange.
Darius a bloqué un puis deux coups lents avant de contrer à son tour. Sa lame aiguisée a eu raison de deux morts vivants, tranchants vivement les chairs mortes des zombies. La blessure que le colonel avait infligé brûlait encore lorsque la belle Darius maniait son bouclier, mais elle a serré ses dents et a enfoncer fermement son bouclier dans le visage désormais défiguré d'un autre des morts vivants. Darius a bondis en arrière tout en criant aux villageois;

"vite! Allez vous cacher dans les champs et les forêts, il y a ici des pires choses que des loups!"

Les villageois n'ont pas perdu de temps a déguerpir à toutes vitesses vers l'une des sorties du village. L'ange se tenait à quelques mètres de l'assemblée des morts vivants, tous grommelant et laids. Ils se sont aussitôt mis a courir après les villageois, voulant sans doute les manger. Cependant Darius s'est mis a faire bouger ses ailes et à l'aide de sa plumage épaisse, elle a fait un rafale de vent puissant faisant tomber quelques uns des cadavres ambulants. La technique a marché suffisamment longtemps pour que les habitants puissent se sauver dans les champs. Voilà une bonne chose de faite. Il n y avait plus qu'une chose à faire, nettoyer et purger le village de la mort. La belle créature ailée s'est jetée en avant brandissant ses armes avec une fureur inattendue. Elle a tournoyé au centre du groupe des morts vivants pour éliminer le mal qui s'était introduit au sein de ce village paisible.
Les morts vivants étaient peu aguerris au combat, lents et peu réactifs et n'étaient pas vraiment aptes à affronter les talents de la femme guerrière. C'est alors que la dépouille défiguré du jeune défunt Juan est apparue. Il s'est jeté à son tour sur l'ange. Son uniforme était souillé, son visage brûlé et ses yeux éteints. Il n'était pas Juan, c'était juste un cadavre ambulant armé d'une rapière. Darius ne pouvait pas s'attarder, elle a bloqué la rapière et tranché le bras tendu pour ensuite lui mettre un coup de balayette puissant, le bouclier est venu terminer le travail en brisant la colonne vertébrale avec une attaque verticale. Le corps brisé ne bougeait plus à présent...

Natael avait enfin réussi à se débarasser de Ricardo grâce à l'aide de son gobelin et s'accordait une pause bien mérité pour s'occuper de la lame que son adversaire lui avait laissée en cadeau d'adieu. Son bras n'avait pas supporté la décharge et pendait, inerte, contre son flanc.
Il se fit une atelle de fortune avec l'aide de son gobelin pour empêcher son bras de bouger et de le gêner pendant les éventuels et hypothétiques combats à venir. Il se releva et partit vers la place au-dessus de laquelle la jeune femme avait cessée de planer.
Il vit alors un homme, apparement blessé, passer dans le ciel vers cette même place qui était son objectif.
*Tiens, un ahuri aérien! C'est une vraie compétition de vol! Bon, je ferais mieux de me dépêcher moi, je ne veux pas finir comme l'autre frimeur que j'ai empalé...*
Il accéléra le rythme, mais malgré tout il arriva quelques secondes après l'homme volant. Il venait apparement de tuer le cavalier de feu, et se servait de sa jambe pour réparer la sienne. Il prit ensuite une phalange au mort, et la lança en direction de l'ange qui le regardait toujours, Nat' ne s'étant pas révélé.
Les morts tombés aujourd'hui au combat réapparurent soudain, Ricardo y compris. L'homme n'avait apparement pas fait de différence entre les alliés et les ennemis, ce qui leur donnait une petite cinquantaine d'adversaires. Raté pour Natael qui ne voulait pas s'impliquer outre mesure dans cette bataille et partir de ce monde où tous lui étaient hostiles.
*J'ai pas le choix, si je veux partir et conserver l'anonymat, je dois aller aider cette gamine ailée...*
La gamine en question se débrouillait plutôt bien.
Elle en tua trois sur les quinze et fit partir les villageois. C'était bien une Lucinienne ça, à toujours s'occuper des autres et à vouloir éviter les dommages collatéraux...
Elle tua encore deux ou trois cadavres sur pattes, puis sembla hésiter un moment devant le corps d'un homme avant de l'assomer avec son bouclier.
Natael sortit alors au grand jour, muni de l'épée de son gobelin. Il se dirigea vers Ricardo pour le tuer une deuxième fois, mais le capitaine, s'il avait perdu en apparence, n'en restait pas moins un puissant guerrier, et Nat' eut toutes les peines du mondes à le vaincre.Il perdit d'ailleurs son gobelin dans le combat, tué par Zomb-Ricardo. Heureusement, son intelligence semblait avoir ausii diminuée, ce qui lui permit de le vaincre assez rapidement.
Il s'adressa alors a l'ange, figée devant le cadavre qu'elle avait tuée avec son bouclier...Un bouclier. Il serait utile d'en posséder un, d'ailleurs.
"Hé,gamine!"(Ceci n'est pas une réference à l'age, mais plutôt à l'apparence ou au comportement)"Tu vas te faire tuer si tu reste plantée là à reluquer ce pauvre mort. Et par contre, je risque d'avoir besoin d'aide pour achever ses gars, si je veux m'en sortir vivant, j'entends. Je te propose un pacte temporaire: tu m'aides à renvoyer ces cadavres vivant de là ou ils viennent, et je ne tuerais pas.Alors?"
Tout en parlant, il avait embroché deux autres combattants zombies. Il la relança, tout en continuant à se battre.
"Ca serait bien...Tiens, toi!...Serait bien que tu...Reste au sol,saleté de mort-vivant!...Que tu te décides plus vite!...Et de quatre!"

Saladin s'était mis en marche vers la ville, ou plutôt il s'était mis à courir. Cinq minutes lui avait suffi pour bander ses plaies, toute son énergie n'était pas revenu mais là n'était pas le plus grave. Rodolph s'était rendu en ville et il était certain que cet homme allait semer un bordel monstrueux là-bas. L'Harmonien, bien qu'ayant accompli ce pour quoi il était venu ici initialement, c'est à dire récupérer ses affaires, avait maintenant de bonnes motivations pour continuer à se battre. La première et plus évidente était que Rodolph n'était pas mort, et que l'Intendant comptait lui rendre la monnaie de sa pièce. L'autre raison était qu'il y avait des habitants en ville, des innocents subissant certainement déjà l'attaque des brigands, avec leur général en plus la pagaille risquait d'être énorme. Saladin se devait donc absolument de se rendre en ville et de protéger ce qu'il y avait à protéger. Il franchit bientôt les portes de cette petite ville et ne put constater que le carnage, plusieurs bâtiments avaient soufferts et les rues étaient en désordre; Par désordre nous entendons caisses renversés, étal de commerce mis à sac, etc...mais étrangement il n'y avait pas le moindre mort autour de lui.

* Tout ceci...est trop étrange...*

Un cri le tira de ses pensées, un enfant il n'y avait pas à en douter. Ce dernier, accompagné par une femme, probablement sa mère, courait vers lui. Saladin vint à leur rencontre, ils furent un instant effrayé.

- Ne vous inquiétez pas, je suis de votre coté !

La mère serra son petit contre lui, ce n'est qu'à ce moment là que l'Harmonien se rendit compte que l'enfant pleurait à chaude larme. Un champ de bataille n'était pas fait pour quelqu'un de cet âge. La femme, partagée entre la crainte, l'envie de fuir et celle joyeuse de voir quelqu'un assurer leur protection lui répondit.

- Aidez nous alors, la plupart des habitants ont fuit...la bataille était en notre faveur, mais...mais les morts se sont relevés, seuls quelques guerriers se battent encore !!

La femme, tout d'un coup paniquée, serra son fils contre elle d'une main tandis qu'elle agrippait le col de l'Harmonien de l'autre. Saladin lui détacha lentement la main et l'incita à fuir, il ne lui répondit pas, le simple regard de l'Intendant suffisant à montrer qu'il allait se joindre au combat. La femme soupira, elle pleurait elle aussi désormais. Tenant son fils blotti contre elle, ils fuirent en direction de la porte. Saladin resta là, à les regarder fuir, s'assurant que rien de mal n'allait leur arriver, il soupira de soulagement lorsqu'il les vit passer la porte indemne et s'enfuir dans la campagne. Ceci fait il attrapa son sabre d'abordage, si mort il y avait...comment était-il arrivé ici. La femme avait bien parlé des morts qui se relèvent, ceux de la bataille dans ce cas. L'un des voleurs était-il nécromancien, ou tout simplement un invité surprise s'était ajouté dans la pièce histoire d'instiller une graine de zizanie supplémentaire ? Inutile de se poser trop de questions, l'heure était à l'action. Il courut à travers une rue et arriva plus vite qu'il n'eut crut sur le lieu du macabre combat. Seul un homme, et une femme, apparemment un ange continuait de se battre contre un nombre impressionnant de zombies.

* Mais qu'est-ce que...les villageois...*

La bataille n'était pas terminée, les zombies étaient constitués des deux camps, on pouvait reconnaitre la marque des voleurs sur certains, d'autres zombies étaient les gardes de la cité tombés au combat. Quoiqu'il en soit leur nombre était impressionnant, combien de monstres ces deux guerriers avaient-ils tués, le fait était que, à l'arrivée de l'Harmonien, une trentaine de ces monstres se tenaient encore debout. Pas de temps à perdre, ces deux là risquaient d'être submergés, les villageois encore présent en ville risquaient de mourir. Les grands moyens devaient être employés. Son corps se changea en flamme, il était devenu un être de feu et pouvait entendre les gouttes de pluie se briser sur lui dans un bruit caractéristique. Il tendit ses mains devant lui et des lances de flammes partirent de ses paumes. Ces lances de feux se mirent à zigzaguer à travers le champ de bataille frappant tel des serpents chacun des zombies. Saladin contrôlait ce véritable déluge de feu, utilisant ses lances pour anéantir ses ennemis les uns après les autres à une vitesse et une précision affreuse. Une simple minute s'écoula, Saladin reprit son apparence humaine. Une odeur de cadavre flambés s'élevait dans la rue, en dehors de ça, il n'y avait plus un bruit. Les zombies anéantis, la bataille était terminée...enfin pas tout à fait. un rire dément déchira le silence, poussant l'Intendant à regarder au dessus de lui, vers les toits.

- Rodolph...

Darius Nemamiah : 8 xp's
Saladin Jaggerjack : 8 xp's
Natael Noxumbra : 7 xp's
Meujette : 7 xp's

Rien à dire, super rp, voilà Smile

Les xps ont été attribués Wink

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